992 resultados para Injections, Intraperitoneal
Resumo:
ABSTRACT Asthma is a complex inflammatory syndrome caused by environmental factors in predisposed individuals (atopics). Its severity correlates with the presence of activated T lymphocytes and eosinophils in the bronchoalveolar lavage fluid (BALF). Induction of tolerance via the nasal route results in reduced recruitment of eosinophils into BALF upon challenge, inhibition of TH2 pro-inflammatory cytokine secretion and T cell hyporesponsiveness. Recently, CD4+CD25+ natural regulatory T cells (Treg) were proposed as key players in controlling the development of asthma and allergic disease. The objective of the present study is to investigate the role of CD4+CD25+ regulatory T cells in the mechanisms leading to tolerance in an established model of asthma. In this goal we depleted CD4+CD25+ T cells at different times during asthma and tolerance induction protocol in mice and looked at efficiency of tolerization (intranasal application of high dose of allergen) in the absence of natural Tregs. First, ovalbumin-sensitized mice were depleted of CD25+ T cells by intraperitoneal injection of anti-CD25 mAb (PC61) either for along-term (repeated injections of anti-CD25 from day 31 until the end of the protocol) or a short-term period (single injection of anti-CD25 before or after tolerance induction). We demonstrated that the long-term depletion of CD4+CD25+ T cells severely hampered tolerance induction (marked enhancement in eosinophil recruitment into BALF and a vigorous antigen specific T cell response to OVA upon allergen challenge) whereas transient depletions were not sufficient to do so. We then characterized T cell subsets by flow cytometry and observed that a large part of CD4+CD25+ T cells express Foxp3, an established marker of regulatory T cells. We also tested in-vitro suppressor activity of CD4+CD25+ T cells from tolerized mice by cell proliferation assay in coculture and observed a strong suppressive activity. Our data suggest that CD4+CD25+ T cells with regulatory properties play a crucial role in the induction of tolerance via the nasal route. The relationship between CD25+ natural Treg and inducible IL-10+ TRl-type Treg will have to be defined. RESUME L'asthme est un syndrome inflammatoire complexe provoqué par des facteurs environnementaux chez des individus génétiquement prédisposés (atopiques). Sa sévérité corrèle avec la présence des lymphocytes T activés et d'éosinophiles dans le lavage bronchoalvéolaire (BAL). L'induction de la tolérance par la voie nasale résulte en une diminution du recrutement des eosinophils dans le BAL, une inhibition de la sécrétion de cytokines pro-inflammatoires de type TH2 et de l'hypo-réponse des cellules T à l'allergène. Récemment, les cellules régulatrices «naturelles » de type CD4+CD25+ T (Tregs) ont été proposées comme acteurs essentiels dans le développement de l'asthme et de l'allergie. L'objectif de cette étude est d'étudier le rôle des cellules régulatrices CD4+CD25+ T dans les mécanismes menant à la tolérance dans un modèle établi d'asthme. Dans ce but nous avons déplété les cellules de CD4+CD25+ T à différents temps au cours du protocole d'induction d'asthme et de tolérance et nous avons regardé l'efficacité de l'induction de tolérance (application intranasale d'une dose importante d'allergène) en l'absence de Tregs. Dans un premier temps des souris sensibilisées à l'ovalbumine (OVA) ont été déplétées en cellules CD25+ T par l'injection intrapéritonéale d'anti-CD25 mAb (PC61) pour une longue période (injections répétées d'anti-CD25 du jour 31 jusqu'à la fin du protocole) ou pour une courte période (injection unique d'anti-CD25 avant ou après l'induction de tolérance). Nous avons démontré que la déplétion à long t erme des cellules de CD4+CD25+ T a empêché l'induction de tolérance (recrutement accru d'éosinophiles dans le BAL et une réponse vigoureuse des cellules T spécifiques de l'antigène après exposition à l'allergène) tandis des déplétions à court-terme n'ont pas cet effet. Nous avons ensuite caractérisé des sous-populations de cellules T par cytométrie de flux. Nous avons observé que la majorité des cellules CD4+CD25+ T expriment Foxp3, un marqueur établi des cellules régulatrices. Nous avons également examiné in vitro l'activité régulatrice des cellules T CD4+CD25+ issues de souris tolérisées. La prolifération de cellules T en coculture a démontré une forte activité suppressive des cellules CD4+CD25+. Nos données suggèrent que des cellules T CD4+CD25+ ayant des propriétés régulatrices jouent un rôle crucial dans l'induction de la tolérance par la voie nasale. Le rapport entre les cellules régulatrices naturelles CD4+CD25+ et les cellules régulatrices inductible de type TR1 I1-10+ devra être défini. RESUME DESTINE A UN LARGE PUBLIC L'asthme est une maladie inflammatoire des bronches, caractérisée par des crises de dyspnée (gêne respiratoire) témoignant d'une activation brutale des muscles bronchoconstricteurs, auxquelles s'associent un oedème et une hypersécrétion des muqueuses des voies aériennes ainsi qu'une importante production d'anticorps de l'allergie (IgE). Chez la plupart des enfants atteints et chez près de la moitié des adultes concernés par l'asthme, c'est une allergie à des substances présentes dans l'air environnant (acariens, pollens ou poils d'animaux) qui est à l'origine de la maladie. . Le traitement actuel de l'asthme repose d'une part sur le soulagement des symptômes grâce à des produits à base de stéroïdes ou des bronchodilatateurs. D'autre part, l'immunothérapie spécifique (aussi appelée désensibilisation) permet d'améliorer l'asthme et de «reprogrammer» le système immunitaire. C'est à ce jour, le seul moyen connu de faire régresser une allergie. Cependant l'immunothérapie prend beaucoup de temps (3 à 5 ans) et ne marche pas à tous les coups ni pour tous les antigènes. Il est donc important de mieux comprendre les mécanismes impliqués lors d'un tel traitement afin d'en améliorer l'efficacité. Af n de pouvoir investiguer en détail ces mécanismes des modèles d'immunothérapie ont été mis au point chez la souris. Notre étude se base sur un modèle d'asthme allergique chez la souris. Des souris sont rendues allergiques à l'ovalbumine (OVA) et présentent alors les caractéristiques majeures de l'asthme humain (recrutement de cellules inflammatoires dans les poumons, augmentation de la production d'IgE et de la résistance des bronches aux flux respiratoires). Ces souris asthmatiques une fois traitées par l'application nasale d'OVA (forme d'immunothérapie muqueuse) ne développent plus de réaction allergique lors d'une ré-exposition à l'allergène. Notre hypothèse est que cette «guérison» (tolérance) est liée à l'action de cellules (lymphocytes T CD4) dites «régulatrices» et caractérisées par le marqueur CD25. Pour le démontrer, nous avons éliminé ces cellules «régulatrices» CD25 de nos souris asthmatiques grâce à un anticorps monoclonal spécifique. Nous n'avons dès lors plus été en mesure d'induire une tolérance à l'allergène. Ceci suggère donc un rôle clé des cellules «régulatrices» T CD4+CD25+ dans la réussite de l'immunothérapie nasale dans notre modèle. Nos résultats n'excluent pas la participation d'autres cellules telles que les lymphocytes producteurs d'IL-10 (lymphocytes régulateurs induits). Le rôle respectif de ces sous-populations régulatrices devra être examiné dans les études à venir. Une meilleure maîtrise des mécanismes de régulation pourrait s'avérer cruciale pour améliorer les thérapies de l'asthme.
Resumo:
The Editors welcome topical correspondence from readers relating to articles published in the Journal. Responses should be sent electronically via the BJS website (www.bjs.co.uk). All letters will be reviewed and, if approved, appear on the website. A selection of these will be edited and published in the Journal. Letters must be no more than 250 words in length.
Resumo:
PURPOSE: Determine the effect of repeated intravitreal injections of ranibizumab (0.5 mg; 0.05 ml) on retrobulbar blood flow velocities (BFVs) using ultrasound imaging quantification in twenty patients with exudative age-related macular degeneration treated for 6 months. METHODS: Visual acuity (ETDRS), central macular thickness (OCT), peak-systolic, end-diastolic and mean-BFVs in central retinal (CRA), temporal posterior ciliary (TPCA) and ophthalmic (OA) arteries were measured before, 2 days, 3 weeks and 6 months after the first injection. Patients were examined monthly and received 1-5 additional injections depending on ophthalmologic examination results. RESULTS: Six months after the first injection, a significant increase in visual acuity 50.9 ± 25.9 versus 44.4 ± 21.7 (p < 0.01) and decrease in mean central macular thickness 267 ± 74 versus 377 ± 115 μm (p < 0.001) were observed compared to baseline. Although mean-BFVs decreased by 16%±3% in CRA and 20%±5% in TPCA (p < 0.001) 2 days after the first injection, no significant change was seen thereafter. Mean-BFVs in OA decreased by 19%±5% at week 3 (p < 0.001). However, the smallest number of injections (two injections) was associated with the longest time interval between the last injection and month 6 (20 weeks) and with the best return to baseline levels for mean-BFVs in CRA, suggesting that ranibizumab had reversible effects on native retinal vascular supply after its discontinuation. Moreover, a significant correlation between the number of injections and percentage of changes in mean-BFVs in CRA was observed at month 6 (R = 0.74, p < 0.001) unlike TPCA or OA. CONCLUSION: Ranibizumab could impair the native choroidal and retinal vascular networks, but its effect seems reversible after its discontinuation.
Resumo:
Este estudo experimental em ratos avalia a influência da irrigação da cavidade peritoneal com solução salina isotônica (0,9 %), em diferentes temperaturas, na formação de aderências peritoneais e prevenção de hipotermia após pneumoperitônio. Foram utilizados 80 ratos divididos em quatro grupos de 20 animais: grupo controle (G1) sem irrigação, grupos com irrigação a temperatura ambiente 22,0°C (G2), a 35,0°C (G3) e a 45,0°C (G4). A análise da hipotermia foi realizada através da monitorização da temperatura retal em três diferentes momentos: após a anestesia (T1), cinco minutos depois da insuflação de dióxido de carbono (T2) e cinco minutos após a irrigação com solução salina (T3). Os animais foram sacrificados no 28º dia de pós-operatório. Observaram-se aderências nos grupos com irrigação, sendo que, com salina à temperatura de 45,0ºC houve maior formação de aderências (30,0%) , porém, esta diferença não foi significante. No G2 ocorreu uma queda significante na temperatura média retal quando comparada aos demais grupos, demonstrando que a hipotermia na cirurgia laparoscópica pode ser reduzida com o uso de solução salina aquecida.
Resumo:
Avaliação de eficácia da laparoscopia, associada à análise bacteriológica do líquido intraperitoneal pela coloração de Gram., no diagnóstico de lesões intra-abdominais provocadas em cães com arma de ar comprimido. A alta incidência de óbitos como resultado de ferimentos por arma de fogo tem contribuído para implantação de novas técnicas diagnósticas. O uso crescente de laparoscopia diagnóstica em urgências torna necessário aprimorar qualidade e fidedignidade dos resultados obtidos. Este experimento avalia acurácia, sensibilidade e especificidade da laparoscopia, incluindo 20 cães submetidos a trauma abdominal, com disparo do tipo encostado, e cinco cães como grupo de controle. Na laparoscopia, foram feitos inventário sistemático da cavidade abdominal, conferido por laparotomia, e coleta de líquido intraperitoneal para análise bacteriológica. A laparoscopia apresentou acurácia de 88,29%, sensibilidade de 88,29% e especificidade de 100%. O valor preditivo positivo da coloração de Gram foi 100%. Concluiu-se que a laparoscopia é eficaz no diagnóstico de lesões intra-abdominais provocadas por arma de ar comprimido, em cães hemodinamicamente estáveis. Mas, algumas lesões, evidenciadas na laparotomia, passaram despercebidas na laparoscopia. Realização concomitante de análise bacteriológica pela coloração de Gram pode aumentar a eficácia e diminuir a possibilidade de erros no diagnóstico de lesões. Laparoscopia associada à análise bacteriológica possibilita melhores resultados com mínimo dano ao paciente
Resumo:
OBJETIVO: Avaliar a incorporação de telas de poliéster revestido em uma de suas faces por colágeno (Parietex, Covidien) e polipropileno recoberto por ácido poliglicólico (Optilene Mesh Elastic e Safil, BBD Aesculap) no reparo de defeitos da parede ventral de coelhos avaliando a cicatrização no aspecto macroscópico, o depósito de colágeno e a imunomarcação tecidual pelos anticorpos MMP-1, MMP-8 e MMP-13. MÉTODOS: Utilizaram-se 16 coelhos, divididos em dois grupos de oito animais, avaliados após eutanásia após 30 e 60 dias de pós-operatório. Os animais foram submetidos à realização de dois defeitos simétricos na parede ventral do abdome, à direita e esquerda da linha alba, que compreendendo todos os folhetos musculares e o peritônio. O reparo dos defeitos foi realizado mediante implante intraperitoneal de dois modelos diferentes de telas. Utilizou-se a tela de poliéster revestido com camada protetora de colágeno (grupo controle) e a tela de polipropilene revestido com malha de ácido poliglicólico (manufaturacao própria, grupo de experimentacao). A avaliacao constou de aspectos clínicos, achados macroscópicos, análise dos colágenos tipos I/III e avaliação imunoistoquímica de metaloproteinases. RESULTADOS: Os resultados da avaliacao clínica e os parâmetros macroscópicos foram semelhantes entre os grupos. 50% dos animais do grupo Parietex tiveram ausência de aderencias intraperitoneais a no 30° dia de pós-operatrório. Em ambos os grupos observou-se reducao das aderências entre o 30° e o 60° dias de pós-operatório, contudo sem diferenca estatística. As aderências observadas foram classificadas principalmente de frouxas. Nao se observou a ocorrencia de complicacoes envolvendo vísceras intraabdominais. No Grupo Parietex houve a ocorrência de formacao de ulceracao da pele que recobria a tela em quatro animais, em comparacao com um no grupo de experimentacao. No Grupo Parietex foi observada uma insuficiencia de reparo após 60 dias. Quanto ao depósito do colágeno tipos I e III, nao houve diferenca significativa entre os grupos. Os resultados da imunoistoquímica referentes aos anticorpos MMP-1 e MMP-8 também não demonstraram diferença significativa entre as telas. CONCLUSÃO: As duas telas pesquisadas obtiveram resultados semelhantes tanto nos aspectos macro como nos microscópicos, podendo ser consideradas semelhantes quanto ao reparo de defeitos cirúrgicos da parede ventral do abdome em coelhos.
Resumo:
OBJETIVO: Avaliar os aspectos morfológicos do comportamento de prótese de dupla face aplicada em inguinoplastia laparotômica em cães, com fixação intraperitoneal com a face de látex voltada às vísceras. MÉTODOS: Vinte cães distribuídos em dois grupos (n=10) foram submetidos à laparotomia infraumbilical com fixação da prótese de dupla face em uma região inguinal e de uma prótese controle de polipropileno contralateral. Foram pesquisados no 14° e 28° dia de pós-operatório achados macroscópicos referentes à obstrução e fístula intestinais, encistamento, incorporação e aderências. A análise microscópica envolveu o processo inflamatório e reparador. RESULTADOS: Não ocorreram processos infecciosos, obstrução ou fístula intestinal. As próteses apresentaram boa acomodação e incorporação. As aderências ocorreram em maior prevalência e intensidade com a prótese de polipropileno (p<0,05). As aderências com a borda da prótese de dupla face ocorreram em 65% na média dos grupos, sendo que, destas, 35% em média a aderência se fazia com o disco de polipropileno na face parietal. A análise dos achados microscópicos não mostrou diferença estatística entre as próteses (p>0,05). CONCLUSÃO: A prótese de dupla face na sua face parietal soma as vantagens do potencial de incorporação aos tecidos observados com o polipropileno às de biocompatibilidade do látex na sua face visceral. A pequena distância entre o disco de polipropileno e a borda da prótese de dupla face (2 cm) aliada à sua fixação com apenas cinco grampos é insuficiente para evitar que o epíploon migre em direção ao processo inflamatório desencadeado pelo polipropileno na face parietal.
Resumo:
OBJETIVO: Avaliar a eficácia do uso de um biomaterial de ácido lático (SurgiWrap®) como protetor de tela de polipropileno (Marlex®) em relação à formação de aderências intraperitoneais em ratos. MÉTODO: Quarenta ratas Wistar formaram os grupos a seguir: Grupo 0 (Sham) - apenas laparotomia; Grupo I - tela de polipropileno; Grupo II - tela de polipropileno protegida por filme de ácido lático. Estes animais foram operados com laparotomia e colocação das telas no fechamento. Após 21 dias foram sacrificados para análise aderencial quanto ao tipo (0 a 3), porcentagem de área acometida e força necessária para rompimento. RESULTADOS: O Grupo 0 não apresentou aderências intraperitoneais. Em relação à classificação foi evidenciado a maior prevalência de aderências tipo 3 em ambos os grupos. Quanto à força para ruptura aderencial o Grupo 1 obteve média de 1,58 N e o Grupo 2 de 1,23 N. A tela foi envolvida por aderências em mais de 50% da área de sua superfície em 87% no Grupo 1 e 84% no Grupo 2. Por diferentes métodos estatísticos constatou-se que não houve diferença significativa entre os grupos nas variáveis estudadas. CONCLUSÃO: A utilização do combinado tela de polipropileno e bioprotetor de ácido lático demonstrou índices semelhantes em relação à formação de aderências intraperitoneais quando comparada ao uso individual da mesma tela.
Resumo:
OBJETIVO: Comparar fixação cirúrgica de telas de polipropileno (PP) e telas de polipropileno revestido (PCD), usando fio de sutura de polipropileno e cola biológica, quanto à formação de aderências intraperitoneais. MÉTODOS: Amostra de 46 ratas Wistar, randomizadas em seis grupos: dois grupos-controle, com cinco ratas cada, que foram submetidos um à incisão medial (IM) e o outro à uma incisão em forma de U (IU); nenhum desses grupos recebeu tela. Dois grupos com tela de PP, um com dez ratas, fixada com sutura (PPF), e o outro, com seis ratas, fixada com cola biológica (PPC). E Dois grupos com tela de PCD, no primeiro, com dez animais, a tela foi fixada com sutura (PCDF), e no segundo, com dez animais, com cola biológica (PCDC). RESULTADOS: Após o prazo de 21 dias, os grupos-controle não apresentaram aderências significantes. O grupo PPC apresentou menor grau de aderência do que o grupo PPF (p=0,01). Não houve diferença entre as fixações nos grupos com PCD. CONCLUSÃO: A comparação da fixação apresentou diferença estatística significativa apenas à tela de PP, com menor grau de aderência utilizando a cola. As aderências se localizaram predominantemente nas extremidades das telas estudadas.
Resumo:
OBJECTIVE: To evaluate the combined treatment of ear lobe keloids. METHODS: We studied 46 consecutive patients with 81 ear lobe keloids. Patients underwent local infiltration of triamcinolone acetonide (TCN) at concentrations of 40mg/ml (Group 1), 20 mg/ml (Group 2) and 10mg/ml (Group 3). The volume of TCN infiltrate varied according to the size of the lesion. Treatment consisted of three monthly injections before surgery, excision of keloid in the fourth month and perioperative infiltration, followed by two more leaks TCN within two months. Patients used earrings pressure on the scar after operation for four months. The pressure exerted by earrings in the ear lobe was measured electronically. Post-treatment follow-up of patients was 24 months. RESULTS: TCN at concentrations of 20mg/ml and 40mg/ml were effective for the treatment of keloids, no difference between the groups (p = 0.58). However, patients in which TCN was infiltrated the 10mg/ml had poor involution of keloid and the study of this group was stopped. CONCLUSION: the combination of infiltration TCN month to 20 mg/mL (1.2mg to 2.0mg per mm3 TCN injury), surgical excision and pressure application device is effective for treatment of keloid ear lobe.
Resumo:
We have previously demonstrated that acute third ventricle injections of both lead and cadmium prevent the dipsogenic response elicited by dehydration or by central injections of dipsogenic agents such as angiotensin II, carbachol and isoproterenol in rats. We have also shown that the antidipsogenic action of cadmium may be due, at least in part, to activation of thirst-inhibitory central serotonergic pathways. In the present paper we show that in Wistar male rats the antidipsogenic effect of both lead acetate (3.0 nmol/rat) and cadmium chloride (3.0 nmol/rat) may be partially dependent on the activation of brain opiatergic pathways since central injections of naloxone (82.5 nmol/rat), a non-selective opioid antagonist, blunt the thirst-inhibiting effect of these metals. One hundred and twenty minutes after the second third ventricle injections, dehydrated animals (14 h overnight) receiving saline + sodium acetate displayed a high water intake (7.90 ± 0.47 ml/100 g body weight) whereas animals receiving saline + lead acetate drank 3.24 ± 0.47 ml/100 g body weight. Animals receiving naloxone + lead acetate drank 6.94 ± 0.60 ml/100 g body weight. Animals receiving saline + saline drank 8.16 ± 0.66 ml/100 g body weight whilst animals receiving saline + cadmium chloride drank 1.63 ± 0.37 ml/100 g body weight. Animals receiving naloxone + cadmium chloride drank 8.01 ± 0.94 ml/100 g body weight. It is suggested that acute third ventricle injections of both lead and cadmium exert their antidipsogenic effect by activating thirst-inhibiting opioid pathways in the brain.
Resumo:
In order to examine the relationship between anxiety and reinforcing effects of alcohol, drug-naive male Wistar rats weighing 250-300 g were classified as "anxious" and "non-anxious" in the elevated plus-maze test. A conditioned place preference test was then used to investigate the reinforcing effects of ethanol (EtOH) on these animals. On 2 alternate days, groups of "anxious", "non-anxious" and "normal" rats received intraperitoneal (ip) injections of EtOH (0.5, 1.0 or 1.5 g/kg) immediately before a 15-min confinement to the white compartment. On the 2 intervening days the same rats received ip injections of saline before confinement to the opposite compartment. On day 5, a 15-min free-choice test was carried out with no injections. Rats classified as "anxious" showed a significant, though not dose-dependent preference for all doses of ethanol compared to saline-treated animals. These data demonstrate that rats regarded as "anxious" are more sensitive to the reinforcing effects of EtOH than "non-anxious" and "normal" Wistar rats and emphasize the relevance of the basal levels of anxiety of rats when trying to detect the reinforcing effects of EtOH.
Resumo:
The immune and central nervous systems are functionally connected and interacting. The concept that the immune signaling to the brain which induces fever during infection and inflammation is mediated by circulating cytokines has been traditionally accepted. Administration of bacterial lipopolysaccharide (LPS) induces the appearance of a so-termed "cytokine cascade" in the circulation more or less concomitantly to the developing febrile response. Also, LPS-like fever can be induced by systemic administration of key cytokines (IL-1ß, TNF-alpha, and others). However, anti-cytokine strategies against IL-1ß or TNF-alpha along with systemic injections of LPS frequently lead to attenuation of the later stages of the febrile response but not of the initial phase of fever, indicating that cytokines are rather involved in the maintenance than in the early induction of fever. Within the last years experimental evidence has accumulated indicating the existence of neural transport pathways of immune signals to the brain. Because subdiaphragmatic vagotomy prevents or attenuates fever in response to intraperitoneal or intravenous injections of LPS, a role for vagal afferent nerve fibers in fever induction has been proposed. Also other sensory nerves may participate in the manifestation of febrile responses under certain experimental conditions. Thus, injection of a small dose of LPS into an artificial subcutaneous chamber results in fever and formation of cytokines within the inflamed tissue around the site of injection. This febrile response can be blocked in part by injection of a local anesthetic into the subcutaneous chamber, indicating a participation of cutaneous afferent nerve signals in the manifestation of fever in this model. In conclusion, humoral signals and an inflammatory stimulation of afferent sensory nerves can participate in the generation and maintenance of a febrile response.