996 resultados para Cine latinoamericano
Resumo:
Memorias del Encuentro Taller de Teología India, celebrado en México del 16 al 23 de septiembre de 1990, donde plantea cuestionamientos a las formas tradicionales de entender la fe cristiana.
Curso colectivo: Escenarios del deseo. Aproximaciones desde la filosofía, el psicoanálisis y el cine
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Coordinan: Dr. Alberto Constante, Dr. Ignacio Díaz De La Serna, Dra. Leticia Flores Farfán,
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l seminario sigue la línea establecida en el curso sobre los “Clásicos de la literatura de la metrópolis” impartido durante el semestre de 2008-2. En este semestre, se analizan novelas, cuentos, crónicas y películas latinoamericanos producidos a partir de 1960. Interpretamos textos desde el ciclo novelístico de Santa María, de Juan Carlos Onetti, pasando por el llamado boom de la década de 1960 (Guillermo Cabrera Infante, Julio Cortázar) y las crónicas mexicanas de los años 70 y 80 (Carlos Monsiváis, Cristina Pacheco, Elena Poniatowska) hasta llegar al análisis de novelas y cuentos más recientes de autores como Carmen Boullosa, Guillermo Fadanelli, Juan Forns, Ricardo Piglia, Guillermo Samperio, Fernando Vallejo, Rafael Ramírez Heredia. Además, analizamos películas recientes como: El callejón de los milagros, La virgen de los sicarios, Ciudade de Deus y Amores perros.
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Gestión del conocimiento
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Tesis (Maestría en Letras Españolas) U.A.N.L.
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Tesis (Maestría en Ciencias de la Comunicación) UANL, 2013.
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UANL
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Notre mémoire cherche à identifier les traces du cinéma de “l’âge d’or” dans le cinéma mexicain des années quatre-vingt-dix. Au Mexique, l’apogée que le cinéma industriel a connu entre 1935 et 1955 a établi les principaux genres et normes du cinéma national. Le cinéma produit durant cette période, abondamment diffusé par la télévision et la vidéo et apprécié de la critique, continue d’influencer la production contemporaine. En concentrant notre analyse sur deux films en particulier, Danzón (1991) de María Novaro et La ley de Herodes (1999) de Luis Estrada, nous étudions d’une part, comment le cinéma des années quatre-vingt-dix rend hommage au cinéma de l’âge d’or et, d’autre part, comment on l’utilise pour commenter les nouvelles tendances dans la politique et la production culturelle. La diffusion continue du cinéma de l’âge d’or nous permet d’expliquer en partie son influence sur les cinéastes mexicains contemporains. Par ailleurs, le contexte de néolibéralisme et de globalisation des années quatre-vingt-dix nous permet d’avancer d’autres hypothèses concernant les raisons qui ont amené ces cinéastes à récupérer des éléments de la culture “nationale-populaire”. Nous pensons que ce contexte pourrait expliquer autant l’hommage que la critique que font les films contemporains du cinéma de l’âge d’or. Notre analyse des références au cinéma de l’âge d’or dans le cinéma des années quatre-vingt-dix s’appuie sur la théorie de l’intertextualité dans le cinéma.
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Dans une société médiatique on ne peut pas définir l’intellectuel comme une personne qui simplement travaille avec les lettres; on doit le définir plutôt comme une personne qui utilise d’autres moyens de communication en cherchant la meilleure façon de critiquer la société. En regardant la problématique de la définition de l’intellectuel dans la société médiatique on étudie dans ce mémoire les films Rodrigo D. No futuro et La Vendedora de Rosas réalisés dans les bidonvilles de Medellin par le directeur colombien Víctor Gaviria. Dans les films on peut voir la vie de jeunes garçons et des enfants pour qui la réalité est faite de drogue et de pauvreté. L’étude s’étend sur trois chapitres : Dans le premier on examine l’ensemble socio-historique dans lequel les films ont été réalisés et aussi on examine le concept de « sicariato » qui a été utilisé dans des études scientifiques et des romans. Le second chapitre porte sur la problématique de la définition de l’intellectuel et sur le processus de création de Víctor Gaviria, appelé « Voluntad Realista ». Dans le troisième chapitre on examine le manifeste écrit par Víctor Gaviria « Las Latas en el fondo del río » dans le contexte historique du troisième cinéma latino-americain, dont les cinéastes ont écrit des manifestes semblables.