995 resultados para Université de Paris (1215-1793) -- Histoire


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Includes bibliographical references.

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"Le conseil de l'Université ayant rendu un arrêt contre cet opuscule, qui lui parut entaché de jansénisme, Hazon fut suspendu de ses fonctions de docteur régent jusqu'au moment où M. de Malesherbes, arrivant au ministère, le fit rentrer dans tous ses droits."--Hoefer, Nouv. biog. gén., v. 23, p. 674.

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Mode of access: Internet.

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"Publiée pa la Société des amis de l'Université."

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Périodicité : Bimensuel ; Hebdomadaire

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Contient : Chronique de Normandie, depuis le duc Aubert jusqu'à Henri III, roi d'Angleterre ; Chronique française abrégée de GUILLAUME DE NANGIS, jusqu'à Philippe le Bel ; Chronologie des rois de France jusqu'à Charles VI ; suivie de notes latines : « De Anglia » (fol. 111) ; — « Le serment que le Chancelier de France doit faire, » etc. (fol. 112) ; Chronique des quatre premiers Valois (1327-1393), publiée par S. Luce (Paris, 1862, In 8°) ; Histoire d'Alexandre le Grand (Historia de præliis du Pseudo-Callisthènes), en français ; « Le livre des meurs du gouvernement des seigneurs, appelé les Secrés des secrés d'ARISTOTE » ; « Proposicion faicte de par l'Université de Paris devant nos seigneurs de France et tout le conseil assemblez pour la reformacion du royaume, l'an 1405, le samedi VIIe jour de novembre, par Me Jehan Jarson..., chancellier en l'eglise Nostre-Dame de Paris » ; Recueil de pièces concernant la Normandie. — « Carta Normannorum. » (19 mars 1314 [1315]) ; Vidimus du texte latin du traité de Troyes entre Henri V et Charles VI (21 mai 1420) ; « Pour remonstrer en brief que les habitans du duchié de Normandie et mesmement les bourgois, manans et habitans de la ville de Rouen, ne doivent estre trais en France, ne sont tenus de y sortir jur[i]diction ne y respondre... » — « Raciones précédentes fuerunt composite per mag. Johannem Doule, licenciatum In legibus, condam advocatum In parlamento et magistrum requestarum regis dominum de Neufville » ; Texte français du traité de Troyes (21 mai 1420) ; « Arrest ou declaraciun que ung prelat ou eglise peult acquérir en ses liefs », en faveur de l'abaye de St-Ouen de Rouen (1373 et 1375), etc ; « Confirmatio Cartæ Normannorum » (16 nov. 1423) ; « Decretum unionis orientalis Ecclesiæ cum occidentali, publicalum... In concilio Florentino... 1439 » ; « Copia bulle [Eugenii IV] conservatorie studii Cadomensis » (18 mai 1439) ; Au bas de ce feuillet on lit cette note, de première main : « Cronicas Normannie et Francie, ceterasque alias scripturassuperius scriptas varias materias continentes scribi fecit Robertus, abbas Sancti Michaelis In periculo maris, apud Rothomagum, In pluribus annis, et finaliter perfecit usque hic, anno Domini 1436 » ; Ex-libris : « Messire Joachin de Dinteville, chevalier de l'ordre du Roy et gentilhomme de sa chambre, m'a donné ce livre à Troyes, en febvrier 1578. » (Signature grattée)

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Contient : 1 Histoire de Charles VI, de 1380 à 1422, par JEAN JUVENAL DES URSINS, incomplète du début ; 2 Histoire de Ponthus, roi de Galice et de Bretagne, incomplète du début ; 3 Pièce de 8 vers

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Contient : 1 Mémoire pour le roi contre l'excommunication de Jeanne d'Albret, reine de Navarre ; 2 Actes du colloque de Poissy, 14 octobre 1561. « Acta Pissiaci, quod est Carnutum oppidum ad Sequane amnis ripam, anno humane salutis 1561, pridie idus octobris » ; 3 « Memoires et instructions des syndicz, deputez par les clergez de France, pour servir et proposer en l'assemblée que l'on dict debvoir estre faicte touchant l'approbation ou reject du concile tenu à Trente, aux fins de requerir par l'eglise gallicane la reception et auctorisation d'icelluy... et ce non obstans telles quelles pretendues nullitez et abus mentionnez en certain advis ou conseil deliberé à Paris, à la requeste d'aulcuns que l'on maintient estre du conseil privé du roy, selon qu'il est contenu en la dessusdicte consultation ou advis de Me Charles Dumoulin » ; 4 « Moiantz à deduire par les deputez et syndictz de l'eglise gallicane, pour faire recepvoir les articles du concile tenu à Trente, avecques les modifications requises en aucungs d'iceulx. Pour l'occurance de ceste matière... » ; 5 Mémoire des syndics du clergé de France contre les huguenots protestants, 1564. « Les sindicz des clergez de France ayans veu certain discours imprimé à Paris cest an mil VC.LXIIII, par lequel est persuadé au roy et à son peuple de laisser dedens les fins et limites de ce royaulme, en certaine asseurance, l'evenement des deux religions, selon le contenu en l'edict de pacification et interpretation faicte d'icelluy, leue, publiée et enregistrée au parlement de Paris du vingtiesme jour de decembre l'an mil. VC.LXIII... » ; 6 Mémoire contre les chantres de la chapelle du roi. On lit en marge : « Playdoyé faict par moy au conseil privé du roy, pour empescher que ses chantres n'eussent les distributions manuelles aux eglises desquelles ils sont chanoynes ; et est icy le faict particulier de l'eglise d'Amyans, qui a baillé loy aux aultres ». Premiers mots : « Le doyen, chanoynes et chapitre de l'eglise d'Amyens, pour les moyens de l'opposition qu'ils entendent former aux lettres patentes données à Fonteynebleau au mois d'apvril mil VC.LIII... » ; 7 « Articles du clergé de France sur la revocation de l'edict d'aliénation du revenu temporel de l'Eglise jusques à cent mil escuz de rente. Il plaire au roy decerner ses lettres patentes... ». Ces articles sont précédés du compte rendu de l'assemblée du clergé, réunie à Paris le 15 septembre 1563, qui les avait votées et avait maintenu dans leurs fonctions de syndics généraux Antoine Du Vivier et Nicolas Griveau ; 8 Déclaration du chapitre de Thérouanne, faisant savoir qu'il ne peut accorder la subvention demandée par le roi, et qu'au surplus il se conformera à la décision prise par l'évêque et le clergé d'Amiens ; 9 « Opposition formée par nous » ANTOINE DU VIVIER, chancelier de l'église et de l'Université de Paris, et NICOLAS GRIVEAU, doyen de l'église d'Amiens], « syndictz, contre l'edict » du 17 « janvier, donné à Sainct-Germain-en-Laye, l'an mil VC.LXI » ; 10 « Moyens et conditions pour faire revocquer l'edict d'alienation de cent mil escus de rente du temporel de l'Eglise » ; 11 « Remonstrance à messieurs de la court de parlement contre l'alienation du bien temporel de l'eglise gallicane ». 1561 ; 12 Mémoire « pour evidemment monstrer que l'eglise gallicane n'est subjecte aulx charges portées par l'edict du roy dernierement publié touchant les franczfiefz et nouveaulx acquestz » ; 13 Mandement imprimé de CHARLES, cardinal DE LORRAINE, archevêque de Reims, adressé aux fidèles de la province, à l'occasion des quatre-temps de la Noel. Sans date ; 14 Concile de Reims, en 1564 ; « Moyantz proposez par les deputez au concile tenu à Reims, pro cultu ecclesiarum ». 1564 ; « Articles mys en opinion au concile de Reins » ; « Icy sont declarez les moyantz pour l'interpretation des articles que j'ay portez au concile provintial de Reins pour le diocese d'Amyans » ; « Response à certains articles baillez par mons. le cardinal de Lorraynne » ; Compte rendu de l'assemblée tenue par le clergé du diocèse d'Amiens pour la nomination des députés à envoyer, le 26 novembre 1564, au concile de Reims, et pour la rédaction des instructions à leur donner ; Copie du mandement indiqué sous l'article 13 ; « Canons du concile provintial de Reins ». 1564 ; « Statuta ab illustrissimo principe et reverendissimo cardinali CAROLO LOTHARINGO, archiepiscopo duce Remensi... condita et promulgata in diocesana sua synodo, que Remis habita est, octavo die novembris anno 1564 ». Ces statuts reproduisent presque tous les canons du concile de Reims. On lit au-dessous du titre : « Ces statuz furent presentez en la congregation, pour les visiter et sçavoyr si aucungtz d'iceulx debvoyent estre changez ou refformez » ; « S'ensuyt ce que a esté fait au concile provintial assigné en la ville de Reins, au XXVIe novembre mil VCLXIIII... » ; 15 « Briefve relation du sieur de Tantalle, ministre de France, adressante aux ministres d'Allemagne, touchant ce qui s'est passé à Saumur le vingt neufiesme juin mil six cens unze ». C'est une « satire contre M. de Sully et les huguenots »

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Le 27 mai 1406, le théologien parisien Pierre Plaoul comparaît devant la cour du Parlement de Paris en tant que représentant de l’Université de Paris dans une affaire qui l’oppose à l’Université de Toulouse. Il y prononce un sermon en latin, ce que la cour lui reproche instantanément, lui demandant de parler en français pour la prochaine séance. Le 7 juin, lors de sa deuxième comparution, il parle cette fois en langue vernaculaire et prononce un discours extrêmement différent du premier, autant dans son genre que dans son registre de citations. Les deux discours sont conservés dans le registre X1a4787 des Archives nationales de France. L’édition des discours permet de comprendre le raisonnement derrière leurs différences, mais il permet surtout de constater que le discours français fait état d’une érudition encore plus grande que son homologue latin et que son orateur n’était nullement gêné par l’usage de la langue vernaculaire. Remis dans le contexte historiographique actuel, il en ressort que l’utilisation du français par Plaoul concorde parfaitement avec l’abandon du modèle de rapport diglossique entre latin et français pour la fin du Moyen Âge, lui préférant plutôt un rapport de langues en contacts. Ce postulat est soutenu par les nombreuses occurrences d’universitaires médiévaux démontrant une excellente maîtrise d’un registre savant de la langue vulgaire, des poètes, aux prédicateurs en passant par les practiciens du droit. Un examen plus attentif de l’utilisation de la langue française par les docteurs en théologie du règne de Charles VI vient aussi appuyer l’hypothèse selon laquelle les universitaires du bas Moyen Âge considéraient la langue vernaculaire comme un instrument approprié à la transmission de la culture savante.