976 resultados para Sexual partners


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La thèse porte sur la relation entre l’environnement familial et le comportement sexuel des adolescents vivant dans un contexte de socialisation. L’environnement familial est mesuré par le type de famille de résidence, le type d’union du chef de ménage, la survie des parents, la cohabitation avec les grands-parents et le nombre de personnes de moins de 20 ans par adulte dans le ménage. Le comportement sexuel est opérationnalisé par l’entrée en sexualité prémaritale, l’utilisation du condom au premier rapport sexuel, le nombre de partenaires sexuels, le recours au partenaire sexuel occasionnel et l’utilisation systématique du condom au cours des douze derniers mois. Les données proviennent d’enquêtes transversales. Elles ont servi à établir des associations entre les indicateurs des deux concepts. Les résultats sont présentés dans trois articles (Chapitres III à V). Une analyse descriptive de l’environnement familial au Burkina Faso montre qu’une majorité des enfants de 0 à 14 ans (78,4% en 1993 et 77,6% en 2003) et des adolescents de 12 à 19 ans (61,1% en 2004) vit auprès des deux parents, en union monogame ou polygame. Cependant, certains enfants et adolescents résident avec les parents dans des ménages dirigés par d’autres personnes. Le décès des parents (7,7% en 1993 et 7,3% en 2003 pour les enfants; 16,5% en 2004 pour les adolescents), la pratique du confiage (10,4% en 1993 et 8,9% en 2003 pour les enfants; 26,9% en 2004 pour les adolescents) et la monoparentalité (11,2% en 1993 et 13,6% en 2003 pour les enfants; 12% en 2004 pour les adolescents) affectent amplement l’environnement familial. C’est dans l’adolescence que les individus sont plus nombreux à être privés de la présence des deux parents. Il existe une association statistique significative entre l’environnement familial et le comportement sexuel des adolescents du Burkina Faso. Cette relation varie en fonction de l’indicateur de comportement à l’étude et du sexe des adolescents ciblés. Par exemple, l’absence des deux parents dans le ménage n’est pas systématiquement associée au comportement sexuel à risque. S’agissant des indicateurs de comportement sexuel, l’âge au premier rapport sexuel est associé significativement aux autres indicateurs des garçons et des filles. Une entrée précoce en sexualité (avant 14 ans) est associée à une plus grande probabilité d’adoption de comportement sexuel à risque. Toutefois, elle est moins susceptible d’être associée au recours à plusieurs partenaires sexuels. Les résultats ont conduit à des recommandations pour les politiques et les programmes de santé sexuelle et reproductive. Au Burkina Faso, la priorité des futures actions devrait viser la sensibilisation des parents, des tuteurs et des adultes du ménage pour l’éducation, le soutien et le suivi de tous les adolescents, sans exception de sexe et de statut dans la sexualité. Les institutions extrafamiliales, comme l’école, devraient être mises à contribution pour appuyer l’effort des membres de la famille. Une stratégie combinée de promotion du report de l’entrée en sexualité et de l’éducation sexuelle pourrait être un moyen plus sûr et plus sécuritaire pour protéger la santé dans l’adolescence.

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Contrairement à d’autres groupes animaux, chez les primates, la hiérarchie de dominance ne détermine pas systématiquement le succès reproductif des mâles. Afin de comprendre pourquoi, j’ai étudié les stratégies de reproduction des mâles et des femelles dans un groupe de macaques rhésus de la population semi-libre de Cayo Santiago (Porto Rico), collectant des données comportementales, hormonales et génétiques pendant deux saisons de reproduction. Les résultats se résument en cinq points. 1. Les nouveaux mâles qui ont immigré dans le groupe d’étude occupaient tous les rangs les plus subordonnés de la hiérarchie de dominance et ont monté en rang suite au départ de mâles plus dominants. Ainsi, l’acquisition d’un rang supérieur s’est faite passivement, en absence de conflits. Par conséquent, les mâles dominants étaient généralement d’âge mature et avaient résidé plus longtemps dans le groupe que les mâles subordonnés. 2. L’accès des mâles aux femelles est en accord avec le « modèle de la priorité d’accès » selon lequel le nombre de femelles simultanément en œstrus détermine le rang de dominance du mâle le plus subordonné qui peut avoir accès à une femelle (p. ex. le mâle de rang 4 s’il y a quatre femelles en œstrus). Bien que les mâles dominants aient eu plus de partenaires et aient monopolisé les femelles de qualité supérieure (dominance, parité, âge) pendant leur période ovulatoire (identifiée grâce au profil hormonal de la progestérone), le rang de dominance n’a pas déterminé le succès reproductif, les mâles intermédiaires ayant engendré significativement plus de rejetons que prédit. Il est possible que ces jeunes adultes aient produit un éjaculat de meilleure qualité que les mâles dominants d’âge mature, leur donnant un avantage au niveau de la compétition spermatique. 3. Les mâles dominants préféraient les femelles dominantes, mais cette préférence n’était pas réciproque, ces femelles coopérant plutôt avec les mâles intermédiaires, plus jeunes et moins familiers (c.-à-d. courte durée de résidence). Au contraire, les femelles subordonnées ont coopéré avec les mâles dominants. La préférence des femelles pour les mâles non familiers pourrait être liée à l’attrait pour un nouveau bagage génétique. 4. L’intensité de la couleur de la peau du visage des femelles pendant le cycle ovarien était corrélée au moment de la phase ovulatoire, une information susceptible d’être utilisée par les mâles pour maximiser leur probabilité de fécondation. 5. Les femelles retiraient des bénéfices directs de leurs liaisons sexuelles. En effet, les femelles en liaison sexuelle bénéficiaient d’un niveau de tolérance plus élevé de la part de leur partenaire mâle lorsqu’elles étaient à proximité d’une source de nourriture défendable, comparativement aux autres femelles. En somme, bien que les mâles dominants aient bénéficié d’une priorité d’accès aux femelles fertiles, cela s’est avéré insuffisant pour leur garantir la fécondation de ces femelles parce que celles-ci avaient plusieurs partenaires sexuels. Il semble que l’âge et la durée de résidence des mâles, corrélats de leur mode d’acquisition du rang, aient confondu l’effet du rang de dominance.

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On s’accorde à dire que les adolescents constituent l’avenir quel que soit le temps et l’espace considéré. Il est également reconnu que le développement de leur capital humain et social, nécessaire pour une vie adulte de qualité, dépend des conditions dans lesquelles ils vivent et de l’environnement dans lequel s’opérera la transition vers cette vie adulte. Plus que dans toute autre partie du monde, ce constat est encore plus d’actualité en Afrique sub-Saharienne où, à la situation socio-économique déjà précaire, s’ajoutent d’importants problèmes de santé sexuelle et reproductive auxquels font face les adolescents en particulier le VIH. Conscients de l’enjeu majeur que représente la santé des adolescents, les gouvernements en Afrique sub-Saharienne, aidés en cela par les organismes non-gouvernementaux et toute la communauté internationale, ont inscrit la promotion de stratégies efficientes en santé sexuelle et reproductive des adolescents comme haute priorité dans leurs agendas. Mais force est de constater que l’élaboration et la mise en œuvre de telles stratégies supposent la production de connaissances sans cesse actualisées ainsi que la formulation de politiques innovatrices basées sur des données probantes et éprouvées en matière de santé sexuelle et reproductive, ce qui n’est pas toujours le cas. De plus, le fait que ce segment particulier de la population ne constitue pas un groupe homogène pose un défi supplémentaire quant à l’élaboration de stratégies généralisables. Fort de ce qui précède, le présent travail, qui porte sur le Burkina Faso, le Ghana, le Malawi et l’Ouganda, fait d’abord le point sur les problèmes majeurs de santé sexuelle et reproductive auxquels fait face cette frange spécifique de la population, tout en jetant un regard critique sur les efforts déployés par les sciences sociales pour les analyser. Il apporte ensuite des réponses à des questions spécifiques de recherche que nous nous sommes posées à travers les trois articles qui constituent l’ossature de cette thèse et dont l’essentiel de l’analyse empirique peut être résumé comme suit : Dans le premier article, nous sommes partis du constat suivant : dans les quatre pays étudiés, une importante proportion des adolescents qui se déclarent non encore sexuellement actifs pensent paradoxalement que leurs chances de contracter le VIH sont très grandes. Face à un tel constat, la question que l’on est en droit de se poser est celle de savoir pourquoi sont-ils si préoccupés? Quels sont les facteurs qui déterminent cette perception du risque? Les résultats confirment ce que certaines études ont déjà démontré à savoir que les individus élaborent leur propre définition du risque qui peut ne pas se résumer nécessairement à une opposition binaire «risque/aucun risque», mais est plutôt fonction des caractéristiques individuelles mais aussi du contexte social et épidémiologique dans lesquels ils vivent. Le deuxième article de la thèse analyse le contexte dans lequel s’opère la transition vers le premier rapport sexuel chez les adolescentes des quatre pays étudiés. Il part du constat selon lequel les recherches ont très souvent abordé les comportements sexuels des adolescents sous un angle marqué par la dichotomie entre les «sexuellement actifs» et les «non encore sexuellement actifs». Or le calendrier de l’entrée en sexualité et le contexte dans lequel elle a lieu (dans l’union ou hors union) sont non seulement des marqueurs des comportements sexuels à risque vis-à-vis du VIH, mais ils conditionnent aussi et surtout la qualité de la transition vers l’entrée dans la vie adulte. Les résultats montrent ici également que le contrôle parental est significativement associé à une faible probabilité pour les adolescents d’initier la sexualité hors de l’union. Quant au troisième article, il se penche sur un cas précis de comportement à risques chez les adolescents: le multipartenariat sexuel aggravé par la non utilisation systématique du condom, pourtant le seul moyen pour l’instant (en dehors de l’abstinence) de se protéger contre les infections sexuellement transmissibles et le VIH/SIDA. Les résultats montrent entre autres que le contrôle parental est significativement associé à une faible probabilité de comportement sexuel à risque, défini ici comme étant la co-occurrence de plusieurs partenaires sexuels au cours de 12 derniers mois et la non-utilisation systématique du condom avec chacun des partenaires. Sur un plan programmatique, ce résultat est plutôt encourageant car il prouve que l’autorité parentale jadis considérée comme érodée, demeure une pierre angulaire dans les stratégies de prévention du VIH chez les adolescents.

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L’histoire naturelle et la progression des infections au VPH (virus du papillome humain) sont bien décrites. Cependant, la dynamique de transmission reste faiblement documentée. Une meilleure compréhension de la dynamique de transmission ainsi que de ses facteurs de risque permettrait d’optimiser les stratégies de prévention afin de réduire la prévalence de ces infections dans la population par la vaccination et les méthodes contraceptives. Notre étude vise à déterminer si la charge virale des infections au VPH influence leur transmission entre les partenaires sexuels. Pour ce faire, l’association entre la charge virale au niveau des organes génitaux et la concordance spécifique de type des infections prévalentes au VPH a été évaluée pour 250 couples hétérosexuels récemment formés. Les charges virales de VPH16 (r = 0.30), de VPH18 (r = 0.50) et de VPH51 (r = 0.19) étaient significativement corrélées (p < 0.05) entre les deux partenaires sexuels, contrairement à celles de VPH31 (r = 0.08) et de VPH42 (r = -0.1). Lorsqu’ajusté en fonction de l’âge des participants, une charge virale élevée augmentait significativement le taux de détection du même type chez le partenaire pour les types 16, 31 et 51. Ainsi, dans les couples hétérosexuels récemment formés, des charges virales élevées sont associées à une détection accrue du même type chez le partenaire sexuel.

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Se revisan diversos trabajos realizados por las autoras desde 1993 sobre la percepción de riesgo frente al sida y su capacidad predictiva respecto a las conductas sexuales preventivas. Los resultados obtenidos muestran que: (1) la percepción de riesgo personal está sesgada de forma optimista y no predice ni la preocupación ni el interés por la prevención, y (2) los jóvenes universitarios no suelen detectar el elevado riesgo que supone la llamada monogamia serial (monogamia con parejas afectivas sucesivas), y se muestran favorables a mantener relaciones sexuales sin preservativo en esas circunstancias en mayor medida que con una pareja ocasional. Asimismo, estudios más recientes de las autoras ponen de manifiesto un incremento en el número de jóvenes que estarían dispuestos a mantener relaciones sexuales sin preservativo con una pareja a la que se acaba de conocer, y una disminución en los porcentajes de los que piensan en el sida al informar sobre su intención de conducta en dicha situación

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Los objetivos de este estudio fueron proveer datos con respecto a los patrones de infección de seis tipos de Papilomavirus humano de Alto Riesgo (AR-VPH-16, -18, -31, -33, -45, y -58) y dos tipos de Bajo Riesgo BR-VPH- 6 and -11), su asociación con factores de riesgo y coinfección. Se probaron muestras cervicales de 2110 mujeres para evaluar la presencia de DNA de HPV por reacción en cadena de la polimerasa. Se realizaron análisis estadísticos para determinar las frecuencias de los tipos virales encontrados en infecciones únicas y múltiples y la asociación entre infección y diferentes factores poblacionales. El tipo más prevalente fue VPH-16 seguido de VPH-31, siendo la distribución de éste último, variable según las diferentes ciudades analizadas. Los resultados evidenciaron una distribución tipo-específica diferencial entre regiones y una alta asociación entre ausencia de embarazos, ciudades como Girardot y Leticia, pertenecer a la etnia indígena (analizada en este estudio) y la adquisición de infecciones múltiples. Adicionalmente los datos sugieren que algunos factores sociodemográficos como la raza, el número de embarazos, el número de compañeros sexuales y la región geográfica se asocian significativamente y mostraron diferencias menores entre infecciones únicas y múltiples. Estos resultados proveen información relevante que permitirá evaluar el impacto de los programas de vacunación en estas poblaciones y la presión selectiva que podría tener la distribución de los tipos de VPH.

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Objectives: To evaluate the prophylactic efficacy of the human papillomavirus (HPV) quadrivalent vaccine in preventing low grade cervical, vulvar, and vaginal intraepithelial neoplasias and anogenital warts (condyloma acuminata). Design: Data from two international, double blind, placebo controlled, randomised efficacy trials of quadrivalent HPV vaccine (protocol 013 (FUTURE I) and protocol 015 (FUTURE II)). The trials were to be 4 years in length, and the results reported are from final study data of 42 months' follow-up. Setting: Primary care centres and university or hospital associated health centres in 24 countries and territories around the world. Participants: 17 622 women aged 16-26 years enrolled between December 2001 and May 2003. Major exclusion criteria were lifetime number of sexual partners (>4), history of abnormal cervical smear test results, and pregnancy. Intervention: Three doses of quadrivalent HPV vaccine (for serotypes 6, 11, 16, and 18) or placebo at day 1, month 2, and month 6. Main outcome measures: Vaccine efficacy against cervical, vulvar, and vaginal intraepithelial neoplasia grade I and condyloma in a per protocol susceptible population that included subjects who received all three vaccine doses, tested negative for the relevant vaccine HPV types at day 1 and remained negative through month 7, and had no major protocol violations. Intention to treat, generally HPV naive, and unrestricted susceptible populations were also studied. Results: In the per protocol susceptible population, vaccine efficacy against lesions related to the HPV types in the vaccine was 96% for cervical intraepithelial neoplasia grade I (95% confidence interval 91% to 98%), 100% for both vulvar and vaginal intraepithelial neoplasia grade I (95% CIs 74% to 100%, 64% to 100% respectively), and 99% for condyloma (96% to 100%). Vaccine efficacy against any lesion (regardless of HPV type) in the generally naive population was 30% (17% to 41%), 75% (22% to 94%), and 48% (10% to 71%) for cervical, vulvar, and vaginal intraepithelial neoplasia grade I, respectively, and 83% (74% to 89%) for condyloma. Conclusions: Quadrivalent HPV vaccine provided sustained protection against low grade lesions attributable to vaccine HPV types (6, 11, 16, and 18) and a substantial reduction in the burden of these diseases through 42 months of follow-up. Trial registrations: NCT00092521 and NCT00092534.

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Little data are available on the seroprevalence of, and risk factors for hepatitis B and C viruses (HBV and HCV) infection in Latin American countries. A multi-center serosurvey was conducted among 3,598 first-time blood donors (65% men) from Sao Paulo, Salvador and Manaus in Brazil. The gender-specific seroprevalences of antibodies against hepatitis B core antigen (anti-HBc) and of the hepatitis B surface antigen (HBsAg) in anti-HBc-positive sera were measured, and risk factors analyzed by gender. The gender-specific seroprevalences of antibodies against HCV (anti-HCV) were measured, but risk factors for HCV were not determined. Anti-HBc and HBsAg seroprevalences were not significantly different in men [101/2,341 (4.31%) and 4/2,229 (0.18%), respectively] and women [65/1,237 (5.25%) and 8/ 1,169 (0.68%), respectively], whereas the seroprevalence of anti-HCV was higher in women (12/1,238 [0.97%] vs. 9/2,353 [0.38%]; odds ratio [OR] = 2.49; 95% confidence interval [Cl]: 1.0-6.0). No significant difference for HBV infection was found across the three study sites or by ethnic group. The seroprevalence of anti-HBc increased with age, but decreased with education level in both genders. Lifetime number of sexual partners was associated with anti-HBc prevalence among men (OR = 1.95; 95% Cl: 1.2-3.1), but not women. The seroprevalence of HBV and HCV was low among Brazilian blood donors, and exposure increased with age in both genders.

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Sexually transmitted diseases (STDs) are among the largest public health problems, especially in developing countries. The acquisition of these infections during early sexual activity is common and many infections have a benign course. However, in some pathogens remain in the state of latency can be reactivated and cause productive infection that may progress to severe forms. In addition, some of them are transmitted vertically resulting in congenital infection, causing immediate damage or long-term child. The classic risk factors for sexually transmitted agents are: early onset of sexual and reproductive health, multiple sexual partners throughout life, use of oral contraceptives and co-infections with different pathogens. We present the results of a cross-sectional study aimed to estimate the prevalence of genital infection by human papillomavirus (HPV), Herpes simplex virus (HSV) and Chlamydia trachomatis (CT) in a segment of the female population of the metropolitan area Christmas, among those who enrolled voluntarily sought, Basic Health Units for the examination of cancer screening cervix in the period 2008 to 2010. All participants, a total of 261 women answered a standard questionnaire by which identified the socio-demographic characteristics, classical risk factors for STDs, reproductive and sexual activity and smoking. Of each patient were obtained two samples, one for the completion of the Pap test for detection of cellular changes and the other processed for DNA extraction and analyzed by PCR (polymerase chain reaction) to detect the three pathogens studied. The population of the study was composed of sexually active women aged between 13 and 79 years, mean 38.7 years, most of them being married, low education levels and low incomes. The majority (87%) had normal results on cytology and only 2.7% had low-grade cytological abnormalities. Prevalence rates were 37.9% for HPV, 4.6% for CT and 26% for HSV. HPV prevalence was higher in women under 25, unmarried and in those who had multiple sexual partners. Women with simultaneous infection by HSV-1 and 2 had higher prevalence of HPV infection. The prevalence of HSV infection showed no association whatsoever with the risk factors analyzed and HSV-1 was the predominant type among the cases of genital HSV infection. The overall prevalence of C. Trachomatis was relatively low, thus providing greater value in younger women aged less than or equal to 20 years

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Genital infection with Chlamydia trachomatis is now recognized as one of the most prevalent sexually transmitted infections (STDs). Despite major advances in laboratory diagnosis techniques, primarily the character of asymptomatic chlamydial infection in both men and in women constitutes the basis for the formation of reservoirs that perpetuate transmission and acquisition of this and other STDs. The asymptomatic in women favors the rise of infection to the upper genital tract, causing injuries that can result in infertility. An examination of population screening for early detection and treatment of asymptomatic infections is the key step in combating this major public health problem. The present study aimed to evaluate the prevalence of infection by C. trachomatis in sexually active women attended the screening program for cervical cancer of the uterus in health facilities in municipalities in different regions of the State of Rio Grande do Norte, and identify factors that may contribute to the spread of this pathogen and its relationship with the lesions of the uterine cervix. It is a cross-sectional study aimed at detecting the presence of genital tract infection by C. trachomatis either in isolated form or in association with human papilloma virus (HPV) infection in asymptomatic women. Were included in this study, a total sample of 1,134 women aged 13-76, mean 34.4 years, from March 2008 to September 2012. Specimens containing exfoliated cells of the epithelium of the uterine cervix were analyzed by examining Pap cytology for the detection of possible injuries, and the polymerase chain reaction (PCR) for detection of plasmid DNA from C. trachomatis and HPV. Infection with C. trachomatis was detected with overall prevalence rate of 8.1% in the isolated form and 2.8% in co-infection with HPV. The infection was detected in 7.4% of women with normal cytology 11.5% of those with atypical cells of undetermined significance (ASC-US) and 16.7% of those with low-grade squamous intraepithelial lesion (LSIL). We observed an association between C. trachomatis and incidence of low-grade squamous intraepithelial lesion (LSIL). The genital tract infection by C. trachomatis alone was associated with education level, ethnicity and parity, revealing that women with higher education, those of non-white ethnicity and those who had three or more pregnancies were more likely to acquire infection. Levels very close to statistical significance were observed for chronological age, age at first sexual intercourse and first pregnancy. There was no association with marital status, number of sexual partners. Co-infection with C. trachomatis and HPV was detected in 2.3% of women with normal cytology, who had 5.1% in ASC-US and 10.4% in those with LSIL. No association was found between infection C. trachomatis and increased risk of HPV infection, but women with simultaneous infection by both pathogens showed greater risk for LSIL. Co-infection was more prevalent among single women, who had in the first sexual intercourse under 18 years and those who had two or more sexual partners over a lifetime

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This work considers the comprehension of the intrafamiliar violence emphasizing violent mothers relationships with their children. The purpose is to understand the development of these relationships which turn into aggressive behavior of the mothers regarding family education. The research was carried out focusing on two aspects: analysis of the theoretical references and empirical research. The theoretical research was done through a bibliographic survey of subjects related to this study such as: the history of the family, motherhood and children, the intrafamiliar violence practiced by mothers against their children; as well as how those violent relationships emerge from family environment. We point out the Foucault s concept of discipline (FOUCAULT, 1975) and Caldeira s concept of circumscribed body (CALDEIRA, 2000). It was selected a sample of ten women to investigate the relationship between mother and son through a detailed interviews. Five mothers from this sample were denounced to the Tutelary Council and they were set in a so called Denounced Group. Similarly, the other five mothers, who live in the same social and cultural context of the selected families assisted by the Tutelary Council, were set in the Non-Denounced Group. Therefore, we work with representations of the own interviewers about the meaning of the pedagogic socializing discipline in their lives. Our priority was the study of case carried out with the denounced families for physical violence and with the other group in order to develop a comparative analysis of both groups. Such methodological choice is explained by the interest for understanding the violence between mothers and children. It is common to all mothers not to consider aggressive their behavior against their children. We observe that physical punishment is considered a way to discipline children and teenagers, hence that is perceived as necessary to repress, to control, and to adapt them. Thus, it is considered a necessary practice for education. However, the reason that made the community denounced against the mothers of the Denounced Group was due to those did not correspond to an ideal example of what was expected to be a mother (they took drugs, alcohol, and had several sexual partners), that is denounces were not for the physical violence itself. Therefore, those mothers were not denounced because they were not morally able to manage their children s education. The community tolerates the punishment against children, but not the amorality of the women, and they were denounced for disregarding their role as mothers

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Background. This cross-sectional study was designed to evaluate the role of cigarette smoking and high-risk HPV types as risk factors of CIN 2 and 3 in young, sexually active Brazilian women. Materials and method. A series of 100 consecutive women with abnormal Pap smears were recruited, subjected to colposcopy, punch biopsy, and questionnaire for their social, sexual and reproductive factors. Of these, 77 women between 20 and 35 years of age (median 26.5 years) with biopsy-confirmed CIN 1 or CIN 2 and 3, were enrolled in this study. Representative samples from the exocervix and endocervix were obtained for HPV testing with the Hybrid Capture HPV-DNA assay, including the probes for the oncogenic HPV types (16, 18, 31, 33, 35, 45, 51, 52 and 56). Results. The overall rate of CIN 2 and 3 was 23/77 (29.8%). The women with CIN 1, 2 and 3 did not differ from each other with regard to their age, race, schooling, marital status, life-time number of sexual partners, age at first intercourse, use of oral contraceptives, or parity. However, current cigarette smoking was strongly associated with CIN 2 and 3 (p < 0,001), and among smokers, the risk of high-grade CIN increased in parallel with the time of exposure (years of smoking) p = 0.07), HPV-DNA of the oncogenic types was detected in 43 (56%) women, the risk of being HPV DNA-positive was significantly higher in CIN 2 and 3 as compared with CIN 1 (p = 0.037). Importantly, the prevalence of high-risk HPV types was significantly higher in cigarette smokers than in non-smokers (p = 0.046). Conclusions. The results indicate that the severity of CIN lesions was clearly related to two fundamental risk factors: 1) high-risk HPV types, and 2) current cigarette smoking. These two risk factors were closely interrelated in that the high-risk HPV types were significantly more frequent in current smokers than in non-smokers, suggesting the possibility of a synergistic action between these two risk factors in cervical carcinogenesis.

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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)

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Pós-graduação em Ginecologia, Obstetrícia e Mastologia - FMB

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Com a finalidade de contribuir para um melhor conhecimento do eventual papel do Papilomavirus humano (HPV) na etiopatogênese do câncer cervical na região norte do Brasil, estudou-se a prevalência do vírus em 228 mulheres portadoras de lesões de cérvix uterina, atendidas no Instituto Ofir Loiola (IOL), em Belém, Pará, no período de março de 1992 a maio de 1996. As pacientes foram submetidas à biópsia de colo uterino, sendo o material coletado encaminhado para histopatologia e pesquisa de HPV por diferentes técnicas laboratoriais. Para fins de análise, as participantes foram distribuídas em 3 grupos, de acordo com o diagnóstico histopatológico. O grupo A foi constituído de 155 mulheres com carcinoma epidermóide invasor ou adenocarcinoma, o grupo B de 54 portadoras de neoplasia intraepitelial cervical grau II ou III (NIC II e NIC 111) e o C, de 19 pacientes com cervicite crônica. Pelas técnicas de PCR e hibridização por dot-blot, registraram-se prevalência de HPV em 70,3%, 63,0% e 36,8% das mulheres reunidas nos grupamentos A, B e C, respectivamente. O tipo de HPV predominante foi o 16, que representou 60,4% das amostras positivas do grupo A e 54,5% daquelas do grupo B. Os HPV tipo 16, 18 e 33 representaram 71,4% dos detectados no grupo C. Em 155 das 228 amostras testadas por PCR, realizou-se também a técnica de hibridização in situ (HIS) com sondas para detectar HPV 6/11, 16/18 e 31/33/35. A prevalência de HPV registrada por essa técnica foi de 17,4%, enquanto que por PCR observou-se, nas mesmas amostras, percentual Positivo de 65,2%. No que diz respeito a outros fatores, também tidos como implicados no desenvolvimento de carcinomas e lesões precursoras em cérvix uterina, verificou-se que cerca de 40% das mulheres dos grupos A e B admitiram iniciação sexual precoce (com 15 anos ou menos). Entretanto, a grande maioria referiu de 1 a 3 parceiros, não caracterizando comportamento sexual promíscuo. Os dados aqui apresentados, a exemplo do que se registrou em outros estudos conduzidos em diversas áreas geográficas, sustentam a hipótese de que o HPV desempenha um importante papel na etiologia dos carcinomas de colo uterino e neoplasias intraepiteliais cervicais. Contudo, investigações adicionais e mais amplas devem ser realizadas, com vistas a uma melhor compreensão das características epidemiológicas da infecção por HPV na Região Amazônica.