999 resultados para 63-20 µm gU
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Référence bibliographique : Rol, 57734
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Référence bibliographique : Rol, 58275
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Référence bibliographique : Rol, 57462
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Référence bibliographique : Rol, 57608
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Référence bibliographique : Rol, 57916
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Référence bibliographique : Rol, 57442
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Référence bibliographique : Rol, 58113
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Référence bibliographique : Rol, 57796
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Référence bibliographique : Rol, 57787
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Référence bibliographique : Rol, 57777
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Référence bibliographique : Rol, 57976
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Introduction :¦Une grossesse chez l'adolescente est définie selon l'Office Fédéral de la Statistique (OFS) comme une grossesse survenant avant l'âge de 20 ans. Dans notre étude, nous avons choisi d'étudier plus particulièrement les grossesses d'adolescentes de moins de 18 ans, l'âge de la majorité civile étant fixé à 18 ans selon le Code pénal suisse. En Suisse, en 2009, ont eu lieu 647 naissances d'enfants de mères de moins de 20 ans (OFS). Plus rares sont les naissances de mères de moins de 18 ans ; entre 2005 et 2009, elles étaient 461 à donner naissance(OFS). Dans la littérature, la controverse est grande au sujet d'un éventuel risque augmenté de complications obstétricales et néonatales lors de grossesses à l'adolescence. Des programmes adaptés à la¦Prise en charge de l'adolescente enceinte ont été mis en place dans de nombreux pays et ont démontré des bénéfices par l'amélioration des perspectives sociales, éducationnelles et médicales de ces jeunes filles.¦But de l'étude :¦Cette recherche se divise en trois parties dont les objectifs sont bien distincts :¦I. Analyse Statistique des données suisses du point de vue médical et psychosocial concernant les grossesses et les accouchements chez les adolescentes.¦II. Identifier La présence en Suisse De spécialistes et/ou de programmes spécifiques pour la prise en charge de l'adolescente enceinte.¦III. Explorer En parallèle le vécu individuel par rapport au suivi de grossesse d'une jeune fille concernée.¦Méthode:¦I. Analyse Statistique des données de l'Association des Cliniques De Gynécologie-ˇ‐Obstétrique Suisse (AGOS).¦II. Envoi De questionnaires via programme LimeSurvey A 85 professionnels en Suisse, Répartis selon quatre corps de métiers: médecins cadre en gynécologie-ˇ‐obstétrique sans formation spécifique relative à l'adolescente, médecin gynécologue-ˇ‐obstétricien ayant une formation spécifique en gynécologie de l'adolescente, sages-°©‐femmes, assistantes sociales (taux de réponses: 63%, n=54).¦III. Entretien Structuré avec une jeune femme ayant accouché avant l'âge de 18 ans.¦Résultats:¦I.Selon Les données de l'Association des Cliniques De Gynécologie-ˇ‐Obstétrique Suisse, Il n'y a pas d'augmentation significative des complications obstétricales et néonatales lors de grossesses chez les adolescentes. Toutefois, Les différences se situent plutôt sur le plan des dépendances aux substances et des issues psychosociales des grossesses.¦II. Une part importante des adolescentes enceintes est prise en charge par des professionnels non spécifiquement formés en médecine de l'adolescence. Malgré cela, nous constatons une volonté générale de porter une attention particulière à ces grossesses avec la mise en place d'une prise en charge individualisée. De plus, le suivi est le plus souvent multidisciplinaire. La Plupart des professionnels non spécifiquement formés prenant en charge ces patientes pensent que les structures non spécialisées actuelles suffisent. En Suisse, Les principaux obstacles au développement de structures spécifiques sont le petit nombre de patientes potentielles et les faibles moyens financiers à disposition pour de tels projets.¦III. Organiser Les rencontres avec les adolescentes s'est avéré difficile, plusieurs adolescentes ne s'étant pas présentées aux rendez‐vous convenus malgré un consentement initial spontané. L'unique Adolescente qui a finalement pu être interviewée a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire, principalement au CHUV. Questionnée Sur le regard qu'elle portait sur le suivi, elle s'est dite satisfaite tout en souhaitant que plus d'attention soit accordée à ses désirs. Cependant, La nécessité de protéger l'enfant est souvent un facteur limitant l'accès aux demandes des adolescentes.
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Référence bibliographique : Rol, 57793
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Référence bibliographique : Rol, 57663
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Times Cited: 0 References: 0 Citation MapAbstract : Background: Chemotherapy followed by autologous stem cell transplantation (ASCT) is the standard treatment for relapsed DLBCL. No study has compared salvage therapies and evaluated maintenance post ASCT.Methods: DLBCL CD 20+ in first relapse or pts refractory after first therapy were randomized between R ICE (rituximab, ifosfamide, etoposide, carboplatinum) or R DHAP (rituximab dexamethasone cytarabine cisplatinum). Responding patients received BEAM and ASCT then randomized between observation or maintenance with rituximab every 2 m for 1 yr (Gisselbrecht J Clin Oncol; 2010).Results: Analysis was made on 477 pts (R ICE: 243 pts; R DHAP: 234 pts): 255 relapses >12m, 213 refractory/early relapses; 306 pts had prior rituximab; secondary(s) IPI 0-1: 281 pts; s IPI 2-3:181pts. There was no difference in response rate between R ICE 63.6% and R DHAP 64.3%. There was no difference between R ICE and R DHAP at 4 yrs for EFS (26% vs 37% p=0.2) and OS (43% vs 51%, p=0.3). Factors affecting 4 yrs EFS, PFS and OS were: prior treatment with rituximab; early relapse< 12 m; s IPI 2-3. ASCT was performed in 255 pts and 242 randomized for maintenance: 122 pts rituximab (R), 120 pts observation (O). Distribution between R/O arms were respectively: median age 54 /53 yrs, Male 76/83; female 46/37; secondary IPI 0-1: 84/81; sIPI 2-3: 36/36. 89/76 relapses >12m., 33/41 refractory/early relapses. Median follow up was 44 m with 111 events. 4 yrs EFS was 52.8 % (CI 46-59) with 63% (CI 56-69) OS. There was no difference in EFS, PFS and OS between R and O arms. In multivariate analysis, sIPI2-3 significantly affected EFS, PFS, OS (p=0.0004). Women (83pts) had a better 4 yrs EFS 63% than male (159pts) 37% (p=0.01). The difference was only in the R arm (p=0.004). Gender was an independent prognostic factor in the R arm. Toxicity was mild with 12% SAE versus 4% for R /O respectively.Conclusions: There was no difference between R ICE and R DHAP and between post ASCT maintenance with R or O. Women did significantly better after ASCT with rituximab. Early relapses to upfront rituximab-based chemotherapy have a poor prognosis.