991 resultados para Travel patterns
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Les Indignes canadiens vivent une rapide transition nutritionnelle marque par une consommation accrue des produits commercialiss au dpit des aliments traditionnels. Ce mmoire cherche identifier les patrons alimentaires associs une meilleure alimentation des femmes autochtones vivant dans les rserves en Colombie Britannique. Lchantillon (n=493) a t slectionn de ltude First Nations Food, Nutrition, and Environment Study. Ltude a utilis des rappels alimentaires de 24 heures. Pour identifier les patrons alimentaires, un indice de qualit alimentaire (QA) bas sur 10 lments nutritionnels (fibre alimentaire, gras totaux/saturs, folate, magnsium, calcium, fer, vitamines A, C, D) a permis de classifier les sujets en trois groupes (tertiles). Ces groupes ont t compars sur leur consommation de 25 groupes alimentaires (GAs) en employant des tests statistiques non-paramtriques (Kruskal-Wallis et ANCOVA). Une analyse discriminante (AD) a confirm les GAs associs la QA. La QA des sujets tait globalement faible car aucun rappel na rencontr les consommations recommandes pour tous les 10 lments nutritionnels. L'AD a confirm que les GAs associs de faon significative la QA taient lgumes et produits vgtaux, fruits, aliments traditionnels, produits laitiers faibles en gras, soupes et bouillons, et autres viandes commercialises (coefficients standardiss= 0,324; 0,295; 0,292; 0,282; 0,157; -0.189 respectivement). Le pourcentage de classifications correctes tait 83.8%. Nos rsultats appuient la promotion des choix alimentaires recommands par le Guide Alimentaire Canadien- Premires Nations, Inuits, et Mtis . Une consommation accrue de lgumes, fruits, produits laitiers faibles en gras, et aliments traditionnels caractrise les meilleurs patrons alimentaires.
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La version integrale de ce memoire est disponible uniquement pour consultation individuelle a la Bibliotheque de musique de l Universite de Montreal (www.bib.umontreal.ca/MU).
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Lorsque nous cherchons un ami dans une foule ou attendons un proche sur le quai dune gare, lidentification de cette personne nous est souvent possible grce la reconnaissance de sa dmarche. Plusieurs chercheurs se sont intresss la faon de se mouvoir de ltre humain en tudiant le mouvement biologique. Le mouvement biologique est la reprsentation, par un ensemble structur de points lumineux anims, des gestes dun individu en mouvement dans une situation particulire (marche, golf, tennis, etc.). Une des caractristiques du patron de mouvement biologique peu tudie et nanmoins essentielle est sa taille. La plupart des tudes concernes utilisent des patrons de petite taille correspondant une personne situe 16 mtres de lobservateur. Or les distances dinteraction sociale, chez lhumain, sont gnralement infrieures 16 mtres. Dautre part, les rsultats des tudes portant sur la perception des patrons de mouvement biologique et le vieillissement demeurent contradictoires. Nous avons donc, dans un premier temps, valu, dans une vote dimmersion en ralit virtuelle, limportance de la distance entre lobservateur et le patron de mouvement biologique, chez des adultes jeunes et des personnes ges. Cette tude a dmontr que lvaluation de la direction de mouvement dun patron devient difficile pour les personnes ges lorsque le patron est situ moins de 4 mtres, alors que les rsultats des jeunes sont comparables pour toutes distances, partir dun mtre et au-del. Cela indique que les gens gs peinent intgrer linformation occupant une portion tendue de leur champ visuel, ce qui peut savrer problmatique dans des espaces o les distances dinteraction sont infrieures 4 mtres. Nombre de recherches indiquent aussi clairement que les gens gs sadaptent difficilement des situations complexes. Nous avons donc cherch, dans un second temps, minimiser ces altrations lies lge de lintgration des processus complexes, en utilisant une tche adapte lentranement et lvaluation de lintgration de ces processus : la poursuite multiple dobjets dans lespace ou 3D-MOT (3 Dimensions Multiple Object Tracking). Le 3D-MOT consiste suivre simultanment plusieurs objets dintrt en mouvement parmi des distracteurs galement en mouvement. Nous avons valu les habilets de participants jeunes et gs une telle tche dans un environnement virtuel en 3D en dterminant la vitesse maximale de dplacement des objets laquelle la tche pouvait tre excute. Les rsultats des participants gs taient initialement infrieurs ceux des jeunes. Cependant, aprs plusieurs semaines dentranement, les personnes ges ont obtenu des rsultats comparables ceux des sujets jeunes non entrans. Nous avons enfin valu, pour ces mmes participants, limpact de cet entranement sur la perception de patrons de mouvement biologique prsents 4 et 16 mtres dans lespace virtuel : les habilets des personnes ges entranes obtenues 4 mtres ont augment de faon significative pour atteindre le niveau de celles obtenues 16 mtres. Ces rsultats suggrent que lentranement certaines tches peut rduire les dclins cognitivo-perceptifs lis lge et possiblement aider les personnes ges dans leurs dplacements quotidiens.
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Durant la miose, il se produit des changes rciproques entre fragments de chromosomes homologues par recombinaison gntique. Les chromosomes parentaux ainsi modifis donnent naissance des gamtes uniques. En redistribuant les mutations gntiques pour gnrer de nouvelles combinaisons, ce processus est lorigine de la diversit haplotypique dans la population. Dans cette thse, je prsente des rsultats dcrivant limplication de la recombinaison miotique dans les maladies chez lhumain. Premirement, l'analyse statistique de donnes de gnotypage de familles qubcoises dmontre une importante htrognit individuelle et sexe-spcifique des taux de recombinaisons. Pour la premire fois chez lhumain, nous avons observ que le taux de recombinaison maternel diminue avec l'ge de la mre, un phnomne potentiellement impliqu dans la rgulation du taux daneuplodie associ lge maternel. Ensuite, grce lanalyse de donnes de squenage dexomes de patients atteints de leucmie et de ceux de leurs parents, nous avons dcouvert une localisation anormale des vnements de recombinaison chez les enfants leucmiques. Le gne PRDM9, principal dterminant de la localisation des recombinaisons chez lhumain, prsente des formes allliques rares dans ces familles. Finalement, en utilisant un large spectre de variants gntiques identifis dans les transcriptomes dindividus Canadiens Franais, nous avons tudi et compar le fardeau gntique prsent dans les rgions gnomiques haut et faible taux de recombinaison. Le fardeau gntique est substantiellement plus lev dans les rgions faible taux de recombinaison et nous dmontrons quau niveau individuel, ce fardeau varie selon la population humaine. Grce lutilisation de donnes gnomiques de pointe pour tudier la recombinaison dans des cohortes populationnelles et mdicales, ce travail dmontre de quelle faon la recombinaison peut affecter la sant des individus.
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Rapport de stage prsent l'cole de Criminologie de la Facult des arts et sciences en vue de l'obtention du grade de Matre s sciences (M.Sc.) en criminologie option analyse criminologique
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La prsente recherche traite des conflits damnagement pouvant tre dcels dans les cuisines domiciliaires modernes. Lajout dobjets mcaniss au rituel alimentaire quotidien a su changer la dynamique du lieu. En effet, larchitecture des cuisines modernes en Occident prsente de grandes contradictions. Bases sur des standards architecturaux, les cuisines modulaires ne refltent pas la varit et lunicit des aliments auxquels les cuisines sont ddies. Les cuisines devraient tre le miroir de la vivacit naturelle des aliments et des changes humains que la nourriture gnre travers le plaisir et le partage. Dans lespoir de proposer des outils afin de rquilibrer la dynamique de cette pice, un cadre thorique bas sur les thories architecturales de larchitecte et mathmaticien anglais Christopher Alexander a t tabli. Supportant la prsente recherche, ces thories architecturales sinspirent de la structure et de la composition des choses de la nature et des monuments anciens afin dtablir des balises damnagement simples et quilibres (qualit de vie, patterns, configuration des vnements, configurations de lespace, ...). Ces thories ont aid concevoir une formule dateliers participatifs qui visent outiller les occupants, qui sont trs souvent des non-professionnels du domaine de larchitecture et du design. Ces ateliers proposent un cheminement bien encadr qui permet aux participants de retravailler leur espace de cuisine respectif selon leurs gots et leurs besoins. En fournissant un plan de ltage o se situe la cuisine, quelques crayons, rgles et autres matriel de dessin, les participants ont pour tche de ramnager leur cuisine en un espace de cuisine idal. La deuxime tape, qui elle se ralise en quipe avec tous les occupants participants de la demeure, consiste rduire lampleur des changements afin darriver un rsultat raliste. Lenthousiasme not tout au long de ce processus a ainsi permis de confirmer que les non-professionnels du domaine de larchitecture et du design peuvent dvelopper un intrt marqu pour lamlioration de leurs interactions quotidiennes, avec lespace et entre les occupants, lorsque bien accompagns dans cette tche. Grce aux propos et aux plans recueillis durant les sances dateliers participatifs ainsi qu lanalyse de ces donnes, une srie dinterprtations ont merg. Les donnes ont notamment dmontres linfluence positive de lutilisation des patterns dAlexander. Lanalyse permet, en outre, de noter les tendances damnagement ayant merg de lutilisation des patterns dans les espaces de cuisine : dfinitivement, les cuisines se sont transformes en espace de vie partag et polyvalent. Finalement, la prsente recherche se conclut grce une srie de recommandations qui traitent de la structure des cuisines, des ateliers participatifs et des patterns. Tout dabord, limpact de ces notions sur les espaces retravaills par les participants est impressionnant. Les espaces sont bien organiss, vastes et, surtout, refltent les occupants qui y vivent au quotidien. De plus, ayant dmontr la facilit dutilisation et la polyvalence des patterns, il a t jug que certains aspects devraient tre amliors tels que lactualisation de certains patterns, le prolongement du processus dateliers, le perfectionnement de la mthode et la diffusion des rsultats.
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Bien que le passage du temps altre le cerveau, la cognition ne suit pas ncessairement le mme destin. En effet, il existe des mcanismes compensatoires qui permettent de prserver la cognition (rserve cognitive) malgr le vieillissement. Les personnes ges peuvent utiliser de nouveaux circuits neuronaux (compensation neuronale) ou des circuits existants moins susceptibles aux effets du vieillissement (rserve neuronale) pour maintenir un haut niveau de performance cognitive. Toutefois, la faon dont ces mcanismes affectent lactivit corticale et striatale lors de tches impliquant des changements de rgles (set-shifting) et durant le traitement smantique et phonologique na pas t extensivement explore. Le but de cette thse est dexplorer comment le vieillissement affecte les patrons dactivit crbrale dans les processus excutifs dune part et dans lutilisation de rgles lexicales dautre part. Pour cela nous avons utilis limagerie par rsonance magntique fonctionnelle (IRMf) lors de la performance dune tche lexicale analogue celle du Wisconsin. Cette tche a t fortement lie de lactivit fronto-stritale lors des changements de rgles, ainsi qu la mobilisation de rgions associes au traitement smantique et phonologique lors de dcisions smantiques et phonologiques, respectivement. Par consquent, nous avons compar lactivit crbrale de jeunes individus (18 35 ans) celle dindividus gs (55 75 ans) lors de lexcution de cette tche. Les deux groupes ont montr limplication de boucles fronto-striatales associes la planification et lexcution de changements de rgle. Toutefois, alors que les jeunes semblaient activer une boucle cognitive (cortex prfrontal ventrolatral, noyau caud et thalamus) lorsquils se voyaient indiquer quun changement de rgle tait requis, et une boucle motrice (cortex postrieur prfrontal et putamen) lorsquils devaient effectuer le changement, les participants gs montraient une activation des deux boucles lors de lexcution des changements de rgle seulement. Les jeunes adultes tendaient prsenter une augmentation de lactivit du cortex prfrontal ventrolatral, du gyrus fusiforme, du lobe ventral temporale et du noyau caud lors des dcisions smantiques, ainsi que de lactivit au niveau de laire de Broca postrieur, de la junction temporoparitale et du cortex moteur lors de dcisions phonologiques. Les participants gs ont montr de lactivit au niveau du cortex prfrontal latral et moteur durant les deux types de dcisions lexicales. De plus, lorsque les dcisions smantiques et phonologiques ont t compares entre elles, les jeunes ont montr des diffrences significatives au niveau de plusieurs rgions crbrales, mais pas les gs. En conclusion, notre premire tude a montr, lors du set-shifting, un dlai de lactivit crbrale chez les personnes ges. Cela nous a permis de conceptualiser lHypothse Temporelle de Compensation (troisime manuscrit) qui consiste en lexistence dun mcanisme compensatoire caractris par un dlai dactivit crbrale li au vieillissement permettant de prserver la cognition au dtriment de la vitesse dexcution. En ce qui concerne les processus langagiers (deuxime tude), les circuits smantiques et phonologiques semblent se fusionner dans un seul circuit chez les individus gs, cela reprsente vraisemblablement des mcanismes de rserve et de compensation neuronales qui permettent de prserver les habilits langagires.
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La culture organisationnelle influence la manire dont les organismes relvent les dfis externes auxquels elle fait face et faonnent les comportements normatifs de leurs membres. Des tudes portant sur le degr dacceptation et dadoption dune culture organisationnelle indiquent une grande variance en fonction de multiples facteurs (p. ex. : lge, loccupation, la hirarchie, etc.) et leurs liens aux rsultats subsquents. Diffrentes valuations culturelles considrent les sondages dauto-valulation comme tant des moyens acceptables de crer des liens entre les perceptions et les rsultats. En effet, ces instruments mesurent les croyances, les suppositions et les valeurs dune personne, mais lun des facteurs pouvant compromettre les rponses est le manque de cadre de rfrence. Un des objectifs de ltude est de dterminer la manire dont la mesure des perceptions culturelles est relie la contextualisation des questions du sondage. laide de deux orientations, nous tentons de dterminer si les perceptions de la culture en lien avec lorganisation entire sont diffrentes de celles en lien avec le groupe de travail immdiat. De plus, ltude explore la manire dont les diffrences algbriques entre les perceptions des deux rfrents sont simultanment relies au bien-tre psychologique au travail, lengagement et aux comportements de citoyennet organisationnelle. Comme objectif final, nous dterminons lequel des deux rfrents prdit le mieux ces rsultats. Les cent quatre-vingt-neuf participants de ltude faisaient partie dun tablissement denseignement postsecondaire de langue anglaise du Qubec. En premier lieu, les participants recevaient, de faon alatoire, lun des deux questionnaires - soit celui orient sur lorganisation entire, soit celui orient sur le groupe de travail immdiat -, puis, en deuxime lieu, son rfrent oppos correspondant. Les rsultats indiquent que les perceptions de culture en lien avec lorganisation entire sont significativement diffrentes de celle en lien avec le groupe de travail immdiat. Ltude dmontre que les similitudes entre les perceptions sont directement proportionnelles au bien-tre ainsi quaux engagements organisationnels et de groupe de travail. De plus grandes diffrences perceptuelles sont associes des niveaux plus levs de bien-tre et dengagement organisationnel normatif. Ces associations sont plus fortes lorsque les perceptions de la culture organisationnelle sont plus positives que les perceptions de la culture du groupe de travail. Les diffrences algbriques opposes sont lies des niveaux plus levs de comportements de citoyennet organisationnelle ainsi que dengagements affectifs et de continuit envers le groupe de travail. Les rsultats de ltude suggrent aussi que les perceptions de la culture du groupe de travail sont plus lies aux rsultats pertinents que les perceptions de la culture organisationnelle. Les implications thoriques et pratiques des mesures de perceptions de culture sont examines.
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The goal of this study was to investigate the specific patterns of memory breakdown in patients suffering from early-onset Alzheimers disease (EOAD) and late-onset Alzheimers disease (LOAD). Twenty EOAD patients, twenty LOAD patients, twenty matched younger controls, and twenty matched older controls participated in this study. All participants underwent a detailed neuropsychological assessment, an MRI scan, an FDG-PET scan, and AD patients had biomarkers as supporting evidence of both amylodopathy and neuronal injury. Results of the neuropsychological assessment showed that both EOAD and LOAD groups were impaired in the domains of memory, executive functions, language, praxis, and visuoconstructional abilities, when compared to their respective control groups. EOAD and LOAD groups, however, showed distinct patterns of memory impairment. Even though both groups were similarly affected on measures of episodic, short term and working memory, in contrast semantic memory was significantly more impaired in LOAD than in EOAD patients. The EOAD group was not more affected than the LOAD group in any memory domain. EOAD patients, however, showed significantly poorer performance in other cognitive domains including executive functions and visuoconstructional abilities. A more detailed analysis of the pattern of semantic memory performance among patient groups revealed that the LOAD was more profoundly impaired, in tasks of both spontaneous recall and semantic recognition. Voxel-Based Morphometry (VBM) analyses showed that impaired semantic performance in patients was associated with reduced gray matter volume in the anterior temporal lobe region, while PET-FDG analyses revealed that poorer semantic performance was associated with greater hypometabolism in the left temporoparietal region, both areas reflecting key regions of the semantic network. Results of this study indicate that EOAD and LOAD patients present with distinct patterns of memory impairment, and that a genuine semantic impairment may represent one of the clinical hallmarks of LOAD.
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A simple technique for obtaining identical E- and H-plane patterns from E-plane sectoral feed horn is presented. Halfpower beam width and gain of the antenna are also improved considerably. Experimental results for a number of horns with flanges of various parameters are also presented. This system may find practical application in radar and space communication systems
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A modified H-plane sectoral horn antenna with identical E- and'H- plane.patterns over the X-band frequency is discussed. This system has significantly reduced side lobes and hack lobes. Half=power beam width and gain of the antenna are also improved with enhanced matching , Experimental results for a number of horns with various flanges are presented . These find practical application for illuminating symmetric antennas like paraboloids and polarization measurements in radio astronomy, etc. Compared to the fixed pyramidal horns. the present system offers great convenience in trimming the antenna characteristics
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Results of exhaustive study of the effect of metallic flanges on H-plane radiation characteristics of V-slot waveguide antenna are presented . It has been established that the beam can be sharpened or broadened by varying the flange angle . The adjustment of the flange angle and flange width would further improve the radiation pattern , yielding optimum efficiency from the flanged system
