853 resultados para transition, stress, social support, self-efficacy, high school, university
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Non-suicidal self-injury (NSSI), such as cutting and burning, is a widespread social problem among lesbian, gay, bisexual, transgender, queer, and questioning (LGBTQ) youth. Extant research indicates that this population is more than twice as likely to engage in NSSI than heterosexual and cisgender (non-transgender) youth. Despite the scope of this social problem, it remains relatively unexamined in the literature. Research on other risk behaviors among LGBTQ youth indicates that experiencing homophobia and transphobia in key social contexts such as families, schools, and peer relationships contributes to health disparities among this group. Consequently, the aims of this study were to examine: (1) the relationship between LGBTQ youth's social environments and their NSSI behavior, and (2) whether/how specific aspects of the social environment contribute to an understanding of NSSI among LGBTQ youth. This study was conducted using an exploratory, sequential mixed methods design with two phases. The first phase of the study involved analysis of transcripts from interviews conducted with 44 LGBTQ youth recruited from a community-based organization. In this phase, five qualitative themes were identified: (1) Violence; (2) Misconceptions, Stigma, and Shame; (3) Negotiating LGBTQ Identity; (4) Invisibility and Isolation; and (5) Peer Relationships. Results from the qualitative phase were used to identify key variables and specify statistical models in the second, quantitative, phase of the study, using secondary data from a survey of 252 LGBTQ youth. The qualitative phase revealed how LGBTQ youth, themselves, described the role of the social environment in their NSSI behavior, while the quantitative phase was used to determine whether the qualitative findings could be used to predict engagement in NSSI among a larger sample of LGBTQ youth. The quantitative analyses found that certain social-environmental factors such as experiencing physical abuse at home, feeling unsafe at school, and greater openness about sexual orientation significantly predicted the likelihood of engaging in NSSI among LGBTQ youth. Furthermore, depression partially mediated the relationships between family physical abuse and NSSI and feeling unsafe at school and NSSI. The qualitative and quantitative results were compared in the interpretation phase to explore areas of convergence and incongruence. Overall, this study's findings indicate that social-environmental factors are salient to understanding NSSI among LGBTQ youth. The particular social contexts in which LGBTQ youth live significantly influence their engagement in this risk behavior. These findings can inform the development of culturally relevant NSSI interventions that address the social realities of LGBTQ youth's lives.
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Introduction : Les adolescents avec déficiences physiques en transition vers la vie adulte éprouvent des difficultés à établir une participation sociale optimale. Cette étude explore les retombées d'un programme de cirque social sur la participation sociale de ces jeunes selon leur point de vue et celui de leurs parents. Méthode : Étude qualitative exploratoire d’orientation phénoménologique. Neuf personnes avec déficiences physiques, âgées de 18 et 25 ans, ont participé au programme pendant neuf mois. Données recueillies : perceptions de leur qualité de participation sociale à partir d’entrevues semi-structurées en pré, mi-temps et post-intervention avec les participants et un de leurs parents. Le guide d’entrevue validé est ancré sur le Modèle du développement humain- Processus de production du handicap - 2 (HDM-PPH2). L’enregistrement audio des entretiens a été transcrit en verbatim. Le contenu a été analysé avec le logiciel Nvivo 9 à travers une grille de codage préalablement validée (co-codage, codage-inverse). Résultats : Corpus de 54 entrevues. L’âge moyen des jeunes était de 20,0 ± 1,4 années et de 51 ± 3,6 années pour les parents. Selon tous, la participation sociale des jeunes adultes a été optimisée, surtout sur le plan de la communication, des déplacements, des relations interpersonnelles, des responsabilités et de la vie communautaire. La perception de soi et les habiletés sociales, également améliorées, ont favorisé une plus grande auto-efficacité. Conclusion : Cette étude soutient donc le potentiel du cirque social comme approche novatrice et probante en réadaptation physique pour cette population, et appuie la pertinence d’autres études rigoureuses mesurant les diverses retombées possibles et identifiées.
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La présente étude s’intéresse aux choix de filières de formation des filles comparées aux garçons. La présence des filles dans les filières de formation dans le domaine des sciences, de la technologie, du génie et de la mathématique (STGM) est moins importante que celle des garçons. Ce fait est documenté dans la plupart des pays industrialisés (OCDE, 2013). Les décideurs sont préoccupés par cette sous-représentation des filles et des femmes dans ces domaines et s’affairent à comprendre le phénomène, dans le but d’agir pour changer la situation (Drouin et al., 2008; MCCCF, 2011). Or, les facteurs d’influence pour expliquer cet écart entre les garçons et les filles sont nombreux et ne font pas l’objet d’un consensus dans la littérature (Ceci et al., 2009). Toutefois, plusieurs s’entendent pour dire que les mathématiques, importantes dans les profils de formation en STGM, et la façon dont les filles les perçoivent pourraient expliquer, en partie, leurs choix (Rowan-Kenyon et al., 2012 et Wang et al., 2013). Ces auteurs ont aussi suggéré que le contexte social et les croyances des filles au sujet des mathématiques seraient déterminants dans le processus de choix impliquant cette discipline. Un modèle théorique sociocognitif, inspiré par les travaux de Lent et al, (1994-2006), expliquant le processus de choix scolaires et professionnels a permis de conceptualiser les liens entre les déterminants socio-motivationnels spécifiques aux mathématiques. L’objectif général de la présente étude était de mieux documenter l’importance des mathématiques dans les choix de filières de formation menant aux carrières en STGM. Spécifiquement, nous avons examiné les relations entre le rendement en mathématiques, la perception des élèves quant au contexte social (soutien des parents et enseignants), leurs attentes de réussite, la valeur qu’ils accordent aux mathématiques (sentiment d’autoefficacité, anxiété, perception de l’utilité et intérêt) et les choix de filières de formation générale après leur secondaire (sciences humaines sans mathématiques, sciences humaines avec mathématiques, sciences de la santé et sciences pures). Nous avons exploré les distinctions entre les filles et les garçons. Pour ce faire, 1129 élèves finissants ont été questionnés au sujet de leurs motivations en mathématiques et de leurs intentions de formation post-secondaire. Par la suite, une comparaison entre les 583 filles et les 543 garçons a été réalisée par des analyses de régression logistiques multinomiales. Les résultats montrent que plusieurs déterminants permettent de dégager des similitudes et des différences quant aux choix de filières de formation des filles et des garçons. D’abord, il semble que pour la plupart des élèves, filles ou garçons, un rendement élevé et un important soutien des enseignants tel que perçu par les élèves à la fin du secondaire est davantage lié aux choix de filières en sciences pures et en sciences de la santé qu’en sciences humaines avec ou sans mathématiques. Toutefois, le soutien des parents perçu est plus déterminant pour les filles qui choisissent les sciences de la santé que pour les garçons. Le soutien des enseignants perçu est plus déterminant pour les garçons qui choisissent les sciences humaines que pour les filles. Aussi, un faible sentiment d’autoefficacité en mathématiques serait associé au choix de filières en sciences humaines, alors qu’une forte anxiété en mathématiques chez les filles serait associée aux filières en sciences de la santé. Pour les garçons, c’est davantage l’intérêt en mathématiques qui est déterminant pour choisir la filière des sciences pures. La perception de l’utilité des mathématiques est déterminante à la fois pour les garçons et pour les filles qui choisissent les filières de sciences les menant à des carrières en STGM. En somme, nos résultats suggèrent que le soutien en mathématiques de la part des adultes significatifs, tel que perçu par les élèves, est moins prépondérant que les attentes de réussite (sentiment d’autoefficacité et anxiété) et la valeur accordée aux mathématiques (intérêt et utilité perçue) pour comparer les garçons et les filles dans leurs choix de filières. À la lumière des résultats obtenus, il nous semble que l’implantation de mesures, dans les milieux scolaires, pour renforcer le sentiment d’autoefficacité des jeunes filles en mathématiques et surtout pour diminuer leur taux d’anxiété dans cette matière serait une voie prometteuse pour atteindre la parité entre les garçons et les filles dans les filières en STGM.
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La présente étude s’intéresse aux choix de filières de formation des filles comparées aux garçons. La présence des filles dans les filières de formation dans le domaine des sciences, de la technologie, du génie et de la mathématique (STGM) est moins importante que celle des garçons. Ce fait est documenté dans la plupart des pays industrialisés (OCDE, 2013). Les décideurs sont préoccupés par cette sous-représentation des filles et des femmes dans ces domaines et s’affairent à comprendre le phénomène, dans le but d’agir pour changer la situation (Drouin et al., 2008; MCCCF, 2011). Or, les facteurs d’influence pour expliquer cet écart entre les garçons et les filles sont nombreux et ne font pas l’objet d’un consensus dans la littérature (Ceci et al., 2009). Toutefois, plusieurs s’entendent pour dire que les mathématiques, importantes dans les profils de formation en STGM, et la façon dont les filles les perçoivent pourraient expliquer, en partie, leurs choix (Rowan-Kenyon et al., 2012 et Wang et al., 2013). Ces auteurs ont aussi suggéré que le contexte social et les croyances des filles au sujet des mathématiques seraient déterminants dans le processus de choix impliquant cette discipline. Un modèle théorique sociocognitif, inspiré par les travaux de Lent et al, (1994-2006), expliquant le processus de choix scolaires et professionnels a permis de conceptualiser les liens entre les déterminants socio-motivationnels spécifiques aux mathématiques. L’objectif général de la présente étude était de mieux documenter l’importance des mathématiques dans les choix de filières de formation menant aux carrières en STGM. Spécifiquement, nous avons examiné les relations entre le rendement en mathématiques, la perception des élèves quant au contexte social (soutien des parents et enseignants), leurs attentes de réussite, la valeur qu’ils accordent aux mathématiques (sentiment d’autoefficacité, anxiété, perception de l’utilité et intérêt) et les choix de filières de formation générale après leur secondaire (sciences humaines sans mathématiques, sciences humaines avec mathématiques, sciences de la santé et sciences pures). Nous avons exploré les distinctions entre les filles et les garçons. Pour ce faire, 1129 élèves finissants ont été questionnés au sujet de leurs motivations en mathématiques et de leurs intentions de formation post-secondaire. Par la suite, une comparaison entre les 583 filles et les 543 garçons a été réalisée par des analyses de régression logistiques multinomiales. Les résultats montrent que plusieurs déterminants permettent de dégager des similitudes et des différences quant aux choix de filières de formation des filles et des garçons. D’abord, il semble que pour la plupart des élèves, filles ou garçons, un rendement élevé et un important soutien des enseignants tel que perçu par les élèves à la fin du secondaire est davantage lié aux choix de filières en sciences pures et en sciences de la santé qu’en sciences humaines avec ou sans mathématiques. Toutefois, le soutien des parents perçu est plus déterminant pour les filles qui choisissent les sciences de la santé que pour les garçons. Le soutien des enseignants perçu est plus déterminant pour les garçons qui choisissent les sciences humaines que pour les filles. Aussi, un faible sentiment d’autoefficacité en mathématiques serait associé au choix de filières en sciences humaines, alors qu’une forte anxiété en mathématiques chez les filles serait associée aux filières en sciences de la santé. Pour les garçons, c’est davantage l’intérêt en mathématiques qui est déterminant pour choisir la filière des sciences pures. La perception de l’utilité des mathématiques est déterminante à la fois pour les garçons et pour les filles qui choisissent les filières de sciences les menant à des carrières en STGM. En somme, nos résultats suggèrent que le soutien en mathématiques de la part des adultes significatifs, tel que perçu par les élèves, est moins prépondérant que les attentes de réussite (sentiment d’autoefficacité et anxiété) et la valeur accordée aux mathématiques (intérêt et utilité perçue) pour comparer les garçons et les filles dans leurs choix de filières. À la lumière des résultats obtenus, il nous semble que l’implantation de mesures, dans les milieux scolaires, pour renforcer le sentiment d’autoefficacité des jeunes filles en mathématiques et surtout pour diminuer leur taux d’anxiété dans cette matière serait une voie prometteuse pour atteindre la parité entre les garçons et les filles dans les filières en STGM.
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This study examined the utility of a stress/coping model in explaining adaptation in two groups of people at-risk for Huntington's Disease (HD): those who have not approached genetic testing services (non-testees) and those who have engaged a testing service (testees). The aims were (1) to compare testees and non-testees on stress/coping variables, (2) to examine relations between adjustment and the stress/coping predictors in the two groups, and (3) to examine relations between the stress/coping variables and testees' satisfaction with their first counselling session. Participants were 44 testees and 40 non-testees who completed questionnaires which measured the stress/coping variables: adjustment (global distress, depression, health anxiety, social and dyadic adjustment), genetic testing concerns, testing context (HD contact, experience, knowledge), appraisal (control, threat, self-efficacy), coping strategies (avoidance, self-blame, wishful thinking, seeking support, problem solving), social support and locus of control. Testees also completed a genetic counselling session satisfaction scale. As expected, non-testees reported lower self-efficacy and control appraisals, higher threat and passive avoidant coping than testees. Overall, results supported the hypothesis that within each group poorer adjustment would be related to higher genetic testing concerns, contact with HD, threat appraisals, passive avoidant coping and external locus of control, and lower levels of positive experiences with HD, social support, internal locus of control, self-efficacy, control appraisals, problem solving, emotional approach and seeking social support coping. Session satisfaction scores were positively correlated with dyadic adjustment, problem solving and positive experience with HD, and inversely related to testing concerns, and threat and control appraisals. Findings support the utility of the stress/coping model in explaining adaptation in people who have decided not to seek genetic testing for HD and those who have decided to engage a genetic testing service.
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A presente dissertação de mestrado abordou a qualidade de vida, a percepção de suporte social e o consumo de medicamentos em idosas participantes de um programa da Universidade para a Terceira Idade, no município de São Caetano do Sul - São Paulo - Brasil. O estudo objetivou descrever uma possível relação entre o perfil sociodemografico da amostra, a percepção subjetiva da qualidade de vida, a percepção subjetiva de suporte social, e o consumo de medicamentos, submetendo a testes estatísticos, um conjunto de possíveis relações entre as características sociodemográficas, percepção de qualidade de vida, percepção de suporte social e consumo de medicamentos. Utilizou-se o método descritivo exploratório, de corte transversal, e de caráter quantitativo. Os dados foram coletados entre os meses de agosto a outubro de 2014, através de uma amostra de conveniência, formada por 150 mulheres, com idade média de 66,13 anos. Foram utilizados instrumentos autoaplicáveis: WHOQOL-OLD e WHOQOL-BREF (Word Health Organization Quality of Life Instrument); Escala de Percepção de Suporte Social (EPSS); um questionário sobre a utilização de medicamentos de uso geral, e um questionário contendo os dados sociodemográficos. Dos resultados, 59,3% da amostra concluiu o ensino fundamental, 49,3% é casada, 79,3% não exerce atividade remunerada, e 78,7% não exerce atividades voluntárias. Apresentou boa percepção de Qualidade de Vida Global (82,90%), sendo o domínio com menor valor médio o Funcionamento do Sensório (12,56%), e maior escore médio no domínio Autonomia (14,66%). Sente segurança ao recorrer à rede de suporte social prático (53,08%), e insegurança ao recorrer à sua rede de apoio social emocional (28,88%). A prevalência do uso de medicamentos foi de 3,6%, todos prescritos, e os princípios ativos mais utilizados pertenciam aos tratamentos da hipertensão e sistema cardiovascular. Não foram evidenciadas correlações significativas relevantes entre as variáveis do estudo, do ponto de vista estatístico. Apesar de residirem em um município com elevado Índice de Desenvolvimento Humano, conclui-se que o aumento das possíveis incapacidades físicas das idosas apontam dificuldades de acesso aos recursos do ambiente, onde a amostra estava inserida. Sugere-se a criação de pesquisas e intervenções com idosas, incluindo nos programas de educação continuada, espaços para debate com o tema da finitude e o envelhecimento, bem como a realização de novos estudos de natureza qualitativa, para aprofundar o conhecimento sobre a qualidade de vida, a percepção do suporte social e o consumo de medicamentos nesta população, como também a inclusão de outros grupos sociodemográficos de idosas, em estudos longitudinais.
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Os estudos sobre as condições de trabalho de profissionais da educação sempre tiveram como objetivo identificar fatores negativos, como o burnout e o estresse. Porém, é sabido que variáveis relacionadas com as relações interpessoais podem proporcionar melhora no bem-estar no trabalho nestes profissionais. O professor, protagonista do processo ensino-aprendizagem pode apresentar bem-estar no trabalho e desempenhar melhor o seu ofício se tiver percepção de suporte daqueles que compõem sua rede social dentro de sua escola. Este trabalho tem como objetivo analisar as relações entre bem-estar no trabalho e percepção de suporte social no trabalho em professores do ensino fundamental. Participaram do estudo 209 professores, do ensino fundamental da rede pública municipal e estadual de ensino, todos do sexo feminino com idade média de 41,55 anos (DP=8,64) e com o nível de instrução mínimo correspondente ao ensino médio. Esses professores responderam a um questionário auto aplicável contendo quatro medidas: Escala de Envolvimento com o Trabalho, Escala de Satisfação com o Trabalho Escala de Comprometimento Organizacional Afetivo e Escala de Percepção de Suporte Social no Trabalho. Calcularam-se as médias, desvios padrão, correlações e sete modelos de regressão linear stepwise entre as variáveis do estudo. Os resultados apontaram para satisfação com os colegas, com a chefia e com as tarefas, mas pouca satisfação com salários e promoções. Os professores apresentaram comprometimento afetivo com suas escolas e envolvimento com o trabalho que realizam. Foi revelada percepção de suporte social, com uma tendência mais elevada de suporte com as informações recebidas, seguida da percepção de suporte emocional e percepção de suporte instrumental nesta ordem. Foram comprovadas relações positivas e significativas entre as dimensões de bem-estar no trabalho e percepção de suporte social no trabalho. Modelos de regressão revelaram que as três dimensões de suporte social no trabalho impactam positivamente as três dimensões de bem-estar no trabalho, com maior capacidade de explicação entre si. Sugere-se novos estudos envolvendo percepção de suporte social no trabalho e bem-estar no trabalho com outras categorias profissionais para complementar estes ainda pouco estudados conceitos.(AU)
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Resiliência representa o processo dinâmico envolvendo a adaptação positiva no contexto de adversidade significativa. Estudos sobre o conceito têm aumentado com o advento da Psicologia Positiva, pelos potenciais efeitos na saúde e no desempenho dos trabalhadores. Outros conceitos importantes para a saúde circunscritos no escopo da Psicologia Positiva no contexto de trabalho são os de auto-eficácia, definida como crenças das pessoas sobre suas capacidades e/ou seu exercício de controle sobre os eventos que afetam sua vida e o de suporte social no trabalho, que compreende a percepção do quanto o contexto laborativo oferece apoio aos trabalhadores. Pouca literatura existe sobre resiliência no contexto de trabalho e nenhum estudo envolvendo os três construtos foi encontrado. Por isto, esta investigação analisou o impacto da auto-eficácia e da percepção de suporte social no trabalho sobre a resiliência de trabalhadores. Participaram 243 universitários trabalhadores da região metropolitana de São Paulo, com idade média de 23 anos (DP=6,2 anos), em sua maioria do sexo feminino (69,5%), cristãos (católicos=51,5%; protestantes=18,1%), atuantes em cargos de apoio administrativo e técnico (49,1%), oriundos de organizações de diversos ramos. Foi aplicado um questionário para coletar dados sócio-demográficos dos participantes e três escalas brasileiras válidas para medir a percepção de suporte social no trabalho (Escala de Percepção de Suporte Social no Trabalho EPSST), as crenças de auto-eficácia (Escala de Auto-eficácia Geral Percebida) e nível de resiliência (Escala de Resiliência de Connor-Davidson CD-RISC-10). Foram realizadas análises estatísticas exploratórias e descritivas, análises de regressão stepwise, análises de variância (ANOVA) e teste t para descrever participantes, variáveis e testar o modelo. Os dados revelaram que os universitários trabalhadores apresentam níveis de resiliência e auto-eficácia acima da média e de suporte social no trabalho, na média. Auto-eficácia se confirmou como preditor significativo de resiliência ao contrário dos três tipos de percepção de suporte social no trabalho (informacional, emocional e instrumental). Os achados indicaram a necessidade de aprofundamento sobre o tema e foi apontada a necessidade de novos estudos que auxiliem na compreensão dos resultados desta investigação.
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Diet and physical activity patterns have been implicated as major factors in the increasing prevalence of childhood and adolescent obesity. It is estimated that between 16 and 33 percent of children and adolescents in the United States are overweight (CDC, 2000). Moreover, the CDC estimates that less than 50% of adolescents are physically active on a regular basis (CDC, 2003). Interventions must be focused to modify these behaviors. Facilitating the understanding of proper nutrition and need for physical activity among adolescents is the first step in preventing overweight and obesity and delaying the development of chronic diseases later in life (Dwyer, 2000). The purpose of this study was to compare the outcomes of students receiving one of two forms of education (both emphasizing diet and physical activity), to determine whether a computer based intervention (CBI) program using an interactive, animated CD-ROM would elicit a greater behavior change in comparison to a traditional didactic intervention (TDI) program. A convenience sample of 254 high school students aged 14-19 participated in the 6-month program. A pre-test post-test design was used, with follow-up measures taken at three months post-intervention. ^ No change was noted in total fat, saturated fat, fruit/vegetables, or fiber intake for any of the groups. There was also no change in perceived self-efficacy or perceived social support. Results did, however, indicate an increase in nutrition knowledge for both intervention groups (p<0.001). In addition, the CBI group demonstrated more positive and sustained behavior changes throughout the course of the study. These changes included a decrease in BMI (ppre/post<0.001, ppost/follow-up<0.001), number of meals skipped (ppre/post<0.001), and soda consumption (ppre/post=0.003, ppost/follow-up=0.03) and an increase in nutrition knowledge (ppre/post<0.001, ppre/follow-up <0.001), physical activity (ppre/post<0.05, p pre/follow-up<0.01), frequency of label reading (ppre/follow-up <0.0l) and in dairy consumption (ppre/post=0.03). The TDI group did show positive gains in some areas post intervention, however a return to baseline behavior was shown at follow-up. Findings of this study suggest that compared to traditional didactic teaching, computer-based nutrition and health education has greater potential to elicit change in knowledge and behavior as well as promote maintenance of the behavior change over time. ^
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Ageing of the population is a worldwide phenomenon. Numerous ICT-based solutions have been developed for elderly care but mainly connected to the physiological and nursing aspects in services for the elderly. Social work is a profession that should pay attention to the comprehensive wellbeing and social needs of the elderly. Many people experience loneliness and depression in their old age, either as a result of living alone or due to a lack of close family ties and reduced connections with their culture of origin, which results in an inability to participate actively in community activities (Singh & Misra, 2009). Participation in society would enhance the quality of life. With the development of information technology, the use of technology in social work practice has risen dramatically. The aim of this literature review is to map out the state of the art of knowledge about the usage of ICT in elderly care and to figure out research-based knowledge about the usability of ICT for the prevention of loneliness and social isolation of elderly people. The data for the current research comes from the core collection of the Web of Science and the data searching was performed using Boolean? The searching resulted in 216 published English articles. After going through the topics and abstracts, 34 articles were selected for the data analysis that is based on a multi approach framework. The analysis of the research approach is categorized according to some aspects of using ICT by older adults from the adoption of ICT to the impact of usage, and the social services for them. This literature review focused on the function of communication by excluding the applications that mainly relate to physical nursing. The results show that the so-called ‘digital divide’ still exists, but the older adults have the willingness to learn and utilise ICT in daily life, especially for communication. The data shows that the usage of ICT can prevent the loneliness and social isolation of older adults, and they are eager for technical support in using ICT. The results of data analysis on theoretical frames and concepts show that this research field applies different theoretical frames from various scientific fields, while a social work approach is lacking. However, a synergic frame of applied theories will be suggested from the perspective of social work.
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Durante la educación secundaria los estudiantes comienzan a explorar las ocupaciones y expectativas profesionales, forman sus creencias de autoeficacia y consolidan sus intereses académicos. En este contexto, el artículo presenta los resultados de una investigación realizada en el Principado de Asturias para conocer las percepciones y opiniones que tienen los estudiantes de bachillerato y sus progenitores sobre las elecciones académicas realizadas en la educación secundaria, haciendo especial hincapié en los factores contextuales que pueden ayudar u obstaculizar el desarrollo de la carrera. Se ha usado una metodología cualitativa fundamentada en el uso de la técnica del grupo de discusión. Se han organizado cinco grupos de discusión con estudiantes y dos grupos con progenitores. El total de personas que participó en las entrevistas focales fue de 51 estudiantes y de 14 padres/madres. Los resultados obtenidos nos permiten concluir que el bachillerato sigue siendo considerado la puerta de acceso a la universidad y no a la formación profesional de grado superior. También se concluye que los estudiantes fundamentan sus decisiones académicas sobre la base de la preferencia y gusto personal por determinada opciones y esta razón prevalece sobre otras como las salidas profesionales o el rendimiento académico previo. Respecto a la influencia de distintos agentes sociales en el proceso de decisión académica, los resultados son concluyentes al afirmar que el principal apoyo de los estudiantes son sus progenitores, por encima del que perciben encontrar de docentes y grupo de iguales. El artículo finaliza con algunas sugerencias para mejorar la práctica de la orientación educativa en las instituciones de educación secundaria.
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A presente investigação pretendeu ver cumpridos três dos principais objetivos: 1) Estudar as variáveis sociodemográficas e clínicas que caracterizam os doentes com cancro do pulmão; 2) Explorar a relação entre o ajustamento mental ao cancro do pulmão, a autocompaixão, o suporte social e os estados emocionais negativos dos doentes; 3) Examinar o impacto da autocompaixão e do suporte social em relação ao ajustamento mental e aos estados emocionais negativos em doentes com cancro do pulmão. A amostra é constituída por 55 indivíduos (38 homens e 17 mulheres) diagnosticados com cancro do pulmão e com idades compreendidas entre os 44 e os 87 anos, acompanhados medicamente no Hospital de Dia de Oncologia do Centro Hospitalar e Universitário de Coimbra. Como instrumentos de medida para avaliar o ajustamento mental ao cancro, a autocompaixão, o suporte social e os estados emocionais negativos dos participantes foram utilizadas a Escala de Ajustamento Mental ao Cancro (MiniMac), a Escala de Autocompaixão (Selfcs), a Escala de Satisfação com o Suporte Social (Esss) e a Escala de Sintomatologia Psicopatológica (Eads-21). Os resultados obtidos revelaram uma associação significativa entre algumas variáveis clínicas, nomeadamente ser fumador, perceção da gravidade da doença, existência de antecedentes familiares com doença oncológica, e as variáveis em estudo (ajustamento mental, autocompaixão, suporte social e psicopatologia). Foram ainda encontradas correlações significativas entre o ajustamento mental e as estratégias de regulação emocional (autocompaixão), suporte social e psicopatologia. Por último, as análises de regressão linear múltipla mostraram que o modelo preditor da sintomatologia depressiva e do ajustamento mental (avaliado pela dimensão de desânimo) inclui o mindfulness como um preditor significativo. Já em relação ao modelo preditor do stress, o grau de satisfação com o suporte dos amigos revelou ser um contributo importante. Estes resultados têm implicações práticas, sugerindo que estes doentes podem no seu programa terapêutico beneficiar do desenvolvimento deste tipo de estratégias (novas formas de se relacionarem com as suas experiências emocionais e qualidade das suas redes sociais) no sentido de promover um melhor ajustamento mental à sua condição. / The current investigation intended to study three main objetives: 1) to study the sociodemographical and clinical variables which characterize those who suffer from lung cancer; 2) to explore the relation between the mental adjustment to lung cancer, selfcompassion, social support and the negative mental conditions of the sick person; 3) to analyse the impact of self-compassion and the social support in relation to the mental adjustment and to the negative mental conditions of a sick person with lung cancer. The sample is made of 55 individuals (38 males and 17 females) diagnosed with lung cancer, aged between 44 and 87 years old, using medicines at the Hospital de Dia de Oncologia do Centro Hospitalar e Universitário de Coimbra. The Mini Mental Adjustment to Cancer Scale (MiniMac), the Self-Compassion Scale (Selfcs), the Escala de Satisfação com o Suporte Social (Esss) and the Depression Anxiety Stress Scales (Eads-21) scales were used as measuring instruments of evaluation of the mental adjustment to lung cancer, selfcompassion, social support and the negative mental conditions of the sick person. The results revealed a significant association between some clinical variables (being a smoker, awareness of the gravity of sickness, precedent relatives who suffered from cancer) and the variables in study (mental adjustment, self-compassion, social support and psychopathology). There were also found significant correlations between mental adjustment and the strategies used for emotional adjustment (self-compassion), the social support and the psychopathology. At last the multiple linear regretting analysis has shown that the predictor model of depressive symptomatology and the mental adjustment (analysed by the discouragement dimension) includes mindfulness as a significant predictor. However in what concerns to the stress model predictor, the satisfaction level with friends support revealed itself has being of high importance. These results have practical consequences, suggesting that sick people can benefit in their therapeutic program of these kind of strategies (new ways of leading with their emotional experiences and the quality of their social relationships) so they can promote a better mental adjustment to their health condition.
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Objetivo. Devido ao aumento da esperança de vida, os adultos com necessidades especiais vivem mais tempo, sendo os seus principais cuidadores, geralmente familiares, também mais envelhecidos. Tal situação representa novas necessidades específicas de apoio, sendo inúmeros os desafios colocados ao Serviço Social no sentido de garantir o bem-estar da pessoa com incapacidade e dos seus cuidadores. Assim, este estudo tem como objetivo realizar um levantamento das necessidades de apoio e a caraterização da rede social pessoal de apoio do cuidador informal de adultos com necessidades especiais. Participantes. A amostra é constituída por 40 cuidadores informais de adultos com necessidades especiais, integrados na resposta social “Centro de Atividades Ocupacionais-CAO” da Associação de Paralisia Cerebral de Coimbra, de ambos os sexos com idade igual ou superior a 40 anos. Material e métodos. Foi utilizado o Instrumento de Avaliação da Rede Social Pessoal e um questionário para caracterização sociodemográfica e sociofamiliar dos cuidadores, assim como para avaliação de necessidades. Resultados. Aproximadamente um terço dos cuidadores relatou a experiência de níveis moderados de sobrecarga associada à prestação de cuidados, enquanto mais de metade relatou a experiência de níveis elevados e muito elevados dessa sobrecarga; o apoio financeiro foi referido como a forma de apoio mais necessária no presente, ainda que o apoio em residência tenha sido percecionado por cerca de um terço dos cuidadores como a forma de apoio mais necessária no futuro; enquanto mais de metade considerou o apoio domiciliário e de unidade residencial (institucional). Estes cuidadores familiares referiram a "incerteza" e a "esperança" como os sentimentos mais frequentemente experienciados em relação ao futuro das suas vidas. No que respeita às redes sociais, as relações familiares são centrais a nível estrutural; em termos de caraterísticas funcionais da rede, foram observados valores mais elevados para as dimensões de reciprocidade do apoio e satisfação com a rede social. Implicações. Este estudo sublinha a importância da avaliação das necessidades de apoio dos cuidadores familiares de adultos com necessidades especiais. A sua implementação sistemática pode auxiliar a tomada de decisão baseada na evidência empírica para as intervenções do Serviço Social, tais como na planificação e gestão de respostas e serviços sociais, a par do reconhecimento e ativação dos recursos das próprias famílias, de forma a promover a eficiência dos recursos e eficácia das intervenções, focadas no bem-estar do cidadão com deficiência e das suas famílias. / Aim. The general increase in human life expectancy has resulted in greater rates of survival for adults with special care needs, as well as for their ageing family caregivers. This situation poses different and specific support needs, which represent a major challenge in social work interventions aimed at ensuring the well-being of disabled persons and their caregivers. Therefore, this study was aimed to describe the needs for support and the perceived social support network of family caregivers of adults with special care needs. Participants. The sample for this study comprised 40 family caregivers of disabled adults with special care needs, of both genders and aged 40 years old at minimum, who attended a long-term care facility at Coimbra Cerebral Palsy Association. Material and methods. Participants were administered a self-report questionnaire on socio-economic, family and caregiving needs, along with the Instrument for Assessing Personal Social Networks. Results. Nearly one third a family caregivers experienced moderate caregiving burden, while more than half experienced high or very high levels of caregiving burden; financial support was perceived as the most needed form of support in the present, but residential home care was identified as the most needed form of support in the future; while more than a half considered home-based support and residential support viable options for their disabled family members with special care needs. These family caregivers reported "uncertainty" and "hope" as the most common feelings towards their family life in the future. On the topic of social networks, family relations were found to be crucial at the structural level; in terms of functional characteristics of the network, elevated scores were observed for reciprocity of support and satisfaction with the social network. Implications. This study highlights the importance of increasing the specificity of the assessments of needs for support in family caregivers of disabled adults with special care needs. The systematic conduction of these assessments may assist evidence-based decision making in social work interventions, such as for planning and managing social services, acknowledging and activating the families' own resources, and ultimately promote the efficacy and effectiveness 57 interventions aimed at improving the well-being of disabled citizens and their families.