872 resultados para SHORT-TERM MEMORY


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La présente étude s’intéresse aux mécanismes neuronaux qui sous-tendent la rétention en mémoire à court terme auditive (MCTA) en utilisant la technique des potentiels reliés aux événements (PRE). Dans l’Expérience 1, nous avons isolé une composante de PRE, nommée SAN pour « sustained anterior negativity ». La SAN augmentait en amplitude négative plus le nombre de sons à maintenir en MCTA augmentait. Cet effet de charge était présent, bien que la durée totale des stimuli restait la même entre les conditions. L’effet de charge observé par la SAN dans l’Expérience 1 disparaissait dans l’Expérience 2, où les mêmes sons étaient utilisés, mais où la mémorisation de ceux-ci n’était plus requise. Finalement, dans l’Expérience 3, la tâche de MCTA a été effectuée avec et sans suppression articulatoire durant l'intervalle de rétention. L’effet de charge trouvé dans l’Expérience 1 était de nouveau observé, lorsque les participants faisaient la tâche de suppression articulatoire ou non. Ces résultats suggèrent que la SAN reflète l'activité nécessaire pour le maintien des objets acoustiques dans un système de MCTA qui serait distinct de la répétition phonologique.

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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Dans de nombreux comportements qui reposent sur le rappel et la production de séquences, des groupements temporels émergent spontanément, créés par des délais ou des allongements. Ce « chunking » a été observé tant chez les humains que chez certains animaux et plusieurs auteurs l’attribuent à un processus général de chunking perceptif qui est conforme à la capacité de la mémoire à court terme. Cependant, aucune étude n’a établi comment ce chunking perceptif s’applique à la parole. Nous présentons une recension de la littérature qui fait ressortir certains problèmes critiques qui ont nui à la recherche sur cette question. C’est en revoyant ces problèmes qu’on propose une démonstration spécifique du chunking perceptif de la parole et de l’effet de ce processus sur la mémoire immédiate (ou mémoire de travail). Ces deux thèmes de notre thèse sont présentés séparément dans deux articles. Article 1 : The perceptual chunking of speech: a demonstration using ERPs Afin d’observer le chunking de la parole en temps réel, nous avons utilisé un paradigme de potentiels évoqués (PÉ) propice à susciter la Closure Positive Shift (CPS), une composante associée, entre autres, au traitement de marques de groupes prosodiques. Nos stimuli consistaient en des énoncés et des séries de syllabes sans sens comprenant des groupes intonatifs et des marques de groupements temporels qui pouvaient concorder, ou non, avec les marques de groupes intonatifs. Les analyses démontrent que la CPS est suscitée spécifiquement par les allongements marquant la fin des groupes temporels, indépendamment des autres variables. Notons que ces marques d’allongement, qui apparaissent universellement dans la langue parlée, créent le même type de chunking que celui qui émerge lors de l’apprentissage de séquences par des humains et des animaux. Nos résultats appuient donc l’idée que l’auditeur chunk la parole en groupes temporels et que ce chunking perceptif opère de façon similaire avec des comportements verbaux et non verbaux. Par ailleurs, les observations de l’Article 1 remettent en question des études où on associe la CPS au traitement de syntagmes intonatifs sans considérer les effets de marques temporels. Article 2 : Perceptual chunking and its effect on memory in speech processing:ERP and behavioral evidence Nous avons aussi observé comment le chunking perceptif d’énoncés en groupes temporels de différentes tailles influence la mémoire immédiate d’éléments entendus. Afin d’observer ces effets, nous avons utilisé des mesures comportementales et des PÉ, dont la composante N400 qui permettait d’évaluer la qualité de la trace mnésique d’éléments cibles étendus dans des groupes temporels. La modulation de l’amplitude relative de la N400 montre que les cibles présentées dans des groupes de 3 syllabes ont bénéficié d’une meilleure mise en mémoire immédiate que celles présentées dans des groupes plus longs. D’autres mesures comportementales et une analyse de la composante P300 ont aussi permis d’isoler l’effet de la position du groupe temporel (dans l’énoncé) sur les processus de mise en mémoire. Les études ci-dessus sont les premières à démontrer le chunking perceptif de la parole en temps réel et ses effets sur la mémoire immédiate d’éléments entendus. Dans l’ensemble, nos résultats suggèrent qu’un processus général de chunking perceptif favorise la mise en mémoire d’information séquentielle et une interprétation de la parole « chunk par chunk ».

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La présente étude vise à approfondir les connaissances relatives aux mécanismes neuronaux qui sous-tendent la maintenance de sons variant en hauteur dans la mémoire auditive à court terme (MACT), plus précisément lors de sa saturation. À cet effet, la technique des potentiels reliés aux évènements (PRE) en électrophysiologie a été utilisée. La sélection des participants s’est déroulée par l’entremise de deux expériences comportementales : l’une était une tâche de discrimination et l’autre, une tâche qui évaluait l’habileté générale des participants à réussir une tâche similaire à celle de l’expérience principale en électroencéphalographie (EEG). Les résultats comportementaux de notre tâche en EEG ont montré que la performance diminuait de façon significative plus la charge en mémoire augmentait (séquences de 2, 4, 6 et 8 sons) et que l’estimation de la capacité de la MACT mesurée par K augmentait entre 2 et 4 sons pour atteindre un plafond à 4 sons (effet plafond). Le K maximum étant de 2.84 sons, l’empan mnésique (EM) auditif semble être près de 3 sons. Les résultats électrophysiologiques ont montré que la composante électrophysiologique reliée à la maintenance de sons en MACT, la Sustained Anterior Negativity (SAN), était modulée par le nombre de sons à maintenir : son amplitude augmentait de 2 à 4 sons et ce, jusqu’à l’atteinte d’un plafond à 4 sons. Ces résultats suggèrent que la maintenance de sons additionnels dans la MACT n’est plus possible après sa saturation. Nous soutenons donc que la SAN est un index électrophysiologique de l’activité neuronale associée à la maintenance d’items auditifs dans la MACT et que son amplitude est un bon indicateur de la capacité individuelle de la MACT, estimée par K. Des résultats post-hoc ont démontré que les musiciens et les non-musiciens tendent à avoir des différences au niveau de la SAN, sans pour autant modifier l’effet de charge en mémoire. Une analyse qualitative et quantitative de l’utilisation des stratégies mnésiques ont permis de clarifier leur implication et leur nature au sein d’une tâche cognitive de mémoire, plus précisément en audition. Pour conclure, l’ensemble de ces résultats suggère également que la SAN est reliée à la maintenance de sons dans la MACT et ainsi, un bon indicateur de sa capacité.

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Une variété d’opérations cognitives dépend de la capacité de retenir de l’information auditive pour une courte période de temps. Notamment l’information auditive prend son sens avec le temps; la rétention d’un son disparu permet donc de mieux comprendre sa signification dans le contexte auditif et mène ultimement à une interaction réussite avec l’environnement. L’objectif de cette thèse était d’étudier l’activité cérébrale reliée à la rétention des sons et, ce faisant, parvenir à une meilleure compréhension des mécanismes de bas niveau de la mémoire à court-terme auditive. Trois études empiriques se sont penchées sur différents aspects de la rétention des sons. Le premier article avait pour but d’étudier les corrélats électrophysiologiques de la rétention des sons variant en timbre en utilisant la technique des potentiels reliés aux événements. Une composante fronto-centrale variant avec la charge mnésique a été ainsi révélée. Dans le deuxième article, le patron électro-oscillatoire de la rétention a été exploré. Cette étude a dévoilé une augmentation de l’amplitude variant avec la charge mnésique dans la bande alpha pendant la rétention des sons ainsi qu’une dissociation entre l’activité oscillatoire observée pendant la rétention et celle observée pendant la présentation des sons test. En démontrant des différentes modulations des amplitudes dans la bande alpha et la bande beta, cette étude a pu révéler des processus distincts mais interdépendants de la mémoire à court-terme auditive. Le troisième article a davantage visé à mieux connaître les structures cérébrales soutenant la rétention de sons. L’activité cérébrale a été mesurée avec la magnétoencéphalographie, et des localisations des sources ont été effectuées à partir de ces données. Les résultats ont dévoilé l’implication d’un réseau cérébral contenant des structures temporales, frontales, et pariétales qui était plus important dans l’hémisphère droit que dans l’hémisphère gauche. Les résultats des études empiriques ont permis de souligner l’aspect sensoriel de la mémoire à court-terme auditive et de montrer des similarités dans la rétention de différentes caractéristiques tonales. Dans leur ensemble, les études ont contribué à l’identification des processus neuronaux reliés à la rétention des sons en étudiant l’activité électromagnétique et l’implication des structures cérébrales correspondantes sur une échelle temporelle fine.

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La mémoire à court terme visuelle (MCTv) est un système qui permet le maintien temporaire de l’information visuelle en mémoire. La capacité en mémoire à court terme se définit par le nombre d’items qu’un individu peut maintenir en mémoire sur une courte période de temps et est limitée à environ quatre items. Il a été démontré que la capacité en MCTv et les habiletés mathématiques sont étroitement liées. La MCTv est utile dans beaucoup de composantes liées aux mathématiques, comme la résolution de problèmes, la visualisation mentale et l’arithmétique. En outre, la MCTv et le raisonnement mathématique font appel à des régions similaires du cerveau, notamment dans le cortex pariétal. Le sillon intrapariétal (SIP) semble être particulièrement important, autant dans la réalisation de tâches liées à la MCTv qu’aux habiletés mathématiques. Nous avons créé une tâche de MCTv que 15 participants adultes en santé ont réalisée pendant que nous enregistrions leur activité cérébrale à l’aide de la magnétoencéphalographie (MEG). Nous nous sommes intéressés principalement à la composante SPCM. Une évaluation neuropsychologique a également été administrée aux participants. Nous souhaitions tester l’hypothèse selon laquelle l’activité cérébrale aux capteurs pariéto-occipitaux pendant la tâche de MCTv en MEG sera liée à la performance en mathématiques. Les résultats indiquent que l’amplitude de l’activité pariéto-occipitale pendant la tâche de MCTv permet de prédire les habiletés mathématiques ainsi que la performance dans une tâche de raisonnement perceptif. Ces résultats permettent de confirmer le lien existant entre les habiletés mathématiques et le fonctionnement sous-jacent à la MCTv.

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Purpose: There are few studies demonstrating the link between neural oscillations in magnetoencephalography (MEG) at rest and cognitive performance. Working memory is one of the most studied cognitive processes and is the ability to manipulate information on items kept in short-term memory. Heister & al. (2013) showed correlation patterns between brain oscillations at rest in MEG and performance in a working memory task (n-back). These authors showed that delta/theta activity in fronto-parietal areas is related to working memory performance. In this study, we use resting state MEG oscillations to validate these correlations with both of verbal (VWM) and spatial (SWM) working memory, and test their specificity in comparison with other cognitive abilities. Methods: We recorded resting state MEG and used clinical neuropsychological tests to assess working memory performance in 18 volunteers (6 males and 12 females). The other neuropsychological tests of the WAIS-IV were used as control tests to assess the specificity of the correlation patterns with working memory. We calculated means of Power Spectrum Density for different frequency bands (delta, 1-4Hz; theta, 4-8Hz; alpha, 8-13Hz; beta, 13-30Hz; gamma1, 30-59Hz; gamma2, 61-90Hz; gamma3, 90-120Hz; large gamma, 30-120Hz) and correlated MEG power normalised for the maximum in each frequency band at the sensor level with working memory performance. We then grouped the sensors showing a significant correlation by using a cluster algorithm. Results: We found positive correlations between both types of working memory performance and clusters in the bilateral posterior and right fronto-temporal regions for the delta band (r2 =0.73), in the fronto-middle line and right temporal regions for the theta band (r2 =0.63) as well as in the parietal regions for the alpha band (r2 =0.78). Verbal working memory and spatial working memory share a common fronto-parietal cluster of sensors but also show specific clusters. These clusters are specific to working memory, as compared to those obtained for other cognitive abilities and right posterior parietal areas, specially in slow frequencies, appear to be specific to working memory process. Conclusions: Slow frequencies (1-13Hz) but more precisely in delta/theta bands (1-8Hz), recorded at rest with magnetoencephalography, predict working memory performance and support the role of a fronto-parietal network in working memory.

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Human object recognition is generally considered to tolerate changes of the stimulus position in the visual field. A number of recent studies, however, have cast doubt on the completeness of translation invariance. In a new series of experiments we tried to investigate whether positional specificity of short-term memory is a general property of visual perception. We tested same/different discrimination of computer graphics models that were displayed at the same or at different locations of the visual field, and found complete translation invariance, regardless of the similarity of the animals and irrespective of direction and size of the displacement (Exp. 1 and 2). Decisions were strongly biased towards same decisions if stimuli appeared at a constant location, while after translation subjects displayed a tendency towards different decisions. Even if the spatial order of animal limbs was randomized ("scrambled animals"), no deteriorating effect of shifts in the field of view could be detected (Exp. 3). However, if the influence of single features was reduced (Exp. 4 and 5) small but significant effects of translation could be obtained. Under conditions that do not reveal an influence of translation, rotation in depth strongly interferes with recognition (Exp. 6). Changes of stimulus size did not reduce performance (Exp. 7). Tolerance to these object transformations seems to rely on different brain mechanisms, with translation and scale invariance being achieved in principle, while rotation invariance is not.

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This paper examines rhythmic training of hearing impaired children and the relationship between a child’s rhythmical development and his/her speech, short-term memory, sound perception, and physical movement.

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The role of preschool phonological awareness in early reading and spelling skills was investigated in the transparent orthography of Turkish. Fifty-six preschool children (mean age=5.6 years) were followed into Grade 2 (mean age=7.6 years). While preschool phonological awareness failed to make any reliable contribution to future reading skills, it was the strongest longitudinal correlate of spelling skills measured at the end of Grades 1 and 2. Overall findings suggested that phonological awareness may be differentially related to reading and spelling, and that spelling is a more sensitive index of phonological processing skills. In this study, verbal short-term memory emerged as the most powerful and consistent longitudinal correlate of reading speed. This finding raised important questions about the component processes of reading speed, and the role of memory and morphosyntactic skills in an agglutinative and transparent orthography such as Turkish.

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Two experiments examine the effects of extraneous speech and nonspeech noise on a visual short-term memory task administered to younger and older adults. Experiment 1 confirms an earlier report that playing task-irrelevant speech is no more distracting for older adults than for younger adults (Rouleau T Belleville, 1996), indicating that "irrelevant sound effects" in short-term memory operate in a different manner to recalling targets in the presence of competing speech (Tun, O'Kane, T Wingfield, 2002). Experiment 2 extends this result to nonspeech noise and demonstrates that the result cannot be ascribed to hearing difficulties amongst the older age group, although the data also show that older adults rated the noise as less annoying and uncomfortable than younger adults. Implications for theories of the irrelevant sound effect, and for cognitive ageing, are discussed.

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The 'irrelevant sound effect' in short-term memory is commonly believed to entail a number of direct consequences for cognitive performance in the office and other workplaces (e.g. S. P. Banbury, S. Tremblay, W. J. Macken, & D. M. Jones, 2001). It may also help to identify what types of sound are most suitable as auditory warning signals. However, the conclusions drawn are based primarily upon evidence from a single task (serial recall) and a single population (young adults). This evidence is reconsidered from the standpoint of different worker populations confronted with common workplace tasks and auditory environments. Recommendations are put forward for factors to be considered when assessing the impact of auditory distraction in the workplace. Copyright (c) 2005 John Wiley & Sons, Ltd.

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Background: Recent studies have indicated that many children with autism spectrum disorders present with language difficulties that are similar to those of children with specific language impairments, leading some to argue for similar structural deficits in these two disorders. Aims: Repetition of sentences involving long-distance dependencies was used to investigate complex syntax in these groups. Methods & Procedures: Adolescents with specific language impairments (mean age = 15;3, n = 14) and autism spectrum disorders plus language impairment (autism plus language impairment; mean age = 14;8, n = 16) were recruited alongside typically developing adolescents (mean age = 14;4, n = 17). They were required to repeat sentences containing relative clauses that varied in syntactic complexity. Outcomes & Results: The adolescents with specific language impairments presented with greater syntactic difficulties than the adolescents with autism plus language impairment, as manifested by higher error rates on the more complex object relative clauses, and a greater tendency to make syntactic changes during repetition. Conclusions & Implications: Adolescents with specific language impairments may have more severe syntactic difficulties than adolescents with autism plus language impairment, possibly due to their short-term memory limitations.

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Non-word repetition (NWR) was investigated in adolescents with typical development, Specific Language Impairment (SLI) and Autism Plus language Impairment (ALI) (n = 17, 13, 16, and mean age 14;4, 15;4, 14;8 respectively). The study evaluated the hypothesis that poor NWR performance in both groups indicates an overlapping language phenotype (Kjelgaard & Tager-Flusberg, 2001). Performance was investigated both quantitatively, e.g. overall error rates, and qualitatively, e.g. effect of length on repetition, proportion of errors affecting phonological structure, and proportion of consonant substitutions involving manner changes. Findings were consistent with previous research (Whitehouse, Barry, & Bishop, 2008) demonstrating a greater effect of length in the SLI group than the ALI group, which may be due to greater short-term memory limitations. In addition, an automated count of phoneme errors identified poorer performance in the SLI group than the ALI group. These findings indicate differences in the language profiles of individuals with SLI and ALI, but do not rule out a partial overlap. Errors affecting phonological structure were relatively frequent, accounting for around 40% of phonemic errors, but less frequent than straight Consonant-for-Consonant or vowel-for-vowel substitutions. It is proposed that these two different types of errors may reflect separate contributory mechanisms. Around 50% of consonant substitutions in the clinical groups involved manner changes, suggesting poor auditory-perceptual encoding. From a clinical perspective algorithms which automatically count phoneme errors may enhance sensitivity of NWR as a diagnostic marker of language impairment. Learning outcomes: Readers will be able to (1) describe and evaluate the hypothesis that there is a phenotypic overlap between SLI and Autism Spectrum Disorders (2) describe differences in the NWR performance of adolescents with SLI and ALI, and discuss whether these differences support or refute the phenotypic overlap hypothesis, and (3) understand how computational algorithms such as the Levenshtein Distance may be used to analyse NWR data.