995 resultados para GASTROESOPHAGEAL REFLUX DISEASE
Resumo:
The Barrett's esophagus (BE) is defined as endoscopically visible columnar mucosa at the distal esophagus, of any extension, proved to harbor intestinal metaplasia on biopsy, highlighted by the presence of goblet cells. BE denotes long-standing gastroesophageal reflux disease (GERD) and is an important risk factor for the development of esophageal adenocarcinoma (EAC). Therefore, these patients must be on follow-up, in order to diagnose cancer early. BE patients have frequent alterations in esophageal physiologyc studies. Alkaline duodenogastroesophageal reflux seems to have important role. The development BE occurs in steps, initially with formation of cardiac type mucosa subsequent intestinalization. Futher progression can follow a sequence, from low grade dysplasia, to high grade dysplasia and esophageal adenocarcinoma. Current follow-up is based on the presence of dysplasia. It has limitations, grouping patients heterogeneously. Different steps of carcinogenesis have been studied looking for an ideal prognostic marker. Uncontrolled proliferative activity, apoptosis inhibition, angiogenesis, tissue invasion and metastases formation are all implicated in cancer origin. Some cycle cell molecules have been studied in BE, such as retinoblastoma protein, ciclins, kinase dependent ciclins and cell cycle inhibitors. The P53 protein is one of the most investigated in the metaplasia-adenocarcinoma progression. Growth Factors, apoptotic proteins, telomers and DNA ploidy have also been searched. Increased proliferative activity has been implicated in Barrett's carcinogenesis and the Ki-67 antigen, through imunohistochemical analysis, has become the the method of choice. Present in the nucleus, it is found in proliferative cells only. Some studies suport association between Ki-67 activity and the metaplasia-dysplasia-adenocarcinoma sequence.The results, however, are inconclusive and research should follow this way.
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Contexte & Objectifs : La manométrie perfusée conventionnelle et la manométrie haute résolution (HRM) ont permis le développement d’une variété de paramètres pour mieux comprendre la motilité de l'œsophage et quantifier les caractéristiques de la jonction œsophago-gastrique (JOG). Cependant, l'anatomie de la JOG est complexe et les enregistrements de manométrie détectent à la fois la pression des structures intrinsèques et des structures extrinsèques à l'œsophage. Ces différents composants ont des rôles distincts au niveau de la JOG. Les pressions dominantes ainsi détectées au niveau de la JOG sont attribuables au sphincter œsophagien inférieur (SOI) et aux piliers du diaphragme (CD), mais aucune des technologies manométriques actuelles n’est capable de distinguer ces différents composants de la JOG. Lorsqu’on analyse les caractéristiques de la JOG au repos, celle ci se comporte avant tout comme une barrière antireflux. Les paramètres manométriques les plus couramment utilisés dans ce but sont la longueur de la JOG et le point d’inversion respiratoire (RIP), défini comme le lieu où le pic de la courbe de pression inspiratoire change de positif (dans l’abdomen) à négatif (dans le thorax), lors de la classique manœuvre de « pull-through ». Cependant, l'importance de ces mesures reste marginale comme en témoigne une récente prise de position de l’American Gastroenterology Association Institute (AGAI) (1) qui concluait que « le rôle actuel de la manométrie dans le reflux gastro-œsophagien (RGO) est d'exclure les troubles moteurs comme cause des symptômes présentés par la patient ». Lors de la déglutition, la mesure objective de la relaxation de la JOG est la pression de relaxation intégrée (IRP), qui permet de faire la distinction entre une relaxation normale et une relaxation anormale de la JOG. Toutefois, puisque la HRM utilise des pressions moyennes à chaque niveau de capteurs, certaines études de manométrie laissent suggérer qu’il existe une zone de haute pression persistante au niveau de la JOG même si un transit est mis en évidence en vidéofluoroscopie. Récemment, la manométrie haute résolution « 3D » (3D-HRM) a été développée (Given Imaging, Duluth, GA) avec le potentiel de simplifier l'évaluation de la morphologie et de la physiologie de la JOG. Le segment « 3D » de ce cathéter de HRM permet l'enregistrement de la pression à la fois de façon axiale et radiale tout en maintenant une position fixe de la sonde, et évitant ainsi la manœuvre de « pull-through ». Par conséquent, la 3D-HRM devrait permettre la mesure de paramètres importants de la JOG tels que sa longueur et le RIP. Les données extraites de l'enregistrement fait par 3D-HRM permettraient également de différencier les signaux de pression attribuables au SOI des éléments qui l’entourent. De plus, l’enregistrement des pressions de façon radiaire permettrait d’enregistrer la pression minimale de chaque niveau de capteurs et devrait corriger cette zone de haute pression parfois persistante lors la déglutition. Ainsi, les objectifs de ce travail étaient: 1) de décrire la morphologie de la JOG au repos en tant que barrière antireflux, en comparant les mesures effectuées avec la 3D-HRM en temps réel, par rapport à celle simulées lors d’une manœuvre de « pull-through » et de déterminer quelles sont les signatures des pressions attribuables au SOI et au diaphragme; 2) d’évaluer la relaxation de la JOG pendant la déglutition en testant l'hypothèse selon laquelle la 3D-HRM permet le développement d’un nouveau paradigme (appelé « 3D eSleeve ») pour le calcul de l’IRP, fondé sur l’utilisation de la pression radiale minimale à chaque niveau de capteur de pression le long de la JOG. Ce nouveau paradigme sera comparé à une étude de transit en vidéofluoroscopie pour évaluer le gradient de pression à travers la JOG. Méthodes : Nous avons utilisé un cathéter 3D-HRM, qui incorpore un segment dit « 3D » de 9 cm au sein d’un cathéter HRM par ailleurs standard. Le segment 3D est composé de 12 niveaux (espacés de 7.5mm) de 8 capteurs de pression disposés radialement, soit un total de 96 capteurs. Neuf volontaires ont été étudiés au repos, où des enregistrements ont été effectués en temps réel et pendant une manœuvre de « pull-through » du segment 3D (mobilisation successive du cathéter de 5 mm, pour que le segment 3D se déplace le long de la JOG). Les mesures de la longueur du SOI et la détermination du RIP ont été réalisées. La longueur de la JOG a été mesurée lors du « pull-through » en utilisant 4 capteurs du segment 3D dispersés radialement et les marges de la JOG ont été définies par une augmentation de la pression de 2 mmHg par rapport à la pression gastrique ou de l’œsophage. Pour le calcul en temps réel, les limites distale et proximale de la JOG ont été définies par une augmentation de pression circonférentielle de 2 mmHg par rapport à la pression de l'estomac. Le RIP a été déterminée, A) dans le mode de tracé conventionnel avec la méthode du « pull-through » [le RIP est la valeur moyenne de 4 mesures] et B) en position fixe, dans le mode de représentation topographique de la pression de l’œsophage, en utilisant l’outil logiciel pour déterminer le point d'inversion de la pression (PIP). Pour l'étude de la relaxation de la JOG lors de la déglutition, 25 volontaires ont été étudiés et ont subi 3 études de manométrie (10 déglutitions de 5ml d’eau) en position couchée avec un cathéter HRM standard et un cathéter 3D-HRM. Avec la 3D-HRM, l’analyse a été effectuée une fois avec le segment 3D et une fois avec une partie non 3D du cathéter (capteurs standard de HRM). Ainsi, pour chaque individu, l'IRP a été calculée de quatre façons: 1) avec la méthode conventionnelle en utilisant le cathéter HRM standard, 2) avec la méthode conventionnelle en utilisant le segment standard du cathéter 3D-HRM, 3) avec la méthode conventionnelle en utilisant le segment « 3D » du cathéter 3D-HRM, et 4) avec le nouveau paradigme (3D eSleeve) qui recueille la pression minimale de chaque niveau de capteurs (segment 3D). Quatorze autres sujets ont subi une vidéofluoroscopie simultanée à l’étude de manométrie avec le cathéter 3D-HRM. Les données de pression ont été exportés vers MATLAB ™ et quatre pressions ont été mesurées simultanément : 1) la pression du corps de l’œsophage, 2cm au-dessus de la JOG, 2) la pression intragastrique, 3) la pression radiale moyenne de la JOG (pression du eSleeve) et 4) la pression de la JOG en utilisant la pression minimale de chaque niveau de capteurs (pression du 3D eSleeve). Ces données ont permis de déterminer le temps permissif d'écoulement du bolus (FPT), caractérisé par la période au cours de laquelle un gradient de pression existe à travers la JOG (pression œsophagienne > pression de relaxation de la JOG > pression gastrique). La présence ou l'absence du bolus en vidéofluoroscopie et le FPT ont été codés avec des valeurs dichotomiques pour chaque période de 0,1 s. Nous avons alors calculé la sensibilité et la spécificité correspondant à la valeur du FPT pour la pression du eSleeve et pour la pression du 3D eSleeve, avec la vidéofluoroscopie pour référence. Résultats : Les enregistrements avec la 3D-HRM laissent suggérer que la longueur du sphincter évaluée avec la méthode du « pull-through » était grandement exagéré en incorporant dans la mesure du SOI les signaux de pression extrinsèques à l’œsophage, asymétriques et attribuables aux piliers du diaphragme et aux structures vasculaires. L’enregistrement en temps réel a permis de constater que les principaux constituants de la pression de la JOG au repos étaient attribuables au diaphragme. L’IRP calculé avec le nouveau paradigme 3D eSleeve était significativement inférieur à tous les autres calculs d'IRP avec une limite supérieure de la normale de 12 mmHg contre 17 mmHg pour l’IRP calculé avec la HRM standard. La sensibilité (0,78) et la spécificité (0,88) du 3D eSleeve étaient meilleurs que le eSleeve standard (0,55 et 0,85 respectivement) pour prédire le FPT par rapport à la vidéofluoroscopie. Discussion et conclusion : Nos observations suggèrent que la 3D-HRM permet l'enregistrement en temps réel des attributs de la JOG, facilitant l'analyse des constituants responsables de sa fonction au repos en tant que barrière antireflux. La résolution spatiale axiale et radiale du segment « 3D » pourrait permettre de poursuivre cette étude pour quantifier les signaux de pression de la JOG attribuable au SOI et aux structures extrinsèques (diaphragme et artéfacts vasculaires). Ces attributs du cathéter 3D-HRM suggèrent qu'il s'agit d'un nouvel outil prometteur pour l'étude de la physiopathologie du RGO. Au cours de la déglutition, nous avons évalué la faisabilité d’améliorer la mesure de l’IRP en utilisant ce nouveau cathéter de manométrie 3D avec un nouveau paradigme (3D eSleeve) basé sur l’utilisation de la pression radiale minimale à chaque niveau de capteurs de pression. Nos résultats suggèrent que cette approche est plus précise que celle de la manométrie haute résolution standard. La 3D-HRM devrait certainement améliorer la précision des mesures de relaxation de la JOG et cela devrait avoir un impact sur la recherche pour modéliser la JOG au cours de la déglutition et dans le RGO.
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Introdução: Pirose e regurgitação são manifestações da Doença do Refluxo Gastresofágico (DRGE) que ocorrem freqüentemente no terceiro trimestre da gravidez, porém seu impacto na qualidade de vida de gestantes é pouco conhecido. Objetivos: 1. Mensurar a qualidade de vida em gestantes no terceiro trimestre da gravidez com Pirose e Regurgitação; 2. Avaliar a relação entre Pirose e Regurgitação e a dieta. Pacientes e Métodos: Gestantes no terceiro trimestre acompanhadas ambulatorialmente foram entrevistadas para colher dados referentes à história obstétrica, freqüência, intensidade e passado de P e R, qualidade de vida (mensurada a partir do questionário genérico SF-36), ingestão alimentar (avaliada por recordatório de 24h) e medidas antropométricas; Resultados: Foram estudadas consecutivamente 82 gestantes: 62 com pirose e/ou regurgitação e 20 assintomáticas. Pirose foi relatada por 62 (76%) gestantes e regurgitação por 58 (71%). A idade gestacional média foi 33,8±3,7 semanas, 35 (43%) apresentavam história familiar positiva de pirose e/ou regurgitação e 57 (70%) não apresentavam tais sintomas fora da gravidez. Houve redução estatisticamente significativa na qualidade de vida das gestantes sintomáticas nos seguintes domínios: Para pirose, em Limitação Física e Aspectos Sociais; para regurgitação, em Limitação Física, Aspectos Sociais, Aspectos Emocionais e Dor. Houve concordância entre presença de pirose em gestações passadas e a atual. Gestantes com pirose apresentaram-se significativamente com maior peso corporal. Ácidos graxos poli e monoinsaturados, cafeína, ácido ascórbico e sulfato ferroso foram significativamente associados com pirose e/ou regurgitação. Conclusões: 1.Pirose e / ou regurgitação diminuíram a qualidade de vida em gestantes no terceiro trimestre; 2. ácidos graxos, cafeína, ácido ascórbico e sulfato ferroso estiveram associados com pirose e/ou regurgitação.
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PURPOSE: To analyze the behavior of cardiopulmonary function in postoperative of laparoscopic Nissen fundoplication.METHODS: Thirty-two patients, 13 males (41%) and 19 females (59%), were evaluated. Their age ranged from 25 to 67 years, with a mean of 44.4 +/- 10.9. Pulmonary volumes, respiratory pressures and exercise tests were performed in the preoperative period (PRE) and in the first (PO1), second (PO2), fifth (PO5) and thirtieth (PO30) postoperative periods.RESULTS: Thirty-two patients were evaluated, of whom 59% were females. Mean age was 44.4 +/- 10.9 years. Lung volumes had significant decrease at PO1 and PO2 and were similar to PRE values at PO5. Respiratory pressures were altered only at PO1. The distance covered in the 6-minute walk test had significant reduction until PO2, and climbing time in the stair-climbing test significantly increased at PO2.CONCLUSION: Patients submitted to LNF surgery have decreased cardiorespiratory function in the early postoperative period; however, they soon return to preoperative conditions.
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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This study investigated the relationship among the histological diagnosis of esophagitis and gastritis in children and adolescents with gastroesophageal reflux disease (GERD) and/or dyspepsia. Records of 366 patients submitted to endoscopic biopsies were reviewed. Two groups were analyzed: G1 n=258 with esophageal and gastric biopsies, G2 n=108 with gastric biopsies only. For total subjects median age (range) was 8.5y (2mo-19.9y). Helicobacter pylori infection was detected in 30.6 %, median age 12.5y for H pylori-infected and 5.5y for uninfected children. Histological esophagitis was found in 216/258 (83.7 %) and gastritis in 95/258 (36.8 %) of G1. Both biopsies were normal for 13.6 % cases. Normal gastric biopsies were associated with esophagitis in 128/ 163 (78.5 %) of G1, but gastritis was associated with normal esophageal biopsies in only 7/95 (7.4 %) (0<.001). Histological gastritis was found in 80/108 (74.1 %) of G2 patients. Therefore, for symptomatic children both biopsies are indicated.
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RACIONAL: A doença do refluxo gastroesofágico é a afecção digestiva de maior prevalência. Os portadores podem apresentar na evolução algumas complicações, sendo o esôfago de Barrett a de maior importância, tendo em vista seu potencial de malignidade. Todavia os processos inflamatórios do trato gastrointestinal podem apresentar degeneração maligna. OBJETIVOS: Avaliar os possíveis danos do DNA em portadores de esofagite de refluxo gastroesofágico de vários graus e verificar a aplicação do ensaio Cometa na detecção dos mesmos. MÉTODOS: Foram estudados 25 pacientes distribuídos em quatro grupos: controle (n=5), esofagite leve (n=8), esofagite severa (n=5) e câncer (n=7). O ensaio Cometa foi realizado no sangue periférico (linfócitos) e biópsia do terço distal do esôfago. RESULTADOS: O ensaio Cometa detectou danos no DNA nos pacientes com esofagite leve e severa (sangue periférico e biópsia), sendo que na esofagite severa a intensidade dos danos foi maior (p<0,05). Os danos do DNA dos pacientes com esofagite severa e câncer não mostraram diferença significativa e a intensidade dos mesmos corresponde ao ensaio Cometa classe 4 (maior que 95% de danos). CONCLUSÕES: 1) As frequências de quebras do DNA da mucosa esofágica e linfócitos estão diretamente relacionadas ao grau de inflamação; 2) a esofagite severa apresenta praticamente a mesma frequência de danos no DNA do câncer esofágico; 3) o ensaio Cometa mostrou-se muito sensível para a detecção dos danos do DNA.
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Gastroesophageal reflux disease (GERD) is an uncommon condition in chagasic esophagopathy not previously treated. In this report, a case of chagasic esophagopathy associated to GERD and complicated with Barrett's esophagus is described. Potential pathophysiologic mechanisms underlying the condition are presented and commented.
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Pós-graduação em Bases Gerais da Cirurgia - FMB
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Background: Inspiratory muscle training (IMT) has been shown to increase diaphragm thickness. We evaluated the effect of IMT on mid-respiratory pressure (MRP) in patients with gastroesophageal reflux disease (GERD) and hypotensive lower esophageal sphincter (LES), and compared the results with a sham group. Methods: Twenty consecutive patients (progressive loading group) and 9 controls (sham group) were included. All patients had end expiratory pressure (EEP) between 5 and 10 mmHg, underwent esophageal manometry and pulmonary function tests before and after 8 weeks of training, and used a threshold IMT twice daily. The threshold IMT was set at 30% of the maximal inspiratory pressure for the progressive loading group; while, the threshold for sham-treated patients was set at 7 cmH(2)O for the whole period. Results: There was an increase in MRP in 15 (75%) patients in the progressive loading group, with an average gain of 46.6% (p<0.01), and in six (66%) patients in the sham group with a mean increase of 26.2% (p<0.01). However, there was no significant difference between the groups (p = 0.507). The EEP also increased compared with measurements before training (p<0.01), but it did not differ between groups (p = 0.727). Conclusion: IMT increased LES pressure in patients with GERD, in both the treatment and sham groups, after an eight-week program. Although there was no statistically significant difference between groups, suggesting the pressure increase in LES occurs regardless of the resistance load of the threshold IMT. These findings need to be confirmed in further studies with a larger sample. Registration number: 0922/09. (C) 2012 Elsevier Ltd. All rights reserved.
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La malattia da reflusso gastroesofageo (GERD) si divide in due categorie: malattia non erosiva (NERD) ed erosiva (ERD). Questi due fenotipi di GERD mostrano caratteristiche patofisiologiche e cliniche differenti. NERD è la forma più comune. Anche se ERD e NERD sono difficili da distinguere a livello clinico, la forma NERD possiede caratteristiche fisiologiche, patofisiologiche, anatomiche, e istologiche uniche. La replicazione cellulare dello strato basale si pensa sia una delle cause implicate nella resistenza della mucosa e nella difesa strutturale dell’epitelio. Diversi studi hanno dimostrato che la proliferazione cellulare è ridotta nella mucosa esofagea esposta ad insulti acidi e peptici cronici, in pazienti GERD, in più uno studio recente ha dimostrato che il recettore per i cannabinoidi CB1 era implicato nella riparazione delle ferite nella mucosa del colon. Sulla base di questi dati abbiamo valutato la presenza del recettore CB1 in biopsie della mucosa esofagea, di pazienti ERD, NERD e di controlli sani, tramite analisi Western Blot, Immunoistochimica e Real-Time PCR, dimostrando per la prima volta la presenza di questo recettore nell’epitelio dell’esofago e una riduzione dei suoi livelli di espressione nei pazienti ERD, camparati con i NERD e con i controlli sani. Successivamente, per chiarire meglio i meccanismi molecolari che caratterizzano ERD e NERD, abbiamo effettuato un analisi proteomica con la tecnica shotgun, la quale ha evidenziato un patter proteico di 33 proteine differenzialmente espresse in pazienti NERD vs ERD, sette delle quali confermate in wester Blot, e quattro in immunoistochimica. Concludendo i nostri risultati hanno confermato che ERD e NERD sono due entità distinte a livello proteico, e hanno proposto dei candidati biomarker per la diagnosi differenziale di ERD e NERD.
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Epidemiologic, endoscopic, and pathophysiologic studies document the relationship between obesity and gastroesophageal reflux disease (GERD). Increased body mass index and accumulation of visceral fat are associated with a two- to threefold increased risk of developing reflux symptoms and esophageal lesions. Given this association, many studies were designed to evaluate the outcome of reflux symptoms following conventional and surgical treatment of obesity. Among bariatric procedures, gastric sleeve and banded gastroplasty were shown to have no effect or even worsen reflux symptoms in the postoperative setting. Gastric banding improves reflux symptoms and findings (endoscopic and pH-measured distal esophageal acid exposure) in many patients, but is associated with de novo reflux symptoms or lesions in a considerable proportion of patients. To date, Roux-en-Y gastric bypass is the most effective bariatric procedure that consistently leads to weight reduction and improvement of GERD symptoms in patients undergoing direct gastric bypass and among those converted from restrictive bariatric procedures to gastric bypass.