998 resultados para Ivan Turnipseed


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Back Row: John MacNeil (Coach), John MacNail Jr, John Murray, Joel Walton, Frank Cipriano, Benny Grossi, Rino Berardi, Louis Famelos, Doug Rowan, Ron Di Felice Front Row: Ivan Hunt, Roger Vanoostveen, Dave Gibson, Joe Perri, Kent Mayhew, Jim Baldassarro, Guenther Baur Absent: Neil Dunsmore

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Individuals in the photograph are identified as follows: Front Row, L to R: Stuart McDonald, Pete Burtch, Carl Schwenker, Bill Davey, Jim Barnes, ? McDonald, Marie Youngblutt, Lorraine Havens, Margaret Sinclair, Carla Prince, Verna Sinclair, Helen Welsh, Margaret Welsh, Elsie Backshall, Smith girl, Amy McDonald. 2nd Row, L to R: Nelson Sinclair, Gordon Wilson, Ivan Burtch, ? Smith, George Corman, Roy Burtch, Mort Corman, Bob Bell, ?Wilson, Jim Combe, Murray Combe, Jack High, George Welsh, Larry Downes, Gordon Schwenker, Albert Davey, Harvey Davey. Back Row, L to R: Bert Sinclair, Jim Mason, Len Corman, Johnny Corman, David Hallett, Lloyd Graham, Paul Harndon?, Gordon Dormes, George Bell, Doug Garriock, ?McDonald, Mary? Honsberger, Mary Backus, Hilda Wilson. The teacher may be Beatrice Armstrong. Fairview School was built in 1919 in Louth Township, Lincoln County, Ont. It may have been built around the time the county constructed other schools, namely, Grapeview and Glenridge. Nicholson and Macbeth may have been the architects of this school, as some features on the building, ie. the carved stone children’s faces below the lintel of the front door , appear in another known and proven Nicholson and Macbeth building, the former YMCA on Queen Street in St. Catharines. The school remained in operation until 1979 when it was purchased for a church, the Fairview-Louth Community church, which later became Southridge Community church, now located on Glenridge Avenue, St. Catharines, Ont. Today the building is occupied by the Niagara Korean Presbyterian Church.

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The John O. McKellar was a ship that belonged to the Scott Misener fleet. The first ship named after McKellar was launched on Januaray 25, 1929, from Wallsend, England, and was bound for Sault St. Marie, Ontario. This ship became part of the Colonial Steamship Company in 1950, and in 1952 was renamed the J.G. Irwin when construction of a new John O. McKellar was completed. John Oscar McKellar was born on June 28, 1878 in Lobo Township, Middlesex County, west of London, Ont. He worked as a marine engineer, and became acquainted with Robert Scott Misener when the two were shipmates serving with the Algoma central fleet. In 1919, the two men joined forces to run a shipping company. Together, they purchased the wooden steamer "Simon Langell", and worked together on the ship for the next three years. Throughout his career with Misener's company, John McKellar served as Chief Engineer, then Marine Superintendent, and finally Secretary-Treasurer. He died on September 19, 1951.

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Fairview School (9th Street Louth, St. Catharines, Ontario) photograph, ca. 1933 Individuals in the photograph are identified as follows: Front Row, L to R: Stuart McDonald, Pete Burtch, Carl Schwenker, Bill Davey, Jim Barnes, ? McDonald, Marie Youngblutt, Lorraine Havens, Margaret Sinclair, Carla Prince, Verna Sinclair, Helen Welsh, Margaret Welsh, Elsie Backshall, Smith girl, Amy McDonald. 2nd Row, L to R: Nelson Sinclair, Gordon Wilson, Ivan Burtch, ? Smith, George Corman, Roy Burtch, Mort Corman, Bob Bell, ?Wilson, Jim Combe, Murray Combe, Jack High, George Welsh, Larry Downes, Gordon Schwenker, Albert Davey, Harvey Davey. Back Row, L to R: Bert Sinclair, Jim Mason, Len Corman, Johnny Corman, David Hallett, Lloyd Graham, Paul Harndon?, Gordon Dormes, George Bell, Doug Garriock, ?McDonald, Mary? Honsberger, Mary Backus, Hilda Wilson. The teacher may be Beatrice Armstrong.

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The gift plate in the front of the book indicates that the book is from Walker’s Drug Store, Niagara Falls, Ontario. Walker’s Drug Company was founded in 1925 by Ivan T. Walker. The dates of this book indicate that it is more likely to have come from A.C. Thorburn, Chemist and Druggist. A.C. Thorburn purchased Smith’s Pharmacy and Pursel and Company Dry Goods Store at the corner of Main Street and Lundy’s Lane in Niagara Falls, Ontario. In 1900, Pursel moved out and Thorburn’s Drug Store came into being. Ivan T. Walker, founder of Walker’s Drugs was employed by Thorburn Drugs in his teen years. The local doctors whose prescriptions are in the book include: J. H. McGarry; F.W.E. Wilson; C. F. Abraham; W.E. Olmsted; W.W. Thompson; Dr. Robb, dentist; Horace R. Elliot, physician and surgeon and Dr. Sutherland, eye, ear nose and throat specialist

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Tesis (Maestría en Ciencias de la Ingeniería Mecánica con especialidad en Materiales) UANL, 2013.

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UANL

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UANL

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Un résumé en anglais est également disponible. Le présent document a été présenté pour l'obtention du diplôme de Maîtrise en droit. Le ménoire a été accepté et classé parmi les 5% de la discipline.

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La Securities and Exchange Commission vient d’étendre la possibilité pour les sociétés américaines cotées de refuser d’inclure dans les sollicitations de procuration les propositions des actionnaires concernant l’élection des administrateurs. Alors que ce thème fait débat et que l’autorité américaine ne s’était que peu prononcée, celle-ci propose une rédaction nouvelle de l’article 14a-8(i)(8) applicable depuis le 10 janvier 2008. Cette prise de position de la Securities and Exchange Commission offre l’opportunité d’analyser l’état de la gouvernance des entreprises américaines en matière d’élection de la direction et de constater que le pouvoir des actionnaires, bien que restreint par cette modification règlementaire, est revigoré en parallèle par le développement du « majority vote system ». La confrontation de ces deux orientations fait apparaître leur complémentarité sous-jacente et le fait que les actionnaires sont, au final, loin d’être dépourvus de moyens efficaces pour mettre en œuvre un activisme. C’est autour des mutations profondes que subit le paysage juridique entourant le pouvoir des actionnaires au moment de l’élection du conseil d’administration que cet écrit est orienté.

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Aux frontières de la réflexion éthique se situe celle sur le droit des affaires et la gouvernance d’entreprise. Les droits français et nord-américains des entreprises matérialisent un souci d’éthique dans la perception qu’ils offrent de l’équilibre des pouvoirs au sein de la firme. La définition de la finalité des pouvoirs des dirigeants relevant de la corporate governance suscite une éthique liée à cette finalité. En concevant l’entreprise comme une construction collective où doivent intervenir les stakeholders, les instruments juridiques introduisent l’éthique dans la prise de décision des dirigeants et créent un sentiment de développement et de citoyenneté collectifs. La saisine par le monde juridique des paradigmes de la stakeholder theory et de la responsabilité sociale des entreprises témoigne d’une composante sociale caractérisant l’entreprise et consacre l’avènement d’une entreprise nouvelle que certains qualifient d’« entreprise du troisième type ». Loin de n’être qu’une « tour d’ivoire », cette entreprise dispose (par l’intermédiaire de l’espace discrétionnaire dont les dirigeants jouissent dans leur pouvoir de décision) des moyens efficients pour se préoccuper du bien commun et adopter un comportement éthique.

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L’actualité juridique européenne et française en matière de développement durable conduit à un paradoxe. D’un côté, il ne peut être nié que le développement durable imprègne tant le droit européen que français. Illustration prise des évolutions récentes du droit français des affaires, force est de constater que le développement durable est devenu une réalité incontournable sur la scène juridique. D’un autre côté, le développement durable est source d’interrogations. Premièrement, sa place sur l’échiquier européen se révèle incertaine. Deuxièmement, cette notion s’entoure de brume lorsqu’il s’agit de la définir précisément. Malgré ces interrogations qui demeurent, le développement durable est omniprésent et contribue chaque à faire évoluer le droit et ce, au point qu’il est possible d’affirmer que le siècle qui s’annonce est bel et bien celui du développement durable.

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Attendue, débattue, décriée … l’impulsion française de ces dernières années tendant à faire du salarié un acteur à part entière de l’entreprise interpelle. En effet, le microcosme de la firme s’en trouve bouleversé et l’évidence d’une réalité sociale condamnée à évoluer pose la nécessité de rechercher un nouvel équilibre. Reste à disséquer les implications de cette tendance récente, à en comprendre les fondements et à en mesurer les enjeux. Le dispositif juridique français est animé d’une préoccupation qui ne cesse de prendre de l’ampleur depuis la fin des années 2000 : faire du salarié un partenaire impliqué dans la vie de l’entreprise. L’étude de cette perception innovante d’une gouvernance axée sur la collaboration des salariés ne peut être menée sans appréhender les travaux de l’OCDE qui, dans ses Principes de gouvernement d’entreprise, fournit une grille d’analyse complète. En conséquence, le droit s’inscrit en droite ligne des nombreux écrits d’autres disciplines prônant une implication croissante des employés. Toutefois, l’accélération de la prise en compte des salariés dont témoignent les textes récemment adoptés en France rend complexe la synthèse de ce phénomène.

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Corporate law integrates a stakeholder conception through the comprehensive meaning of the best interests of the corporation. In this paper, I address criticisms about classical definition of the firm’s purpose. Even if American law is more discreet and uncertain, it is possible to defend a broad conception of the best interests of the corporation. The interests of Canadian and French firms include their partners. While the notion of intérêt social is debatable in France, Canada has recently modified its point of view regarding the purpose of the firm. Indeed, the decision of the Supreme Court of Canada Magasins à rayons Peoples Inc. (Syndic de) v. Wise in 2004 changed the concept of corporate law. With respect to fiduciary duties, the Supreme Court set aside the traditional interpretation of the “best interests of the corporation” which gave primacy to shareholders’ interests. The Court held that the expression “best interests of the corporation” refers to the maximization of the corporation’s value. This innovative vision of the best interest of the corporation introduces stakeholder theory and corporate social responsibility (CSR) into corporate law and provides a new field for the firm’s management to frame their responsibilities. This paper concludes with an extended discussion of the implications of stakeholder and CSR influence for the future of corporate law, economy and financial researches.