1000 resultados para Continuité des soins
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Le suicide et les tentatives de suicide des adolescents sont des enjeux de santé publique majeurs. En s'appuyant sur le modèle de soins développé à Genève, nous décrivons les différents temps nécessaires pour accueillir, évaluer et orienter un adolescent pris dans un mouvement suicidaire. Un temps d'accueil et d'évaluation pédiatrique, puis un temps d'évaluation psychiatrique et enfin un temps d'orientation à l'issue duquel est proposée une prise en charge spécifique. En fonction des caractéristiques cliniques du jeune (impulsivité, symptomatologie anxio-dépressive...), de sa capacité d'engagement dans les soins et de la qualité des liens du réseau, la prise en charge sera soit ambulatoire intensive, soit hospitalière. Suicide and suicide attempts of adolescents are major public health issues. Based on a model of care developed in Geneva, we describe the conditions necessary to evaluate and guide a teenager trapped in a suicidal behavior. First of all, there must be some time dedicated to pediatric assessement followed by a psychiatric evaluation and finally, the adolescent can be oriented toward specific treatment. Depending on the clinical characteristics of the young adolescent and according to his willingness to engage himself in intensive follow-up (impulsivity, anxious?--depressive symptomatology...), cares will be given either as outpatient with close monitoring or inpatient.
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RESUME: Introduction: A Lausanne, les prises en charge en traitement des toxicodépendants sont très majoritairement réalisées par les médecins généralistes en pratique privée. En complémentarité, un centre public universitaire spécialisé a été créé en 1996, le Centre St. Martin (CSM). Les traitements additionnels proposés répondent à une logique de niveaux et séquences de soins. L'orientation des patients sur les structures extérieures en place se réalise dès que possible. Cependant les filières de soins empruntées par ces patients et à fortiori leur évolution suite à leur décharge du CSM restent peu connues. But de la thèse: Le but de cette enquête est de décrire et analyser les filières de soins réalisées par les patients pris en charge au CSM et caractériser les évolutions clinique et sociale qu'ils réalisent depuis leur orientation initiale vers le réseau de soins extérieur. Patients et méthode: Les caractéristiques médico-sociales d'une cohorte de 73 patients reçus consécutivement durant 6 mois (1.7.99 - 31.12.99) avec une demande et une indication de traitement de substitution à la méthadone, ont été établies. L'évolution clinique et l'observance au traitement à 36 ± 3 mois de cette cohorte ont ensuite été mesurées. Résultats: La population de patients pris en charge au CSM présente des caractéristiques médico-psycho¬sociales très précaires avec une polytoxicodépendance par voie intraveineuse pour 56.2 °A des cas. 64.4% sont par ailleurs sans formation, 49.3 % sans logement stable. Une comorbidité psychiatrique est présente dans une large majorité des cas. 62 patients (84.9 %) sur le total étudié de 73 indications consécutives à un traitement de substitution à base de méthadone, ont été retrouvés à 3 ans ± 3 mois de leur début de prise en charge au CSM. Leurs évolutions clinique et psychosociale sont satisfaisantes pour tous les paramètres étudiés et ce, quelle que soit l'option initialement choisie du cadre de soins, en institution publique ou en pratique médicale privée. Ils restent intégrés dans un réseau de soins. Les patients polyconsommateurs par voie intraveineuse d'une combinaison d'héroïne, cocaïne et/ou benzodiazépines (52.5 %), malgré leur faible motivation, parviennent à accéder à un programme structuré : la moitié d'entre eux accepte à un moment donné de leur prise en charge leur admission dans une structure résidentielle. Pour la cohorte étudiée, ces patients représentent 83.3 % des admissions dans ce type de structure. Conclusions: Un programme institutionnel spécialisé, orienté sur la construction d'une complémentarité avec le réseau médico-social en place peut réaliser une rétention et une évolution clinique, en termes de consommations illicites, de psychopathologie et d'intégration sociale, satisfaisantes des patients dans la chaîne thérapeutique. L'orientation dans le réseau médico-social extérieur, chez les médecins praticiens, n'est pas délétère. L'évolution de ces patients diffère peu à 3 ans de celle des patients accueillis et maintenus dans la structure institutionnelle. Les processus de soins sont cependant différents d'un setting à l'autre et les épisodes thérapeutiques nombreux mais peu de patients sont « perdus de vue ». La définition de séquences, modalités et niveaux de soins en fonction des profils présentés par les patients toxicodépendants devrait permettre l'optimisation de la fonctionnalité du réseau médico-social en place.
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[Table des matières] I. Formations de base : Aide-soignant - Ambulancier - Diététicien - Ergothérapeute - Hygiéniste dentaire - Infirmier niveau I; niveau II - Laborantin medical - Pédicure ; podologue - Physiothérapeute - Sage-femme - Technicien en radiologie médicale - Technicien en salle d'opération - Assistant social. II. Formations continues : Ambulancier - Ergothérapeutes - Centre romand d'éducation permanente, Association suisse des infirmières - Laborantin médical - Formation continue en physiothérapie- Technicien en radiologie médicale, Contrôle de qualité en radiodiagnostic - Technicien en radiologie médicale, Formation continue en radioprotection et technique radiologique - Laborantin médical - Programme du service de formation continue du CHUV - Activités de formation continue du centre de formation H+ - Introduction à l'éthique en psychiatrie. III. Formations complémentaires : ESEI - Les activités de formation complémentaire du centre de formation H+ - Infirmier, Formation complémentaire de clinicien niveau I - Infirmier, Formation complémentaire en anesthésie - Infirmier, Formation complémentaire en soins intensifs - Infirmier, Formation complémentaire en salle d'opération - Laborantin médical, Formation supérieure et de cadres - Laborantin médical, Formation complémentaire spécialisée cytotechnicien - Assistant social - Formation de physiothérapeute enseignant. IV. Formations universitaires : Séminaire de gestion hospitalière - Bioéthique - Diplôme en économie et administration de la santé - Management des Institutions de santé - Ingéniérie biomédicale - Certificat en nutrition humaine - Cours postgrade de santé au travail.
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La BPCO est responsabled'une diminution de la qualité de vie et de la tolérance à l'exercice, et cause des exacerbations pouvant nécessiter des hospitalisations. Idéalement, sa prise en charge devrait comprendre des éléments pharmacologiques (par exemple bronchodilatateurs, corticostéroïdes inhalés) et non pharmacologiques (éducation, autogestion, plan d'action, réentraînement). L'objectif de cette revue systématique est d'évaluer l'efficacité des programmes de soins intégrés de la BPCO en termes de qualité de vie, de tolérance à l'exercice, de risque et de durée d'hospitalisation. Elle actualise les revues systématiques non Cochrane publiées auparavant.
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Le Dispositif Cantonal d'Indication et de Suivi des personnes Toxicodépendantes (DCIST) s'inscrit dans l'axe numéro 1 de la politique vaudoise concernant la prévention et la lutte contre la toxicodépendance qui vise l'amélioration de l'adéquation entre l'offre de prestations et les besoins des usagers ainsi que dans le Plan Stratégique Vaudois 2011 établi dans le cadre de la reprise par le canton de Vaud des tâches de la Confédération. Le DCIST est un processus organisationnel de travail en réseau appuyé sur des outils standardisés d'évaluation des conditions de vie et de consommation des personnes toxicodépendantes qui a pour objectifs :1. d'ajuster au mieux les prestations proposées au regard des besoins rencontrés par les personnes toxicodépendantes;2. de développer un réseau de soins coordonné : a. améliorer l'efficacité de la prise en charge des personnes toxicodépendantes;b. favoriser le suivi et le maintien de ces personnes dans le réseau social et médical;c. favoriser le continuum dans la prise en charge médicosociale (des structures généralistes, de première ligne, aux institutions résidentielles spécialisées).Le DCIST a donc pour but de renforcer le rôle du canton de Vaud dans le pilotage et la planification des prestations dans le domaine de l'aide aux personnes concernées par la toxicodépendance. Il est indiqué et nécessaire pour toute personne souhaitant entrer dans une structure résidentielle pour des problèmes de toxicodépendance, avec ou sans problématique d'alcool associée.La mise en place du dispositif a été pilotée par les instances suivantes qui se sont réunies à intervalles réguliers : la cellule de projet (les responsables des deux services concernés - SSP et SPASa) et le/la chef-fe de projetb), le groupe de travail (GT) et ses différents sous-groupes et finalement le comité de pilotage (CoPil). Ces deux derniers groupes rassemblaient des professionnels représentatifs des différents secteurs concernés par le DCIST.La phase pilote du DCIST a duré du 1er octobre 2010 au 31 mars 2011. L'objectif de cette phase était d'éprouver les outils, la structure ainsi que les procédures élaborées et d'effectuer les ajustements nécessaires.Durant cette phase pilote, des formations sur la façon d'utiliser les outils du DCIST ont été dispensées aux personnes chargées d'indication dans les structures ou à d'autres collaborateurs intéressés.Des plateformes d'échange ont réuni les personnes concernées des différentes structures (centres d'indication, établissements socio-éducatifs [ESE]) et les responsables du projet. Ces réunions ont permis de faire émerger et d'échanger les points de vue sur les problèmes rencontrés et de discuter de solutions communes. [Auteurs, p. 5]
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Au fol. 5, miniature dans laquelle l'auteur est représenté offrant son ouvrage à Louise de Savoie. Ce volume, pour l'ornementation comme pour l'écriture, semble être de la même main que celui qui porte le n° 5715. Elle a été composée sur la demande de Louise de Savoie, ainsi que l'auteur le déclare dans sa dédicace (fol. 5). Elle commence (fol. 1) avant cette dédicace par : « Pour plus facillement entendre le contenu en ce present livre, au commencement d'iceluy ay mys ceste presente genealogie de la maison de Bourbon. Monsieur sainct Loys, roy de France... » et finit (fol. 30) par : «... esquelz escriptz toute foy doit estre adjoustée ». La seconde partie de l'ouvrage (fol. 23-30) est consacrée à saint Louis : « Probation que monseigneur sainct Loys ne destruisit point le royaume pour le sainct voyaige qu'il feist oultre mer ». L'auteur pour justifier saint Louis d'avoir ruiné le royaume pour le payement de sa rançon, lors de sa première croisade, énumère (fol. 23-24) les reliques acquises par ce roi, donne, en passant (fol. 24-25), les noms des « roys de France qui ont été en Terre saincte », indique (fol. 25-26) à combien monta la rançon de saint Louis, et montre qu'elle ne fut pas disproportionnée eu égard au temps et à la qualité du prisonnier du Soudan ; passe ensuite en revue (fol. 26-27) les églises et hôpitaux fondés après le payement de cette rançon par le saint roi, sans avoir recours à aucune taille, aide ni subside ; montre (fol. 27-28) que saint Louis ne fit jamais de monnaie de cuir et que c'est longtemps après son décès que les gabelles (fol. 28-29) furent établies. En dernier lieu, il parle (fol. 29-30) de la canonisation de saint Louis, proclamée en 1297 par les soins et aux frais de Philippe le Bel son petit-fils. Miniature, encadrement, lettres ornées.
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Au fol. 5, miniature dans laquelle l'auteur est représenté offrant son ouvrage à Louise de Savoie. Ce volume, pour l'ornementation comme pour l'écriture, semble être de la même main que celui qui porte le n° 5715. Elle a été composée sur la demande de Louise de Savoie, ainsi que l'auteur le déclare dans sa dédicace (fol. 5). Elle commence (fol. 1) avant cette dédicace par : « Pour plus facillement entendre le contenu en ce present livre, au commencement d'iceluy ay mys ceste presente genealogie de la maison de Bourbon. Monsieur sainct Loys, roy de France... » et finit (fol. 30) par : «... esquelz escriptz toute foy doit estre adjoustée ». La seconde partie de l'ouvrage (fol. 23-30) est consacrée à saint Louis : « Probation que monseigneur sainct Loys ne destruisit point le royaume pour le sainct voyaige qu'il feist oultre mer ». L'auteur pour justifier saint Louis d'avoir ruiné le royaume pour le payement de sa rançon, lors de sa première croisade, énumère (fol. 23-24) les reliques acquises par ce roi, donne, en passant (fol. 24-25), les noms des « roys de France qui ont été en Terre saincte », indique (fol. 25-26) à combien monta la rançon de saint Louis, et montre qu'elle ne fut pas disproportionnée eu égard au temps et à la qualité du prisonnier du Soudan ; passe ensuite en revue (fol. 26-27) les églises et hôpitaux fondés après le payement de cette rançon par le saint roi, sans avoir recours à aucune taille, aide ni subside ; montre (fol. 27-28) que saint Louis ne fit jamais de monnaie de cuir et que c'est longtemps après son décès que les gabelles (fol. 28-29) furent établies. En dernier lieu, il parle (fol. 29-30) de la canonisation de saint Louis, proclamée en 1297 par les soins et aux frais de Philippe le Bel son petit-fils. Miniature, encadrement, lettres ornées.
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A new device for the analyses of nurses' satisfaction has been developed and validated on two types of general and intensive treatments at the University Hospital in Vaudois, Switzerland. A questionnaire has been elaborated for identifying the variables linked with characteristics of the nurse's work, as well as personal variables of the employer which could have an influence on the level of satisfaction. In identifying the sources of satisfaction and dissatisfaction, it has been possible to propose recommendations and corrective measures in order to improve the level of global satisfaction of the nursing team.
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[Table des matières] 1. Introduction. 2. Résultats. 2.1. Taux de participation. 2.2. Nationalité et migration. 2.3. Antécédents et rapports familiaux. 2.4. Vie sociale et relations avec les pairs. 2.5. Parcours scolaire, vie active et formation professionnelle. 2.6. Santé physique. 2.7. Santé psychique. 2.8. Consommation de drogues. 2.9. Traitement de substitution. 2.10. Partage de seringues et overdoses. 2.11. Relations sexuelles et partenaires. 2.12. Comportement délinquant/criminel. 2.13. Besoins. 3. Conclusions. 4. Recommandations. 5. Annexes. 5.1. Questionnaire quantitatif. 5.2. Grille d'entretien pour les entretiens qualitatifs. 5.3. Grille pour les focus groupes. 5.4. Synthèse des entretiens de six professionnels des structures de soins de Berne.
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Une mauvaise hygiène des mains peut représenter une perte économique importante pour les industries alimentaires ou les industries pharmaceutiques et constitue un gros problème de santé publique dans les établissements de soins. En effet, le risque de transmission manuportée de pathogènes d'un patient à l'autre via le personnel soignant est un problème récurrent dans tous les hôpitaux. C'est pourquoi, une hygiène irréprochable des mains du personnel soignant est une composante fondamentale de lutte contre les infections nosocomiales. En comparaison avec les autres techniques de séchage des mains, l'utilisation d'une serviette en papier à usage unique semble être la méthode la plus efficace pour éliminer les bactéries. En effet, les autres méthodes de séchage, utilisant des appareils à air chaud ou froid, peuvent générer un air contaminé ou remettre en suspension les germes restés sur la peau, facilitant ainsi leur dispersion et leur inhalation. C'est pourquoi, l'OMS a émis des recommandations déconseillant les sèche-mains électriques en milieu hospitalier au profit des serviettes en papiers. Cependant, ces serviettes à usage unique ne sont pas stériles et peuvent elles-mêmes déposer des germes, généralement non pathogènes, sur les mains lors du séchage. Le but du premier article analysé est d'évaluer le niveau de contamination de ces serviettes, ainsi que la possibilité de dépôt de ces bactéries présentes sur les serviettes, sur les mains. À côté du risque de propagation de pathogènes par contact direct, la contamination microbiologique par voie aérienne via les aérosols existe aussi. Pour éviter d'être contaminé par des personnes excrétrices de micro-organismes transmissibles par aérosols (tuberculose, grippe, grippe aviaire SRAS...), il faut porter des protections respiratoires de type FFP2 (1) (norme européenne équivalente à la norme anglosaxonne N95). Ces protections respiratoires ou masques filtrants (en formes de bec de canard) peuvent être portées théoriquement pendant 4 heures. Le but de l'étude du second article est d'évaluer le risque de remise en suspension dans l'air de particules virales présentes sur la face extérieure d'un masque de protection respiratoire lors de simulation d'épisodes de toux provenant du porteur de cette protection.
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Cette communication s'appuie sur une recherche qualitative et s'articule autour d'une étude de cas, le cas d'Angelo, adolescent de 16 ans rencontré en foyer d'éducation (Suisse). Elle vise à interroger les enjeux psychiques du recours, du renforcement et du renoncement aux agirs transgressifs. La proposition du terme agir transgressif permettra d'explorer les contours de la problématique des pathologies de l'agir dans une perspective psychodynamique, au plan intrapsychique et intersubjectif. Dans ce cadre, les épreuves projectives (Hand-Test, Rorschach, TAT) constitueront, associés à l'entretien, des analyseurs privilégiés, au regard de leur potentialité à mettre à l'épreuve notamment les processus de symbolisation propres à rendre compte de l'engagement dans ce type d'agirs. Au-delà, la proposition d'appréhender les agirs de la latence à l'adolescence du point de vue de l'engagement, du renforcement et du renoncement peut ouvrir des perspectives d'accompagnement spécifique pour l'accueil de ces adolescents et de travail à des propositions singulières de prise en charge afin de contribuer à l'amélioration des modalités d'accompagnement et de soins.
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INTRODUCTION: urinary incontinence (UI) is a phenomenon with high prevalence in hospitalized elderly patients, effecting up to 70% of patients requiring long term care. However, despite the discomfort it causes and its association with functional decline, it seems to be given insufficient attention by nurses in geriatric care. OBJECTIVES: to assess the prevalence of urinary incontinence in geriatric patients at admission and the level of nurse involvement as characterized by the explicit documentation of UI diagnosis in the patient's record, prescription of nursing intervention, or nursing actions related to UI. METHODS: cross-sectional retrospective chart review. One hundred cases were randomly selected from those patients 65 years or older admitted to the geriatric ward of a university hospital. The variables examined included: total and continence scores on the Measure of Functional Independence (MIF), socio-demographic variables, presence of a nursing diagnosis in the medical record, prescription of or documentation of a nursing intervention related to UI. RESULTS: the prevalence of urinary incontinence was 72 % and UI was positively correlated with a low MIF score, age and status of awaiting placement. Of the examined cases, nursing diagnosis of UI was only documented in 1.4 % of cases, nursing interventions were prescribed in 54 % of cases, and at least one nursing intervention was performed in 72 % of cases. The vast majority of the interventions were palliative. DISCUSSION: the results on the prevalence of IU are similar to those reported in several other studies. This is also the case in relation to nursing interventions. In this study, people with UI were given the same care regardless of their MIF score MIF, age or gender. One limitation of this study is that it is retrospective and therefore dependent on the quality of the nursing documentation. CONCLUSIONS: this study is novel because it examines UI in relation to nursing interventions. It demonstrates that despite a high prevalence of UI, the general level of concern for nurses remains relatively low. Individualized care is desirable and clinical innovations must be developed for primary and secondary prevention of UI during hospitalization.