998 resultados para Giraud, Marguerite -- Correspondance


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The major objective of this study was to investigate the effects of several days of intense exercise on the growth hormone marker approach to detect doping with human growth hormone (hGH). In addition we investigated the effect of changes in plasma volume on the test. Fifteen male athletes performed a simulated nine-day cycling stage race. Blood samples were collected twice daily over a period of 15 days (stage race + three days before and after). Plasma volumes were estimated by the optimized CO Rebreathing method. IGF-1 and P-III-NP were analyzed by Siemens Immulite and Cisbio Assays, respectively. All measured GH 2000 scores were far below the published decision limits for an adverse analytical finding. The period of exercise did not increase the GH-scores; however the accompanying effect of the increase in Plasma Volume yielded in essentially lower GH-scores. We could demonstrate that a period of heavy, long-term exercise with changes in plasma volume does not interfere with the decision limits for an adverse analytical finding. Copyright © 2014 John Wiley & Sons, Ltd.

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CE is a powerful analytical tool used to separate intact biomolecules such as proteins. The coupling of CE with TOF/MS produces a very promising method that can be used to detect and identify proteins in different matrices. This paper describes an efficient, rapid, and simple CE-ESI-TOF/MS procedure for the analysis of endogenous human growth hormone and recombinant human growth hormone without sample preparation. Operational factors were optimized using an experimental design, and the method was successfully applied to distinguish human growth hormone and recombinant human growth hormone in unknown samples.

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Résumé Les rongeurs utilisent leurs moustaches (vibrisses) pour explorer le milieu environnant. Chaque moustache est mue par un système des muscles. Les récepteurs situés à sa base transmettent les informations au système nerveux central. La transmission vers l'écorce se fait via trois neurones de relais qui se trouvent au niveau du ganglion trigéminé, du tronc cérébral et du thalamus. La représentation corticale d'une vibrisse est une concentration des axones thalamo-corticaux (ATC) autour desquelles s'organisent leurs cibles, les cellules de la couche IV. La structure peut être identifiée histologiquement en coupes tangentielles et porte le nom de « barrel » (« tonneau »). Cette correspondance vibrisse - barrel fait de ce système un model idéal pour étudier l'influence de l'activité périphérique sur l'établissement et le maintien des cartes somatotopiques. Notre laboratoire dispose d'une souche de souris qui a subi une mutation spontanée pour le gène codant l'adenylyl cyclase I (ACI). Cette enzyme membranaire catalyse la formation de l'AMPc et joue un rôle important dans le guidage axonal, la libération des neurotransmetteurs et l'intégration des signaux postsynaptiques. Nous avons démontré dans un premier temps que cette souris adulte ne développe pas de barrels. Cela est dû à un manque d'organisation des ATC et aussi des cellules de la couche IV. De plus, les résultats électrophysiologiques montrent que les informations venant des vibrisses adjacentes ne sont pas intégrées d'une manière normale. Dans ce travail de thèse, j'ai analysé la morphologie des ATC révélés individuellement avec de la biocytine. L'analyse quantitative des ATC a mis en évidence les points suivants: 1. Les axones de la souris normale (NOR) quittent le thalamus, traversent la capsule interne et la substance blanche sous-corticale et pénètrent dans le cortex somato-sensoriel primaire. A l'intérieur de l'écorce ils traversent au maximum 3 colonnes corticales adjacentes dont une contient le barrel cible. En passant à travers les couches VI et V, ces axones arborisent et convergent progressivement vers le barrel dans lequel ils forment une riche arborisation. Un petit nombre des branches « errantes », pleines de boutons synaptiques, pénètrent dans les barrels voisins. Deux axones NOR provenant de corps cellulaires très proches dans le thalamus peuvent avoir un cheminement très divergent lors de la traversée de la capsule interne et de la substance blanche sous-corticale mais, à leur entrée dans le cortex, ils sont distants d'au maximum 2 colonnes corticales de la colonne qui contient le barrel cible et ils convergent progressivement vers ce barrel. 2. Les axones de la souris mutante (BRL) ont le même trajet sous-cortical que les axones NOR, mais leur entrée dans le cortex somato-sensoriel primaire est aléatoire. A l'interface entre la substance blanche sous-corticale et le cortex, l'axone principal se divise rapidement en troncs axonaux qui traversent les couches VI et V d'une manière divergente pour arriver dans la couche IV. Cela contraste beaucoup avec la trajectoire des NOR qui convergent graduellement vers leur barrel cible. Le nombre de branches radiales que les axones BRL utilisent pour entrer dans le cortex et dans la couche IV est double par rapport aux axones NOR. Parmi ces branches, seules quelques-unes donnent des arborisations, les autres ne sont pas développées et leur morphologie est semblable à celle des branches formées par les axones de la souris normale lors du développement. Deux axones BRL issus de corps cellulaires proches dans le thalamus peuvent avoir une trajectoire très divergente jusqu'à leur entrée dans la couche IV, mais à ce niveau ils sont réorientés pour se retrouver et faire un nombre maximal de branches et boutons synaptiques dans la même région corticale. Dans un cas extrême, un des axones observés est entré dans le cortex à la limite entre l'aire somatosensorielle primaire et secondaire et a parcouru une distance de 2 mm pour retrouver son partenaire thalamique et donner avec celui-ci un nombre maximal de branches dans la même région de la couche IV. 3. Les mesures quantitatives ont montré que les arborisations corticales des axones NOR ont une longueur moyenne de 18mm et sont formées par 200 segments qui portent 1200 boutons synaptiques. Par rapport à la souris NOR, les axones BRL ont en moyenne la même longueur, le même nombre de segments et boutons synaptiques, mais donnent deux fois plus de branches radiales. La surface tangentielle occupée par les arborisations BRL dans la couche IV est 2 fois plus grande que celle des NOR. Cela signifie que les 1000 boutons synaptiques qui caractérisent les arborisations NOR et BRL dans la couche IV sont disséminés sur une surface tangentielle double chez les derniers, et donc que la densité des boutons par unité de surface corticale est en moyenne plus faible. En effet, l'augmentation de la surface corticale tangentielle des BRL est due aux surfaces de faible et moyenne densité synaptique (0 - 8 boutons / 400pn2) qui augmentent 2 fois tandis que les surfaces de haute densité synaptiques (8 - 64 boutons / 4001.tm2) sont les mêmes. Nous émettons l'hypothèse selon laquelle, durant le développement, les ATC de la souris BRL divergent et forment un nombre exubérant de branches. Grâce à cette divergence et aux branches supranuméraires, ils trouvent l'endroit de l'écorce où se trouvent leurs voisins thalamiques et arborisent abondamment dans cette région. Cependant, le déficit en AGI ne leurs permet pas par la suite, sous influence de l'activité périphérique, de retirer les branches qui se trouvent dans les endroits inappropriés de l'écorce, avec de possibles conséquences sur la discrimination tactile.

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Mating systems, that is, whether organisms give rise to progeny by selfing, inbreeding or outcrossing, strongly affect important ecological and evolutionary processes. Large variations in mating systems exist in fungi, allowing the study of their origin and consequences. In fungi, sexual incompatibility is determined by molecular recognition mechanisms, controlled by a single mating-type locus in most unifactorial fungi. In Basidiomycete fungi, however, which include rusts, smuts and mushrooms, a system has evolved in which incompatibility is controlled by two unlinked loci. This bifactorial system probably evolved from a unifactorial system. Multiple independent transitions back to a unifactorial system occurred. It is still unclear what force drove evolution and maintenance of these contrasting inheritance patterns that determine mating compatibility. Here, we give an overview of the evolutionary factors that might have driven the evolution of bifactoriality from a unifactorial system and the transitions back to unifactoriality. Bifactoriality most likely evolved for selfing avoidance. Subsequently, multiallelism at mating-type loci evolved through negative frequency-dependent selection by increasing the chance to find a compatible mate. Unifactoriality then evolved back in some species, possibly because either selfing was favoured or for increasing the chance to find a compatible mate in species with few alleles. Owing to the existence of closely related unifactorial and bifactorial species and the increasing knowledge of the genetic systems of the different mechanisms, Basidiomycetes provide an excellent model for studying the different forces that shape breeding systems.

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279 paires de bases du gène du Cytochrome b ont été séquencés pour 16 individus appartenant aux différentes formes chromosomiques de S. araneaus des Alpes occidentales, à S. coronatus et à S. granarius, laquelle a conservé un caryotype primitif. Trois clones principaux ont été identifiés: CC correspond à S. coronatus, CV caractérise la rae chromosomique Valais de S. araneaus, à l'exception des individus capturés aux Houches près de Chamonix, et CA est commun à tous les autres A. araneaus analysés. S. granarius ne montre que de très faibles différences avec le groupe CA, ce qui est en contradiction avec les données de la caryologie. Le fait que le clone CA soit caractéristique d'individus de la race Valais aux Houches, alors qu'une correspondance claire entre race chromosomique et clone de mtDNA est relevée dans les zones de contact entre la race Vaud (clone CA) et la race Valais (clone CB), suggère que les contact entre la race Vaud (clone CA et la race Valais (clone CB); suggère que les chromosomes Valais ont pénétré les populations Acrocentriques par introgression, tandis qu'au Haslital, la race Valais a progressé en repoussant la race Vaud sans qu'il y ait eu échange génétique

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The Summer Olympic Games constitute the biggest concentration of human sports and activities in a particular place and time since 776 BCE, when the written history of the Olympic Games in Olympia began. Summer and Winter Olympic anti-doping laboratories, accredited by the International Olympic Committee in the past and the World Anti-Doping Agency in the present times, acquire worldwide interest to apply all new analytical advancements in the fight against doping in sports, hoping that this major human event will not become dirty by association with this negative phenomenon. This article summarizes the new analytical progresses, technologies and knowledge used by the Olympic laboratories, which for the vast majority of them are, eventually, incorporated into routine anti-doping analysis.

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Duchenne muscular dystrophy (DMD) is an X-linked genetic disease, caused by the absence of the dystrophin protein. Although many novel therapies are under development for DMD, there is currently no cure and affected individuals are often confined to a wheelchair by their teens and die in their twenties/thirties. DMD is a rare disease (prevalence <5/10,000). Even the largest countries do not have enough affected patients to rigorously assess novel therapies, unravel genetic complexities, and determine patient outcomes. TREAT-NMD is a worldwide network for neuromuscular diseases that provides an infrastructure to support the delivery of promising new therapies for patients. The harmonized implementation of national and ultimately global patient registries has been central to the success of TREAT-NMD. For the DMD registries within TREAT-NMD, individual countries have chosen to collect patient information in the form of standardized patient registries to increase the overall patient population on which clinical outcomes and new technologies can be assessed. The registries comprise more than 13,500 patients from 31 different countries. Here, we describe how the TREAT-NMD national patient registries for DMD were established. We look at their continued growth and assess how successful they have been at fostering collaboration between academia, patient organizations, and industry.