Supersession of the senior-most judges in Bangladesh in appointing the chief justice and the other judges of the appellate division of the supreme court : a convenient means to a politicized bench

The Constitution of Bangladesh has provided the President with the unfettered power to appoint the Chief Justice of Bangladesh. However, the President is required by the Constitution to act on the advice of the Prime Minister, after consulting the Chief Justice, in appointing the puisne judges of the Supreme Court - the apex court of the nation. This Article finds that in the absence of any specific constitutional provisions specifying that the senior-most judge of the Appellate Division - the higher Division of the Supreme Court - should be appointed as the Chief Justice, a convention to this effect was developed for ensuring that extraneous considerations did not play a part in the pivotal appointment of the Chief Justice. In the same vein, a convention of appointing the senior-most judges of the High Court Division, which is the lower Division of the Supreme Court, as the judges of the Appellate Division was developed. But both these conventions have been transgressed at regular intervals by succeeding generations of executives, particularly by the current one, for politicizing the superior judiciary of the nation, thereby undermining its credibility in the eyes of the litigants as an impartial arbitrator of disputes. Accordingly, this article concludes that in order to exclude the possibility of appointments on extraneous considerations, the principles of appointing the Chief Justice and the other judges of the Appellate Division on the basis of seniority should be inserted in the Constitution by means of an amendment.

Effets de l'enseignement de stratégies cognitives et métacognitives sur les méthodes de travail des élèves faibles en mathématiques au collégial

Les élèves faibles en mathématiques utilisent des méthodes de travail inefficaces parce qu'ils n'en connaissent pas d'autres et parce qu'ils manquent de support et d'encadrement lorsqu'ils se retrouvent seuls pour étudier. Ces méthodes de travail inadéquates ont des conséquences néfastes sur leur performance en mathématiques: leur étude étant inefficace, ils persistent moins, arrivent moins bien préparés aux examens et développent des attitudes qui nuisent à leur apprentissage en mathématiques. Le but de cette recherche est de mesurer l'effet de l'enseignement de stratégies cognitives et métacognitives supporté par un encadrement de l'étude individuelle sur les attitudes des élèves faibles et sur leurs comportements lors de l'étude en mathématique. Cet effet devrait entraîner aussi une amélioration du rendement scolaire. L'expérimentation s'est déroulée à l'automne 1989 auprès d'élèves inscrits en mathématiques d'appoint au niveau collégial. On enseigna une méthode de travail plus adéquate, composée de stratégies cognitives et métacognitives variées et adaptées aux tâches demandées dans les devoirs de mathématiques. De plus, dans le groupe expérimental, cet enseignement fut soutenu par des consignes à l'intérieur des devoirs de mathématiques; ces consignes, de moins en moins nombreuses et explicites, devaient assurer que l'élève utilise vraiment les stratégies enseignées. Au terme de l'expérimentation, on a mesuré que les élèves du groupe expérimental n'utilisent pas plus les stratégies enseignées que les élèves du groupe contrôle. On a aussi mesuré la corrélation entre l'utilisation des stratégies enseignées d'une part, et les attitudes, les comportements lors de l'étude et le rendement scolaire d'autre part. On constate que la force de ce lien a tendance à augmenter avec le temps. Même si les résultats ne permettent pas de confirmer l'hypothèse principale, il apparaît que les élèves les plus faibles semblent avoir profité davantage de l'encadrement de leur étude personnelle. De plus, et cela pour l'ensemble des sujets, l'évolution de la corrélation entre l'utilisation des stratégies enseignées et diverses variables reliées à l'apprentissage des mathématiques suggère de poursuivre de telles interventions sur une plus longue période de temps.

Las reparaciones simbólicas en escenarios de justicia transicional

Resumen Cuando una sociedad intenta hacer una transición de situaciones de conflicto armado a paz o de regímenes dictatoriales a democracias, debe tomar decisiones políticas que garanticen los estándares internacionales en materia de derechos de las víctimas de violaciones a derechos humanos, pero que permitan pactos entre las partes implicadas. En este contexto el derecho a la reparación es el centro de álgidos debates. Por eso, en este artículo se propone visibilizar las reparaciones simbólicas como parte de la reparación integral y como importante mecanismo para que las sociedades en transición logren superar los hechos victimizantes sin olvidarlos y para que estos no se repitan; entonces, los simbolismos reparadores buscarán nombrar y dignificar a las víctimas, recordar la verdad y solicitar perdón asumiendo responsabilidades. Abstract When a society tries to make the transition from armed conflict to peace, or dictatorships to democracies, political decisions must be taken to ensure international standards concerning the rights of victims of human rights violations, but allowing agreements between the parts involved. In this context, the right to reparation is the peak center of discussions.So, this article proposes to visualize the symbolic reparations as part of the internal reparation and as an important mechanism so that societies in transition can overcome the victimizing facts without forgetting them, and in order to stop them too. Then, the repairing symbolism would seek to appoint and dignify the victims, to remember the truth, taking responsibilities, and asking for forgiveness.