934 resultados para Organisation séquentielle auditive


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What explains Germany’s superb export performance? Is Germany’s export behaviour very distinct compared to other European countries? The authors explore the organisational responses to competition of 14,000 exporting firms in seven European countries. The paper examines the export business model of the median exporter and of the top one percent exporters in each country, accounting for 20 percent to 55 percent of total exports. What do these firms do to become superstars? The authors find, first, that the export market share of the median exporter in each of the countries to the world more than tripled (in some cases the export market share increases tenfold) for firms that combine decentralised management with offshoring of production to low-wage countries. Exporters which abstain from any organisational adjustment do very badly. Decentralised management provides incentives for workers for product improvements allowing exporters to compete on quality. Offshoring production to low-wage countries reduces costs allowing exporters to compete on price. Second, we find that Germany is the leading quality exporter in Europe followed by Austria and Spain. Among the top 10 percent of exporters there is no single firm with low quality in Germany and Austria, which suggest that decentralised management has provided incentives for quality in these countries. Third, Germany’s exports are less vulnerable to price increases, while exports from France and Italy respond strongly to price changes, and thus costs reductions via offshoring benefits these countries most.

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Primary treatment of rectal cancer was the focus of the second St. Gallen European Organisation for Research and Treatment of Cancer (EORTC) Gastrointestinal Cancer Conference. In the context of the conference, a multidisciplinary international expert panel discussed and voted on controversial issues which could not be easily answered using published evidence. Main topics included optimal pretherapeutic imaging, indication and type of neoadjuvant treatment, and the treatment strategies in advanced tumours. Here we report the key recommendations and summarise the related evidence. The treatment strategy for localised rectal cancer varies from local excision in early tumours to neoadjuvant radiochemotherapy (RCT) in combination with extended surgery in locally advanced disease. Optimal pretherapeutic staging is a key to any treatment decision. The panel recommended magnetic resonance imaging (MRI) or MRI + endoscopic ultrasonography (EUS) as mandatory staging modalities, except for early T1 cancers with an option for local excision, where EUS in addition to MRI was considered to be most important because of its superior near-field resolution. Primary surgery with total mesorectal excision was recommended by most panellists for some early tumours with limited risk of recurrence (i.e. cT1-2 or cT3a N0 with clear mesorectal fascia on MRI and clearly above the levator muscles), whereas all other stages were considered for multimodal treatment. The consensus panel recommended long-course RCT over short-course radiotherapy for most clinical situations where neoadjuvant treatment is indicated, with the exception of T3a/b N0 tumours where short-course radiotherapy or even no neoadjuvant therapy were regarded to be an option. In patients with potentially resectable tumours and synchronous liver metastases, most panel members did not see an indication to start with classical fluoropyrimidine-based RCT but rather favoured preoperative short-course radiotherapy with systemic combination chemotherapy or alternatively a liver-first resection approach in resectable metastases, which both allow optimal systemic therapy for the metastatic disease. In general, proper patient selection and discussion in an experienced multidisciplinary team was considered as crucial component of care.

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L’objectif de cette thèse est l’étude du développement de l’attention auditive et des capacités de discrimination langagière chez l’enfant né prématurément ou à terme. Les derniers mois de grossesse sont particulièrement importants pour le développement cérébral de l’enfant et les conséquences d’une naissance prématurée sur le développement peuvent être considérables. Les enfants nés prématurément sont plus à risque de développer une variété de troubles neurodéveloppementaux que les enfants nés à terme. Même en l’absence de dommages cérébraux visibles, de nombreux enfants nés avant terme sont à risque de présenter des troubles tels que des retards langagiers ou des difficultés attentionnelles. Dans cette thèse, nous proposons donc une méthode d’investigation des processus préattentionnels auditifs et de discrimination langagière, à l’aide de l’électrophysiologie à haute densité et des potentiels évoqués auditifs (PEAs). Deux études ont été réalisées. La première visait à mettre sur pied un protocole d’évaluation de l’attention auditive et de la discrimination langagière chez l’enfant en santé, couvrant différents stades de développement (3 à 7 ans, 8 à 13 ans, adultes ; N = 40). Pour ce faire, nous avons analysé la composante de Mismatch Negativity (MMN) évoquée par la présentation de sons verbaux (syllabes /Ba/ et /Da/) et non verbaux (tons synthétisés, Ba : 1578 Hz/2800 Hz ; Da : 1788 Hz/2932 Hz). Les résultats ont révélé des patrons d’activation distincts en fonction de l’âge et du type de stimulus présenté. Chez tous les groupes d’âge, la présentation des stimuli non verbaux a évoqué une MMN de plus grande amplitude et de latence plus rapide que la présentation des stimuli verbaux. De plus, en réponse aux stimuli verbaux, les deux groupes d’enfants (3 à 7 ans, 8 à 13 ans) ont démontré une MMN de latence plus tardive que celle mesurée dans le groupe d’adultes. En revanche, en réponse aux stimuli non verbaux, seulement le groupe d’enfants de 3 à 7 ans a démontré une MMN de latence plus tardive que le groupe d’adulte. Les processus de discrimination verbaux semblent donc se développer plus tardivement dans l’enfance que les processus de discrimination non verbaux. Dans la deuxième étude, nous visions à d’identifier les marqueurs prédictifs de déficits attentionnels et langagiers pouvant découler d’une naissance prématurée à l’aide des PEAs et de la MMN. Nous avons utilisé le même protocole auprès de 74 enfants âgés de 3, 12 et 36 mois, nés prématurément (avant 34 semaines de gestation) ou nés à terme (au moins 37 semaines de gestation). Les résultats ont révélé que les enfants nés prématurément de tous les âges démontraient un délai significatif dans la latence de la réponse MMN et de la P150 par rapport aux enfants nés à terme lors de la présentation des sons verbaux. De plus, les latences plus tardives de la MMN et de la P150 étaient également corrélées à des performances langagières plus faibles lors d’une évaluation neurodéveloppementale. Toutefois, aucune différence n’a été observée entre les enfants nés à terme ou prématurément lors de la discrimination des stimuli non verbaux, suggérant des capacités préattentionnelles auditives préservées chez les enfants prématurés. Dans l’ensemble, les résultats de cette thèse indiquent que les processus préattentionnels auditifs se développent plus tôt dans l'enfance que ceux associés à la discrimination langagière. Les réseaux neuronaux impliqués dans la discrimination verbale sont encore immatures à la fin de l'enfance. De plus, ceux-ci semblent être particulièrement vulnérables aux impacts physiologiques liés à la prématurité. L’utilisation des PEAs et de la MMN en réponse aux stimuli verbaux en bas âge peut fournir des marqueurs prédictifs des difficultés langagières fréquemment observées chez l’enfant prématuré.

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Dissertaton, Erlangen.

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