996 resultados para Perspective -- Ouvrages avant 1800
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The aim of the study is to investigate the use of finlandisms in an historical perspective, how they have been viewed from the mid-19th century to this day, and the effect of language planning on their use. A finlandism is a word, a phrase, or a structure that is used only in the Swedish varieties used in Finland (i.e. in Finland Swedish), or used in these varieties in a different meaning than in the Swedish used in Sweden. Various aspects of Finland-Swedish language planning are discussed in relation to language planning generally; in addition, the relation of Finland Swedish to Standard Swedish and standard regional varieties is discussed, and various types of finlandisms are analysed in detail. A comprehensive picture is provided of the emergence and evolution of the ideology of language planning from the mid-19th century up until today. A theoretical model of corpus planning is presented and its effect on linguistic praxis described. One result of the study is that the belief among Finland-Swedish language planners that the Swedish language in Finland must not be allowed to become distanced from Standard Swedish, has been widely adopted by the average Finland Swede, particularly during the interwar period, following the publication of Hugo Bergroth s work Finlandssvenska in 1917. Criticism of this language-planning ideology started to appear in the 1950s, and intensified in the 1970s. However, language planning and the basis for this conception of language continue to enjoy strong support among Swedish-speaking Finns. I show that the editing of Finnish literary texts written in Swedish has often been somewhat amateurish and the results not always linguistically appropriate, and that Swedish publishers have in fact adopted a rather liberal attitude towards finlandisms. My conclusion is that language planning has achieved rather modest results in its resistance to finlandisms. Most of the finlandisms used in 1915 were still in use in 2005. Finlandisms occur among speakers of all ages, and even among academically educated people despite their more elevated style. The most common finlandisms were used by informants of all ages. The ones that are firmly rooted are the most established, in other words those that are stylistically neutral, seemingly genuinely Swedish, but which are nevertheless strongly supported by Finnish, and display a shift in meaning as compared with Standard Swedish.
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Information systems professionals must pay attention to online customer retention. Drawing on the relationship marketing literature, we formulated and tested a model to explain B2C user repurchase intention from the perspective of relationship quality. The model was empirically tested through a survey conducted in Northern Ireland. Results showed that online relationship quality and perceived website usability positively impacted customer repurchase intention. Moreover, online relationship quality was positively influenced by perceived vendor expertise in order fulfillment, perceived vendor reputation, and perceived website usability, whereas distrust in vendor behavior negatively influenced online relationship quality. Implications of these findings are discussed. © 2011 Elsevier B.V. All rights reserved.
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La dialectique entre radiodiffusion et histoire des relations culturelles internationales est un domaine largement inexploré. L'objectif de cette thèse est d'analyser le rôle de la Société suisse de radiodiffusion (SSR), société privée qui exerce jusqu'en 1983 le monopole sur l'ensemble des stations de radio suisses, dans l'intensification des relations culturelles internationales de la Confédération. Pour examiner cette dimension des activités de la SSR, je me suis prioritairement penchée sur l'étude de la radio internationale helvétique, dénommée alors « Service suisse d'ondes courtes » (SOC). A l'instar de plusieurs organismes similaires à l'étranger, le SOC remplit dès ses débuts une double mission : resserrer les liens avec la diaspora et faire rayonner le pays hors des frontières nationales. Cette recherche met sur le devant de la scène un acteur médiatique aujourd'hui totalement oublié, le Service suisse d'ondes courtes. Par rapport à l'historiographie des radios internationales, elle mêle approche institutionnelle et, dans la mesure des sources disponibles, l'analyse de la programmation. Elle complète aussi l'histoire de la diplomatie culturelle suisse en rappelant la place du service public audiovisuel parmi les institutions chargées de promouvoir le pays à l'étranger. Pour finir, cette étude constitue également un apport à l'histoire des organisations internationales liées à la radiodiffusion (UIR, UIT). L'analyse du volet international des activités de la SSR a permis de dépasser la seule notion de « puissance » qui a été jusqu'à ces dernières années au coeur des ouvrages dévolus aux radios internationales. L'objectif poursuivi par la SSR ne réside pas tellement dans la diplomatie d'influence (l'exercice d'un « soft power »), qui tend à imposer ses valeurs et un mode de vie, mais plutôt dans la volonté de faire comprendre et reconnaître la culture politique de la Suisse dans le but de renforcer et pérenniser la place de celle-ci dans le concert des nations. Dans cette perspective, la culture devient un moyen utilisé pour transmettre à l'étranger une représentation valorisante du pays, une image de marque (une forme de « Nation Branding » avant l'heure) également utile au secteur touristique et à l'industrie d'exportation. Le Service suisse d'ondes courtes fait ainsi avant tout des relations publiques, un avant-goût de ce que les Américains appelleront dans les années 1960 la « public diplomacy »
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Ancien possesseur : Sirot, Georges (1898-1977)
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La plupart des philosophes s’entendent aujourd’hui pour affirmer qu’il y a une crise de sens en Occident. J.-F. Mattéi l’a démontré sans équivoque dans son ouvrage intitulé La crise de sens (2006). Selon lui, la crise se traduirait par cinq aspects: crise spirituelle, crise religieuse, crise de l’art, crise économique et finalement, crise de la culture. À notre avis, cela est exact, mais incomplet, car Mattéi néglige d’évoquer la crise la plus importante : la crise écologique. L’argument qui nous amène à en postuler la plus haute importance est simple : s’il n’y a plus d’environnement favorable au maintien de la vie humaine, c’est la fin de l’humanité. L’aspect environnemental de la crise ne peut donc pas être occulté de la réflexion concernant son ensemble, car pour nous, elle est l’occasion d’un questionnement philosophique appelé à répondre à cette crise. Dans un livre intitulé Écologie, éthique et création (1994), Dominique Jacquemin nous oriente en ce sens en y posant les trois questions suivantes : 1. Est-il possible de qualifier éthiquement ce à quoi nous convie aujourd’hui la préoccupation écologique? 2. Quel rapport au monde et à l’avenir la préoccupation écologique est-elle à même d’instaurer? 3. Quelles sont les possibilités pour que la démarche écologique devienne un lieu éthique à même d’instaurer un rapport homme-nature dans le présent et l’avenir? Ainsi, le questionnement que soulève la crise écologique amène à réfléchir sur le sens et la finalité de la vie humaine et sur la conception même de l’être humain dans son rapport au monde. Le propos de ce mémoire est de répondre à ces dernières questions en nous inspirant des principes éthiques mis en avant dans Le Principe Responsabilité (1990) de Hans Jonas, et cela, dans le but d’en faire ressortir sa pertinence face au défi environnemental actuel. En d’autres termes, nous tâcherons de répondre à la question suivante : Pour la société actuelle et son prolongement, quels sont les aspects les plus pertinents de la thèse de Hans Jonas (1903 – 1993) dans son Principe Responsabilité (1990) concernant la résolution de la crise de sens? À cette fin, le mémoire comporte deux chapitres dont le premier, qui forme le cœur du mémoire, comporte trois parties principales liées aux trois questions posées précédemment. Le deuxième et dernier chapitre comporte premièrement une analyse critique du Principe responsabilité et par la suite son appréciation critique. Méthodologiquement, nous entendons éclairer la nécessité de la responsabilité éthique face à la crise écologique en mettant l’accent sur les thèmes de l’altérité et de la solidarité. C’est de cette manière que nous espérons montrer que la crise écologique actuelle ouvre des avenues possibles à la résolution, au moins partielle, de la crise de sens à laquelle nous sommes actuellement confrontés.