991 resultados para Disraeli, Benjamin, 1804-1881.
Resumo:
Cette thèse traite de quelques moments clés dans l’histoire urbaine et architecturale moderne de la ville de Tunis. Elle les aborde conjointement à la problématique du percement de son noyau historique : la médina, née d’un projet de modernisation urbaine lancé par les beys de Tunis à la fin du XIXe siècle, poursuivi par le protectorat français de 1881 à 1956, puis par le gouvernement indépendant de 1956 à 1987. Partant, la recherche est répartie sur trois temps avec, au centre, le projet de la percée dite de la Casbah adopté par le Président Bourguiba à la fin de 1959. Pour plusieurs raisons, ce moment est cité rapidement dans la littérature malgré son importance dans la compréhension du visage actuel de la capitale tunisienne. Pour le saisir, on a dû retourner aux premières tentatives de percement de la médina de Tunis par le colonisateur français en 1887. Puis, on s’est progressivement approché de l’ancêtre direct de la percée bourguibienne paru sur le Plan directeur de Tunis en 1948. De ce premier temps, on a mis en valeur les stratégies coloniales dans leur gestion du territoire et leur rapport au processus de valorisation/dévalorisation du patrimoine issu de la civilisation arabo-islamique. Le second temps, qui correspond au plan de décolonisation mené par l’État indépendant dès 1955, est marqué par le lancement d’un « concours international ouvert pour une étude d’aménagement de la ville de Tunis » organisé par le Secrétariat d’État aux travaux publics en collaboration avec l’Union internationale des architectes. L’étude de cet événement et du colloque qui l’a suivi a ôté le voile sur ses raisons d’être politico-économiques que dissimulaient les usuels soucis de l’hygiène, de la circulation et de l’embellissement du Grand Tunis. Pour appuyer davantage ces constats, un troisième et dernier temps a été dédié au chantier de Tunis au lendemain du concours. L’accent mis sur les lieux symboliques du pouvoir et le désir obsessif des autorités à se les approprier ont réduit ce chantier à une redistribution concertée des symboles de la souveraineté nationale dans le but de centraliser et de personnifier le pouvoir en place. Le présent travail se situe dans le cadre des études postcoloniales et projette un regard critique sur la décolonisation en rapport avec ce qu’on a taxé d’urbanisme d’État. Propulsé par une certaine perception de la modernité, cet urbanisme est indissociable d’une instrumentalisation politique qui met l’accent sur les questions identitaires et patrimoniales, insiste sur la rupture avec le passé et tend à écarter l’opinion publique des questions inhérentes à l’aménagement du territoire et à la sauvegarde de la mémoire collective. En procédant par une analyse contextuelle de faits historiques et une lecture typomorphologique de la percée de la Casbah, cette recherche attire l’attention sur l’ampleur de certaines décisions gouvernementales concernant l’aménagement de l’espace urbain et la conservation de l’héritage architectural à court, moyen et long termes. Elle renseigne aussi sur le rôle des collectivités, de l’élite et des professionnels dans la canalisation de ces décisions pour ou contre leur droit à la ville.
Resumo:
En este trabajo me propongo analizar la influencia de la revolución de Haití en las independencias de Venezuela y Colombia durante los años 1804-1825. Miintención es demostrar que las repercusiones del proceso haitiano fueron vastas, complejas y sufrieron importantes cambios durante el transcurso de los años. En líneas generales, la revolución generó pánico entre las elites criollas y peninsulares y esperanzas entre grupos de esclavos y pardos. Inicialmente los sectores criollos revolucionarios buscaron evitar todo contacto con la isla y eludir el modelo insurgente haitiano por considerar que produciría en la Tierra Firme una "guerra de razas" y una hecatombe similar a la que, en su opinión, allí había acontecido. Sin embargo, a partir de 1812-1813 debido a las dificultades de la guerra de independencia una fracción de la elite criolla comenzó a estrechar vínculos con la República del Sur de Haití a través de contactos diplomáticos y corsarios. Estas primeras relaciones, más bien tímidas, fueron la condición de posibilidad de un cambio importante que sobrevino en 1816. En dicho año, debido a la reconquista de la expedición realista, la mayoría de los líderes independentistas huyeron de Tierra Firme y tuvieron que exiliarse en Haití, uno de los pocos lugares donde encontraron refugio y apoyo. En aquel contexto, se dio el pacto entre Alexandre Petión y Simón Bolívar, por el cual el primero se comprometió a aportar armas, barcos y hombres a la causa patriota a cambio de la emancipación de los esclavos hispanoamericanos. Este acuerdo fue fundamental ya que no sólo posibilitó la exitosa contraofensiva independentista, sino que además le dio un cariz social al proceso revolucionario de Venezuela y Colombia. Así, a partir de 1816 y hasta 1821, se dieron numerosos contactos e incluso el gobierno de Jean Pierre Boyer (sucesor de Alexandre Petión) colaboró con otras dos expediciones a cargo de Gregor Mac Gregor para liberar Panamá y Río Hacha. Sin embargo, el cambio no fue total y aún durante estos años, los líderes criollos continuaron teniendo reparos frente al peligro de la explosión de un nuevo Haití en la Tierra Firme hispana. Por último, el fin de la guerra de independencia abrió un nuevo contexto en el cual aquellos miedos se intensificaron debido a la movilización social interna. Esto derivó en nuevo alejamiento y el gobierno de Colombia no sólo se negó a mantener relaciones con Haití, sino que incluso lo excluyó del Congreso de Panamá.
Resumo:
Mode of access: Internet.
Resumo:
Mode of access: Internet.
Resumo:
"The charities described ... are exclusively those under the trust of the guilds or companies of the city of London."
Resumo:
Cropped from half-tone of 1880 team photo in 1903 Michiganensian.