984 resultados para Rameau, Jean François, b. 1716
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Understanding infertility and sterility requires knowledge of the molecular mechanisms underlying sexual reproduction. We have found that male mice deficient for the gene encoding the protease inhibitor protease nexin-1 (PN-1) show a marked impairment in fertility from the onset of sexual maturity. Absence of PN-1 results in altered semen protein composition, which leads to inadequate semen coagulation and deficient vaginal plug formation upon copulation. Progressive morphological changes of the seminal vesicles also are observed. Consistent with these findings, abnormal PN-1 expression was found in the semen of men displaying seminal dysfunction. The data demonstrate that the level of extracellular proteolytic activity is a critical element in controlling male fertility.
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We have determined the solution structure of the C-terminal quarter of human poly(A)-binding protein (hPABP). The protein fragment contains a protein domain, PABC [for poly(A)-binding protein C-terminal domain], which is also found associated with the HECT family of ubiquitin ligases. By using peptides derived from PABP interacting protein (Paip) 1, Paip2, and eRF3, we show that PABC functions as a peptide binding domain. We use chemical shift perturbation analysis to identify the peptide binding site in PABC and the major elements involved in peptide recognition. From comparative sequence analysis of PABC-binding peptides, we formulate a preliminary PABC consensus sequence and identify human ataxin-2, the protein responsible for type 2 spinocerebellar ataxia (SCA2), as a potential PABC ligand.
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The decrease with age of the adrenal-secreted dehydroepiandrosterone sulfate (DHEAS) in serum has suggested that it may be causally related to longevity. For the PAQUID [People (Personnes) Aged (Agées) About What (Quid, in Latin)] cohort of elderly subjects, we have previously reported higher DHEAS in men than in women, a decrease with age and, among men, a negative correlation between the DHEAS level and mortality at 2 and 4 years. Here, with an 8-year followup in 290 subjects, we show a global decrease of 2.3% per year for men and 3.9% per year for women. However, in approximately 30% of cases, there was an increase of DHEAS. We observed no relationship between the evolution of DHEAS level and functional, psychological, and mental status, possibly because of selection by death. In women, no association was found between mortality and DHEAS level. In men, the relative risk (RR) of death was higher for the lowest levels of DHEAS (RR = 1.9, P = 0.007), with RR = 6.5, P = 0.003 for those under 70 years old, a result indicating heterogeneity of the population. There was an effect of subjective health on mortality that disappeared after adjustment of DHEAS levels, suggesting its relation with these DHEAS levels. Death RR was much higher in smokers with a low DHEAS level than in nonsmokers with high DHEAS (RR = 6.7, P = 0.001). We submit that the involvement of DHEAS is possibly different according to gender, that association between low DHEAS level and mortality only for men under 70 years old possibly reflects heterogeneity of the population, and that DHEAS level is a reliable predictor of death in male smokers.
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tragédie mise en musique par Mr. Rameau.
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mise en musique par Monsieur Rameau.
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mise en musique par M. Rameau.
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[musique] par M. Rameau.
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Le cannabis produit de nombreux effets psychologiques et physiologiques sur le corps humain. Les molécules contenues dans cette plante, désignées comme « phytocannabinoïdes », activent un système endogène qu’on appelle le système endocannabinoïde (eCB). Les effets de la consommation de cannabis sur la vision ont déjà été décrits sans cependant de formulation sur les mécanismes sous-jacents. Ces résultats comportementaux suggèrent, malgré tout, la présence de ce système eCB dans le système visuel, et particulièrement dans la rétine. Cette thèse vise donc à caractériser l’expression, la localisation et le rôle du système eCB dans la rétine du singe vervet, une espèce animale ayant un système visuel semblable à celui de l’humain. Nous avons mis au point un protocole expérimental d’immunohistochimie décrit dans l’article apparaissant dans l’Annexe I que nous avons utilisé pour répondre à notre objectif principal. Dans une première série de quatre articles, nous avons ainsi caractérisé l’expression et la localisation de deux récepteurs eCBs reconnus, les récepteurs cannabinoïdes de type 1 (CB1R) et de type 2 (CB2R), et d’un 3e présumé récepteur aux cannabinoïdes, le récepteur GPR55. Dans l’article 1, nous avons démontré que CB1R et une enzyme clé de ce système, la fatty acid amide hydrolase (FAAH), sont exprimés dans les parties centrale et périphérique de la rétine, et abondamment présents dans la fovéa, une région où l’acuité visuelle est maximale. Dans l’article 2, nous avons localisé le CB2R dans des cellules gliales de la rétine : les cellules de Müller et nous avons proposé un modèle sur l’action de cette protéine dans la fonction rétinienne faisant appel à une cascade chimique impliquant les canaux potassiques. Dans l’article 3, nous avons observé le GPR55 exclusivement dans les bâtonnets qui sont responsables de la vision scotopique et nous avons soumis un deuxième modèle de fonctionnement de ce récepteur par le biais d'une modulation des canaux calciques et sodiques des bâtonnets. Vu que ces 3 récepteurs se retrouvent dans des cellules distinctes, nous avons suggéré leur rôle primordial dans l’analyse de l’information visuelle au niveau rétinien. Dans l’article 4, nous avons effectué une analyse comparative de l’expression du système eCB dans la rétine de souris, de toupayes (petits mammifères insectivores qui sont sont considérés comme l’étape intermédiaire entre les rongeurs et les primates) et de deux espèces de singe (le vervet et le rhésus). Ces résultats nous ont menés à présenter une hypothèse évolutionniste quant à l’apparition et à la fonction précise de ces récepteurs. Dans les articles subséquents, nous avons confirmé notre hypothèse sur le rôle spécifique de ces trois récepteurs par l’utilisation de l’électrorétinographie (ERG) après injection intravitréenne d’agonistes et d’antagonistes de ces récepteurs. Nous avons conclu sur leur influence indéniable dans le processus visuel rétinien chez le primate. Dans l’article 5, nous avons établi le protocole d’enregistrement ERG normalisé sur le singe vervet, et nous avons produit un atlas d’ondes ERG spécifique à cette espèce, selon les règles de l’International Society for Clinical Electrophysiology of Vision (ISCEV). Les patrons électrorétinographiques se sont avérés semblables à ceux de l’humain et ont confirmé la similarité entre ces deux espèces. Dans l’article 6, nous avons démontré que le blocage de CB1R ou CB2R entraine une modification de l’électrorétinogramme, tant au niveau photopique que scotopique, ce qui supporte l’implication de ces récepteurs dans la modulation des ondes de l’ERG. Finalement, dans l’article 7, nous avons confirmé le modèle neurochimique proposé dans l’article 3 pour expliquer le rôle fonctionnel de GPR55, en montrant que l’activation ou le blocage de ce récepteur, respectivement par un agoniste (lysophosphatidylglucoside, LPG) ou un antagoniste (CID16020046), entraine soit une augmentation ou une baisse significative de l’ERG scotopique seulement. Ces données, prises ensemble, démontrent que les récepteurs CB1R, CB2R et GPR55 sont exprimés dans des types cellulaires bien distincts de la rétine du singe et ont chacun un rôle spécifique. L’importance de notre travail se manifeste aussi par des applications cliniques en permettant le développement de cibles pharmacologiques potentielles dans le traitement des maladies de la rétine.
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Les néoplasies pulmonaires demeurent la première cause de décès par cancer au Québec représentant près de 6000 décès par année. Au cours des dernières années, la radiothérapie stéréotaxique d’ablation (SABR) s’est imposée comme un traitement alternatif à la résection anatomique pour les patients inopérables atteints d’un cancer pulmonaire non à petites cellules de stade précoce. Il s’agit d’une modalité de traitement qui permet d’administrer des doses élevées, typiquement 30-60 Gy en 1-8 fractions, dans le but de cibler précisément le volume de traitement tout en épargnant les tissus sains. Le Centre Hospitalier de l’Université de Montréal s’est muni en 2009 d’un appareil de SABR de fine pointe, le CyberKnife™ (CK), un accélérateur linéaire produisant un faisceau de photons de 6 MV dirigé par un bras robotisé, permettant d’administrer des traitements non-coplanaires avec une précision infra-millimétrique. Ce mémoire est dédié à la caractérisation de certains enjeux cliniques et physiques associés au traitement par CK. Il s’articule autour de deux articles scientifiques revus par les pairs. D’une part, une étude prospective clinique présentant les avantages de la SABR pulmonaire, une technique qui offre un excellent contrôle tumoral à long terme et aide au maintien de la qualité de vie et de la fonction pulmonaire. D’autre part, une étude de physique médicale illustrant les limites de l’acquisition d’images tomodensitométriques en auto-rétention respiratoire lors de la planification de traitement par CK.
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Ce mémoire a pour but de déterminer des nouvelles méthodes de détection de rupture et/ou de tendance. Après une brève introduction théorique sur les splines, plusieurs méthodes de détection de rupture existant déjà dans la littérature seront présentées. Puis, de nouvelles méthodes de détection de rupture qui utilisent les splines et la statistique bayésienne seront présentées. De plus, afin de bien comprendre d’où provient la méthode utilisant la statistique bayésienne, une introduction sur la théorie bayésienne sera présentée. À l’aide de simulations, nous effectuerons une comparaison de la puissance de toutes ces méthodes. Toujours en utilisant des simulations, une analyse plus en profondeur de la nouvelle méthode la plus efficace sera effectuée. Ensuite, celle-ci sera appliquée sur des données réelles. Une brève conclusion fera une récapitulation de ce mémoire.
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Ce texte examine la croyance largement répandue selon laquelle les humains n'utiliseraient que 10 % de leur cerveau. Le texte comprend quatre parties. Les deux premières parties évaluent l'ampleur du «mythe du 10 %» et en retracent les origines. La troisième partie montre que cette croyance n'est nullement justifiée en passant successivement en revue les connaissances concernant l'anatomie et la physiologie du cerveau, la plasticité cérébrale ainsi que des données sur l'évolution. La dernière partie évoque quelques raisons de la persistance du mythe du 10 %.
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In plant cells, as in all other cells, proteins are submitted to permanent turnover, and the intracellular content of a given protein depends on its rate of both synthesis and degradation. The life time of most proteins is shorter than that of the cell. Thus, in young leaves of Lemna minor, the average half-life of protein was estimated to be 7 days, and it was shorter under stress conditions (Davies 1982). Such observations mean that nitrogen and amino acid fluxes are both cylic and permanent. Although protein turnover may appear wasteful, in terms of energy, numerous studies have shown that proteolysis provides multiple functions in cell physiology, and is an essential regulatory mechanism of cell metabolism and development.
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Introduction: Self-help computer-based programs are easily accessible and cost-effective interventions with a great recruitment potential. However, each program is different and results of meta-analyses may not apply to each new program; therefore, evaluations of new programs are warranted. The aim of this study was to assess the marginal efficacy of a computer-based, individually tailored program (the Coach) over and above the use of a comprehensive Internet smoking cessation website. Methods: A two-group randomized controlled trial was conducted. The control group only accessed the website, whereas the intervention group received the Coach in addition. Follow-up was conducted by e-mail after three and six months (self-administrated questionnaires). Of 1120 participants, 579 (51.7%) responded after three months and 436 (38.9%) after six months. The primary outcome was self-reported smoking abstinence over four weeks. Results: Counting dropouts as smokers, there were no statistically significant differences between intervention and control groups in smoking cessation rates after three months (20.2% vs. 17.5%, p¼0.25, odds ratio (OR)¼1.20) and six months (17% vs. 15.5%, p¼0.52, OR¼1.12). Excluding dropouts from the analysis, there were statistically significant differences after three months (42% vs. 31.6%, p¼0.01, OR¼1.57), but not after six months (46.1% vs. 37.8%, p¼0.081, OR¼1.41). The program also significantly increased motivation to quit after three months and self-efficacy after three and six months. Discussion: An individually tailored program delivered via the Internet and by e-mail in addition to a smoking cessation website did not significantly increase smoking cessation rates, but it increased motivation to quit and self-efficacy.