1000 resultados para Museu Sant Pius V.
[23 phot., vues et types du gouvernement d'Arkhangel, par I. Leitsinger, don A.V. Grigoriev en 1887]
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Donateur : Grigoriev, Alexandre Vasiliévitch (1848-19..?)
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Résumé Contexte et objectifs Le premier volet a comme objectif d'évaluer la prévalence de l'affection chronique (AC) parmi les adolescents en Suisse, de décrire leurs comportements (loisirs, sexualité, conduites à risque) et de les comparer aux adolescents non porteur d'AC afin d'évaluer l'impact de l'AC sur leur bien-être. Le second volet a comme objectif d'explorer leur réseau de soutien, leur mode d'adaptation et leur perception de la prise en charge dont ils bénéficient par les équipes soignantes. Chacun des objectifs est traité dans un article : - « Chronic illness, life style and emotional health in adolescence: results of a cross-sectional survey on the health of 15-20-year-olds in Switzerland » Eur J Pediatr (2003) 162: 682-689 - « Adolescents porteurs d'affections chroniques: la parole aux patients » Med Hyg 2004 ; 62 : 2224-9. Méthode Première partie: les données ont été obtenues par analyse secondaire de l'enquête sur la santé des adolescents en Suisse, réalisée en 1993-1994 auprès d'un échantillon de 9268 jeunes de 15 à 20 ans (6% de la population visée), à l'aide d'un questionnaire auto administré de 100 questions environ. Le programme SPSS a été utilisé pour effectuer les analyses bi- et multi-variées. Seconde partie: la commission d'éthique de la Faculté de médecine de l'Université de Lausanne a donné son accord permettant la réalisation d'un focus group (discussion en petit groupe) de 12 jeunes. Ils ont participé à une discussion de 2 heures, conduite par un modérateur entraîné à cette méthode. Résultats Premier volet : 11.4% des filles et 9.6% des garçons se déclarent porteurs d'une AC. 25% des filles porteuses d'une AC (versus 13% de non porteur; p=0.007) et 38% des garçons porteurs d'une AC (versus 25% de non porteur; p=0.002) déclarent ne pas utiliser la ceinture de sécurité quand ils conduisent. 6.3% des filles (versus 2.7% ; p= 0.000) disent avoir conduit en étant ivres. 43% des filles (versus 36% ; p= 0.004) et 47% des garçons (versus 39% ; p=0.001) sent fumeurs de cigarettes. 32% des garçons (versus 27% p=0.02) rapportent avoir consommé du cannabis. 17% des filles (versus 13°h ; p=0.013) et 43% des garçons (versus 36% ; p= 0.002) disent boire de l'alcool. Le fait d'être porteur d'AC a aussi des conséquences psychologiques : 7.7% des filles (versus 3.4% ; p= 0.000) et 4.9% des garçons (versus 2% ; p=0.000) ont effectué un tentamen durant les 12 mois précédents. Deuxième volet: Sur oui peuvent-ils compter ? Avant tout sur eux-mêmes, puis sur leurs parents ou leurs amis. Les pairs, l'équipe soignante, les autres malades et les enseignants ont chacun des rôles à jouer à des moments précis de l'évolution de l'AC. Leurs modes d'adaptation: prendre du recul, faire preuve d'humour et demander de l'aide à leurs proches. Ils s'évadent dans l'écriture, les pensées ou la musique. Demande aux médecins une prise en charge globale qui permette une compréhension de l'ensemble de leurs besoins plutôt que focalisée seulement sur leur AC. Le respect, la possibilité d'un soutien et d'explications précises leur paraissent importants. Conclusions Les conduites dites à risque ne sont pas moins fréquentes chez les adolescents porteurs d'AC que chez leurs pairs Elles peuvent être expliquées par le besoin de tester leurs limites tant sur le plan des consommations que du comportement. Une prévention et une attention spécifiques des équipes soignantes sont nécessaires. Un réseau social diversifié paraît nécessaire aux jeunes souffrant d'AC. Les médecins devraient avoir une vision globale de leur patient, les aider à se situer dans le monde de l'adolescence, leur permettre de nommer leurs émotions et anticiper les questions difficiles à poser. Abstract The objective was to evaluate the prevalence of chronic conditions (CC) in adolescents in Switzerland; interval to describe their behaviour (leisure, sexuality, risk taking behaviour) and to compare them to those in adolescents who do not have CC in order to evaluate the impact of those conditions on their well-being. The data were obtained from the Swiss Multicentre Adolescent Survey Introduction on Health, targeting a sample of 9268 in-school adolescents aged 15 to 20 years, who answered a self-administered questionnaire. Some 11.4% of girls and 9.6% of boys declared themselves carriers of a CC. Of girls suffering from a CC, 25% (versus 13% of non carriers; P = 0.007) and 38% of boys (versus 25%; P=0.002) proclaimed not to wear a seatbelt whilst driving. Of CC girls, 6.3% (versus 2.7%; P= 0.000) reported within the last 12 months to have driven whilst drunk. Of the girls, 43% (versus 36%; P=0.004) and 47% (versus 39%; P=0.001) were cigarette smokers. Over 32% of boys (versus 27%; P=0.02) reported having ever used cannabis and 17% of girls (versus 13%; P=0.013) and 43% of boys (versus 36%; P=0.002) admitted drinking alcohol. The burden of their illness had important psychological consequences: 7.7% of girls (versus 3.4%; P=0.000) and 4.9% of boys (versus 2.0%; P=0.000) had attempted suicide during the previous 12 months. Conclusion: Experimental behaviours are not rarer in adolescents with a chronic condition and might be explained by a need to test their limits both in terms of consumption and behaviour. Prevention and specific attention from the health caring team is necessary.
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Corynebacterium striatum is a potentially pathogenic microorganism with the ability to produce outbreaks of nosocomial infections. Here, we document a nosocomial outbreak caused by multidrug-resistant (MDR) C. striatum in Rio de Janeiro, Brazil. C. striatum identification was confirmed by 16S rRNA and rpoB gene sequencing. Fifteen C. striatum strains were isolated from adults (half of whom were 50 years of age and older). C. striatum was mostly isolated in pure culture from tracheal aspirates of patients undergoing endotracheal intubation procedures. The analysis by pulsed-field gel electrophoresis (PFGE) indicated the presence of four PFGE profiles, including two related clones of MDR strains (PFGE I and II). The data demonstrated the predominance of PFGE type I, comprising 11 MDR isolates that were mostly isolated from intensive care units and surgical wards. A potential causal link between death and MDR C. striatum (PFGE types I and II) infection was observed in five cases.
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Présentation de l'Institut de santé au travail (IST) à Lausanne, le seul institut de recherche en santé au travail en Suisse
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Référence bibliographique : Rol, 55088
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ZUSAMMENFASSUNG Gegenstand dieser Arbeit sind rund hundert rotfigurige Darstellungen von den beiden als Lutrophoren bezeichneten Tongefässen, der dreihenkligen Lutrophoros-Hydria (LH) und der zweihenkligen Lutrophoros-Amphora (LA). Die Untersuchung geht von der Prämisse aus, dass Darstellungen der Lutrophoros einen gewissen Variantenreichtum des Brauchtums widerspiegeln können, sonst aber verbindlichen, in sich schlüssigen Vorstellungen entsprechen, die sich die Gemeinschaft von diesem Ritualobjekt macht. In Anlehnung an die herrschende Meinung wird zudem vorausgesetzt, dass LA und LH ausschliesslich im nuptialen und funeralen Bereich vorkommen, doch ist bisher in der archäologischen Forschung ihre Rolle im einzelnen ungeldärt. Anhand von literarischen Quellen und ikonographischem Material wird untersucht, inwiefern sich LA und LH in ihrer Verwendung und Bedeutung in bezug auf Hochzeit und Begräbnis unterscheiden und inwieweit der Begrifif loutrophóros auf sie zutrifft. KAPITEL I Nach frühen Quellentexten muss die Bezeichnung loutrophóros im Hochzeitsritual für eine Person und beim Begräbnis eines ehelos verstorbenen Mannes für ein Objekt verwendet worden sein. In späteren Zeugnissen wird ergänzend die Lutrophoros für die Hochzeit als hydria-ähnliches Gefäss bezeichnet, ebenso die Lutrophoros auf dem Grab; für letztere wird zusätzlich eine Kinderfigur mit Wassergefäss vorgeschlagen, was archäologisch bislang nicht bezeugt ist. Die Aussagen der Texte zum Begriff loutrophóros stimmen trotz verschiedener Widersprüche im Gesamten darin überein, dass die Aufstellung der Lutrophoros auf dem Grab von ehelos Verstorbenen eine Entsprechung zum Ritual für Hochzeitsleute darstellt; die rituelle Verwendung der Lutrophoros auf dem Grab muss also eine nuptiale Bedeutung haben. Die Untersuchung des Begriffs loutrá (,,Hoch- zeitsba") im nuptialen Bereich zeigt, dass die Lutrophoros in engem Zusammenhang mit der Quellnymphe Kallirrhoë, der Braut - nýmphè genannt - und dem Heiligtum der Nymphe, dem Hauptfundort der Lutrophoren, gesehen werden muss; allerdings bleibt die spezifische Bedeutung der loutrá ungewiss. Am ehesten werden sie dem Gedeihen der neu entstandenen Verbindung gedient haben, die sich in Anlehnung an Hesiods Werke und Tage als Neugründung eines oÃkos oder als Weiteiterführung des väterlichen oÃkos durch den Bräutigam umschreiben lässt. Für die bislang immer wieder vorgeschlagenen Deutungen der loutrá als Ritual für Fruchtbarkeit oder zur Reinigung gibt es frühestens ab dem 4. ]h. v. Chr. Hinweise. Die Untersuchung des Begriffs loutrá für die Waschung vor der Bestattung und ein Vergleich zwischen verschiedenen Bezeichnungen für Grab- spenden (choaÃ, loibaÃ, loutrá) und der aufgestellten Lutrophoros auf dem Grab führen entgegen bisheriger Auffassungen zum Schluss, dass die Lutrophoros auf dem Grab als Entsprechung zum Hochzeitsritual gesehen wurde und dass diesem Brauch die für Athen bekannte Vorstellung zugrunde liegt, die Verstorbenen zufrieden zu stellen. Die aufgestellte Lutrophoros könnte zum Ausdruck bringen, dass die Hinterbliebenen das der verstorbenen Person zustehende Recht auf Verehelichung gebilligt hätten. Kapitel II Beim ikonographischen Material, das sich hauptsächlich aus Vasenbildern zusammensetzt, stehen die dargestellten Gefässvarianten LA und LH im Zentrum. Nach dem ikonographischen Modell von C. Bérard fassen wir die dargestellten LA und LH im linguistischen Sinn als ikonische Zeichen auf, die nicht weiter zerlegbar sind; LA und LH stellen je eine ,,unité formelle minimale " dar. Die zentrale Frage lautet, ob Bedeutung und Verwendung der beiden ,,unités formelles minimales" LH und LA - trotz ihrer unterschiedlichen Form -in bezug auf die Funktion der loutrophóros bei der Hochzeit und beim Begräbnis ehelos Verstorbener übereinstimmen oder ob die unterschiedliche Form von LA und LH zum Ausdruck bringen soll, dass sie eben gerade nicht die gleiche Funktion haben. Beide Auffassungen sind in der bisherigen Forschung stark vertreten: R Wolters und seine Anhänger gehen davon aus, dass LA und LH gleichwertig sind; G. Kokula und mit ihr andere nehmen eine unterschiedliche, geschlechtsspezifische Verwendung an. In einer ersten formalen Analyse werden Darstellungen von LA und LH auf Lutrophoren, Lebetes gamikoi und Hydrien untersucht. Folgende Skizze zeigt die bekannten Kombinationen von dargestellten Lutrophoren: Aus der formalen Analyse lassen sich vier Schlüsse ziehen: - (ia.b) In der Regel entsprechen sich Bildträger und Bildelement; dieser Kombination muss eine Absicht zugrunde liegen, sie kann nicht willkürlich sein. - (2) Zwei LA mit Darstellungen einer LH (49 Abb. 4oa.b; 50 Abb. 4ia.b) sprechen dafür, dass im Verwendungsbereich der LA auch die LH vorkommen kann; im Gegensatz dazu fehlen aber Darstellungen einer LA auf einer LH, was vermuten lässt, dass im Verwendungsbereich der LH keine LA gebraucht wurden. - (3a.b) Zwei Darstellungen zeigen jede Variante für sich in zwei Exemplaren in der Funktion als Wasserbehälter: zwei LH (I7 Abb. 61b.c; 6za. b); zwei LA (12 Abb. 46. 47a.b); im Gegensatz dazu kommen aber beide Varianten gemeinsam in der Funktion als Wasserbehälter nicht vor, vermutlich hat sich der Anwendungsbereich der beiden Varianten unterschieden. (4a.b) Zwei Darstellungen, die beide Varianten gemeinsam zeigen, einmal im Miniaturformat (50 Abb. 41a.b), das andere Mai in monumentaler Grösse (I Abb. 1) - also nicht als Wasserbehälter -, lassen den Schluss zu, dass beide Varianten ein gemeinsames Merkmal haben müssen. Allein die formale Analyse zeigt, dass die von P Wolters angenommene Gleichwertigkeit nicht zutreffen kann. Es muss eine unterschiedliche Verwendung gegeben haben, wie bereits G. Kokula vermutet. In einer zweiten Analyse werden die Darstellungen nach der von P Bruneau vorgeschlagenen Methode in fünf Gruppen mit gleichem Schema aufgelisret. Hier wird die dargestellte LA oder LH im Vergleich zur Gesamtdarstellung ausgewertet, ohne die inhaltliche Klassifizierung vorauszusetzen. In einer Gruppe gesondert werden alle Lutrophorendarstellungen untersucht, die thematisch eindeutig zum funeralen Bereich gehören. Die aus der ersten Analyse gewonnene Annahme, dass sich LA und LH in der Verwendung unterscheiden, wird durch die zweite Analyse bestätigt und präzisiert. Für die LA kann keine eindeutige hochzeitliche Verwendung nachgewiesen werden; die LH ist das eigentliche Hochzeitsgefäss. Darüber hinaus zeigt die Untersuchung, dass alle Darstellungen einer LH oder LA inhaltlich dem nuptialen oder funeralen Kontext zugeordnet werden können; gemäss den Darstellungen wurden LA und LH nur bei Hochzeit oder Begräbnis verwendet. Nach dem hier vorgestellten Modell machen LA und LH als ikonische Zeichen eine doppelte Aussage. Sie verweisen einerseits auf den Inhalt, das hochzeitliche Wasser, und darin sind sie bedeutungsgleich. Andererseits beziehen sie sich auf die Adressaten: die LA kommt für Hochzeitsleute nicht in Frage, ihre Verwendung ist auf ehelos Verstorbene beschränkt. Die LH, das Ritualobjekt der Hochzeitsleute, kann vereinzelt auch für Verstorbene gebraucht werden. Diese zunächst irritierende Beobachtung stimmt mit den Texten gut überein, aus denen hervorgeht, dass im Ritual für ehelos Verstorbene eine Entsprechung zum Hochzeitsritual liegt; seine Bedeutung muss daher ebenfalls nuptial sein. Die Kombination von hochzeitlichen und funeralen Elementen ist daher nach dem hier vorgeschlagenen Modell im Funeralbereich - und zwar nur dort - möglich. Ebenfalls in Ãœbereinstimmung mit den Texten lassen sich die beiden Darstellungen erklären, die LA und LH gemeinsam im Miniaturformat oder in monumentaler Grösse zeigen. Da nämlich die Mitgabe der Lutrophoros für ehelos Verstorbene auf die hochzeitlichen loutrá verweist, haben beide Gefässvarianten trotz der unterschiedlichen Verwendung eine gleichwertige Bedeutung, und daraus erklärt sich die gemeinsame Darstellung beider Varianten in einem Format, das die rituelle Verwendung ausschliesst. Durch die zweÃte Analyse wird die Auffassung der geschlechtsspezifischen Verwendung von G. Kokula entkräftet. LA und LH unterscheiden sich zwar in der Verwendung, diese ist jedoch entgegen bisheriger Annahmen nicht symmetrisch. KAPITEL III Der Vergleich zwischen literarischer und ikonographischer Ãœberlieferung zeigt einerseits das bekannte Problem, dass beide Bildelemente LA und LH nicht zweifelsfrei dem Begriff loutrophóros zugewiesen werden können. Andererseits aber stimmen Bilder und Texte in bezug auf die rituelle Funktion der loutrophóros bei Hochzeit und Begräbnis in einem hohen Mass überein, so dass widersprüchliche Aussagen nicht mehr so stark ins Gewicht fallen wie bislang. Die von einigen Lexikographen - entgegen der Ãkonographisch dokumentierten LA - vorgeschlagene Kinderstatue als loutrophóros auf dem Grab ehelos Verstorbener beruht vermutlich auf der Auffassung, dass sich das Erscheinungsbild der loutrophóros als Person beziehungsweise Gestalt im HochzeÃts- und Begräbnisritual entspreche. Bei dieser erst in späterer Zeit auftretenden Meinung wird deutlich, dass der ursprünglich adjektivischen Verwendung von loutrophóros, gemäss welcher bei Hochzeit und Begräbnis völlig verschiedene Wasserträger möglich sind, nicht mehr Rechnung getragen wird. KAPITEL IV Die aus den literarischen Quellen und der ikonographischen Ãœberlieferung gezogenen Schlussfolgerungen können auch gegenüber weiteren archäologischen Gesichtspunkten, wie Gefässentwieklung und Fundorte, aufrecht erhalten bleiben. Damit würde das hier vertretene Modell unserer Forderung Rechnung tragen, dass die mit einem Ritualobjekt (hier LH und LA) verbundenen Vorstellungen kohärent sein müssen, aber eine gewisse Bandbreite von rituellen Ausführungsmodalitäten zulassen.
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Référence bibliographique : Rol, 56798