84 resultados para Dsge
Resumo:
Emerging market countries that have improved institutions and attained intermediate levels of institutional quality have experienced severe financial crises following capital flow reversals. However, there is also evidence that countries with strong institutions and deep capital markets are less affected by external shocks. We reconcile these two observations using a calibrated DSGE model that extends the financial accelerator framework developed in Bernanke, Gertler, and Gilchrist (1999). The model captures financial market institutional quality with creditors. ability to recover assets from bankrupt firms. Bankruptcy costs affect vulnerability to sudden stops directly but also indirectly by affecting the degree of liability dollarization. Simulations reveal an inverted U-shaped relationship between bankruptcy recovery rates and the output loss following sudden stops. We provide empirical evidence that this non-linear relationship exists.
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Cette thèse est une collection de trois articles en macroéconomie et finances publiques. Elle développe des modèles d'Equilibre Général Dynamique et Stochastique pour analyser les implications macroéconomiques des politiques d'imposition des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Le premier chapitre analyse les mécanismes de transmission à l'économie, des effets d'un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises. Dans une économie constituée d'un gouvernement, d'une firme représentative et d'un ménage représentatif, j'élabore un théorème de l'équivalence ricardienne avec l'impôt sur le profit des entreprises. Plus particulièrement, j'établis que si les marchés financiers sont parfaits, un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises qui ne change pas la valeur présente de l'impôt total auquel l'entreprise est assujettie sur toute sa durée de vie n'a aucun effet réel sur l'économie si l'état utilise un impôt forfaitaire. Ensuite, en présence de marchés financiers imparfaits, je montre qu'une une baisse temporaire de l'impôt forfaitaire sur le profit des entreprises stimule l'investissement parce qu'il réduit temporairement le coût marginal de l'investissement. Enfin, mes résultats indiquent que si l'impôt est proportionnel au profit des entreprises, l'anticipation de taxes élevées dans le futur réduit le rendement espéré de l'investissement et atténue la stimulation de l'investissement engendrée par la réduction d'impôt. Le deuxième chapitre est écrit en collaboration avec Rui Castro. Dans cet article, nous avons quantifié les effets sur les décisions individuelles d'investis-sement et de production des entreprises ainsi que sur les agrégats macroéconomiques, d'une baisse temporaire de l'impôt sur le profit des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Dans un modèle où les entreprises sont sujettes à des chocs de productivité idiosyncratiques, nous avons d'abord établi que le rationnement de crédit affecte plus les petites (jeunes) entreprises que les grandes entreprises. Pour des entreprises de même taille, les entreprises les plus productives sont celles qui souffrent le plus du manque de liquidité résultant des imperfections du marché financier. Ensuite, nous montré que pour une baisse de 1 dollar du revenu de l'impôt, l'investissement et la production augmentent respectivement de 26 et 3,5 centimes. L'effet cumulatif indique une augmentation de l'investissement et de la production agrégés respectivement de 4,6 et 7,2 centimes. Au niveau individuel, nos résultats indiquent que la politique stimule l'investissement des petites entreprises, initialement en manque de liquidité, alors qu'elle réduit l'investissement des grandes entreprises, initialement non contraintes. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse des effets de la réforme de l'imposition des revenus d'entreprise proposée par le Trésor américain en 1992. La proposition de réforme recommande l'élimination des impôts sur les dividendes et les gains en capital et l'imposition d'une seule taxe sur le revenu des entreprises. Pour ce faire, j'ai eu recours à un modèle dynamique stochastique d'équilibre général avec marchés financiers imparfaits dans lequel les entreprises sont sujettes à des chocs idiosyncratiques de productivité. Les résultats indiquent que l'abolition des impôts sur les dividendes et les gains en capital réduisent les distorsions dans les choix d'investissement des entreprises, stimule l'investissement et entraîne une meilleure allocation du capital. Mais pour être financièrement soutenable, la réforme nécessite un relèvement du taux de l'impôt sur le profit des entreprises de 34\% à 42\%. Cette hausse du taux d'imposition décourage l'accumulation du capital. En somme, la réforme engendre une baisse de l'accumulation du capital et de la production respectivement de 8\% et 1\%. Néanmoins, elle améliore l'allocation du capital de 20\%, engendrant des gains de productivité de 1.41\% et une modeste augmentation du bien être des consommateurs.
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Member countries of the Economic and Monetary Union (EMU) initiated wide-ranging labour market reforms in the last decade. This process is ongoing as countries that are faced with serious labour market imbalances perceive reforms as the fastest way to restore competitiveness within a currency union. This fosters fears among observers about a beggar-thy-neighbour policy that leaves non-reforming countries with a loss in competitiveness and an increase in foreign debt. Using a two-country, two-sector search and matching DSGE model, we analyse the impact of labour market reforms on the transmission of macroeconomic shocks in both non-reforming and reforming countries. By analysing the impact of reforms on foreign debt, we contribute to the debate on whether labour market reforms increase or reduce current account imbalances.
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Cette thèse est une collection de trois articles en macroéconomie et finances publiques. Elle développe des modèles d'Equilibre Général Dynamique et Stochastique pour analyser les implications macroéconomiques des politiques d'imposition des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Le premier chapitre analyse les mécanismes de transmission à l'économie, des effets d'un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises. Dans une économie constituée d'un gouvernement, d'une firme représentative et d'un ménage représentatif, j'élabore un théorème de l'équivalence ricardienne avec l'impôt sur le profit des entreprises. Plus particulièrement, j'établis que si les marchés financiers sont parfaits, un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises qui ne change pas la valeur présente de l'impôt total auquel l'entreprise est assujettie sur toute sa durée de vie n'a aucun effet réel sur l'économie si l'état utilise un impôt forfaitaire. Ensuite, en présence de marchés financiers imparfaits, je montre qu'une une baisse temporaire de l'impôt forfaitaire sur le profit des entreprises stimule l'investissement parce qu'il réduit temporairement le coût marginal de l'investissement. Enfin, mes résultats indiquent que si l'impôt est proportionnel au profit des entreprises, l'anticipation de taxes élevées dans le futur réduit le rendement espéré de l'investissement et atténue la stimulation de l'investissement engendrée par la réduction d'impôt. Le deuxième chapitre est écrit en collaboration avec Rui Castro. Dans cet article, nous avons quantifié les effets sur les décisions individuelles d'investis-sement et de production des entreprises ainsi que sur les agrégats macroéconomiques, d'une baisse temporaire de l'impôt sur le profit des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Dans un modèle où les entreprises sont sujettes à des chocs de productivité idiosyncratiques, nous avons d'abord établi que le rationnement de crédit affecte plus les petites (jeunes) entreprises que les grandes entreprises. Pour des entreprises de même taille, les entreprises les plus productives sont celles qui souffrent le plus du manque de liquidité résultant des imperfections du marché financier. Ensuite, nous montré que pour une baisse de 1 dollar du revenu de l'impôt, l'investissement et la production augmentent respectivement de 26 et 3,5 centimes. L'effet cumulatif indique une augmentation de l'investissement et de la production agrégés respectivement de 4,6 et 7,2 centimes. Au niveau individuel, nos résultats indiquent que la politique stimule l'investissement des petites entreprises, initialement en manque de liquidité, alors qu'elle réduit l'investissement des grandes entreprises, initialement non contraintes. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse des effets de la réforme de l'imposition des revenus d'entreprise proposée par le Trésor américain en 1992. La proposition de réforme recommande l'élimination des impôts sur les dividendes et les gains en capital et l'imposition d'une seule taxe sur le revenu des entreprises. Pour ce faire, j'ai eu recours à un modèle dynamique stochastique d'équilibre général avec marchés financiers imparfaits dans lequel les entreprises sont sujettes à des chocs idiosyncratiques de productivité. Les résultats indiquent que l'abolition des impôts sur les dividendes et les gains en capital réduisent les distorsions dans les choix d'investissement des entreprises, stimule l'investissement et entraîne une meilleure allocation du capital. Mais pour être financièrement soutenable, la réforme nécessite un relèvement du taux de l'impôt sur le profit des entreprises de 34\% à 42\%. Cette hausse du taux d'imposition décourage l'accumulation du capital. En somme, la réforme engendre une baisse de l'accumulation du capital et de la production respectivement de 8\% et 1\%. Néanmoins, elle améliore l'allocation du capital de 20\%, engendrant des gains de productivité de 1.41\% et une modeste augmentation du bien être des consommateurs.
Resumo:
Thesis (Ph.D.)--University of Washington, 2016-06
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Thesis (Ph.D.)--University of Washington, 2016-06
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Lehet-e beszélni a 2011-ig felgyülemlett empirikus tapasztalatok tükrében egy egységes válságlefolyásról, amely a fejlett ipari országok egészére általában jellemző, és a meghatározó országok esetében is megragadható? Megállapíthatók-e olyan univerzális változások a kibocsátás, a munkapiacok, a fogyasztás, valamint a beruházás tekintetében, amelyek jól illeszkednek a korábbi tapasztalatokhoz, nem kevésbé az ismert makromodellek predikcióihoz? A válasz – legalábbis jelen sorok írásakor – nemleges: sem a válság lefolyásának jellegzetességeiben és a makrogazdasági teljesítmények romlásának ütemében, sem a visszacsúszás mértékében és időbeli kiterjedésében sincsenek jól azonosítható közös jegyek, olyanok, amelyek a meglévő elméleti keretekbe jól beilleszthetők. A tanulmány áttekinti a válsággal és a makrogazdasági sokkokkal foglalkozó empirikus irodalom – a pénzügyi globalizáció értelmezései nyomán – relevánsnak tartott munkáit. Ezt követően egy 60 év távlatát átfogó vizsgálatban próbáljuk megítélni a recessziós időszakokban az amerikai gazdaság teljesítményét azzal a célkitűzéssel, hogy az elmúlt válság súlyosságának megítélése kellően objektív lehessen, legalább a fontosabb makrováltozók elmozdulásának nagyságrendje tekintetében. / === / Based on the empirical evidence accumulated until 2011, using official statistics from the OECD data bank and the US Commerce Department, the article addresses the question whether one can, or cannot, speak about generally observable recession/crisis patterns, such that were to be universally recognized in all major industrial countries (the G7). The answer to this question is a firm no. Changes and volatility in most major macroeconomic indicators such as output-gap, labor market distortions and large deviations from trend in consumption and in investment did all, respectively, exhibit wide differences in depth and width across the G7 countries. The large deviations in output-gaps and especially strong distortions in labor market inputs and hours per capita worked over the crisis months can hardly be explained by the existing model classes of DSGE and those of the real business cycle. Especially bothering are the difficulties in fitting the data into any established model whether business cycle or some other types, in which financial distress reduces economic activity. It is argued that standard business cycle models with financial market imperfections have no mechanism for generating deviation from standard theory, thus they do not shed light on the key factors underlying the 2007–2009 recession. That does not imply that the financial crisis is unimportant in understanding the recession, but it does indicate however, that we do not fully understand the channels through which financial distress reduced labor input. Long historical trends on the privately held portion of the federal debt in the US economy indicate that the standard macro proposition of public debt crowding out private investment and thus inhibiting growth, can be strongly challenged in so far as this ratio is neither a direct indicator of growth slowing down, nor for recession.
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El objetivo de este trabajo es utilizar algunos hechos estilizados de la "Gran recesión", específicamente la drástica caída en el nivel de capitalización bancario, para analizar la relación entre los ciclos financieros y los ciclos reales, así como la efectividad de la política monetaria no convencional y las políticas macroprudenciales. Para esto, en el primer capítulo se desarrolla una microfundamentación de la banca a partir de un modelo de Costly State Verification, que es incluido posteriomente en distintas especificaciones de modelos DSGE. Los resultados muestran que: (i) los ciclos financieros y los ciclos económicos pueden relacionarse a partir del deterioro del capital bancario; (ii) Las políticas macroprudenciales y no convencionales son efectivas para moderar los ciclos económicos, pero son costosas en términos de recursos e inflación.
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This paper estimates Bejarano and Charry (2014)’s small open economy with financial frictions model for the Colombian economy using Bayesian estimation techniques. Additionally, I compute the welfare gains of implementing an optimal response to credit spreads into an augmented Taylor rule. The main result is that a reaction to credit spreads does not imply significant welfare gains unless the economic disturbances increases its volatility, like the disruption implied by a financial crisis. Otherwise its impact over the macroeconomic variables is null.