991 resultados para Divine Comedy


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Contient : 1 « Le riche don d'amoureuse mercy ». « Me NICOLE OSMONT » ; 2 « En vray amour il n'est riens impossible ». « Me JAQUES LE LYEUR » ; 3 « L'arbre de vie en l'isle fortunée ». « Me JEHAN ALYNE » ; 4 « Le sainct desert plain de manne angelique ». « Damp NICOLE LESCARRE » ; 5 « Le grant decret d'auctorité divine ». « Me JAQUES FILLASTRE » ; 6 « Le restaurant qui pour mort rend la vie ». « COURNILLE, alias TOURMENTE » ; 7 « Romme où se tient le sainct pape Innocent ». « Damp NICOLE LESCARRE » ; 8 « Le bien de paix aux humains necessaire ». « Me NICOLE DU PUYS » ; 9 « Dessus la loy d'humaine congnoissance ». « Me YSAMBERT BUSQUET » ; 10 « Femme parfaicte en nature imparfaicte ». « Me GUILLAUME THIBAULD » ; 11 « La souveraine en parfaicte beaulté ». « PIERRE CRIGNON » ; 12 « Ung corps parfaict sus ordre elementaire ». « Me JAQUES LE LYEUR » ; 13 « Au fondz d'yver printemps qui rend verdure ». « Me INNOCENT TOURMENTE » ; 14 « La purité du feu elementaire ». « Me P. AVRIL » ; 15 « La digne couche où le roy reposa ». « Me CLEMENT MAROT » ; 16 « Harnoys d'espreuve au puissant roy de gloire ». « PIERRES CRIGNON » ; 17 « Le regne franc de la loy tributaire ». « Me GUILLAUME THIBAULD » ; 18 « Saine et entiere en note et escripture ». « Me CHARLES DE SAINCT GERMAIN » ; 19 « Femme en la loy et hors la loy conceue ». « Me JO. DE BEAUVOYS » ; 20 « Selon ton nom louenge te soit faicte ». « Le general DE CAEN » ; 21 « Au grant festin du cereal convive ». « Me THOMAS LE PREVOST » ; 22 « La saincte Bible où verité repose ». « Me GUILLAUME THYBAULD » ; 23 « Pour le tout beau conceue toute belle ». « Me JEHAN DE BEAUVOYS » ; 24 « Fille obtenant la grace de son pere ». « Me ADAM LAIR » ; 25 « Le noble cueur commencement de vie ». « Me JAQUES LE LYEUR » ; 26 « Triumphanment la victoire obtenue ». « GUILLAUME DE SEVYNGUEHEN » ; 27 « Le feu d'amour pour reschauffer le monde ». « Me NICOLE DU PUYS » ; 28 « Du faulx serpent la puissance a destruicte ». « Me JAQUES LE LIEUR » ; 29 « Vray Mythridat contre mordz de vipere ». « Me INNOCENT TOURMENTE » ; 1 « Toute belle en ame et corps nect ». « Me JAQUES LE LYEUR » ; 2 « La bouge plaine de salutz ». « DUPUYS » ; 3 « La main armée aux ennemys ». « Damp NICOLE LESCARRE » ; 4 « La terre rendent bled de grace ». « Me GUILLAUME THIBAULT » ; 5 « Le nombre d'or de l'an de grace ». « Me THOMAS LEPREVOST » ; 6 « Victoire sur mes ennemys ». « Me JAQUES LELYEUR » ; 7 « Pour les siens poison importable ». « Me REUIL DOUBLET » ; 8 « Entre deux vertes une meure ». « Me THOMAS LEPREVOST » ; 9 « Entre deux vertes une meure ». « Damp NICOLE LESCARRE » ; 10 « Entre imparfaictz toute parfaicte ». « Me GUILLAUME DE SEVYNGUEHEN » ; 11 « Il n'est à Dieu rien impossible ». « Me GUILLAUME THYBAULT » ; 12 « Toutes à l'oeil, mais une au cueur ». « Me THOMAS LEPREVOST » ; 13 « Grace en toy par divin plaisir ». « Damp NICOLLE LESCARRE » ; 14 « Conception plaine de grace » ; 15 « Juste balence et loyal poix ». « Damp NICOLE LESCARRE » ; 16 « La haulte tour de fortitude ». « LESCARRE » ; 17 « La franche terre du grand roy ». « JEHAN PARMENTIER » ; 18 « D'azur à trois fleurs de lys d'or ». « PIERRE CRIGNON » ; 19 « Pour humains lyez deslier ». « Me JAQUES LE LIEUR » ; 20 « Corde l'homme et Dieu accordant ». « LIEUR » ; 21 « Ne craignez plus, la beste est prise ». « Me JAQUES LE LIEUR » ; 1 « Seule sans cy ». « Me JAQUES LE LIEUR » ; 2 « Par devolut ». « Me PIERRES AVRIL » ; 3 « Le povre Adam ». « Me NICOLE DU PUYS » ; 4 « Fors vous ». « Me NICOLE OSMONT » ; 5 « En fleur et fruict ». « Me JEHAN ALYNE » ; 6 « En unité ». « Me PIERRES AVRIL » ; 7 « Comme nature ». « Me CLEMENT MAROT » ; 8 « Grace sur grace » « Me THOMAS LEPREVOST » ; 9 « En mon concept ». « Me INNOCENT TOURMENTE » ; 10 « Ou bien de Dieu ». « GUILLAUME DE SEVYNGUEHEN » ; 11 « Une et non plus ». « Me THOMAS LEPREVOST » ; 12 « En tout honneur ». « Me PIERRES AVRIL » ; 13 « Pour moy sans plus ». « Me GUILLAUME TYBAULD » ; 14 « Grace nous vient ». « Damp NICOLE LESCARRE » ; 15 « Par mon cher filz ». « Me GUILLAUME THIBAULD » ; 16 « Mauldict serpent ». « AVRIL » ; 17 « Voulez vous myeulx ». « Me JEHAN BROYSE » ; 18 « Nonobstant loy ». « G. DE SEVYNGUEHEN » ; 19 « Au gré d'amour ». « Me GUILLAUME TYBAULD » ; 20 « Est ce bien faict ». « L'abbé DE SAINCT VANDRILLE » ; 21 « Hors paradis ». « Me JAQUES LE LYEUR » ; 1 « Deploracion de l'acteur » ; 2 « Espitre », par « LE LIEUR »

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Contient : « In funere Magd. G. de Rochechouart de Mortemart, Fontebraldensium abbatissæ epicedium. » Salmurii, 1704, in-4° ; impr ; Généalogies diverses, et cérémonial ; Copies de lettres historiques, mss. et impr., etc. (XVIIe-XVIIIe s.) ; « Remarques sur la vie de Théodore-Agrippa d'Aubigné,...écrite par luy-même » ; « Mémoire sur les voies romaines dans le pays des Séquanois. » (1756) ; Copies de chartes relatives au prieuré de Roinville, diocèse de Chartres ; Notes sur Jacques Le Fèvre d'Étaples ; Notes sur Geoffroy Vallée ; « Catalogue des livres russes [mss. et impr.] propres à connoître l'histoire, la. législation et la constitution de la Russie, que j'ai rapportés de ce pays ; » par Hernandez, 1775 ; Relation de la mort du roi d'Angleterre, Jacques 11, etc., et copies de lettres historiques diverses ; « Discours préliminaire sur la nouvelle description historique et géographique de la France » ; « Les Édits de S. M. Louis XVI pendant l'administration de M. Turgot, » par Voltaire ; « Lettre latine du P. Ferdinand Verbiest, Jésuite, provincial de la mission de la Chine, écrite de Péking aux Jésuites de France, le 15 août 1678. » (Sur papier de Chine) ; « Relazione delle maravigliose operazioni divine ritrovate nel cadavere e nel cuore delle Madre suor Veronica Giuliani, abbadessa delle Cappuccine di Città di Castello (1727) »

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Contient : « Magie sacrée, que Dieu donna à Moïse, Aaron, David, Salomon et autres saints patriarches et prophètes, qui enseigne la vraie sapience divine, laissée par Abraham à son fils Lamech ; traduite de l'hébreu en 1458. » — Copie du ms. 2351 (Sc. et Arts, fr. 79) de la bibliothèque de l'Arsenal ; « Anachrist, ou manière d'avoir communication avec les bons anges par les Psaumes et ouvrages du prophète royal David... » ; « Clavicule de la sacrée Caballe juive, ou véritable traité de la Caballe juive... » ; « Sepher, mot à mot de la lettre... »

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Contient : 1 Acte donné par PHILIPPE AUGUSTE du jugement rendu par les pairs de France, réunis à Melun, en faveur de Blanche, comtesse de Champagne, et de son fils Thibaud, contre Érard de Brienne et Philippa, sa femme, qui demandaient audit roi de recevoir leur hommage pour le même comté de Champagne. Melun, juillet 1216. En latin ; 2 Acte des jugements rendus sur des questions de forme, à propos d'un appel de Jean de Nesle, qui avait cité Jeanne, comtesse de Flandre, à comparaître devant les pairs de France. Paris, 1224. En latin ; 3 Acte par lequel HENRI DE DREUX, archevêque de Reims, PHILIPPE HUREPEL, comte DE BOULOGNE, ROBERT GATEBLED, comte DE DREUX, ENGUERRAND DE COUCY et MATHIEU DE MONTMORENCY, connétable de France, font connaître les engagements pris par eux envers la reine Blanche, pour empêcher Pierre Mauclerc, comte de Bretagne, de marier sa fille Yolande avec un prince anglais. Paris, juillet 1224. En latin ; 4 Jugement rendu, au camp devant Ancenis, contre Pierre Mauclerc, comte de Bretagne, déclaré coupable de félonie envers le roi de France et par là déchu du comté de Bretagne. Juin 1230. En latin ; 5 Note concernant le grand chambellan et le grand échanson de France, pour prouver qu'ils avoient siége et voix au parlement, en 1277 ; 6 Composition de « l'estroict conseil », pendant la régence de Philippe V, le Long. 1316 ; 7 Procès-verbal duquel il ressort que le sire de Margueil fut condamné à tenir prison au Châtelet, malgré les excuses et les explications par lui présentées à Vincennes, le 28 juin 1319, au roi Philippe V, le Long, touchant une lettre dans laquelle Henri, sire de Sully, bouteiller de France, était traité d'Achitophel ; 8 « Les noms des seigneurs qui furent presens au Louvre, le mecredi devant Pasques fleuries, l'an de grace 1331, à l'arrest donné contre Robert d'Arthois » ; 9 Sentence prononcée en cour de parlement, en faveur de Jeanne de France, reine de Navarre, contre Hugues de Roucy, qui ne l'avait pas fait ajourner dans les formes régulières. 12 mai 1340. En latin ; 10 Notes sur les lits de justice tenus en 1372, 1378 et 1458 ; 11 « L'ordre et la maniere de l'assiette du roy [Louis XI] et des gens des trois estatz », lors de « l'assemblée tenue... en la ville de Tours... le 6 avril 1467, avant Pasques » ; 12 Notes sur l'ordre observé les 8 et 11 juillet 1493, 24, 26 et 27 juillet, 16 et 20 décembre 1527, 15 janvier 1536, aux séances du parlement où le roi siégeait ; 13 Extraits de J. « DU TILLET, au recueil des rancs des grandz de France » ; 14 Discours de J. « DU TILLET » sur « les crimes de lese majesté divine et humaine », où il examine « s'il sera plus expedient que les jugemens portent reversion et reunyon à [la] couronne des fiefz qui en meuvent immediatement, que confiscation avec celle des meubles et arrierefiefz tous appartenans au roy esd. cas » ; 15 Mémoire sur l'origine de la gendarmerie, des gentilshommes de la maison du roi et de ceux dits au bec de Corbin ; 16 Discours dressé, sur l'ordre du roi, par « M. DE VILLEROY », concernant les « rangs et seances de France et l'ordre observé es jours solemnels et ceremonies royalles entre les princes, ducs, pairs, officiers de la couronne et autres princes venus en France » ; 17 « Autre discours des rangs et preseances de France » ; 18 « Traicté de mariage de Charles II, duc de Lorraine, et de Claude de France. Du 19 janvier » 1559 ; 19 Liste par ordre chronologique des duchés-pairies réunis à la couronne (fol. 70), comtés-pairies réunis à la couronne (fol. 73), comtés-pairies démembrés de la couronne (fol. 77), baronnies-pairies réunies à la couronne (fol. 78), baronnies érigées en pairies, en faveur des frères de Charles IX (fol. 80), duchés simples, sans qualité de pairies, réunis à la couronne (fol. 80), duchés simples, sans qualité de pairies, appartenant à des particuliers (fol. 82), duchés-pairies nouveaux, tenus par des particuliers (fol. 83). Cette liste s'arrête à 1638 ; 20 Relation des paroles tenues par François Ier au château de Rambouillet, dans les derniers jours de la maladie dont il mourut ; 21 « L'ordre du convoy funebre du corps du feu roy [Henri II], depuis les Tournelles jusques à N. D. de Paris, et de là jusques à S. Denis » ; 22 « Seremonies faictes au convoy et enterement du feu roy Charles IX, decedé au chasteau de Vincene, le 30 may 1574 » ; 23 « Discours faict durant les persecutions » ; 24 « Noms des principaux seigneurs catholiques d'Angleterre » ; 25 De la prééminence des maréchaux de France sur les amiraux

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Contient : 1 Chronique abrégée des rois de France, allant de Charles le Chauve à Charles VI. Dans la première partie sont des extraits de Vincent de Beauvais, de Sigebert de Gembloux, de Guillaume de Malmesbury, etc. Le commencement manque ; voici les premiers mots de ce qui subsiste (fol. 1) : «... et avoir les yeulx crevez, et à recevoir mort; et ainsi fut fait. Cronographus. Cy doivent prendre exemple les seigneurs du sang des roys et par especial ceulx de la tres noble maison de France... ». Fin (fol. 29 v°) : «... L'an mil CCC IIIIXX et trois, le conte de Flandres trespassa. Et pour ce que je n'ay plus avant veu de l'histoire dudit roy Charles sixiesme, je faiz cy la fin de ce present euvre, quant aux genealogies et briefves incidences des temps ». Une suite de cette chronique commence, au fol. 30, par : « S'ensuivent aucunes choses notables, singulières et dignes de memoire pour aucune declaration et ampliation de ce present traicté, lesquelles n'y ont peu estre assises ne mises, parce que alors je ne les avoye pas. Et premierement de la dignité royal. La dignité royal est la premiere et souveraine entre toutes les autres dignitez ou puissances terriennes... ». L'ouvrage se termine par un traité sur la prudence, dont voici le début (fol. 36) : « Pour parvenir, à l'aide de Dieu, à la fin de ce present traictié, considerant que entre les autres vertuz cardinales dont Dieu de sa grace a ourné le roy... je finiray ce dit traictié en parlant briefment de prudence et ensuivant en ce, après le philosophe, la doctrine de saint Thomas d'Aquin, en la seconde partie de sa Somme, en la XLe question, en laquelle, en tractant de prudence, selon elle, il fait les articles qui s'ensuivent. En la principalle responce du premier, il dit que prudent est dit aussi comme provident... ». Fin (fol. 42 v°) : «... je le bailleray voulentiers, pour honneur du roy, à celui qui lui plaira commectre à ce faire. Et pour ce que l'ordre de ceste presente histoire de France abregée commancée aux princes, en laquelle abreviacion, à l'aide de Dieu... j'ay procedé jusques au temps du regne Charles VI de ce nom, jadiz roy de France, que Dieu absoille, et pour conclusion finale d'icelle, esperant que par la clemence divine je puisse gaigner dix jours de indulgence et pardon, que Innocent pape, quart de ce nom, a donnez à tous ceulx qui prient pour le roy de France... et aussi pour recongnoissance, non pas telle comme je suis tenu, maiz comme je la puis faire, de l'onneur qu'il a pleu au roy de sa bonté naturelle à moy faire, en moy retenant en son très humble serviteur, après mon exil par les Angloys, auquel service royal je fuz retenu, passé sont trente six ans. Je prie Dieu, qui est prince des roys de la terre... ». La suite manque. Le feuillet 43 r° est occupé par la fin d'un traité contre les prétentions d'Henri V d'Angleterre au trône de France. En voici les premiers et les derniers mots : « Maiz est icelle pretendue privacion... Cecy est escript veritablement soubz la benigne supportation et debonnaireté du roy, que Nostre Seigneur par sa grace vueille toujours garder et en ses affaires prosperer. Amen. Qui scripsit scribat, semper cum Domino vivat ». Cette partie du manuscrit est du XVe siècle ; 2 Copie des mémoires de THOMASSIN sur l'histoire des rois de Bourgogne et du Dauphiné. On lit, en effet, au fol. 54 v° : « Seconde partye de ce registre, contenant la genealogie des daulphins », et au fol. 67 : « Tiers livre des registres dudit Thomassin ». Cette copie commence (fol. 47) par : « Gontran, frère de Chilperic,... » et finit (fol. 72 v°) par : «... fust prinse par luy la possession, ledit an et le XIIIe aost ». On lit à la suite (fol. 72 v°-74) un « Extraict du livre en papier dudit Thomassin intitullé : Declaratio dignitatum, prerogativarum spectantium ac pertinentium illustrissimo principi Ludovico, regis Francorum primogenito, dalphino Vienensi. De comitibus Viennae. Tradunt scripturae antiquae... ». Cette partie du manuscrit est du XVIe siècle ; 3 « La vie, les miracles et les éminentes vertus de sainct Brieuc, premier evesque de l'evesché appellé de son nom Sainct Brieuc, et aussi de sainct Guillaume, evesque du mesme diocèse, ensemble la translation des relicques dudict sainct Brieuc et la canonisation dudict sainct Guillaume par nostre sainct père le pape Innocent quatriesme, plus quelques remarques et observations necessaires pour l'intelligence d'aucunes difficultés qui se trouvent en cet oeuvre, par L. G. DE LA DENISON, chanoine de l'eglise cathédrale de Sainct Brieuc »

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Located inside Brock's Thistle Complex, the Thistle Theatre, which has since been renamed the Sean O'Sullivan Theatre, features a thrust stage and steep rising tiers of seats in a semi circular 'bowl'. Although often described as a 550 seat theatre, in actuality it originally had exactly 543 seats. It is interesting to note that the official number of seats is now 538. The very first production to be held at the theatre was Lysistrata, the Greek comedy by Aristophanes, on July 29, 1969. Since it's opening in 1969, it has been the centre of a great many cultural events and other performances ranging from concerts and plays to lectures and speeches.

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The writings of John Dewey (1859-1952) and Simone Weil (1909-1943) were analyzed with a view to answering 3 main questions: What is wisdom? How is wisdom connected to experience? How does one educate for a love of wisdom? Using a dialectical method whereby Dewey (a pragmatist) was critiqued by Weil (a Christian Platonist) and vice versa, commonalities and differences were identified and clarified. For both, wisdom involved the application of thought to specific, concrete problems in order to secure a better way of life. For Weil, wisdom was centered on a love of truth that involved a certain way of applying one's attention to a concrete or theoretical problem. Weil believed that nature was subject to a divine wisdom and that a truly democratic society had supernatural roots. Dewey believed that any attempt to move beyond nature would stunt the growth of wisdom. For him, wisdom could be nourished only by natural streams-even if some ofthem were given a divine designation. For both, wisdom emerged through the discipline of work understood as intelligent activity, a coherent relationship between thinking and acting. Although Weil and Dewey differed on how they distinguished these 2 activities, they both advocated a type of education which involved practical experience and confronted concrete problems. Whereas Dewey viewed each problem optimistically with the hope of solving it, Weil saw wisdom in, contemplating insoluble contradictions. For both, educating for a love of wisdom meant cultivating a student's desire to keep thinking in line with acting-wanting to test ideas in action and striving to make sense of actions observed.

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Early in his landmark ecocritical book The Comedy of Survival, Joseph Meeker develops an intriguing hypothesis about human behaviour. He remarks the species Homo sapiens tend to behave like an invasive or pioneering organism, entering a bio-geographical region and aggressively outcompeting all other species for space and resources. Moreover, he suggests, human cultural traditions, at least in the West, have reinforced such behaviour, continually insisting that the impulses he describes are both necessary and right. While Meeker's work goes on to assess a number of literary works in both the tragic and comic modes, his work never fully explores this hypothesis in the context of human pioneers; that is, there is no ~xploration o( how these themes manifest themselves within our culture and what role they might play in the culture of specific pioneering groups. This project is an attempt at just such an analysis, examining the validity of Meeker's hypothesis through a case study of settler literature in Upper Canada/Ontario between the . years 1800-1867. It explores Meeker's work within three main areas: first, Chapter Two situates his book historically within the field of ecocriticism, showing what came before and the explosion of ecocritical inquiry that followed its release. This chapter also delves into the rift between the natural sciences and humanities, arguing that a move towards deeper interdisciplinarity is r:tecessary for the future. Chapter Three examines the biological and ecological ground on which Meeker rests his hypothesis through exploring evolutionary biology as well as invasive and pioneer species behaviour. Lastly, Chapter Four examines how these ecological principles are manifested in the writings of early Canadian settlers, suggesting that Meeker's hypothesis indeed finds itself on stable footing.

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She begins the letter with a recount of her weekend away in the country. She mentions a few friends and her outings over the weekend. Enclosed is clipping titled "'Snap it up': Soldiers' Comedy: Coming to Broad". This letter is labelled number 291.

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Conférence donnée le 22 mars 2006 au Dialogue judéo-chrétien de Montréal. ©Jean Duhaime, 2006.

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Cette thèse se propose d’étudier les façons dont la pensée et l’imaginaire grec de l’époque archaïque se représentaient quelques pans du réel qui ne se laissaient jamais voir ni atteindre: l’éther, l’air et l’abîme marin. Vu le caractère insondable de ces espaces, l’imagination et l’abstraction se sont ingéniées à les appréhender par un discours spécifique et à les intégrer dans le système de connaissances et de croyances propre à l’époque en leur assignant une place dans le système de l’univers, en les rattachant à une hiérarchie de l’ordre cosmologique, en leur donnant une forme, en classant leurs objets et en les rapportant aux modèles du monde connu, en les aménageant par les moyens les plus divers. Une étude des formes d’expression de la pensée grecque archaïque, autant littéraires qu’iconographiques, permet de cerner les diverses formes de représentation des domaines inaccessibles et les modèles d’organisation spatiale issus de ce type de pensée. Grâce à la dialectique particulière qui ressort du rapport entre espace et mouvement, cette thèse se propose également d’interroger le corpus des sources grecques archaïques sous des angles jusqu’ici peu explorés: comment maîtrise-t-on l’espace par les déplacements physiques en dehors des parcours terrestres? Comment les schémas du mouvement dans l’espace se sont-ils forgés? Comment les dichotomies issues de la logique spatiale archaïque (haut/bas, droite/gauche, est/ouest, en deça/au-delà, etc.) influent-elles sur la structuration spatiale? Quelles espèces d’espace révèlent les déplacements à travers les différents niveaux du monde, que ce soit ceux des dieux, ceux des mortels et d’autres entités, forces physiques et substances privilégiées dans le commerce avec le divin et le monde d’en haut? Ces analyses mettent en valeur les façons dont l’imagination et l’abstraction plutôt que l’expérience vécue ont contribué, à leur façon, à structurer l’espace et à forger l’image du monde comme κόσμος, monde mis en ordre et soumis autant aux lois physiques qu’aux lois divines.

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À très peu de philosophes l’histoire de la pensée occidentale a accordé une place aussi significative qu’à Socrate : nous apprenons tout naturellement à l’édifier comme héros de la rationalité et à reconnaître en lui la figure même du philosophe critique. À plusieurs égards, cette représentation élogieuse nous paraît justifiée, bien que, d’un autre point de vue, elle puisse nous faire sombrer dans la confusion, dès lors que notre regard porte simultanément, et comme pour produire un contraste, sur l’image d’un Socrate se soumettant au daimonion, son étrange signe divin. Comment pouvons-nous justifier, à partir du corpus platonicien, à la fois l’engagement de Socrate vis-à-vis de la rationalité et sa soumission à un phénomène en apparence irrationnel ? De cette question troublante est née la présente étude qui se consacre donc au problème de l’articulation entre le rapport de Socrate aux dieux et son rapport à la raison critique. Plus précisément, nous avons cherché à déterminer s’il existait, sur le plan épistémologique, une hiérarchie entre le daimonion et la méthode d’investigation rationnelle propre à Socrate, l’elenchos. Une telle étude exégétique nécessitait, dans un premier temps, une analyse systématique et approfondie des quelques passages sur le signe divin. Nous avons ensuite exposé deux solutions paradigmatiques au problème du double engagement contradictoire de Socrate, celle de G. Vlastos ainsi que celle de T.C. Brickhouse et N.D. Smith. Enfin, nous avons augmenté cette seconde partie d’un examen spécifique du Phèdre et du Timée, de même que d’un survol des modes de divination pour satisfaire un triple objectif : situer le signe divin en regard de la mantique traditionnelle, déterminer le rôle attribué par Platon à la raison dans le processus divinatoire, et être ainsi en mesure de trancher notre question principale.

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Malgré l’acceptation théorique et pratique que l’astrologie médiévale rencontre au 13e siècle latin, son statut philosophique ambigu tient, au moins en partie, à son double partage en art mécanique et en science libérale. Plus mystérieux encore reste le fait qu’elle apparaisse en Occident sans devoir violenter les cadres philosophiques où elle s’inscrit, aussi chrétiens soient-ils. Du point de vue de l’histoire de la philosophie, ce que cette arrivée en douceur passe sous silence, c’est l’enracinement conceptuel toujours déjà préétabli du projet astrologique à l’intérieur d’un contexte philosophique plus global, dans et par lequel l’idée d’influence astrale valide sa raison d’être. En passant par la philosophie naturelle et la métaphysique de Thomas d’Aquin, ce travail veut montrer comment l’astrologie médiévale survient en terres chrétiennes à partir de la rencontre de la hiérarchie causale de l’être propre à l’arabo-aristotélisme néo-platonisant avec une théologie de la providence divine. D’aporie en aporie, la déconstruction de ce que toute astrologie présuppose prend place, de sorte qu’il devient possible de comprendre l’aspect rationnel et proprement philosophique de l’entreprise astrologique au Moyen Âge.

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Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de ses documents visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et archives de l'Université de Montréal.

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À partir du projet d’écriture d’une chronique que Céline met en avant lorsqu’il parle de son œuvre dans l’après-guerre, ce mémoire examine l’hypothèse selon laquelle le genre des chroniques médiévales fait, dans Nord, l’objet d’une réécriture permanente et déterminante pour la version de la Seconde Guerre mondiale de Céline. La notion d’horizon d’attente de Jauss permet d’abord de démontrer comment Nord reconstruit le discours testimonial et l’éthos de la vérité qui fondent la légitimité de chroniqueurs comme Villehardouin ou Clari afin d’accréditer une version illégitime des événements de 39-45. Au récit magnifié de la « Libération », Céline oppose en effet une chronique de l’épuration et un témoignage sur la vie quotidienne dans l’Allemagne de 1944. Idéologiquement nationalistes, les chroniques médiévales forment une lignée de la francité à partir de laquelle Céline crée une fiction politique passéiste qui projette sur les événements de 39-45 la géopolitique d’une Europe médiévale afin de cautionner les partis pris d’extrême droite de l’auteur. Par ailleurs, Nord accentue la propension autobiographique de certaines chroniques et la confond avec une lignée de mémorialistes disgraciés. Ceux-ci lui fournissent le plaidoyer pro domo qui orchestre toute la rhétorique d’autojustification de l’écrivain dans l’après-guerre : s’autoproclamer victime de l’histoire afin de justifier a posteriori les pamphlets antisémites et ainsi s’exonérer de tout aveu de culpabilité. Enfin, Céline qualifie Nord de « roman » par référence à la part d’affabulation des chroniqueurs. Pour représenter l’histoire en une Apocalypse advenue sans justice divine et sans héros, Nord procède en effet à une réactivation des genres fictionnels comme la légende, l’épique et le chevaleresque qui s’entremêlaient à l’histoire dans les Chroniques de Froissart. Cette réécriture entre fabula et historia est donc d’abord une création de romancier qui, dans le contexte de crise de la fiction de l’après-guerre, procède à un épuisement du roman par l’histoire.