967 resultados para International portfolio diversification
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This paper examines the role of higher-order moments in portfolio choice within an expected-utility framework. We consider two-, three-, four- and five-parameter density functions for portfolio returns and derive exact conditions under which investors would all be optimally plungers rather than diversifiers. Through comparative statics we show the importance of higher-order risk preference properties, such as riskiness, prudence and temperance, in determining plunging behaviour. Empirical estimates for the S&P500 provide evidence for the optimality of diversification.
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As it is well known, competitive electricity markets require new computing tools for power companies that operate in retail markets in order to enhance the management of its energy resources. During the last years there has been an increase of the renewable penetration into the micro-generation which begins to co-exist with the other existing power generation, giving rise to a new type of consumers. This paper develops a methodology to be applied to the management of the all the aggregators. The aggregator establishes bilateral contracts with its clients where the energy purchased and selling conditions are negotiated not only in terms of prices but also for other conditions that allow more flexibility in the way generation and consumption is addressed. The aggregator agent needs a tool to support the decision making in order to compose and select its customers' portfolio in an optimal way, for a given level of profitability and risk.
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A Work Project, presented as part of the requirements for the Award of a Masters Degree in Finance from the NOVA – School of Business and Economics and Maastricht University School of Business and Economics
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This thesis provides a complete analysis of the Standard Capital Requirements given by Solvency II for a real insurance portfolio. We analyze the investment portfolio of BPI Vida e Pensões, an insurance company affiliated with a Portuguese bank BPI, both at security, sub-portfolio and asset class levels. By using the Standard Formula from EIOPA, Total SCR amounts to 239M€. This value is mostly explained by Market and Default Risk whereas the former is driven by Spread and Concentration Risks. Following the methodology of Leblanc (2011), we examine the Marginal Contribution of an asset to the SCR which allows for the evaluation of the risks of each security given its characteristics and interactions in the portfolio. The top contributors to the SCR are Corporate Bonds and Term Deposits. By exploring further the composition of the portfolio, our results show that slight changes in allocation of Term and Cash Deposits have severe impacts on the total Concentration and Default Risks, respectively. Also, diversification effects are very relevant by representing savings of 122M€. Finally, Solvency II represents an opportunity for the portfolio optimization. By constructing efficient frontiers, we find that as the target expected return increases, a shift from Term Deposits/ Commercial Papers to Eurozone/Peripheral and finally Equities occurs.
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Since the financial crisis, risk based portfolio allocations have gained a great deal in popularity. This increase in popularity is primarily due to the fact that they make no assumptions as to the expected return of the assets in the portfolio. These portfolios implicitly put risk management at the heart of asset allocation and thus their recent appeal. This paper will serve as a comparison of four well-known risk based portfolio allocation methods; minimum variance, maximum diversification, inverse volatility and equally weighted risk contribution. Empirical backtests will be performed throughout rising interest rate periods from 1953 to 2015. Additionally, I will compare these portfolios to more simple allocation methods, such as equally weighted and a 60/40 asset-allocation mix. This paper will help to answer the question if these portfolios can survive in a rising interest rate environment.
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Dans ma thèse doctorale, j'étudie trois facteurs importants qui caractérisent le commerce international : les différences technologiques entre les pays, les barrières à l'entrée sous la forme de coûts fixes et la migration internationale. Le premier chapitre analyse si les différences technologiques entre les pays peuvent expliquer la spécialisation dans le commerce international entre les pays. Pour mesurer le niveau de la spécialisation, je calcule les index de concentration pour la valeur des importations et des exportations et décompose la concentration totale dans la marge de produits extensive (nombre de produits commercialisés) et la marge de produits intensive (volume de produits commercialisés). En utilisant des données commerciales détaillées au niveau du produit dans 160 pays, mes résultats montrent que les exportations sont plus concentrées que les importations, que la spécialisation se produit principalement au niveau de la marge intensive du produit, et que les économies plus grandes disposent d'importations et d'exportations plus diversifiées, car elles commercialisent plus de produits. Compte tenu de ces faits, j'évalue la capacité du modèle Eaton-Kortum, le principal modèle de la théorie ricardienne du commerce, pour représenter les preuves empiriques. Les résultats montrent que la spécialisation à travers l'avantage comparatif induit par les différences de technologie peut expliquer les faits qualitatifs et quantitatifs. De plus, j'évalue le rôle des déterminants clés de la spécialisation : le degré de l'avantage comparatif, l'élasticité de la substitution et la géographie. Une implication de ces résultats est qu'il est important d’évaluer jusqu'à quel point la volatilité de production mesurée par la volatilité du PIB est motivée par la spécialisation des exportations et des importations. Étant donné le compromis entre l'ouverture du commerce et la volatilité de production, les bénéfices tirés du commerce peuvent s'avérer plus faibles que ceux estimés précédemment. Par conséquent, les politiques commerciales alternatives telles que l'ouverture graduelle au commerce combinée à la diversification de la production pour réduire la concentration de l'exportation peuvent se révéler être une meilleure stratégie que l'approche du laissez-faire. En utilisant la relation entre la taille du marché et l’entrée de firmes et produits, le deuxième chapitre évalue si les barrières à l'entrée sous la forme de coûts fixes à exporter sont au niveau de la firme ou au niveau du produit. Si les coûts fixes se trouvent au niveau de la firme, la firme multiproduits a un avantage de coût de production par rapport aux autres firmes parce qu’elles peuvent diviser les coûts fixes sur plusieurs produits. Dans ce cas, le commerce international sera caractérisé par peu de firmes qui exportent beaucoup des produits. Si les coûts fixes sont au niveau du produit, l’entrée d’un produit est associée avec l’entrée de plusieurs firmes. La raison est qu’une fois que la première firme entre et paye les coûts fixes du produit, elle crée un effet d’entrainement qui réduit les coûts fixes pour des firmes rivales. Dans ce cas, le commerce international sera caractérisé par plusieurs firmes qui vendent des variétés différentes du même produit. En utilisant des données détaillées provenant de 40 pays exportateurs à travers 180 marchés de destination, mes résultats montrent que les barrières à l'entrée se trouvent principalement au niveau du produit. Un marché plus large favorise l'expansion d'un plus grand nombre d’entreprises au sein d'une catégorie de produit plutôt que de permettre aux entreprises produisant plusieurs produits de croître dans une gamme de produits. En regardant la différence entre le nombre d'exportateurs au sein d'une catégorie de produit dans des destinations données, je trouve que le taux d'entrée de firmes augmente significativement après qu'un produit entre la première fois dans le marché. J'en déduis donc que le premier entrant réduit les coûts fixes pour les firmes suivantes. Mes recherches démontrent également que malgré une plus grande compétition sur le marché du produit, les entreprises disposent de revenus d'exportation supérieurs et sont plus susceptibles de rester sur les marchés internationaux. Ces résultats sont cohérents avec l’hypothèse que l’effet d’entrainement incite l'entrée de firmes rivales et permettent aux entreprises de produire à plus grande échelle. Cette recherche dévoile un nombre de conclusions importantes. D'abord, les politiques commerciales encouragent l'entrée de nouveaux produits, par exemple, en promouvant des produits dans les marchés de destination entraînant ainsi des retombées qui se traduiront par un taux de participation plus élevé de l'entreprise et une croissance de l'exportation. Deuxièmement, les consommateurs du pays importateur peuvent bénéficier de prix plus bas pour le produit en réduisant les barrières techniques du commerce. Troisièmement, lorsque l'on effectue des expérimentations politiques sous la forme de réduction des coûts commerciaux, il est de coutume de considérer uniquement une baisse des coûts marginaux et d'évaluer les répercussions sur le bien-être du consommateur. Cependant, un élément important des accords commerciaux est la réduction des barrières techniques au commerce grâce à la négociation de normes communes pour un produit. Négliger l'existence des barrières à l'entrée et les conséquences des réaffectations de l'industrie affaiblit l'impact des réformes commerciales. Le troisième chapitre prend en compte le rôle de l'information dans la facilitation du commerce international. Les immigrants réduisent les coûts de transaction dans le commerce international en fournissant des informations sur les possibilités d'échange avec leur pays d'origine. En utilisant des données géographiques détaillées sur l'immigration et les importations aux États-Unis entre 1970 et 2005, je quantifie l'incidence qu'ont les nouveaux immigrants sur la demande pour les importations de biens intermédiaires aux États-Unis. Pour établir le lien cause à effet entre le commerce et la migration, j’exploite l'important afflux d'immigrants d'Amérique centrale après l'ouragan Mitch. Les résultats montrent que l'augmentation de dix pour cent d'immigrants a fait croître la demande pour les importations de biens intermédiaires de 1,5 pour cent. Mes résultats sont robustes aux problèmes de la causalité inverse ou la décision d’émigrer est causée par des opportunités de faire du commerce.
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The unprecedented increase in competition as well as protectionism in world markets makes it imperative for a country like India to get much more energetically involved in the export business and make the dictum "export and flourish" a really true proposition, as against a somewhat passive "export and perish" approach followed during the last three and a half decades. At present, India needs to evolve new export strategies to cope with the changing international scenario and to ensure a steady improvement in the otherwise sagging export performance. A search for such strategic measures becomes all the more important in view of the all-out efforts of the government for expanding the country's exports to tide over the crippling balance of payment deficits and to generate necessary foreign exchange to meet the import requirements for accelerating the tempo of economic development. The present study is an endeavour in this direction. Taking engineering exports as an example, the study demonstrates alternative ways of understanding indepth export performance analysis and learning lessons for better performance in future
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Con la creciente popularidad de las soluciones de IT como factor clave para aumentar la competitividad y la creación de valor para las empresas, la necesidad de invertir en proyectos de IT se incrementa considerablemente. La limitación de los recursos como un obstáculo para invertir ha obligado a las empresas a buscar metodologías para seleccionar y priorizar proyectos, asegurándose de que las decisiones que se toman son aquellas que van alineadas con las estrategias corporativas para asegurar la creación de valor y la maximización de los beneficios. Esta tesis proporciona los fundamentos para la implementación del Portafolio de dirección de Proyectos de IT (IT PPM) como una metodología eficaz para la gestión de proyectos basados en IT, y una herramienta para proporcionar criterios claros para los directores ejecutivos para la toma de decisiones. El documento proporciona la información acerca de cómo implementar el IT PPM en siete pasos, el análisis de los procesos y las funciones necesarias para su ejecución exitosa. Además, proporciona diferentes métodos y criterios para la selección y priorización de proyectos. Después de la parte teórica donde se describe el IT PPM, la tesis aporta un análisis del estudio de caso de una empresa farmacéutica. La empresa ya cuenta con un departamento de gestión de proyectos, pero se encontró la necesidad de implementar el IT PPM debido a su amplia cobertura de procesos End-to-End en Proyectos de IT, y la manera de asegurar la maximización de los beneficios. Con la investigación teórica y el análisis del estudio de caso, la tesis concluye con una definición práctica de un modelo aproximado IT PPM como una recomendación para su implementación en el Departamento de Gestión de Proyectos.
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We describe the evolution of international trade and the behavior of export diversification in Colombia during the period 1991-2011. For measuring trade diversification and following up its behavior along the period, we employ alternative ways of decomposing trade flows along its intensive and extensive margins, using the latter as a measure of diversification. Results indicate that, in the short run, trade diversification in Colombia can be characterized as weak but that there is a modest trend for an increase in its importance. With some differences in degree, for both exports and imports, the number of partner countries increases faster than the number of products contained in the average basket traded and, simultaneously, the number of traded products increases faster than the average number of countries with which they are traded. Hence, trade diversification in Colombia seems to follow a pattern that implies that trade with new partners tends to be relatively slowly populated in terms of products or, from the opposite point of view, trade of new products is relatively sluggish in extending to new partner countries
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Commercial real estate investors have well-established methods to assess the risks of a property investment in their home country. However, when the investment decision is overseas another dimension of uncertainty overlays the analysis. This additional dimension, typically called country risk, encompasses the uncertainty of achieving expected financial results solely due to factors relating to the investment’s location in another country. However, very little has been done to examine the effects of country risk on international real estate returns, even though in international investment decisions considerations of country risk dominate asset investment decisions. This study extends the literature on international real estate diversification by empirically estimating the impact of country risk, as measured by Euromoney, on the direct real estate returns of 15 countries over the period 1998-2004, using a pooled regression analysis approach. The results suggest that country risk data may help investor’s in their international real estate decisions since the country risk data shows a significant and consistent impact on real estate return performance.
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t is well known that when assets are randomly-selected and combined in equal proportions in a portfolio, the risk of the portfolio declines as the number of different assets increases without affecting returns. In other words, increasing portfolio size should improve the risk/return trade-off compared with a portfolio of asset size one. Therefore, diversifying among several property funds may be a better alternative for investors compared to holding only one property fund. Nonetheless, it also well known that with naïve diversification although risk always decreases with portfolio size, it does so at a decreasing rate so that at some point the reduction in portfolio risk, from adding another fund, becomes negligible. Based on this fact, a reasonable question to ask is how much diversification is enough, or in other words, how many property funds should be included in a portfolio to minimise return volatility.
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The performance of an international real estate investment can be critically affected by currency fluctuations. While survey work suggests large international investors with multi-asset portfolios tend to hedge their overall currency exposure at portfolio level, smaller and specialist investors are more likely to hedge individual investments and face considerable specific risk. This presents particular problems in direct real estate investment due to the lengthy holding period. Prior research investigating the issue relies on ex post portfolio measure, understating the risk faced. This paper examines individual risk using a forward-looking simulation approach to model uncertain cashflow. The results suggest that a US investor can greatly reduce the downside currency risk inherent in UK real estate by using a swap structure – but at the expense of dampening upside potential.