1000 resultados para Sustentabilidade - Altamira (Pará)


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Os autores descrevem os adultos de uma nova espécie de flebótomo do gênero Psychodopygus, grupo squamiventris, que ocorre no sul do Estado do Pará, Brasil, baseando-se em 7 exemplares machos e 8 fêmeas, coletados com isca humana ou animal. Os machos têm genitália complexa, bem característica, distinguindo-se fàcilmente das epécies afins. As fêmeas são muito semelhantes às das demais espécies do grupo, separando-se, porém, pelo aspecto dos dutos individuais inteiramente esclerotinizados, pelo número de dentes verticais do cibário, de 12 a 20, e plo comprimento do terceiro segmento antenal: 265 a 332μ. Ratificam o parecer de Martins et al. sôbre a identidade de "L. squamiventris" do Amapá, segundo Forattini, com P. maripaensis, e mostram o que lhes parece ser o aspecto natural da genitália do macho dessa espécie. Acreditam na importância da nova espécie na transmissão de Leishmaniose tegumentar para o homem, salientando ainda os hábitos diuturnos das fêmeas.

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É registrado o encontro de dois novos focos de transmissão do Schistosoma mansoni, com a presença da Biomphalaria glabrata naturalmente infectada, em uma localidade do município de Viseu e na cidade de Belém Estado do Pará. Nas mesmas áreas foram também encontrados exemplares não infectados de Biomphalaria straminea, além dos planorbideos Biomphalaria schrammi, Drepanotrema lucidum e D. anatinum. Até agora só eram conhecidas em Belém duas espécies de Biomphalaria, B. straminea e B. schrammi, sendo este o primeiro registro da ocorrencia da B. glabrata naquela cidade.

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Examinando-se o sangue de 2.046 primatas capturados durante a "Operação Curupira" encontraram-se plasmódios semelhantes ao Plasmodium brasilianum em sete espécies ou subespécies: Alouatta belzebul belzebul, Alouatta belzebul nigerrima, Alouatta seniculus, Chiropotes satanas, Callicebus moloch, Saimiri sciureus e Saguinus midas niger. Esta última espécie havia sido ainda encontrada naturalmente parasitada por plasmódios.

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The male and female of Lutzomyia carmelinoi n.sp., and the female only of L. baculus and L. williamsi, (Diptera:Psychodidae) are described and illustrated from specimens collected in Pará state, Brazil. A pictorial key is presented to these and the other members of the walkeri group.

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The male and female of Psychodopygus leonidasdeanei n.sp., (Diptera : Psychodidae) are described and illustrated from specimens collected in Shannon traps near Santarém, Pará State, Brazil. This species is a member of the squamiventris series and information is given on the distribution of the members of this series in Pará. A pictorial guide to separate the males and some females from others in the series is given.

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Current in vitro fertilisation (IVF) practice requires synchronisation between the¦environment of cultured oocytes and embryos and the surroundings to what they would have¦been exposed to in vivo. Commercial, sequential media follow this requirement but their exact¦composition is not available. We have compared two widely used IVF culture media systems using¦the two choriocarcinoma cell lines JEG-3 and BeWo. The two hormones hCG and progesterone¦were determined in the culture supernatants as endpoints. In both cell lines, but in a more¦pronounced way in JEG-3, progesterone rather than hCG production was stimulated, and a¦higher hormone release was observed in the fertilisation than in the cleavage media. Differences¦between manufacturers were small and did not favour one system over the other. We conclude¦that both sequential media systems can be equally well used in current IVF laboratory practice.¦© 2012 Elsevier Masson SAS. All rights reserved.

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Sur 410 B. glabrata infestées par 1 miracidium de S. mansoni, 300 ont été placées dans des boîtes aérées, sur de la terre humide, et soumises à 6 semaines de dessiccation progressive. Au terme de l'expérience, il y avait 71 survivantes (23.66%), dont 9 positives. Les 110 autres planorbes ont cosntitué le lot témein, avec 106 survivantes (96.36%) à la première semaine d'apparition des cercaires. L'étude hebdomadaire des émissions cercariennes a montré des variations périodiques pour les deux sexes, une plus grande production de certaines femelles chez les témoins, mais une production de cercaires mâles ou femelles semblable chez les mollusques ayant subi l'anhydrobiose. Le faible nombre de ces dernies n'a pas permis une étude comparée significative de la survie des porteurs de formes larvaires mâles et femelles. La durée du développement du parasite chez son hôte ne semble pas modifiée si l'on tient compte de la phase d'estivation.

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Certaines dégénérescences rétiniennes sont engendrées par des mutations¦génétiques et conduisent à la perte des cellules photosensibles, les¦photorécepteurs (cônes et/ou bâtonnets), et donc à la cécité (Roy et al., 2010).¦La prévalence est de 1/3000 chez les Caucasiens. Les Rétinites Pigmentaires¦(RP) en composent la majorité des cas, suivent l'Amaurose congénitale de¦Leber et la maladie de Stargardt. Il n'y a pas une mutation type associés à une¦maladie mais diverses mutations peuvent aboutir à une dégénérescence de la¦rétine. Tout comme le reste du système nerveux central, la rétine lésée n'a pas¦les capacités de se régénérer. Un objectif du traitement est de ralentir la¦dégénérescence de la rétine dans le but de la stabiliser. La thérapie génique¦constitue actuellement la seule approche thérapeutique à même de traiter les¦dégénérescences rétiniennes d'origine génétique. Elle consiste à utiliser un virus¦modifié, qui n'a plus les capacités de se reproduire, appelé vecteur pour cibler¦certaines cellules afin d'ajouter un gène sain ou d'inhiber un gène malade. Les¦virus associés à l'adénovirus (AAV) et les Lentivirus (LV) sont les 2 principaux¦types de virus utilisés en thérapie génique en ophtalmologie. D'autres vecteurs¦existent, comme les adénovirus et le virus de l'anémie infectieuse équine. Des¦études de thérapie génique effectuées chez l'homme avec le vecteur AAV ont¦démontré une sensible amélioration des fonctions visuelles (acuité visuelle,¦champ visuel, pupillométrie et le déplacement dans un environnement avec une¦lumière tamisée) chez des patients atteints d'Amaurose congénitale de Leber¦(Maguire et al., Ali et al., Hauswirth et al., Bennett et al.). Le vecteur utilisé au¦cours de ce travail est un LV, qui a pour avantage de pouvoir transporter de¦grands gènes. Lorsque ce vecteur est pseudotypé avec une enveloppe VSVG, il¦transduit (transférer un gène qui sera fonctionnel dans la cellule cible) bien¦l'épithélium pigmentaire rétinien (nécessaire à la survie et à la fonction des¦photorécepteurs). Afin de changer le tropisme du vecteur, celui testé dans cette¦étude contient une enveloppe de type Mokola qui cible efficacement les cellules¦gliales du cerveau et donc probablement aussi les cellules de Müller de la rétine.¦Le but à court terme est de transformer génétiquement ces cellules pour leur¦faire sécréter des molécules favorisant la survie des photorécepteurs. Pour¦révéler la cellule ciblée par le vecteur, le gène qui sera exprimé dans les cellules¦transduites code pour la protéine fluorescente verte 2 (GFPII) et n'a pas de¦fonction thérapeutique. Après avoir produit le virus, deux types de souris ont été¦injectées : des souris dépourvues du gène de la rhodopsine appelées Rho -/- et¦des souris sauvages appelées C57BL6. Les souris Rho -/- ont été choisies en¦tant que modèle de dégénérescence rétinienne et les souris C57BL6 en tant que¦comparatif. Les souris Rho -/- et C57BL56 ont été injectées entre le 2ème et le¦3ème mois de vie et sacrifiées 7 jours après. Des coupes histologiques de la rétine¦ont permis de mesurer et comparer pour chaque oeil, les distances de¦transduction du RPE et de la neurorétine (= toute la rétine sauf le RPE). La¦distance sur laquelle le RPE est transduit détermine la taille de la bulle¦d'injection alors que la distance sur laquelle la neurorétine est transduite¦détermine la capacité du vecteur à diffuser dans la rétine. Les résultats montrent¦une expression plus importante de la GFPII dans le RPE que dans la neurorétine¦chez les souris Rho -/- et C57BL6. Les principales cellules transduites au¦niveau de la neurorétine sont, comme attendu, les cellules de Müller. Lorsque¦l'on compare les proportions de neurorétine et de RPE transduites, on constate¦qu'il y a globalement eu une meilleure transduction chez les souris Rho -/-¦que chez les souris C57BL6. Cela signifie que le vecteur est plus efficace pour¦transduire une rétine dégénérée qu'une rétine saine. Pour déterminer quels types¦de cellules exprimaient la GFPII, des anticorps spécifiques de certains types de¦cellules ont été utilisés. Ces résultats sont similaires à ceux d'autres études¦effectuées précédemment, dont celle de Calame et al. en 2011, et tendent à¦prouver que le vecteur lentiviral avec l'enveloppe Mokola et le promoteur EFs¦est idéal pour transduire avec un gène thérapeutique des cellules de Müller dans¦des rétines en dégénérescence.

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Mushroom poisoning is a regular complaint for consultation in emergency facilities. These situations are usually benign and symptomatic treatment is sufficient. However, severe damage can occur, potentially life-threatening. We review the various syndromes associated with the toxins involved, their management and the major signs that are suggestive of serious injury and requiring hospitalization.