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Échelle(s) : [ca 1:2 858 000], échelle 10 myriamètres [= 3,5 cm]
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Échelle(s) : [1:2 921 000 environ], Lieües Commes de France 25 [= 3,8 cm]
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Échelle(s) : [ca 1:263 000], Echelle de 40000 Mètres
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The distribution of parvalbumin (PV), calretinin (CR), and calbindin (CB) immunoreactive neurons was studied with the help of an image analysis system (Vidas/Zeiss) in the primary visual area 17 and associative area 18 (Brodmann) of Alzheimer and control brains. In neither of these areas was there a significant difference between Alzheimer and control groups in the mean number of PV, CR, or CB immunoreactive neuronal profiles, counted in a cortical column going from pia to white matter. Significant differences in the mean densities (numbers per square millimeter of cortex) of PV, CR, and CB immunoreactive neuronal profiles were not observed either between groups or areas, but only between superficial, middle, and deep layers within areas 17 and 18. The optical density of the immunoreactive neuropil was also similar in Alzheimer and controls, correlating with the numerical density of immunoreactive profiles in superficial, middle, and deep layers. The frequency distribution of neuronal areas indicated significant differences between PV, CR, and CB immunoreactive neuronal profiles in both areas 17 and 18, with more large PV than CR and CB positive profiles. There were also significantly more small and less large PV and CR immunoreactive neuronal profiles in Alzheimer than in controls. Our data show that, although the brain pathology is moderate to severe, there is no prominent decrease of PV, CR and CB positive neurons in the visual cortex of Alzheimer brains, but only selective changes in neuronal perikarya.
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Échelle(s) : [ca 1:5 085 000], 30 myriamètres [= 5,9 cm]
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Échelle(s) : [ca 1:35 806 000]
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Échelle(s) : 1:200 000
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Échelle(s) : 1:2 500
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Le nombre d'examens fluoroscopiques pratiqués en fluoroscopie est en augmentation constante en cardiologie pédiatrique. Ces examens ont un bénéfice évident pour le diagnostic et la thérapie de pathologies cardiaques complexes mais ils sont également la cause d'exposition à des hautes doses de radiation. Notre étude propose donc d'analyser cette pratique au Centre Hospitalier Universitaire Vaudois (CHUV) ainsi que d'établir des niveaux de référence diagnostiques et de rechercher les moyens possibles de diminution de doses. La base de données que nous avons analysé provient du service de cardiologie pédiatrique du CHUV (Lausanne). Elle contient 873 examens fluoroscopiques pratiqués entre le 1er janvier 2003 et le 31 décembre 2011 et se compose des données démographiques, du temps de scopie en minutes et du dose area product (DAP) en Gycm 2 pour chaque examen. Les examens sont séparés en deux modalités, diagnostique et interventionnel et ont été pratiqués sur l'installation GE jusqu'en juillet 2010 et par la suite sur l'installation Philips. L'analyse s'est faite sur Excel et sur JMP Statistics afin d'établir la distribution démographique de l'échantillon, les moyennes et percentiles 75. Les examens diagnostiques ont été étudié par classes d'âge et les examens interventionnels selon une classification d'intervention (Ranking) établie en collaboration avec le médecin responsable de ces procédures au CHUV. Seuls les groupes d'examens ayant un nombre égal ou supérieur à 20 ont été analysés. Nous avons donc analysé 873 examens, dont 512 diagnostiques et 361 interventionnels. Le temps de scopie moyen pour l'ensemble des examens diagnostiques est de 11.91 minutes et le DAP moyen de 12.04 Gycm2. Concernant les examens interventionnels, les moyennes de temps de scopie et de DAP sont de 17.74 minutes et 9.77 Gycm2 respectivement. En plus des analyses par classes d'âges et par ranking, nous avons étudié les examens selon leurs données démographiques ainsi que par pathologie et par installation. L'ensemble des examens diagnostiques connaissent une diminution significative (p<0.0001) de 30% pour le temps de scopie moyen et de 60% pour le DAP moyen en passant de l'installation la plus ancienne, GE, à la plus récente, Philips. Concernant les examens interventionnels, La différence entre les deux installations est encore plus marquée avec un temps de scopie moyen 55 % inférieur ( Gycm2) et un DAP moyen 73 % (p=0.0002) plus faible sur Philips par rapport à GE. Ces différences sont principalement expliquées par l'apport de nouveaux outils sur l'installation Philips, tels que la digitalisation et le traitement de l'image, de la possibilité de changer le nombre d'images par seconde durant un examen ainsi que de l'amélioration de la pratique des examinateurs. Nous avons pu définir des percentiles 75 pour les examens diagnostiques par classes d'âge et par pathologie et pour les examens interventionnels selon le ranking établi par le Dr Di Bernardo.
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Intervenant sur l'exemplaire (autre) : Crépy, Louis (1680?-17..)
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Référence bibliographique : Dacier et Vuaflart, 33