897 resultados para Insuffisance Cardiaque Congestive
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La fraction d’éjection du ventricule gauche est un excellent marqueur de la fonction cardiaque. Plusieurs techniques invasives ou non sont utilisées pour son calcul : l’angiographie, l’échocardiographie, la résonnance magnétique nucléaire cardiaque, le scanner cardiaque, la ventriculographie radioisotopique et l’étude de perfusion myocardique en médecine nucléaire. Plus de 40 ans de publications scientifiques encensent la ventriculographie radioisotopique pour sa rapidité d’exécution, sa disponibilité, son faible coût et sa reproductibilité intra-observateur et inter-observateur. La fraction d’éjection du ventricule gauche a été calculée chez 47 patients à deux reprises, par deux technologues, sur deux acquisitions distinctes selon trois méthodes : manuelle, automatique et semi-automatique. Les méthodes automatique et semi-automatique montrent dans l’ensemble une meilleure reproductibilité, une plus petite erreur standard de mesure et une plus petite différence minimale détectable. La méthode manuelle quant à elle fournit un résultat systématiquement et significativement inférieur aux deux autres méthodes. C’est la seule technique qui a montré une différence significative lors de l’analyse intra-observateur. Son erreur standard de mesure est de 40 à 50 % plus importante qu’avec les autres techniques, tout comme l’est sa différence minimale détectable. Bien que les trois méthodes soient d’excellentes techniques reproductibles pour l’évaluation de la fraction d’éjection du ventricule gauche, les estimations de la fiabilité des méthodes automatique et semi-automatique sont supérieures à celles de la méthode manuelle.
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La fraction d’éjection du ventricule gauche est un excellent marqueur de la fonction cardiaque. Plusieurs techniques invasives ou non sont utilisées pour son calcul : l’angiographie, l’échocardiographie, la résonnance magnétique nucléaire cardiaque, le scanner cardiaque, la ventriculographie radioisotopique et l’étude de perfusion myocardique en médecine nucléaire. Plus de 40 ans de publications scientifiques encensent la ventriculographie radioisotopique pour sa rapidité d’exécution, sa disponibilité, son faible coût et sa reproductibilité intra-observateur et inter-observateur. La fraction d’éjection du ventricule gauche a été calculée chez 47 patients à deux reprises, par deux technologues, sur deux acquisitions distinctes selon trois méthodes : manuelle, automatique et semi-automatique. Les méthodes automatique et semi-automatique montrent dans l’ensemble une meilleure reproductibilité, une plus petite erreur standard de mesure et une plus petite différence minimale détectable. La méthode manuelle quant à elle fournit un résultat systématiquement et significativement inférieur aux deux autres méthodes. C’est la seule technique qui a montré une différence significative lors de l’analyse intra-observateur. Son erreur standard de mesure est de 40 à 50 % plus importante qu’avec les autres techniques, tout comme l’est sa différence minimale détectable. Bien que les trois méthodes soient d’excellentes techniques reproductibles pour l’évaluation de la fraction d’éjection du ventricule gauche, les estimations de la fiabilité des méthodes automatique et semi-automatique sont supérieures à celles de la méthode manuelle.
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Rapport de synthèse : Enjeux et contexte Etant le seul agent hypnotique à avoir des effets hémodynamiques négligeables, l'étomidate est souvent considéré comme l'agent anesthésique d'induction de choix lors de l'anesthésie de patients hémodynamiquement instables Cependant, une dose unique de cet hypnotique imidazolé inhibe la 11-ß hydroxylase, une enzyme mitochondriale de la phase terminale de la synthèse du cortisol. Au Centre Hospitalier Universitaire Vaudois, tout patient candidat à une chirurgie cardiaque reçoit de l'étomidate à l'induction de l'anesthésie. L'objectif de cette étude a été de déterminer l'incidence de dysfonction surrénalienne chez les patients subissant une chirurgie cardiaque et présentant un état de choc postopératoire nécessitant de hautes doses de noradrénaline. t Méthodes Une étude rétrospective et descriptive a été réalisée dans le service de médecine intensive adulte du Centre Hospitalier Universitaire Vaudois. Soixante-trois patients admis en réanimation après chirurgie cardiaque nécessitant plus de 0.2 νg/kg/min de noradrénaline au cours des premières 48 heures postopératoires ont été étudiés. L'insuffisance surrénalienne absolue a été définie par un cortisol basal inférieur à 414mmo/L, l'insuffisance surrénalienne relative par un cortisol basal entre 414mmo/L et 938nmo/L avec augmentation de la cortisolémie (à 60 minute .après un test de stimulation par 250Ng of corticotropine de synthèse) inférieure à 250mmo/L. Statistiques Les résultats ont été rapportés en médianes et extrêmes. Les comparaisons entre les groupes ont été réalisées, lorsque cela était indiqué, par un test Chi 2 ou un test de Wilcoxon. Pour les comparaisons répétées des taux de cortisol et des doses de noradrénaline, une correction de Bonferroni a été appliquée. Une valeur de p<0,05 a été considérée comme significative. Résultats : Quatorze patients [22%] ont présenté une fonction surrénalienne normale, 10 [16%] une insuffisance surrénalienne absolue et 39 [62%] une insuffisance surrénalienne relative. Tous les patients ont reçu une substitution stéroïdienne, sans aucune différence d'évolution clinique entre les différents groupes. Conclusions : L'incidence d'insuffisance surrénalienne chez les patients qui ont reçu un bolus d'étomidate à l'induction, subi une chirurgie cardiaque avec circulation extra-corporelle et présenté une défaillance circulatoire postopératoire est élevée. Il convient probablement de garder à l'esprit qu'une telle insuffisance peut contribuer à l'état de choc du patient. Dans de telles circonstances, l'exploration de la fonction surrénalienne et la suppléance par stéroïdes d'une éventuelle insuffisance surrénalienne en attendant les résultats des examens endocrinologiques devraient être discutés.
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Objectif Un bolus unique d'étomidate inhibe une enzyme mitochondriale impliquée dans la synthèse du cortisol. Au sein de notre institution, tout patient candidat à une chirurgie cardiaque reçoit de l'étomidate à l'induction de l'anesthésie. L'objectif de cette étude a été de déterminer l'incidence des dysfonctions surrénaliennes chez les patients bénéficiant d'une chirurgie cardiaque et nécessitant de hautes doses de noradrénaline au cours de la période postopératoire. Type d'étude Étude rétrospective descriptive dans l'unité de réanimation d'un centre hospitalier universitaire. Patients et méthodes Soixante-trois patients admis en réanimation après chirurgie cardiaque nécessitant plus de 0,2μg/kg par minute de noradrénaline au cours des premières 48 heures postopératoires ont été étudiés. L'insuffisance surrénalienne absolue a été définie par un cortisol basal inférieur à 414nmo/l (15μg/dl), l'insuffisance surrénalienne relative par un cortisol basal entre 414nmo/l (15μg/dl) et 938nmo/l (34μg/dl) avec une augmentation de la cortisolémie (à 60 minutes après un test de stimulation par 250μg de corticotropine de synthèse) inférieure à 250nmo/l (9μg/dl). Résultats Quatorze patients (22 %) ont présenté une fonction surrénalienne normale, 10 (16 %) une insuffisance surrénalienne absolue et 39 (62 %) une insuffisance surrénalienne relative. Tous les patients ont reçu une substitution stéroïdienne, sans aucune différence d'évolution clinique entre les différents groupes. Conclusion L'incidence de l'insuffisance surrénalienne chez les patients qui ont reçu un bolus d'étomidate à l'induction, lors d'une chirurgie cardiaque avec circulation extracorporelle, et présenté une défaillance circulatoire postopératoire, est élevée.
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La mort subite est la première cause de mortalité chez les patients souffrant d'une insuffisance rénale terminale traités par dialyse chronique. La technique de dialyse utilisée et la composition chimique du dialysat influencent l'incidence des arythmies. Des études pilotes démontrent que l'utilisation d'un dialysat sans acétate avec perfusion de bicarbonate de sodium en aval du filtre de dialyse, couplée à une modulation du profil de potassium pendant la séance de dialyse, ou acetate free biofiltration with potassium profiled dialysate, permet de réduire l'incidence des arythmies, l'intervalle QT et sa dispersion. La limitation du volume de soustraction liquidienne pendant la dialyse et l'augmentation de la concentration de calcium dans le dialysat constituent d'autres stratégies anti-arythmogènes possibles Sudden death is the first cause of mortality in patients with end stage renal disease undergoing chronic dialysis treatment. The technique of dialysis as well as the chemical composition of the dialysate can impact on the incidence of cardiac arrhythmias. Pilot studies reveal that the use of an acetate-free dialysate with a downstream filter infusion of sodium bicarbonate, coupled with a modulated potassium-profiled dialysate during hemodialysis, or acetate free biofiltration with potassium profiled dialysate, reduces the incidence of arrhythmias, the QT interval and QT dispersion. The limitation of the ultrafiltration volume during the dialysis session, and the increase in calcium concentration in the dialysate are other possible strategies to reduce cardiac arrhythmias.
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Contexte: la survenue d’IRA chez les patients ayant subi un traumatisme est une problématique qui a été peu étudiée jusqu’à ce jour. La présence de cette atteinte rénale a été démontrée comme étant associée à un risque accru de morbidités et de mortalité chez les sujets atteints. Objectifs: identifier les facteurs prédictifs d’insuffisance rénale ou plus récemment appelée atteinte rénale dans cette population particulière et tenter de trouver des facteurs qui peuvent être mesurés dans les premières heures de la prise en charge du patient. Aussi, nous avons cherché à savoir si l’injection de produit de contraste est associée à un risque accru d’insuffisance rénale aiguë dans cette population. Méthodes et résultats: la recherche a eu lieu à l’Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal, un centre de traumatologie tertiaire en milieu urbain. Nous avons utilisé le registre des patients hospitalisés en traumatologie dans notre centre hospitalier entre 2002 et mars 2007 de même que les banques de données de laboratoire et de radiologie pour obtenir les données sur la créatinine et les examens avec produits de contraste. Finalement, une revue de dossiers structurée fut conduite pour recueillir le reste de l’information requise. L’incidence d’IRA dans la population étudiée est estimée à environ 5 %. Une analyse cas témoins fut conduite pour identifier les facteurs prédictifs d’IRA. Quarante-neuf cas d’IRA diagnostiqués par le médecin traitant et 101 témoins sélectionnés au hasard ont été analysés. Les facteurs prédictifs suivants ont été identifiés à l’analyse univariée : la première valeur de créatinine obtenue (p<0,001), l’instabilité hémodynamique (p<0,001), les antécédents d’insuffisance rénale chronique tels que notés dans le dossier par le médecin traitant (p=0,009), une maladie cardiaque (p=0,007), une chirurgie dans les 48 premières heures suivant le traumatisme (p=0,053), le niveau de gravité du traumatisme (Injury Severity Score) (p=0,046) et l’injection de produit de contraste au cours des 48 heures suivant le trauma (p=0,077). Parmi ces facteurs, deux ont été identifiés comme prédicteurs indépendants d’IRA à l’analyse multivariée. Une des valeurs était la première valeur de créatinine obtenue RC = 6,17 (p<0,001, IC95 % 2,81 – 13,53) pour chaque augmentation de 0.5mg/dL de créatinine. L’autre facteur était la présence d’instabilité hémodynamique RC 11,61 (p<0,001, IC95 % 3,71 – 36,29). Conclusion: des informations obtenues tôt dans la prise en charge du patient permettent de prédire le risque d’IRA chez ces patients. L’administration de contraste (intraveineuse ou intra-artérielle) ne s’est pas avérée un facteur indépendant de prédiction d’insuffisance rénale aiguë dans cette population dans le modèle multivarié.
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Des éléments contributifs à plusieurs facettes de la chirurgie cardiaque ont été étudiés dans la présente thèse. Le premier manuscrit adresse la problématique de l’accident cérébro-vasculaire (ACV) post-opératoire. Nous avons analysé de façon rétrospective la médication prise en pré-opératoire de 6813 patients nécessitant une chirurgie de revascularisation coronarienne. Le but étant d’établir si la présence d’une médication précise (aspirine, inhibiteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine, statine, bêta-bloqueur) peut agir en pré-opératoire pour diminuer le risque d’ACV. En analyse multivariée, la combinaison de la prise de bêta-bloqueurs avec une statine a produit un ratio de cote de 0,37, suggérant un effet protecteur très important. Dans le deuxième manuscrit, je présente une étude ciblant les patients avec insuffisance mitrale ischémique modérée. Trente et un patients furent randomisés entre un traitement par pontages seuls vs pontages et annuloplastie mitrale restrictive. L’insuffisance mitrale a disparu en post-opératoire immédiat en présence de l’annuloplastie alors qu’aucun effet immédiat de la revascularisation coronarienne n’était noté sur l’insuffisance mitrale. Un an suivant la chirurgie, une insuffisance mitrale légère est réapparue chez le groupe ayant subi l’annuloplastie alors que les patients du groupe pontages seuls ont remodelé leur ventricule gauche et diminué l’importance de leur insuffisance mitrale au même niveau que le groupe annuloplastie. Aucun des marqueurs d’évolution clinique, tant au niveau symptomatique qu’au niveau de la survie ne diffère entre les groupes. La troisième étude est un suivi sur 20 ans des patients ayant eu des remplacements valvulaires mitraux ou aortiques avec une prothèse mécanique Carbomedics. Cette étude démontre une excellente survie avec un taux de complications valvulaires hémorragiques, thrombotiques, thrombo-emboliques, et d’endocardite favorable comparé aux autres types de prothèse et une absence de bris mécanique.
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The aim of this study was to evaluate (1) the prevalence of periodic leg movements during sleep (PLMs) in a consecutive sample of congestive heart failure (CHF) outpatients; (2) the presence of correlation between PLMs, subjective daytime sleepiness, and sleep architecture; and (3) the heart rate response to PLMs in CHF. Seventy-nine [50 men, age 59 +/- 11 years, body mass index (BMI) 26 +/- 5 kg/m(2)] consecutive adult stable outpatients with CHF [left ventricular ejection fraction (LVEF) 36 +/- 6%] were prospectively evaluated. The patients underwent assessment of echocardiography, sleepiness (Epworth Scale), and overnight in-lab polysomnography. Fifteen patients (19%) had PLM index > 5. These subjects were similar in sex distribution, BMI, subjective somnolence, LVEF, and apnea-hypopnea index (AHI), but were significantly older than subjects without PLMs. Sleep architecture was similar in subjects with and without PLMs. There was a small but significant elevation of heart rate after PLMs (80.1 +/- 9.4 vs. 81.5 +/- 9.2; p < 0.001). The cardiac acceleration was also present in absence of electroencephalogram activation. The prevalence of PLMs in consecutive sample of adult CHF outpatients was 19%. There were no differences in subjective daytime sleepiness, sleep architecture, AHI, and severity of CHF in subjects with and without PLMs. PLMs caused a small but statistically significant cardiac acceleration.
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Aim To compare morphometric data of the eyelid fissure and the levator muscle function (LF) before and up to 6 months after transcutaneous injection with five units of Botox (R) in patients with upper lid retraction (ULR) from congestive or fibrotic thyroid eye disease (TED). Methods Twenty-four patients with ULR from TED were submitted to transcutaneous injection of 5 units (0.1 ml) of Botox in one eye only. Patients were divided into two groups: 12 with congestive-stage TED (CG), and 12 with fibrotic-stage TED (FG). Bilateral lid fissure measurements using digital imaging and computer-aided analysis were taken at baseline and at regular intervals 2 weeks, 1 month, 3 months and 6 months after unilateral Botox injection. Mean values taken at different follow-up points were compared for the two groups. Results Most patients experienced marked improvement in ULR, with a mean reduction of 3.81 mm in FG and 3.05 mm in CG. The upper eyelid margin reflex distance, fissure height and total area of exposed interpalpebral fissure were significantly smaller during 1 month in CG and during 3 months in FG. Reduction in LF and in the difference between lateral and medial lid fissure measurements was observed in both groups. The treatment lasted significantly longer in FG than in CG. Conclusions A single 5-unit Botox injection improved ULR, reduced LF and produced an adequate lid contour in patients with congestive or fibrotic TED. The effect lasts longer in patients with fibrotic orbitopathy than in patients with congestive orbitopathy.
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Background: Congestive heart failure (CHF) is an increasingly prevalent poor-prognosis condition for which effective interventions are available. It is -therefore important to determine the extent to which patients with CHF receive appropriate care in Australian hospitals and identify ways for improving suboptimal care, if it exists. Aim: To evaluate the quality of in-hospital acute care of patients with CHF using explicit quality indicators based on published guidelines. Methods: A retrospective case note review was -performed, involving 216 patients admitted to three teaching hospitals in Brisbane, Queensland, Australia, between October 2000 and April 2001. Outcome measures were process-of-care quality -indicators calculated as proportions of all, or strongly -eligible (ideal), patients who received -specific interventions. Results: Assessment of underlying causes and acute precipitating factors was undertaken in 86% and 76% of patients, respectively, and objective evaluation of left ventricular function was performed in 62% of patients. Prophylaxis for deep venous thrombosis (DVT) was used in only 29% of ideal patients. Proportions of ideal patients receiving pharmacological treatments at discharge were: (i) angiotensin--converting enzyme inhibitors (ACEi) (82%), (ii) target doses of ACEi (61%), (iii) alternative vasodilators in patients ineligible for ACEi (20%), (iv) beta-blockers (40%) and (v) warfarin (46%). Conclusions: Opportunities exist for improving quality of in-hospital care of patients with CHF, -particularly for optimal prescribing of: (i) DVT prophylaxis, (ii) ACEi, (iii) second-line vasodilators, (iv) beta-blockers and (v) warfarin. More research is needed to identify methods for improving quality of in-hospital care.
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We evaluated the in vitro phagocytic function and the production of microbicidal oxygen radicals by monocytes and neutrophils of 9 Chagas' heart disease subjects with heart failure and 9 without the syndrome in comparison with 11 healthy subjects, by assessing phagocytosis of Saccharomyces cerevisiae and NBT reduction by peripheral blood phagocytes. Phagocytic index of monocytes of chagasics without heart failure was significantly 6.7 and 10.6 times lower than those of controls and chagasics with the congestive syndrome, respectively, due to a lesser engagement in phagocytosis and to an inability of these cells to ingest particles. Neutrophils also show in chagasics without heart failure PI 11.2 and 19.8 times lower than that of controls and chagasics with heart failure, respectively. The percent of NBT reduction was normal and similar for the three groups. Balanced opposite effects of cardiovascular and immune disturbances may be acting in Chagas' disease subjects with heart failure paradoxically recovering the altered phagocytic function.