999 resultados para Ardea (Italie)
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Bibliography: p. 561-563.
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Jaarg. dropped with 81, 1993?
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1904-1922 also called anné 1-19
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Ce congrès était organisé conjointement par les deux grandes associations de développement de l'aquaculture dans le monde: la World Aquaculture Society (WAS, 2300 membres) et la European Aquaculture Society (EAS, 550 membres). Le précédent s'était tenu à Nice, en mai 2000. Il a rassemblé pendant 5 jours plus de 3000 chercheurs et responsables institutionnels de 95 nationalités. Environ 600 communications orales étaient réparties sur 67 sessions suivant un système de 11 salles en parallèle. Entre les salles de conférence étaient présentés les panneaux des 460 posters. Sur le site, l'exposition commerciale accueillait 135 entreprises et organismes; elle a reçu la visite d'environ 2000 visiteurs dont la moitié d'Italiens (source: EAS). Le thème général du congrès était le lien entre la tradition et la technologie. L'objectif était de montrer que les technologies, dont l'image est ambivalente, constituent un outil remarquable de développement de l'aquaculture, y compris en tenant compte des contraintes de durabilité. En effet, les attentes du citoyen, comme du consommateur, restent centrées autour des notions de qualité, sécurité alimentaire, bien-être et santé animale. Les travaux portaient sur les disciplines classiques de l'aquaculture (nutrition, physiologie, génétique, etc) et leur relation avec les biotechnologies. Il faut souligner l'émergence de thèmes de plus en plus liés la démonstration que l'aquaculture peut s'intégrer dans détruire (capacité de charge d'un écosystème, animaux échappés, etc) et à la perception de la société (perception du consommateur, aquaculture et société, position des ONG écologistes, etc). L'U.E. était très présente avec 5 représentants et une implication marquée dans de plusieurs sessions. Sous différentes formes, ses représentants ont rappelé la volonté de l'UE de continuer à soutenir l'aquaculture, avec l'objectif de poursuivre le développement de ce secteur (4 % de croissance moyenne par an). L'aquaculture devrait générer 8 à 10 000 emplois nouveaux sur les 15 prochaines années, notamment dans la conchyliculture et la pisciculture marine au large avec comme mot clef l'intégration dans l'environnement, dans le tissu socio-économique côtier et dans l'imaginaire des gens, touristes, consommateurs, élus, etc. Ce congrès à vocation mondiale a attiré des représentants de régions habituellement peu représentées comme le Moyen Orient et la Chine, présente à de nombreuses sessions. Il a été aussi le lieu de multiples réunions satellites impliquant presque toujours des chercheurs français: grands programmes européens en cours comme SeaFood+, ASEM (coop. Europe - Asie) ou Consensus, assemblée générale de l'EAS, groupe de travail de l'UICN, etc. Ce type de réunion confirme l'importance des contacts personnels directs pour 1. Evaluer les grandes tendances mondiales du secteur 2. Etablir des contacts directs avec des chercheurs seniors des grandes équipes de recherche et des décideurs au niveau européen et extra-européen 3. Tester des idées et des projets de collaboration et de partenariat Il constitue un forum exceptionnel de diffusion de connaissances, d'informations et de messages. Il offre un espace de perception et de reconnaissance d'Ifremer par de nombreux acteurs de la communauté de recherche en aquaculture. Grâce à la variété thématique des sessions où des chercheurs d'Ifremer sont actifs, l'institut renforce sa notoriété notamment dans la dimension pluridisciplinaire. Cette capacité d'ensemblier est la qualité la plus demandée dans les conclusions d'ateliers et la plus rare dans les instituts présents. Le congrès révèle bien l'évolution de l'aquaculture mondiale: il y a 10 ans, la production de masse était au Sud et la technologie et les marchés au Nord (USA, Europe, Japon). Aujourd'hui, la progression économique et scientifique rapide des pays du Sud, surtout en Asie, crée des marchés locaux .solvables pour l'aquaculture (Chine, Inde) et fait émerger une capacité de recherche « de masse». Cette situation exige que la recherche occidentale évolue pour rester compétitive. Pour préserver un secteur important, qui concourt à la sécurité alimentaire en protéines de manière croissante (4% par an, record de toutes les productions alimentaires), la recherche européenne en aquaculture doit maintenir son effort afin de garder une longueur d'avance, surtout dans les secteurs qui seront vitaux dans la décennie: relations avec l'environnement naturel (durabilité dont la maîtrise des coûts énergétiques), qualité des produits, sécurité alimentaire, intégration socio-économique dans des espaces de plus en plus convoités, maîtrise de l'image de l'espèce « cultivée» (industrielle mais contrôlée) par rapport à l'image de l'espèce « sauvage» (naturelle mais polluée et surexploitée). En conséquence, l'UE conserve tout son potentiel de développement car l'essentiel de la valeur ajoutée sera de moins en moins dans la production en quantité mais dans sa maîtrise de la qualité. Cette évolution donne toute sa valeur à la recherche menée par Ifremer et ce d'autant plus que l'institut sera capable d'anticiper les besoins et les attentes des entreprises, des consommateurs, des associations comme des organisations internationales. Dans cette vision, réactivité, capacité d'ensemblier et réflexion prospective sont les qualités à développer pour que l'lfremer puisse donner toute sa mesure notamment dans la recherche en aquaculture. Ces enjeux sont à l'échelle internationale et Ifremer fait partie du petit nombre d'instituts capables de les traiter en large partenariat, en accord complet avec la politique souhaitée par l'UE
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O objetivo deste trabalho é explorar a temática da valorização do patrimônio arquitetónico, herdado pela indústria da seda, baseando-se na história das técnicas, na gestão e na valorização do patrimônio industrial. É a partir do estudo de duas fábricas de seda na Europa: o Filatoio di Caraglio em Itália (data de construção: 1676-1678) e o Real Filatório de Chacim em Portugal (data de construção: 1788) que serão discutidas as estratégias encontradas para a conservação/restauração dos dois casos em questão, com base em suas histórias e contextos atuais. O Filatoio di Caraglio é uma das fábricas de seda mais antigas da Europa tendo como técnica o moinho alia piemontese publicado na Encyclopédie como uma das melhores invenções. No caso do Real Filatório de Chacim, constata-se que a introdução deste moinho por meio de técnicos italianos constituiu uma transferência tecnológica entre os dois países. RÉSUMÉ: L'objective de ce travail est d'explorer la thématique de la mise en valeur du patrimoine architectural hérité de industrie de la soie en se basent sur l'histoire des techniques, la gestion et la valorisation du patrimoine industriei. C'est à partir de l'étude de deux fabriques à soie en Europe: le Filatoio di Caraglio en Italie (date de construction: 1676-1678) et le Real Filatório de Chacim au Portugal (date de construction: 1788) que sont discutées les stratégies employées pour la conservation/restauration de ces deux cas basées sur leur histoire et sur les contextes actuels. Le Filatoio di Caraglio est une des soieries plus anciennes de l'Europe et était caractérisée par une technique du moulin alla piemontese publié dans l'Encyclopédie come une des meilleures inventions. Dans le cas du Real Filatório de Chacim, on constate que l'introduction de ce type de moulin par des techniciens italiens a constitué un transfert technique entre les deux pays. ABSTRACT: The purpose of this research is to examine the enhancement of architectural heritage inherited from the silk industry, focusing on technical history, and the management and valorization of industrial heritage. Conservation/restoration strategies are discussed by analyzing solutions proposed in two European silk mills: The Filatoio di Caraglio, in Italy (date of construction: 1676-1678) and the Real Filatório de Chacim, in Portugal (date of construction: 1788), taking into consideration their histories and current context. While the former is one of the oldest European silk mills, employing the alla piemontese technique, which was praised by the Encyclopédie, the latter was set up by ltalian technicians, establishing a technology transfer between the two countries.