992 resultados para Multiple imputation prohibition
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BACKGROUND: The role of ss-catenin signaling in mesodermal lineage formation and differentiation has been elusive. METHODOLOGY: To define the role of ss-catenin signaling in these processes, we used a Dermo1(Twist2)(Cre/+) line to target a floxed beta-catenin allele, throughout the embryonic mesenchyme. Strikingly, the Dermo1(Cre/+); beta-catenin(f/-) conditional Knock Out embryos largely phenocopy Pitx1(-/-)/Pitx2(-/-) double knockout embryos, suggesting that ss-catenin signaling in the mesenchyme depends mostly on the PITX family of transcription factors. We have dissected this relationship further in the developing lungs and find that mesenchymal deletion of beta-catenin differentially affects two major mesenchymal lineages. The amplification but not differentiation of Fgf10-expressing parabronchial smooth muscle progenitor cells is drastically reduced. In the angioblast-endothelial lineage, however, only differentiation into mature endothelial cells is impaired. CONCLUSION: Taken together these findings reveal a hierarchy of gene activity involving ss-catenin and PITX, as important regulators of mesenchymal cell proliferation and differentiation.
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Uncertainties as to future supply costs of nonrenewable natural resources, such as oil and gas, raise the issue of the choice of supply sources. In a perfectly deterministic world, an efficient use of multiple sources of supply requires that any given market exhausts the supply it can draw from a low cost source before moving on to a higher cost one; supply sources should be exploited in strict sequence of increasing marginal cost, with a high cost source being left untouched as long as a less costly source is available. We find that this may not be the efficient thing to do in a stochastic world. We show that there exist conditions under which it can be efficient to use a risky supply source in order to conserve a cheaper non risky source. The benefit of doing this comes from the fact that it leaves open the possibility of using it instead of the risky source in the event the latters future cost conditions suddenly deteriorate. There are also conditions under which it will be efficient to use a more costly non risky source while a less costly risky source is still available. The reason is that this conserves the less costly risky source in order to use it in the event of a possible future drop in its cost.
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A collective decision problem is described by a set of agents, a profile of single-peaked preferences over the real line and a number k of public facilities to be located. We consider public facilities that do not suer from congestion and are non-excludable. We provide a characterization of the class of rules satisfying Pareto-efficiency, object-population monotonicity and sovereignty. Each rule in the class is a priority rule that selects locations according to a predetermined priority ordering among interest groups. We characterize each of the subclasses of priority rules that respectively satisfy anonymity, hiding-proofness and strategy-proofness. In particular, we prove that a priority rule is strategy-proof if and only if it partitions the set of agents into a fixed hierarchy. Alternatively, any such rule can be viewed as a collection of fixed-populations generalized peak-selection median rules (Moulin, 1980), that are linked across populations, in a way that we describe.
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Most panel unit root tests are designed to test the joint null hypothesis of a unit root for each individual series in a panel. After a rejection, it will often be of interest to identify which series can be deemed to be stationary and which series can be deemed nonstationary. Researchers will sometimes carry out this classification on the basis of n individual (univariate) unit root tests based on some ad hoc significance level. In this paper, we demonstrate how to use the false discovery rate (FDR) in evaluating I(1)=I(0) classifications based on individual unit root tests when the size of the cross section (n) and time series (T) dimensions are large. We report results from a simulation experiment and illustrate the methods on two data sets.
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Limputation simple est trs souvent utilise dans les enqutes pour compenser pour la non-rponse partielle. Dans certaines situations, la variable ncessitant limputation prend des valeurs nulles un trs grand nombre de fois. Ceci est trs frquent dans les enqutes entreprises qui collectent les variables conomiques. Dans ce mmoire, nous tudions les proprits de deux mthodes dimputation souvent utilises en pratique et nous montrons quelles produisent des estimateurs imputs biaiss en gnral. Motiv par un modle de mlange, nous proposons trois mthodes dimputation et tudions leurs proprits en termes de biais. Pour ces mthodes dimputation, nous considrons un estimateur jackknife de la variance convergent vers la vraie variance, sous lhypothse que la fraction de sondage est ngligeable. Finalement, nous effectuons une tude par simulation pour tudier la performance des estimateurs ponctuels et de variance en termes de biais et derreur quadratique moyenne.
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Contexte: Les facteurs de risque comportementaux, notamment linactivit physique, le comportement sdentaire, le tabagisme, la consommation dalcool et le surpoids sont les principales causes modifiables de maladies chroniques telles que le cancer, les maladies cardiovasculaires et le diabte. Ces facteurs de risque se manifestent galement de faon concomitante chez lindividu et entranent des risques accrus de morbidit et de mortalit. Bien que les facteurs de risque comportementaux aient t largement tudis, la distribution, les patrons dagrgation et les dterminants de multiples facteurs de risque comportementaux sont peu connus, surtout chez les enfants et les adolescents. Objectifs: Cette thse vise 1) dcrire la prvalence et les patrons dagrgation de multiples facteurs de risque comportementaux des maladies chroniques chez les enfants et adolescents canadiens; 2) explorer les corrlats individuels, sociaux et scolaires de multiples facteurs de risque comportementaux chez les enfants et adolescents canadiens; et 3) valuer, selon le modle conceptuel de ltude, linfluence longitudinale dun ensemble de variables distales (cest--dire des variables situes une distance intermdiaire des comportements risque) de type individuel (estime de soi, sentiment de russite), social (relations sociales, comportements des parents/pairs) et scolaire (engagement collectif la russite, comprhension des rgles), ainsi que de variables ultimes (cest--dire des variables situes une distance loigne des comportements risque) de type individuel (traits de personnalit, caractristiques dmographiques), social (caractristiques socio-conomiques des parents) et scolaire (type dcole, environnement favorable, climat disciplinaire) sur le taux doccurrence de multiples facteurs de risque comportementaux chez les enfants et adolescents canadiens. Mthodes: Des donnes transversales (n = 4724) partir du cycle 4 (2000-2001) de lEnqute longitudinale nationale sur les enfants et les jeunes (ELNEJ) ont t utilises pour dcrire la prvalence et les patrons dagrgation de multiples facteurs de risque comportementaux chez les jeunes canadiens gs de 10-17 ans. Lagrgation des facteurs de risque a t examine en utilisant une mthode du ratio de cas observs sur les cas attendus. La rgression logistique ordinale a t utilise pour explorer les corrlats de multiples facteurs de risque comportementaux dans un chantillon transversal (n = 1747) de jeunes canadiens gs de 10-15 ans du cycle 4 (2000-2001) de lELNEJ. Des donnes prospectives (n = 1135) partir des cycle 4 (2000-2001), cycle 5 (2002-2003) et cycle 6 (2004-2005) de lELNEJ ont t utilises pour valuer linfluence longitudinale des variables distales et ultimes (tel que dcrit ci-haut dans les objectifs) sur le taux doccurrence de multiples facteurs de risque comportementaux chez les jeunes canadiens gs de 10-15 ans; cette analyse a t effectue laide des modles de Poisson longitudinaux. Rsultats: Soixante-cinq pour cent des jeunes canadiens ont rapport avoir deux ou plus de facteurs de risque comportementaux, comparativement seulement 10% des jeunes avec aucun facteur de risque. Les facteurs de risque comportementaux se sont agrgs en de multiples combinaisons. Plus prcisment, loccurrence simultane des cinq facteurs de risque tait 120% plus leve chez les garons (ratio observ/attendu (O/E) = 2.20, intervalle de confiance (IC) 95%: 1.31-3.09) et 94% plus leve chez les filles (ratio O/E = 1.94, IC 95%: 1.24-2.64) quattendu. Lge (rapport de cotes (RC) = 1.95, IC 95%: 1.21-3.13), ayant un parent fumeur (RC = 1.49, IC 95%: 1.09-2.03), ayant rapport que la majorit/tous de ses pairs consommaient du tabac (RC = 7.31, IC 95%: 4.00-13.35) ou buvaient de lalcool (RC = 3.77, IC 95%: 2.18-6.53), et vivant dans une famille monoparentale (RC = 1.94, IC 95%: 1.31-2.88) ont t positivement associs aux multiples comportements risque. Les jeunes ayant une forte estime de soi (RC = 0.92, IC 95%: 0.85-0.99) ainsi que les jeunes dont un des parents avait un niveau dducation postsecondaire (RC = 0.58, IC 95%: 0.41-0.82) taient moins susceptibles davoir de multiples facteurs de risque comportementaux. Enfin, les variables de type social distal (tabagisme des parents et des pairs, consommation dalcool par les pairs) (Log du rapport de vraisemblance (LLR) = 187.86, degrs de libert = 8, P < 0,001) et individuel distal (estime de soi) (LLR = 76.94, degrs de libert = 4, P < 0,001) ont significativement influenc le taux doccurrence de multiples facteurs de risque comportementaux. Les variables de type individuel ultime (ge, sexe, anxit) et social ultime (niveau dducation du parent, revenu du mnage, structure de la famille) ont eu une influence moins prononce sur le taux de cooccurrence des facteurs de risque comportementaux chez les jeunes. Conclusion: Les rsultats suggrent que les interventions de sant publique devraient principalement cibler les dterminants de type individuel distal (tel que lestime de soi) ainsi que social distal (tels que le tabagisme des parents et des pairs et la consommation dalcool par les pairs) pour prvenir et/ou rduire loccurrence de multiples facteurs de risque comportementaux chez les enfants et les adolescents. Cependant, puisque les variables de type distal (telles que les caractristiques psychosociales des jeunes et comportements des parents/pairs) peuvent tre influences par des variables de type ultime (telles que les caractristiques dmographiques et socioconomiques), les programmes et politiques de prvention devraient galement viser amliorer les conditions socioconomiques des jeunes, particulirement celles des enfants et des adolescents des familles les plus dmunies.
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Ce mmoire examine les questions mouvement multiple en bulgare, en accordant une importance particulire aux mcanismes qui rgissent lordre des syntagmes interrogatifs antposs. Outre la prsentation dun phnomne linguistique complexe et trs intressant, ltude propose un aperu critique des hypothses les plus importantes mises au fil des ans propos des interrogatives multiples. Dans un premier temps, nous discutons des diffrentes approches renfermant lide que lordre des mots interrogatifs au dbut de la proposition dpend entirement des rgles syntaxiques. Ensuite, nous prsentons les analyses qui tentent dexpliquer la problmatique en faisant appel des traits spcifiques des syntagmes Qu-, tels que [anim] ou [li au discours]. Le rle de la topicalisation et de la focalisation dans la formation des questions multiples, les projections fonctionnelles de la priphrie gauche en bulgare accueillant diffrents syntagmes, ainsi que la rsomption comptent galement parmi les sujets traits dans ce mmoire.
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Contexte - La variation interindividuelle de la rponse aux corticostrodes (CS) est un problme important chez les patients atteints de maladies inflammatoires dintestin. Ce problme est bien plus accentu chez les enfants avec la prvalence de la corticodpendance extrmement (~40 %) leve. La maladie rfractaire au CS a des rpercussions sur le dveloppement et le bien-tre physique et psychologique des patients et impose des cots mdicaux levs, particulirement avec la maladie active comparativement la maladie en rmission, le cot tant 2-3 fois plus lev en ambulatoire et 20 fois plus lev en hpital. Il est ainsi primordial de dterminer les marqueurs prdictifs de la rponse aux CS. Les efforts prcdents de dcouvrir les marqueurs cliniques et dmographiques ont t quivoques, ce qui souligne davantage le besoin de marqueurs molculaires. L'action des CS se base sur des processus complexes dtermins gntiquement. Deux gnes, le ABCB1, appartenant la famille des transporteurs transmembraneaux, et le NR3C1, encodant le rcepteur glucocorticode, sont des lments importants des voies mtaboliques. Nous avons postul que les variations dans ces gnes ont un rle dans la variabilit observe de la rponse aux CS et pourraient servir en tant que les marqueurs prdictifs. Objectifs - Nous avons vis : (1) examiner le fardeau de la maladie rfractaire aux CS chez les enfants avec la maladie de Crohn (MC) et le rle des caractristiques cliniques et dmographiques potentiellement lis la rponse; (2) tudier l'association entre les variantes d'ADN de gne ABCB1 et la rponse aux CS; (3) tudier les associations entre les variantes d'ADN de gne NR3C1 et la rponse aux CS. Mthodes - Afin datteindre ces objectifs, nous avons men une tude de cohorte des patients recruts dans deux cliniques pdiatriques tertiaires de gastroentrologie lOttawa (CHEO) et Montral (HSJ). Les patients avec la MC ont t diagnostiqus avant l'ge de 18 ans selon les critres standard radiologiques, endoscopiques et histopathologiques. La corticorsistance et la corticodpendance ont t dfinies en adaptant les critres reconnus. LADN, acquise soit du sang ou de la salive, tait gnotype pour des variations travers de gnes ABCB1 et NR3C1 slectionnes laide de la mthodologie de tag-SNP. La frquence de la corticorsistance et la corticodpendance a t estime assumant une distribution binomiale. Les associations entre les variables cliniques/dmographiques et la rponse aux CS ont t examines en utilisant la rgression logistique en ajustant pour des variables potentielles de confusion. Les associations entre variantes gntiques de ABCB1 et NR3C1 et la rponse aux CS ont t examines en utilisant la rgression logistique assumant diffrents modles de la transmission. Les associations multimarqueurs ont t examines en utilisant l'analyse de haplotypes. Les variantes nongnotypes ont t imputes en utilisant les donnes de HAPMAP et les associations avec SNPs imputs ont t examines en utilisant des mthodes standard. Rsultats - Parmi 645 patients avec la MC, 364 (56.2%) ont reu CS. La majorit de patients taient des hommes (54.9 %); prsentaient la maladie de liloclon (51.7%) ou la maladie inflammatoire (84.6%) au diagnostic et taient les Caucasiens (95.6 %). Huit pourcents de patients taient corticorsistants et 40.9% - corticodpendants. Le plus bas ge au diagnostic (OR=1.34, 95% CI: 1.03-3.01, p=0.040), la maladie cxistante de la rgion digestive suprieure (OR=1.35, 95% CI: 95% CI: 1.06-3.07, p=0.031) et lusage simultan des immunomodulateurs (OR=0.35, 95% CI: 0.16-0.75, p=0.007) ont t associs avec la corticodpendance. Un total de 27 marqueurs gnotyps travers de ABCB1 (n=14) et NR3C1 (n=13) ont t en l'quilibre de Hardy-Weinberg, lexception dun dans le gne NR3C1 (rs258751, exclu). Dans ABCB1, l'allle rare de rs2032583 (OR=0.56, 95% CI: 0.34-0.95, p=0.029) et gnotype htrozygote (OR=0.52, 95% CI: 0.28-0.95 p=0.035) ont t ngativement associes avec la dpendance de CS. Un haplotype 3 marqueurs, comprenant le SNP fonctionnel rs1045642 a t associ avec la dpendance de CS (p empirique=0.004). 24 SNPs imputs introniques et six haplotypes ont t significativement associs avec la dpendance de CS. Aucune de ces associations n'a cependant maintenu la signification aprs des corrections pour des comparaisons multiples. Dans NR3C1, trois SNPs: rs10482682 (OR=1.43, 95% CI: 0.99-2.08, p=0.047), rs6196 (OR=0.55, 95% CI: 0.31-0.95, p=0.024), et rs2963155 (OR=0.64, 95% CI: 0.42-0.98, p=0.039), ont t associs sous un modle additif, tandis que rs4912911 (OR=0.37, 95% CI: 0.13-1.00, p=0.03) et rs2963156 (OR=0.32, 95% CI: 0.07-1.12, p=0.047) - sous un modle rcessif. Deux haplotypes incluant ces 5 SNPs (AAACA et GGGCG) ont t significativement (p=0.006 et 0.01 empiriques) associs avec la corticodpendance. 19 SNPs imputs ont t associs avec la dpendance de CS. Deux haplotypes multimarqueurs (p=0.001), incluant les SNPs gnotyps et imputs, ont t associs avec la dpendance de CS. Conclusion - Nos tudes suggrent que le fardeau de la corticodpendance est lev parmi les enfants avec le CD. Les enfants plus jeunes au diagnostic et ceux avec la maladie coexistante de la rgion suprieure ainsi que ceux avec des variations dans les gnes ABCB1 et NR3C1 taient plus susceptibles de devenir corticodpendants.
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L'interleukine-15 (IL-15) contribue au dveloppement et lactivation des lymphocytes T CD8, des cellules immunes qui ont t impliques dans plusieurs maladies auto-immunes telle la sclrose en plaques. Des niveaux levs de l'IL-15 ont t trouvs chez les patients atteints de cette maladie comparativement aux tmoins, mais aucune tude n'a examin les effets de tels niveaux levs sur les lymphocytes T CD8. Les objectifs de notre tude taient 1- de caractriser lexpression de l'IL-15 par des lymphocytes B humains et de dterminer ses effets sur les fonctions des lymphocytes T CD8, et 2- dvaluer l'expression in vivo de l'IL-15 dans des modles murins de la sclrose en plaques. Nous avons tabli que les cellules B humaines augmentaient leur expression de l'IL-15 suite une stimulation via le CD40. De plus, les fonctions effectrices des lymphocytes T CD8 ont t significativement augmentes lors des co-cultures avec des cellules B alloractives exprimant l'IL-15. Dans les modles murins de la sclrose en plaques, nous avons dtect au sein du systme nerveux central des cellules immunes exprimant lIL-15 ainsi que des cellules T CD8 exprimant le rcepteur pour cette cytokine diffrents stades de la maladie. Nous avons dmontr que les cellules B modulent des rponses des lymphocytes T CD8 via lIL-15, ce qui suggre un rle pour les cellules B dans la pathogense de la sclrose en plaques. Nous avons aussi mis en vidence la prsence de cellules exprimant lIL-15 dans le systme nerveux central dans des modles murins de cette maladie.
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Mmoire numris par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Universit de Montral
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Les troubles du spectre autistique (TSA) sont actuellement caractriss par une triade d'altrations, incluant un dysfonctionnement social, des dficits de communication et des comportements rptitifs. L'intgration simultane de multiples sens est cruciale dans la vie quotidienne puisqu'elle permet la cration d'un percept unifi. De faon similaire, l'allocation d'attention de multiples stimuli simultans est critique pour le traitement de l'information environnementale dynamique. Dans l'interaction quotidienne avec l'environnement, le traitement sensoriel et les fonctions attentionnelles sont des composantes de base dans le dveloppement typique (DT). Bien qu'ils ne fassent pas partie des critres diagnostiques actuels, les difficults dans les fonctions attentionnelles et le traitement sensoriel sont trs courants parmi les personnes autistes. Pour cela, la prsente thse value ces fonctions dans deux tudes spares. La premire tude est fonde sur la prmisse que des altrations dans le traitement sensoriel de base pourraient tre l'origine des comportements sensoriels atypiques chez les TSA, tel que propos par des thories actuelles des TSA. Nous avons conu une tche de discrimination de taille intermodale, afin d'investiguer l'intgrit et la trajectoire dveloppementale de l'information visuo-tactile chez les enfants avec un TSA (N = 21, gs de 6 18 ans), en comparaison des enfants DT, apparis sur lge et le QI de performance. Dans une tche choix forc deux alternatives simultanes, les participants devaient mettre un jugement sur la taille de deux stimuli, bas sur des inputs unisensoriels (visuels ou tactiles) ou multisensoriels (visuo-tactiles). Des seuils diffrentiels ont valu la plus petite diffrence laquelle les participants ont t capables de faire la discrimination de taille. Les enfants avec un TSA ont montr une performance diminue et pas d'effet de maturation aussi bien dans les conditions unisensorielles que multisensorielles, comparativement aux participants DT. Notre premire tude tend donc des rsultats prcdents d'altrations dans le traitement multisensoriel chez les TSA au domaine visuo-tactile. Dans notre deuxime tude, nous avions valu les capacits de poursuite multiple dobjets dans lespace (3D-Multiple Object Tracking (3D-MOT)) chez des adultes autistes (N = 15, gs de 18 33 ans), compars des participants contrles apparis sur l'ge et le QI, qui devaient suivre une ou trois cibles en mouvement parmi des distracteurs dans un environnement de ralit virtuelle. Les performances ont t mesures par des seuils de vitesse, qui valuent la plus grande vitesse laquelle des observateurs sont capables de suivre des objets en mouvement. Les individus autistes ont montr des seuils de vitesse rduits dans l'ensemble, peu importe le nombre d'objets suivre. Ces rsultats tendent des rsultats antrieurs d'altrations au niveau des mcanismes d'attention en autisme quant l'allocation simultane de l'attention envers des endroits multiples. Pris ensemble, les rsultats de nos deux tudes rvlent donc des altrations chez les TSA quant au traitement simultan d'vnements multiples, que ce soit dans une modalit ou travers des modalits, ce qui peut avoir des implications importantes au niveau de la prsentation clinique de cette condition.
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Ce mmoire de matrise prsente une nouvelle approche non supervise pour dtecter et segmenter les rgions urbaines dans les images hyperspectrales. La mthode propose n ecessite trois tapes. Tout dabord, afin de rduire le cot calculatoire de notre algorithme, une image couleur du contenu spectral est estime. A cette fin, une tape de rduction de dimensionalit non-linaire, base sur deux critres complmentaires mais contradictoires de bonne visualisation; savoir la prcision et le contraste, est ralise pour laffichage couleur de chaque image hyperspectrale. Ensuite, pour discriminer les rgions urbaines des rgions non urbaines, la seconde tape consiste extraire quelques caractristiques discriminantes (et complmentaires) sur cette image hyperspectrale couleur. A cette fin, nous avons extrait une srie de paramtres discriminants pour dcrire les caractristiques dune zone urbaine, principalement compose dobjets manufacturs de formes simples g eomtriques et rgulires. Nous avons utilis des caractristiques texturales bases sur les niveaux de gris, la magnitude du gradient ou des paramtres issus de la matrice de co-occurrence combins avec des caractristiques structurelles bases sur lorientation locale du gradient de limage et la dtection locale de segments de droites. Afin de rduire encore la complexit de calcul de notre approche et viter le problme de la maldiction de la dimensionnalit quand on dcide de regrouper des donnes de dimensions leves, nous avons dcid de classifier individuellement, dans la dernire tape, chaque caractristique texturale ou structurelle avec une simple procdure de K-moyennes et ensuite de combiner ces segmentations grossires, obtenues faible cot, avec un modle efficace de fusion de cartes de segmentations. Les exprimentations donnes dans ce rapport montrent que cette stratgie est efficace visuellement et se compare favorablement aux autres mthodes de dtection et segmentation de zones urbaines partir dimages hyperspectrales.
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The purpose of this chapter is to provide an elementary introduction to the non-renewable resource model with multiple demand curves. The theoretical literature following Hotelling (1931) assumed that all energy needs are satisfied by one type of resource (e.g. oil), extractible at different per-unit costs. This formulation implicitly assumes that all users are the same distance from each resource pool, that all users are subject to the same regulations, and that motorist users can switch as easily from liquid fossil fuels to coal as electric utilities can. These assumptions imply, as Herfindahl (1967) showed, that in competitive equilibrium all users will exhaust a lower cost resource completely before beginning to extract a higher cost resource: simultaneous extraction of different grades of oil or of oil and coal should never occur. In trying to apply the single-demand curve model during the last twenty years, several teams of authors have independently found a need to generalize it to account for users differing in their (1) location, (2) regulatory environment, or (3) resource needs. Each research team found that Herfindahl's strong, unrealistic conclusion disappears in the generalized model; in its place, a weaker Herfindahl result emerges. Since each research team focussed on a different application, however, it has not always been clear that everyone has been describing the same generalized model. Our goal is to integrate the findings of these teams and to exposit the generalized model in a form which is easily accessible.
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Au dbut des annes 1920, la ville de Montral se retrouve dans une situation assez unique. lpoque, les tats-Unis et toutes les provinces canadiennes lexception du Qubec ont adopt la prohibition de la vente dalcool. Mais mme au Qubec, environ la moiti de la population de la province est alors touche par des prohibitions locales (votes au niveau municipal), des prohibitions qui ont largement perdur tout au long de la priode ltude. Durant cette re de prohibition de lalcool nord-amricaine, Montral est la plus grande ville, et une des seules sur le continent non rgie par une loi sur la prohibition. Cest aussi celle qui dispose des lois les plus librales envers lalcool des deux cts du 49me parallle grce la cration de la Commission des Liqueurs de Qubec (CLQ), le premier systme de contrle gouvernemental de lalcool en Amrique du Nord. Cest dans ce contexte que Montral devient une rare oasis dans un continent assoiff et le plus grand cobaye du modle de contrle gouvernemental de lalcool. Ce mmoire examine les impacts de cette conjoncture sur le dveloppement de cette ville, de son industrie touristique, de sa vie nocturne et de sa rputation. En premier lieu, le mmoire prsente une mise en contexte de la situation aux tats-Unis, au Canada et au Qubec afin de faire ressortir le caractre unique de Montral pendant cette priode. En deuxime lieu, lessor du tourisme dit de liqueur et de la vie nocturne montralaise, la fois lgale et illicite, est explor. En dernier lieu, le mmoire met au jour limpact que cette conjoncture a eu sur la construction de la rputation de la ville travers lexamen des crits des anti- et pro-prohibitionnistes qui ont chacun propag des visions idalises et dmonises de cette ville bien arrose , ainsi que des documents associs lessor du tourisme, tels que les chansons, les guides touristiques et les rcits de voyage, qui, pour leur part, ont prsent un image plus romance de la mtropole et associe un refuge festif de la prohibition. Malgr leurs diffrences, ces trois visions de Montral lont nanmoins associe la libert, que ce soit une libert ordonne, dangereuse ou bien mancipatrice. Ainsi, partir de lexprience de la prohibition et du tourisme de liqueur, Montral devient connue comme une ville ouverte , dans ses acceptions la fois positives et ngatives.
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Contexte: L'obsit chez les jeunes reprsente aujourdhui un problme de sant publique lchelle mondiale. Afin didentifier des cibles potentielles pour des stratgies populationnelles de prvention, les liens entre les caractristiques du voisinage, lobsit chez les jeunes et les habitudes de vie font de plus en plus lobjet dtudes. Cependant, la recherche ce jour comporte plusieurs incohrences. But: Lobjectif gnral de cette thse est dtudier la contribution de diffrentes caractristiques du voisinage relativement lobsit chez les jeunes et les habitudes de vie qui y sont associes. Les objectifs spcifiques consistent : 1) Examiner les associations entre la prsence de diffrents commerces dalimentation dans les voisinages rsidentiels et scolaires des enfants et leurs habitudes alimentaires; 2) Examiner comment lexposition certaines caractristiques du voisinage rsidentiel dtermine lobsit au niveau familial (chez le jeune, la mre et le pre), ainsi que lobsit individuelle pour chaque membre de la famille; 3) Identifier des combinaisons de facteurs de risque individuels, familiaux et du voisinage rsidentiel qui prdisent le mieux lobsit chez les jeunes, et dterminer si ces profils de facteurs de risque prdisent aussi un changement dans lobsit aprs un suivi de deux ans. Mthodes: Les donnes proviennent de ltude QUALITY, une cohorte qubcoise de 630 jeunes, gs de 8-10 ans au temps 1, avec une histoire dobsit parentale. Les voisinages de 512 participants habitant la Rgion mtropolitaine de Montral ont t caractriss laide de : 1) donnes spatiales provenant du recensement et de bases de donnes administratives, calcules pour des zones tampons partir du rseau routier et centres sur le lieu de la rsidence et de lcole; et 2) des observations menes par des valuateurs dans le voisinage rsidentiel. Les mesures du voisinage tudies se rapportent aux caractristiques de lenvironnement bti, social et alimentaire. Lobsit a t estime aux temps 1 et 2 laide de lindice de masse corporelle (IMC) calcul partir du poids et de la taille mesurs. Les habitudes alimentaires ont t mesures au temps 1 l'aide de trois rappels alimentaires. Les analyses effectues comprennent, entres autres, des quations d'estimation gnralises, des rgressions multiniveaux et des analyses prdictives bases sur des arbres de dcision. Rsultats: Les rsultats dmontrent la prsence dassociations avec lobsit chez les jeunes et les habitudes alimentaires pour certaines caractristiques du voisinage. En particulier, la prsence de dpanneurs et de restaurants-minutes dans le voisinage rsidentiel et scolaire est associe avec de moins bonnes habitudes alimentaires. La prsence accrue de trafic routier, ainsi quun faible niveau de prestige et durbanisation dans le voisinage rsidentiel sont associs lobsit familiale. Enfin, les rsultats montrent quhabiter un voisinage obsogne, caractris par une dfavorisation socioconomique, la prsence de moins de parcs et de plus de dpanneurs, prdit l'obsit chez les jeunes lorsque combin la prsence de facteurs de risque individuels et familiaux. Conclusion: Cette thse contribue aux crits sur les voisinages et lobsit chez les jeunes en considrant la fois l'influence potentielle du voisinage rsidentiel et scolaire ainsi que linfluence de lenvironnement familial, en utilisant des mthodes objectives pour caractriser le voisinage et en utilisant des mthodes statistiques novatrices. Les rsultats appuient en outre la notion que les efforts de prvention de l'obsit doivent cibler les multiples facteurs de risque de l'obsit chez les jeunes dans les environnements btis, sociaux et familiaux de ces jeunes.