146 resultados para OTITIS
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We evaluated the dynamics of ear infestations caused by Rhabditis spp. and Raillietia spp., which were correlated with animal age, intensity of clinical signs and climate factors. Sixty-four Gir cattle were distributed into three groups: GA - 23 calves with 4 to 6 months of age; GB - 18 calves with 7 to 12 months of age; and GC - 23 heifers with 13 to 33 months of age. Five samplings, defined as S1, S2, S3, S4 and S5 were performed every three months from August 2008 to August 2009. The ear secretion was collected using the auricular washing method for the right ear and a swab for the left ear. A clinical assessment of the animals was performed, and they were classified according to the presence and severity of otitis. The highest relative frequency of rhabditosis was 52.2% in GC at the last sampling. In the first sampling, 42.2% of the animals were infested by Raillietia spp. The older cattle were more susceptible to infestations by both parasites. No correlation of Rhabditis spp. and Raillietia spp. parasitism with climate factors was found. The results showed that both parasites could infest Gir cattle, and in most cases, there was no co-infestation. Only older animals parasitized by the nematode showed clinical signs of the disease.
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Introduction: Les instillations nasales de solution saline isotonique (INSS) chez les enfants sont recommandées par les pédiatres et des oto-rhino-laryngologistes de notre institution dans le but de prévenir les otites moyennes aigues à répétition (OMAr). Cependant, aucune étude dans la littérature ne vient corroborer ou infirmer cette pratique. Objectifs: Déterminer l’efficacité des INSS dans la prévention des OMAr. Méthode: Projet pilote d’un essai clinique randomisé. Les enfants diagnostiqués avec des OMAr étaient éligibles. Les patients recrutés ont été randomisés en 2 groupes. Seul le groupe traitement procède aux INSS. L’issue primaire est l’incidence d’OMAr pendant une période de 3 mois. Résultats: Vingt-neuf patients satisfaisant les critères d’inclusion et d’exclusion ont consenti à participer. Le taux d’OMAr était inférieur dans le groupe traitement (p=0.03, chi-carré) Conclusion: Les INSS semblent efficaces dans la prévention des OMAr. Une étude multicentrique est indiquée pour vérifier la validité externe et confirmer la sécurité.
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Présentement, le diagnostic d’otite moyenne-interne chez le veau est basé sur la présence de signes cliniques appropriés ainsi que les tests diagnostiques tels que la radiographie et la tomodensitométrie. L’objectif de cette étude prospective était d’évaluer les valeurs prédictives de l’examen neurologique, l’examen otoscopique et le test des potentiels auditifs évoqués (PAE) dans le diagnostic d’otite moyenne-interne chez le veau, en utilisant la tomodensitométrie comme test standard. Le deuxième objectif était de définir les valeurs de référence pour le PAE chez le veau normal et d’en décrire les anomalies chez des veaux atteints d’otite moyenne-interne. Dix-sept veaux de race Holstein entre 5-7 semaines d’âge ont été inclus. Tous les veaux ont eu un examen neurologique, un examen otoscopique et une évaluation des PAEs. Les veaux ont été tranquillisés avec de la xylazine intraveineuse (0,05-0,15mg/kg) pour la tomodensitométrie des bulles tympaniques afin d’évaluer pour la présence d’otite moyenne-interne. Selon les résultats de la tomodensitométrie, 11 des 17 veaux étaient atteints avec otite moyenne, 4 de façon unilatérale et 7 bilatéralement. Cinq ondes ont été identifiées de façon constante sur les tracés des PAEs des 6 veaux normaux. Les valeurs positives prédictives pour le PAE, l’examen neurologique et l’examen otoscopique étaient 94,7%, 91,7% et 66,7% respectivement. D’un point de vue clinique, le test le plus fiable dans le diagnostic d’otite moyenne-interne chez le veau est le PAE. Les anomalies ont été observées au PAE avant le développement des signes neurologiques chez certains veaux.
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En Amérique du Nord, Mycoplasma bovis est le plus pathogène des mycoplasmes retrouvés chez les bovins. Les principales maladies qu’on lui associe (maladies respiratoires, mammites, arthrites septiques et otites moyennes et/ou internes) constituent un défi à l’industrie laitière à cause de la difficulté à les traiter et à les prévenir par une vaccination. L’objectif principal de ce projet était d’étudier l’excrétion nasale et la réponse sérologique à M. bovis chez les génisses de remplacement, entre la naissance et 7 mois d’âge, dans 4 troupeaux laitiers au Québec. Quatre-vingt-trois paires mère/génisse provenant de 4 cohortes de bovins laitiers étaient prélevées mensuellement (génisses : 0 à 7 mois ; mères : 0, 1 et 5 mois après vêlage). Écouvillons nasaux et échantillons de lait étaient analysés par culture bactériologique et par immunofluorescence indirecte. Les anticorps circulants étaient détectés par le test ELISA. À la naissance, la prévalence sérologique des génisses était supérieure à celle des mères (P = 0,01). La transmission de M. bovis aux génisses par le lait et par l’excrétion nasale des mères était faible. L’âge moyen (jour) d’une génisse à sa 1ère excrétion nasale et sa 1ère séroconversion à M. bovis était loin de la période néonatale: 77,5 ± 11,2 (n = 22) et 96,8 ± 7,4 (n = 36) respectivement. Conclusion, les vaches adultes n’ont constitué qu’une voie mineure de transmission de M. bovis aux génisses, la principale voie de transmission était fort probablement le contact direct ou indirect avec d’autres génisses excrétrices nasales de M. bovis.
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L'otite moyenne est une condition fréquente chez le veau et peut parfois être subclinique, rendant difficile son diagnostic à la ferme. L'objectif de cette étude est d’estimer la sensibilité et la spécificité de l'échographie des bulles tympaniques pour le diagnostic d'otite moyenne clinique et subclinique et de déterminer sa répétabilité. Quarante veaux âgés entre 19 et 50 jours ont été sélectionnés dans une ferme de veaux de grain, en fonction des résultats de l'échographie réalisée à la ferme (A). L'échographie a été réalisée une seconde fois par le même échographiste (A') et par un second échographiste (B), et le diagnostic noté pour chaque bulle tympanique comme étant négatif, suspect ou positif. Les images ont été enregistrées pour relecture et le diagnostic noté. Les veaux ont été euthanasiés, soumis en nécropsie et l'histologie a été utilisée comme méthode de référence. À l'histologie, 45 bulles tympaniques étaient atteintes d'otite moyenne et 35 bulles tympaniques étaient saines. Selon l'échographiste et la classification des bulles tympaniques suspectes, la sensibilité de l'échographie variait de 32% à 63% et la spécificité variait de 84% à 100%. La répétabilité était modérée, avec des valeurs de kappa de 0,53 entre A' et B, de 0,48 entre A et A', et de 0,58 et 0,75 pour la relecture de leurs images par A' et B respectivement.
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Las infecciones respiratorias altas y bajas son una causa común de morbimortalidad infantil. Se ha propuesto el uso de los lisados bacterianos para prevenir las infecciones recurrentes sin embargo su uso aún se considera controversial. Metodología: Se realizó una revisión sistemática de la literatura. La búsqueda se realizó a través de las bases de datos PUBMED, Embase, Ovid, LiLaCS y Cochrane library plus. Se incluyeron metanálisis publicados en idiomas inglés y español, entre los años 1998 y 2012. Se realizó una evaluación de calidad siguiendo la estrategia Quorum y un análisis cualitativo y cuantitativo de los resultados. Resultados: Se incluyeron 4 revisiones sistemáticas de la literatura con metanálisis. Fue apreciable la disminución de las recurrencias de las infecciones respiratorias relacionadas con el uso de los lisados bacterianos. Los lisados bacterianos disminuyen la necesidad de uso de antibióticos. No se encontró evidencia sobre el uso de los lisados sobre desenlaces como la necesidad de intervenciones adicionales, tiempo de hospitalización, costo relacionado con la atención en salud. No se reportaron eventos adversos de importancia. Conclusión: Los lisados bacterianos son eficaces en disminuir la recurrencia de las infecciones respiratorias en pacientes en edad pediátrica.
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Introducción: Las vacunas clásicamente han representado un método económico y eficaz para el control y prevención de múltiples enfermedades infecciosas. En los últimos años se han introducido nuevas vacunas contra neumococo a precios elevados, y los diferentes análisis económicos a nivel mundial de estas vacunas no muestran tendencias. El objetivo de este trabajo era resumir la evidencia existente a través de los diferentes estudios económicos evaluando las dos vacunas de segunda generación contra neumococo en la población a riesgo. Metodología: En este trabajo se realizo una revisión sistemática de la literatura en 8 bases de datos localizadas en diferentes partes del mundo y también que tuvieran literatura gris. Los artículos fueron inicialmente evaluados acorde a su titulo y resumen, posteriormente los elegidos se analizaron en su totalidad. Resultados: Se encontraron 404 artículos, de los cuales 20 fueron incluidos en el análisis final. Se encontró que la mayoría de los estudios se realizaron en áreas donde la enfermedad tiene una carga baja, como es Norte América y Europa, mientras que en los lugares del mundo donde la carga es mas alta, se realizaron pocos estudios. De igual manera se observo que la mayoría de los estudios mostraron por los menos ser costo efectivos respecto a la no vacunación, y en su totalidad las dos vacunas de segunda generación mostraron costo efectividad respecto a la vacunación con PCV-7. Los resultados de los estudios son muy heterogéneos, hasta dentro del mismo país, señalando la necesidad de guías para la conducción de este tipo de estudios. De igual manera, la mayoría de los estudios fueron financiados por farmacéuticas, mientras en un numero muy reducido por entes gubernamentales. Conclusiones: La mayoría de los estudios económicos sobre las vacunas de segunda generación contra neumococo han sido realizados en países con un alto índice de desarrollo económico y patrocinados por farmacéuticas. Dado que la mayoría de la carga de la enfermedad se encuentran en regiones con un menor nivel de desarrollo económico se deberían realizar mas en estas zonas. De igual manera, al ser la vacunación un asunto de salud publica y con un importante impacto económico los gobiernos deberían estar mas involucrados en los mismos.
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A Otite externa é uma doença de grande importância na clínica de pequenos animais, não só pelo facto da alta percentagem de casos mas também pelo insucesso do tratamento ou má abordagem diagnóstica e/ou terapêutica. Os objectivos deste estudo foram explorar aspectos intrínsecos à otite externa e a forma como estes interferem no desenvolvimento da mesma; revelar a importância de um bom exame otológico, bem como a realização de citologias auriculares associadas ao mesmo; estudar e compreender otalgia canina. Este estudo foi realizado no período de 25 de Maio a 29 de Fevereiro de 2011 em duas instituições Médico veterinárias, nas quais foram observados e analisados estatisticamente 30 cães, com otite externa uni ou bilateral. Todo a amostragem deste estudo foi sujeita ao exame otológico, que compreende uma história pregressa, exame ortoscópico, citológico e exame de presença de dor auricular. As raças puras, bem como animais com orelhas pendentes foram mais afectados pela otite externa. Os casos agudos de otite foram mais observados que em relação à situação contrária. A presença de lesões na abertura do canal auricular foi associada à presença de otite externa, bem como a presença de pêlos no interior do mesmo. Otites infecciosas detiveram a maioria dos casos, assim como a presença de Malassezia spp. O conteúdo purulento foi sempre associado à presença de agentes infecciosos. O teste “pressão no tragus” foi invariavelmente mais associado a otalgia canina nos vários parâmetros efectuados.
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Strains from anal swabs and chronic otitis externa in dogs were shown to be phylogenetically related to the Enterococcus faecium species group. They shared a number of phenotypic characteristics with these species, but they could be easily differentiated by biochemical reactions. In addition, the canine strains were unusual in their nearly complete failure to grow on sodium azide-containing enterococci-selective media and in their Voges-Proskauer reactions (usually negative). By using 16S rRNA sequencing and DNA-DNA hybridization of representative strains, as well as tDNA interspacer gene PCR and SDS-PAGE of whole-cell proteins, the group of canine strains was shown to constitute a novel enterococcal species. The name Enterococcus canis sp. nov. is proposed for this species, with LMG 12316(T) (= CCUG 46666(T)) as the type strain. Concurrently, the taxonomic situation and nomenclatural position of Enterococcus porcinus were investigated. As no phenotypic or genotypic differences were found between this species and Enterococcus villorum, the name E. porcinus is considered to be a junior synonym of E. villorum.
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Phenotypic and molecular genetic studies were performed on an unknown facultative anaerobic, catalase-negative, non-spore-forming, rod-shaped bacterium isolated from a pig manure storage pit. The unknown bacterium was nutritionally fastidious with growth enhanced by the addition of rumen fluid and was phenotypically initially identified as an Eubacterium species. Comparative 16S rRNA gene sequencing studies, however, revealed that the unknown bacterium was phylogenetically distant from Eubacterium limosum (the type species of the genus Eubacterium) and related organisms. Phylogenetically, the unknown species displayed a close association with an uncultured organism from human subgingival plaque and formed an unknown sub-line within a cluster of organisms which includes Alloioccoccus otitis, Alkalibacterium olivoapovliticus, Allofustis seminis, Dolosigranulum pigrum, and related organisms, within the low mol% G + C Gram-positive bacteria. Sequence divergence values of > 8% with all known taxonomically recognised taxa, however, clearly indicates the novel bacterium represents a hitherto unknown genus. Based on both phenotypic and phylogenetic considerations, it is proposed that the unknown bacterium from pig manure be classified in a new genus and species, as Atopostipes suicloacale gen. nov., sp. nov. The type strain of Atopostipes suicloacale is PPC79(T) = NRRL 23919(T) = DSM 15692(T). Crown Copyright (C) 2004 Published by Elsevier Ltd. All rights reserved.
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An unknown Gram-positive, catalase-negative, facultatively anaerobic, non-spore-forming, rod-shaped bacterium originating from semen of a pig was characterized using phenotypic, molecular chemical and molecular phylogenetic methods. Chemical studies revealed the presence of a directly cross-linked cell wall murein based on L-lysine and a DNA G + C content of 39 mol%. Comparative 16S rRNA gene sequencing showed that the unidentified rod-shaped organism formed a hitherto unknown subline related, albeit loosely, to Alkalibacterium olivapovliticus, Alloiococcus otitis, Dolosigranulum pigrum and related organisms, in the low-G + C-content Gram-positive bacteria. However, sequence divergence values of > 11 % from these recognized taxa. clearly indicated that the novel bacterium represents a separate genus. Based on phenotypic and phylogenetic considerations, it is proposed that the unknown bacterium from pig semen be classified as a new genus and species, Allofustis seminis gen. nov., sp. nov. The type strain is strain 01-570-1(T) (=CCUG 45438(T)=CIP 107425(T)).
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Purpose: The purpose of this study was to evaluate, in vitro, the contamination of toothbrushes and pacifiers by Streptococcus mutans, and the efficacy of microwave and chlorhexidine for their disinfection. Methods: Sixty pacifiers and 60 toothbrushes were contaminated with S mutans and then divided into groups according to the disinfection protocol: Group 1-chlorhexidine solution; Group 2-microwave sterilization; and Group 3-sterile tap water. The devices were evaluated microbiologically as to the formation of S mutans colonies/biofilms and were examined by scanning electron microscopy. The results were submitted for statistical analysis by Friedman`s test at a 5% significance level. Results: The results of both types of evaluation showed a large number of S mutans colonies/biofilms after spraying with sterile tap water, and chlorhexidine spraying and microwaving were effective in eliminate colonies/biofilms. Groups 1 and 2 were statistically similar to each other (P>.05) and differed significantly from Group 3 (P<.05). Conclusions: The 0.12% chlorhexidine solution spray and 7 minutes of microwave irradiation were effective for disinfection of pacifiers and toothbrushes. (Pediatr Dent 2011;33:10-3) Received July 29, 2009 I Last Revision January 26, 2010 I Accepted March 10, 2010
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The yeasts of the Malassezia genus are opportunistic microorganisms and can cause human and animal infections. They are commonly isolated from the skin and auricular canal of mammalians, mainly dogs and cats. The present study was aimed to isolate Malassezia spp. from the acoustic meatus of bats (Molossus molossus) in the Montenegro region, `` Rondonia ``, Brazil. From a total of 30 bats studied Malassezia spp. were isolated in 24 (80%) animals, the breakdown by species being as follows (one Malassezia sp. per bat, N=24): 15 (62.5%) M. pachydermatis, 5 (20.8%) M. furfur, 3 (12.5%) M. globosa and 1 (4.2%) M. sympodialis. This study establishes a new host and anatomic place for Malassezia spp., as it presents the first report ever of the isolation of this genus of yeasts in the acoustic meatus of bats.
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Introdução: A etiologia da otite média com efusão ainda não está completamente estabelecida, mas agentes infecciosos podem contribuir para sua patogênese. Demonstrou-se que a reação em cadeia da polimerase (PCR) é superior ao exame cultural para detectar espécies bacterianas. O conhecimento sobre a epidemiologia bacteriana da otite média com efusão em áreas geográficas distintas é essencial para a implementação de tratamentos racionais, quando necessários. Objetivos: Determinar a prevalência do Streptococcus pneumoniae, Haemophilus influenzae, Moraxella catarrhalis e Alloiococcus otitidis nas efusões de orelha média de crianças com otite média recorrente e otite média com efusão crônica que foram submetidas à miringotomia, comparar os resultados obtidos por cultura e PCR, comparar os achados bacteriológicos em crianças menores e maiores de dois anos e determinar o perfil de resistência à penicilina dos germes isolados. Métodos: Analisaram-se 128 amostras de efusões de orelha média de 75 crianças entre 11 meses e 9 anos e 4 meses de idade (média = 34,7 meses). Pacientes com otite média recorrente tinham efusão documentada por ≥ 6 semanas e aqueles com otite média com efusão crônica, por ≥3 meses. Os pacientes não tinham sinais de otite média aguda ou infecção do trato respiratório e não estavam sob antibioticoterapia no momento do procedimento. A aspiração do material foi realizada por timpanocentese, utilizando-se um coletor de Alden-Senturia. Os estudos bacteriológicos foram iniciados em menos de 15 minutos após a obtenção da efusão e uma parte da amostra foi armazenada a -20oC para análise posterior pela PCR. Utilizou-se um método de PCR simultânea para a detecção de quatro patógenos. A análise estatística foi efetivada com o teste χ2 de McNemar, teste χ2 com correção de Yates e teste exato de Fisher, quando apropriados. Resultados: Cultivaram-se bactérias em 32 (25,1%) das 128 amostras e os patógenos principais foram encontrados em 25 (19,6%). O A. otitidis não foi isolado em cultura. A PCR identificou bactérias em 110 (85,9%) das amostras, e os resultados positivos foram: 67 (52,3%) para A. otitidis, 50 (39,1%) para H. influenzae, 16 (12,5%) para S. pneumoniae e 13 (10,2%) para M. catarrhalis. Todas as amostras positivas por cultura foram positivas pela PCR, mas 85 (77,2%) das efusões com resultado positivo pela PCR foram negativas por cultura, para os germes estudados. A PCR foi significativamente mais sensível que a cultura (P<0,001). O S. pneumoniae foi encontrado mais freqüentemente em otite média recorrente do que em otite média com efusão crônica (P=0,038) e o H. influenzae foi encontrado mais vezes em crianças menores de dois anos (P=0,049). Quanto ao perfil de resistência, 100% das M. catarrhalis, 62,5% dos S. pneumoniae e 23% dos H. influenzae eram resistentes à penicilina. Conclusões: A prevalência das bactérias na otite média com efusão em um grupo de crianças brasileiras é semelhante àquelas relatadas em outros países, sendo o H. influenzae o mais encontrado dentre os patógenos principais da orelha média. Essa prevalência sugere que bactérias podem desempenhar um papel na patogênese da otite média com efusão. Os resultados mostram que a PCR é mais sensível na detecção de bactérias na efusão da orelha média, comparada com cultura, e é essencial para a identificação do A. otitidis. O elevado percentual de detecção do A. otitidis sugere mais investigações sobre sua atuação no início e no prolongamento de doenças da orelha média. O S. pneumoniae foi mais freqüente em otite média recorrente do que em otite média com efusão crônica e o H. influenzae foi mais encontrado em crianças menores de dois anos. A resistência à penicilina por parte do pneumococo e da moraxela é semelhante à relatada em outros países, ao passo que a produção de β-lactamase pelo hemófilo é mais baixa que aquela referida em bactérias isoladas em amostras de efusões de otite média com efusão.
Resumo:
Este estudo apresenta os resultados de tratamento em 83 pacientes com Idade entre 2–10 anos, que apresentaram otite média secretora com efusão, bilateral ou unilateral, acompanhada ou não de hipertrofia de adenóides e cornetos, no Hospital Universitário São Francisco de Paula da Universidade Católica de Pelotas – UCPel, no período de julho de 1997 a julho de 1999. Os pacientes foram submetidos a timpanocentese com uso do Microcautério por Rádio-freqüência (modelo Lavinsky – HCPA), uni ou bilateralmente. Na avaliação periódica de 15 dias, um mês e três meses, observamos dois pontos principais: a) a cura dos pacientes (que apresentaram membrana e caixa timpânica normais); b) a relação com a literatura em trabalhos semelhantes com uso do Laser CO2. Relatamos também a incidência em percentuais, com identificação das alterações de imagem da membrana timpânica nestes três períodos cronológicos, e na distribuição conforme cor, sexo e idade, uni/bilateralidade e simultaneidade na presença das duas afecções relatadas. Na avaliação final, percebemos 80,5% de cura da patologia. Na comparação com a literatura existente sobre o uso de Laser CO2, os nossos resultados mostraram-se homogêneos. O tempo de oclusão da membrana timpânica foi de 2,73 meses (desvio – padrão = 1,39 meses), normalizando a secreção da caixa timpânica.