996 resultados para St. George de Henryville (Quebec : Parish)


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Indenture with the letterhead “St. Catharines Cemetery” between the rector and church wardens of St. George’s Church, St. Catharines and Henry C. Woodruff of the Township of Niagara. The deed is for 538 square feet in Lots 1 and 2 in division no. 13 in section M of the St. Catharines Cemetery. The cemetery deed no. is 530, July 7, 1869.

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1 handwritten list of records of deeds for graves in the public cemetery of St. Catharines including: Deed no.133 between the Rector of St. George’s Church in St. Catharines and Samuel DeVeaux Woodruff for 480 square feet in section P. Deed no. 134 between the Rector and church wardens of St. George’s Church and Anne S. Sanderson for 208 square feet in section P and Deed no. 1235 between the City Council of St. Catharines and Samuel D. Woodruff for 336 square feet in section P, 1861, 1883.

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Indenture between George Rykert, surveyor of Grantham, and Cornelius Stovin, manager of the Welland Railway of St. Catharines, for a pew in St. George’s Church, Jan. 1863.

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Le facteur le plus important de pronostic de l'asthme professionnel (AP) est la durée des symptômes avant le retrait de lʼexposition à lʼagent causant lʼAP. La qualité de vie réduite, la détresse psychologique et les maladies psychiatriques sont des conditions souvent associées à l'AP. Notre objectif était d'identifier les facteurs, incluant le statut socioéconomique, qui ont une influence sur lʼintervalle de temps nécessaire pour présenter une requête à une agence médicolégale à la suite de lʼapparition de symptômes dʼasthme et de confirmer qu'un tel délai est associé à un moins bon pronostic respiratoire et à des coûts directs plus élevés. En outre, nous avons examiné la relation entre les variables cliniques et socio-économiques dʼune part et leur influence sur les facteurs psychologiques et économiques dʼautre part chez des travailleurs atteints d'AP. Ensuite, nous avons voulu évaluer si les individus souffrant de détresse psychologique (DP) et de morbidité psychiatrique pourraient être identifiés en utilisant un instrument mesurant la qualité de vie (QV). Lʼétude a été effectuée auprès dʼindividus ayant déposé des demandes d'indemnisation pourʼAP auprès du Commission de la sécurité et de la santé du travail du Québec (CSST). Les données ont été recueillies au moment de la réévaluation, soit environ deux ans et demi après le diagnostic. Outre la collecte des marqueurs cliniques de l'asthme, les individus ont été soumis à une évaluation générale de leur histoire sociodémographique et médicale, à une brève entrevue psychiatrique (évaluation des soins primaires des troubles mentaux, PRIME-MD) et à un ensemble de questionnaires, incluant le Questionnaire sur la qualité de vie - AQLQ(S), le Questionnaire respiratoire de St. George (SGRQ) et le Psychiatric Symptom Index (PSI).Soixante personnes ont été incluses dans l'étude. Etre plus âgé, avoir un revenu supérieur à 30 000$ CA etêtre atteint dʼAP dû à un allergène de haut poids moléculaire ont une association positive avec le nombre dʼannées dʼexposition avec symptômes avant le retrait. Au cours de la période de suivi, le nombre dʼannées dʼexposition avec symptômes était plus grand chez les individus ayant une hyperréactivité bronchique persistante. Par ailleurs, la présence de symptômes au poste de travail pendant moins d'un an est associée à une réduction des coûts directs. Les paramètres de QV et de DP avaient des corrélations modérées avec les marqueurs cliniques de lʼAP. Les plus fortes associations avec ces variables ont pu être observées dans les cas de la sévérité de l'asthme, des statuts dʼemploi et matrimonial, du revenu et de la durée de la période de travail avec l'employeur. Un seuil de 5,1 au niveau de la sous-échelle de la fonction émotionnelle de lʼAQLQ(S) sʼest avéré avoir la meilleure valeur discriminante pour distinguer les individus avec ou sans détresse psychiatrique cliniquement significative selon le PSI. Nous avons été en mesure d'identifier les variables socio-économiques associées à un intervalle plus long dʼexposition professionnelle en présence de symptômes dʼasthme. De même, une plus longue période d'exposition a été associée à un moins bon pronostic de la maladie et à des coûts de compensation plus élevés. Ces résultats s'avèrent utiles pour la surveillance de lʼAP qui pourrait cibler ces sous-groupes d'individus. La QV et la PS sont fréquemment réduites chez les individus atteints d'AP qui perçoivent une compensation. Elles sont associées à des marqueurs cliniques de lʼasthme et à des facteurs socio-économiques. En outre, nos résultats suggèrent que le questionnaire de lʼAQLQ(S) peut être utilisé pour identifier les individus avec un niveau de détresse psychologique potentiellement significatif.

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p. [3]-64: A letter to the Right Honourable the Earl of Carnarvon, principal secretary of state for the colonies; p. 65-78: Report of resolutions adopted at a conference of delegates from the provinces of Canada, Nova Scotia and New Brunswick, and the colonies of Newfoundland and Prince Edward Island, held at the city of Quebec, 10th October, 1864, as the basis of a proposed confederation of those provinces and colonies

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Later vols. published by the Athlone Press for the Greater London Council.

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Sachant que plusieurs maladies entrainent des lésions qui ne sont pas toujours observables à l’oeil, cette étude préliminaire en paléopathologie humaine utilise une approche complémentaire issue de l’imagerie médicale, le ct-scan, afin de fournir des diagnostics plus précis. L’objectif est donc de tester ici l’efficacité et les limites de l’analyse scanographique durant l’analyse de spécimens archéologiques. Un échantillon de 55 individus a été sélectionné à partir de la collection ostologique provenant du cimetière protestant St. Matthew (ville de Québec, 1771 – 1860). Une analyse macroscopique et scanographique complète a alors été effectuée sur chaque squelette. Les observations macroscopiques ont consist à enregistrer une dizaine de critères standardisés par la littérature de référence en lien avec des manifestations anormales à la surface du squelette. Les ct-scans ont été réalisés à l’Institut National de la Recherche Scientifique de la Ville de Québec avec un tomodensitomètre Somatom de Siemens (définition AS+ 128). Les données scanographiques ont permis d’enregistrer une série de critères complémentaires sur la structure interne de l’os (amincissement/épaississement de la corticale, variation de densité, etc.) Selon la méthode du diagnostic différentiel, des hypothèses ou diagnostics ont été proposés. Ils sont principalement basés sur les critères diagnostiques mentionnés dans les manuels de référence en paléopathologie, mais aussi à l’aide de la littérature clinique et l’expertise dedecins. Les résultats présentés ici supportent que: 1) Dans 43% des cas, les données scanographiques ont apporté des informations essentielles dans la diagnose pathologique. Cette tendance se confirme en fonction de certaines maladies, mais pas d’autres, car certains diagnostics ne peuvent se faire sans la présence de tissus mous. 2) La distribution spatiale de la plupart des lésions varie selon les régions anatomiques, aussi bien en macroscopie qu’en scanographie. 3) Certains types de maladie semblent associés à l’âge et au sexe, ce qui est conforté par la littérature. 4) Cette recherche démontre aussi que le processus de diagnose nécessite, dans 38% des cas, une analyse complémentaire (ex. histologie, scintigraphie, radiographie) pour préciser le diagnostic final.

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Sachant que plusieurs maladies entrainent des lésions qui ne sont pas toujours observables à l’oeil, cette étude préliminaire en paléopathologie humaine utilise une approche complémentaire issue de l’imagerie médicale, le ct-scan, afin de fournir des diagnostics plus précis. L’objectif est donc de tester ici l’efficacité et les limites de l’analyse scanographique durant l’analyse de spécimens archéologiques. Un échantillon de 55 individus a été sélectionné à partir de la collection ostologique provenant du cimetière protestant St. Matthew (ville de Québec, 1771 – 1860). Une analyse macroscopique et scanographique complète a alors été effectuée sur chaque squelette. Les observations macroscopiques ont consist à enregistrer une dizaine de critères standardisés par la littérature de référence en lien avec des manifestations anormales à la surface du squelette. Les ct-scans ont été réalisés à l’Institut National de la Recherche Scientifique de la Ville de Québec avec un tomodensitomètre Somatom de Siemens (définition AS+ 128). Les données scanographiques ont permis d’enregistrer une série de critères complémentaires sur la structure interne de l’os (amincissement/épaississement de la corticale, variation de densité, etc.) Selon la méthode du diagnostic différentiel, des hypothèses ou diagnostics ont été proposés. Ils sont principalement basés sur les critères diagnostiques mentionnés dans les manuels de référence en paléopathologie, mais aussi à l’aide de la littérature clinique et l’expertise dedecins. Les résultats présentés ici supportent que: 1) Dans 43% des cas, les données scanographiques ont apporté des informations essentielles dans la diagnose pathologique. Cette tendance se confirme en fonction de certaines maladies, mais pas d’autres, car certains diagnostics ne peuvent se faire sans la présence de tissus mous. 2) La distribution spatiale de la plupart des lésions varie selon les régions anatomiques, aussi bien en macroscopie qu’en scanographie. 3) Certains types de maladie semblent associés à l’âge et au sexe, ce qui est conforté par la littérature. 4) Cette recherche démontre aussi que le processus de diagnose nécessite, dans 38% des cas, une analyse complémentaire (ex. histologie, scintigraphie, radiographie) pour préciser le diagnostic final.

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Rupestris stem pitting (rSP), a graft-transmissible grapevine disease, can be identified only by its reaction (pitted wood) on inoculated Vitis rupestris ‘St. George.’ DsRNA was extracted from grapevines from California and Canada that indexed positive for rSP on St. George. Two distinct dsRNA species (B and C) (Mr = 5.3 × 106 and 4.4 × 106, respectively) were detected from the stem tissue of rSP-positive samples. Although similar dsRNA species (B and C) were detected in extracts of grapevines from New York, the association of dsRNA B and C with rSP in New York samples was not consistent. Also, eight different dsRNAs, known to be associated with the powdery mildew fungus, Uncinula necator, were detected in leaves of New York samples. In New York, the dsRNAs were not observed in leaves or stem samples collected from June through late August during the 1988 and 1989 growing seasons, suggesting that dsRNA detection in the grape tissue is variable throughout the season. We suggest that dsRNA species B and C are associated with rSP disease. The inconsistent results with New York samples are discussed.

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Researchers over the last decade have documented the association between general parenting style and numerous factors related to childhood obesity (e.g., children's eating behaviors, physical activity, and weight status). Many recent childhood obesity prevention programs are family focused and designed to modify parenting behaviors thought to contribute to childhood obesity risk. This article presents a brief consideration of conceptual, methodological, and translational issues that can inform future research on the role of parenting in childhood obesity. They include: (1) General versus domain specific parenting styles and practices; (2) the role of ethnicity and culture; (3) assessing bidirectional influences; (4) broadening assessments beyond the immediate family; (5) novel approaches to parenting measurement, and; (6) designing effective interventions. Numerous directions for future research are offered.

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The present study set out to test the hypothesis through field and simulation studies that the incorporation of short-term summer legumes, particularly annual legume lablab (Lablab purpureus cv. Highworth), in a fallow-wheat cropping system will improve the overall economic and environmental benefits in south-west Queensland. Replicated, large plot experiments were established at five commercial properties by using their machineries, and two smaller plot experiments were established at two intensively researched sites (Roma and St George). A detailed study on various other biennial and perennial summer forage legumes in rotation with wheat and influenced by phosphorus (P) supply (10 and 40 kg P/ha) was also carried out at the two research sites. The other legumes were lucerne (Medicago sativa), butterfly pea (Clitoria ternatea) and burgundy bean (Macroptilium bracteatum). After legumes, spring wheat (Triticum aestivum) was sown into the legume stubble. The annual lablab produced the highest forage yield, whereas germination, establishment and production of other biennial and perennial legumes were poor, particularly in the red soil at St George. At the commercial sites, only lablab-wheat rotations were experimented, with an increased supply of P in subsurface soil (20 kg P/ha). The lablab grown at the commercial sites yielded between 3 and 6 t/ha forage yield over 2-3 month periods, whereas the following wheat crop with no applied fertiliser yielded between 0.5 to 2.5 t/ha. The wheat following lablab yielded 30% less, on average, than the wheat in a fallow plot, and the profitability of wheat following lablab was slightly higher than that of the wheat following fallow because of greater costs associated with fallow management. The profitability of the lablab-wheat phase was determined after accounting for the input costs and additional costs associated with the management of fallow and in-crop herbicide applications for a fallow-wheat system. The economic and environmental benefits of forage lablab and wheat cropping were also assessed through simulations over a long-term climatic pattern by using economic (PreCAPS) and biophysical (Agricultural Production Systems Simulation, APSIM) decision support models. Analysis of the long-term rainfall pattern (70% in summer and 30% in winter) and simulation studies indicated that ~50% time a wheat crop would not be planted or would fail to produce a profitable crop (grain yield less than 1 t/ha) because of less and unreliable rainfall in winter. Whereas forage lablab in summer would produce a profitable crop, with a forage yield of more than 3 t/ha, ~90% times. Only 14 wheat crops (of 26 growing seasons, i.e. 54%) were profitable, compared with 22 forage lablab (of 25 seasons, i.e. 90%). An opportunistic double-cropping of lablab in summer and wheat in winter is also viable and profitable in 50% of the years. Simulation studies also indicated that an opportunistic lablab-wheat cropping can reduce the potential runoff+drainage by more than 40% in the Roma region, leading to improved economic and environmental benefits.

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Cattle grazing in arid rangelands of Australia suffer periodic extensive and serious poisoning by the plant species Pimelea trichostachya, P. simplex, and P. elongata. Pimelea poisoning (also known as St. George disease and Marree disease) has been attributed to the presence of the diterpenoid orthoester simplexin in these species. However, literature relating to previous studies is complicated by taxonomic revisions, and the presence of simplexin has not previously been verified in all currently recognized taxa capable of inducing pimelea poisoning syndrome, with no previous chemical studies of P. trichostachya (as currently classified) or P. simplex subsp. continua. We report here the isolation of simplexin from P. trichostachya and the development of a liquid chromatography-mass spectrometry/mass spectrometry (LC-MS/MS) method to measure simplexin concentrations in pimelea plant material. Simplexin was quantified by positive-ion atmospheric pressure chemical ionization (APCI) LC-MS/MS with selected reaction monitoring (SRM) of the m/z 533.3 > 253.3 transition. LC-MS/MS analysis of the four poisonous taxa P. trichostachya, P. elongata, P. simplex subsp. continua, and P. simplex subsp. simplex showed similar profiles with simplexin as the major diterpenoid ester component in all four taxa accompanied by varying amounts of related orthoesters. Similar analyses of P. decora, P. haematostachya, and P. microcephala also demonstrated the presence of simplexin in these species but at far lower concentrations, consistent with the limited reports of stock poisoning associated with these species. The less common, shrubby species P. penicillaris contained simplexin at up to 55 mg/kg dry weight and would be expected to cause poisoning if animals consumed sufficient plant material.