988 resultados para DECORATION. Initiales filigranées. (XIIIe-XIVes.)


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Contient : 1 « Partage de la maison de Clèves ». 1488. En latin ; 2 « Lettres de la concession de la duchié de Bourgoigne, faicte par le roy JEHAN à monseigneur Phelippe, son filz ». Germigny-sur-Marne, 6 septembre 1363. En latin ; 3 Confirmation des lettres précédentes par CHARLES V. Au Louvre, 2 juin 1364. En latin ; 4 Autres lettres de CHARLES V, accordant à Philippe le Hardi le duché de Touraine, au cas où le duché de Bourgogne lui serait disputé par le roi de Navarre, le duc d'Orléans et le duc de Bar. En latin. Même date ; 5 « Prisée et assiecte de douze mil livres de rente au tournois, faicte à... madame Blanche de France, duchesse d'Orliens, à cause de son doaire... », en vertu des lettres de Charles V, données à Paris le 19 mai 1376 ; 6 Transaction entre PHILIPPE, duc DE BOURGOGNE, et Jean de Bourgogne, comte d'Étampes. Bruxelles, 11 juillet 1446 ; 7 Article des partages de Jean, Antoine et Philippe de Bourgogne, touchant la renonciation du duché de Brabant au profit dudit Philippe, comte de Nevers ; 8 « S'ensuit ung article estant ès lectres du partaige fait par feu monseigneur Phelippe, duc de Bourgogne, et madame Marguerite la duchesse, sa femme, à messieurs Jehan, Anthoine et Phelippe, leurs enffans, touchant les terres et seignories advenues par ledit partaige audit Phelippe, conte de Nevers » ; 9 Ratification du partage précédent par Jean et Antoine, fils de Philippe le Hardi, duc de Bourgogne. Paris, 9 mars 1401 ; 10 Confirmation dudit partage par JEANNE, duchesse DE LUXEMBOURG. Bruxelles, 29 septembre 1401. Avec ratification des duc et duchesse de Bourgogne, donnée à Arras, le 27 nov. 1401 ; 11 Requêtes et remontrances par Jean de Bourgogne, comte de Nevers, au duc de Bourgogne. « Nevers, 16 janvier 1467 » ; 12 « Pour faire responce ès articles baillez par les depputez de Mr le duc Phelippe » de Bourgogne. Mémoire suivi de la copie d'une lettre de CHARLES DE BOURGOGNE, comte de Charolais ; 13 « Remonstrances et responces faictes par feu monseigneur le duc de Brabant, Jehan, conte de Nevers, etc., au roi Loys, touchant la duchié de Bourgoigne ». Après 1477 ; 14 « Les droitz que pretendoit feu monseigneur le duc Jehan, conte de Nevers, etc., par le trespas de feu monseigneur le duc Charles, dernier duc de Bourgoigne » ; 15 Droits du comte de Nevers, Charles de Bourgogne, sur le grenier à sel d'Arcis-sur-Aube. Après 1444 ; 16 Généalogie de Jean, duc de Brabant, comte de Nevers, « et la descendue de toutes ses terres et seignories » ; 17 Généalogie de Jean, duc de Brabant, comte de Nevers, « et la descendue de toutes ses terres et seigneuryes » ; 18 Écritures en parlement du « Procès de Flandres », pour Charlotte de Bourbon, comtesse de Nevers, veuve d'Engilbert de Clèves, contre Charles d'Autriche, prince de Castille, comte de Flandre. 1507 ; 19 Acte de LOUIS XII, portant transaction entre Engilbert de Clèves et Jean d'Albret, seigneur d'Orval. Orléans, 14 octobre 1504 ; 20 Contrat de « mariage entre Charles de Clèves et Marie d'Albret, contesse de Nevers ». 20 avril 1505 ; 21 Pièce concernant l'attribution de la tierce partie des exploits de justice de la vicomté de Clamecy, au profit de Jean de Montmorin ; 22 Partages entre Charles et Louis de Clèves, en mai 1514. Acte de CHARLOTTE DE BOURBON. Minute ; 23 Châtellenies et principaux fiefs de Donzyois et Nivernois. Droits et privilèges du comte de Nevers. Châtellenies de Champagne ; 24 Terres et seigneuries de Nivernais, Donzyois et St-Verain. 1523 ; 25 Consultation pour M. d'Orval contre M. de Boulogne. Troyes, 10 décembre 1489 ; 26 Don fait par le roi JEAN du comté d'Eu à Jean d'Artois. Lyon, février 1351 n. st. En latin ; 27 Mémoire concernant une rente de 3.000 livres assise sur le comté de Dreux ; 28 Placet présenté au roi pour Charlotte de Bourbon, comtesse de Nevers. Après 1506 ; 29 Acte du sacre de François Ier, daté du 27 janvier 1515 n. st., et suivi du certificat de collation, faite le 8 février 1526 n. st. par Antoine Dubourg ; 30 Copie faite, le 2 mars 1487, de 3 pièces du XIIIe siècle (22 juillet 1200, mars 1224 et 27 avril 1291), concernant l'évêché de Bethléem en Nivernais. En latin ; 31 Chartes des rois de France pour Saint-Pierre-le-Moustier, depuis Louis VII jusqu'à Charles VIII (1165-1691), suivies d'un acte conclu en 1278 entre le prieur et un certain Crescens, juif, le tout recueilli pour un procès pendant devant le bailli de S. Pierre, en 1561, entre les héritiers de Denis Tixier ; 32 Privilèges de la ville de Nevers. Acte de Guy et de Mathilde, comte et comtesse de Nevers. 1231. En latin. Avec garantie ; 33 Preuve que Saint-Pierre-le-Moustier a été autrefois une prévôté du bailliage de Berry. Acte du 2 mai 1318, vidimé en 1319. En latin ; 34 Extrait des registres du parlement concernant le dépôt à Saint-Pierre-le-Moustier d' « ung cayer coustumier » des coutumes et style du « pays de Nivernois », 5 février 1543 ; 35 Extrait de la chambre des comptes de Nevers, contenant l'acte par lequel ITIER DE TOUCY se porte garant pour une somme de 40 marcs d'argent du service dû par Hugues de l'Orme et Eudes de Châtillon au comte de Nevers comme à leur seigneur lige. Juin 1218. En latin ; 36 Remontrances des habitants de Nevers sur l'établissement du siège présidial du bailliage de Saint-Pierrele-Moustier. Minute ; 37 Plaidoyer fait au conseil privé du roi, le 9 août 1554, par Me GUILLAUME RAPINE, lieutenant-général de Nivernais, pour l'abolition des bourdelages. Minute ; 38 Acte vidimé, émanant de GUY, comte, et MATHILDE, comtesse DE NEVERS, contre les gens qui ruinent ou incendient les maisons. 1340. En latin ; 39 « Declaration de la monnoye du conte de Nevers » ; 40 « Fondation du prieuré de Saint Estienne de Nevers » en 1097. Acte en latin de GUILLAUME, comte DE NEVERS. Copie collationnée le 19 mars « 1572 » ; 41 Contrat de mariage entre Antoine de Croy et Catherine de Clèves. 4 octobre 1560 ; 42 Partage, confirmé par Charles IX, des biens de la maison de Nevers, entre les trois soeurs Henriette, Catherine et Marie de Clèves. 1er mars 1566 ; 43 Concession, à titre de rachat perpétuel, moyennant une somme de 100,000 l. t., du duché de Nemours, faite par FRANÇOIS Ier à Philippe de Savoie, comte de Genève. St-Germain en Laye, 22 décembre 1528. Vérifié en la chambre des comptes le 8 mars 1529

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Contient : 1 Chronique abrégée des rois de France, allant de Charles le Chauve à Charles VI. Dans la première partie sont des extraits de Vincent de Beauvais, de Sigebert de Gembloux, de Guillaume de Malmesbury, etc. Le commencement manque ; voici les premiers mots de ce qui subsiste (fol. 1) : «... et avoir les yeulx crevez, et à recevoir mort; et ainsi fut fait. Cronographus. Cy doivent prendre exemple les seigneurs du sang des roys et par especial ceulx de la tres noble maison de France... ». Fin (fol. 29 v°) : «... L'an mil CCC IIIIXX et trois, le conte de Flandres trespassa. Et pour ce que je n'ay plus avant veu de l'histoire dudit roy Charles sixiesme, je faiz cy la fin de ce present euvre, quant aux genealogies et briefves incidences des temps ». Une suite de cette chronique commence, au fol. 30, par : « S'ensuivent aucunes choses notables, singulières et dignes de memoire pour aucune declaration et ampliation de ce present traicté, lesquelles n'y ont peu estre assises ne mises, parce que alors je ne les avoye pas. Et premierement de la dignité royal. La dignité royal est la premiere et souveraine entre toutes les autres dignitez ou puissances terriennes... ». L'ouvrage se termine par un traité sur la prudence, dont voici le début (fol. 36) : « Pour parvenir, à l'aide de Dieu, à la fin de ce present traictié, considerant que entre les autres vertuz cardinales dont Dieu de sa grace a ourné le roy... je finiray ce dit traictié en parlant briefment de prudence et ensuivant en ce, après le philosophe, la doctrine de saint Thomas d'Aquin, en la seconde partie de sa Somme, en la XLe question, en laquelle, en tractant de prudence, selon elle, il fait les articles qui s'ensuivent. En la principalle responce du premier, il dit que prudent est dit aussi comme provident... ». Fin (fol. 42 v°) : «... je le bailleray voulentiers, pour honneur du roy, à celui qui lui plaira commectre à ce faire. Et pour ce que l'ordre de ceste presente histoire de France abregée commancée aux princes, en laquelle abreviacion, à l'aide de Dieu... j'ay procedé jusques au temps du regne Charles VI de ce nom, jadiz roy de France, que Dieu absoille, et pour conclusion finale d'icelle, esperant que par la clemence divine je puisse gaigner dix jours de indulgence et pardon, que Innocent pape, quart de ce nom, a donnez à tous ceulx qui prient pour le roy de France... et aussi pour recongnoissance, non pas telle comme je suis tenu, maiz comme je la puis faire, de l'onneur qu'il a pleu au roy de sa bonté naturelle à moy faire, en moy retenant en son très humble serviteur, après mon exil par les Angloys, auquel service royal je fuz retenu, passé sont trente six ans. Je prie Dieu, qui est prince des roys de la terre... ». La suite manque. Le feuillet 43 r° est occupé par la fin d'un traité contre les prétentions d'Henri V d'Angleterre au trône de France. En voici les premiers et les derniers mots : « Maiz est icelle pretendue privacion... Cecy est escript veritablement soubz la benigne supportation et debonnaireté du roy, que Nostre Seigneur par sa grace vueille toujours garder et en ses affaires prosperer. Amen. Qui scripsit scribat, semper cum Domino vivat ». Cette partie du manuscrit est du XVe siècle ; 2 Copie des mémoires de THOMASSIN sur l'histoire des rois de Bourgogne et du Dauphiné. On lit, en effet, au fol. 54 v° : « Seconde partye de ce registre, contenant la genealogie des daulphins », et au fol. 67 : « Tiers livre des registres dudit Thomassin ». Cette copie commence (fol. 47) par : « Gontran, frère de Chilperic,... » et finit (fol. 72 v°) par : «... fust prinse par luy la possession, ledit an et le XIIIe aost ». On lit à la suite (fol. 72 v°-74) un « Extraict du livre en papier dudit Thomassin intitullé : Declaratio dignitatum, prerogativarum spectantium ac pertinentium illustrissimo principi Ludovico, regis Francorum primogenito, dalphino Vienensi. De comitibus Viennae. Tradunt scripturae antiquae... ». Cette partie du manuscrit est du XVIe siècle ; 3 « La vie, les miracles et les éminentes vertus de sainct Brieuc, premier evesque de l'evesché appellé de son nom Sainct Brieuc, et aussi de sainct Guillaume, evesque du mesme diocèse, ensemble la translation des relicques dudict sainct Brieuc et la canonisation dudict sainct Guillaume par nostre sainct père le pape Innocent quatriesme, plus quelques remarques et observations necessaires pour l'intelligence d'aucunes difficultés qui se trouvent en cet oeuvre, par L. G. DE LA DENISON, chanoine de l'eglise cathédrale de Sainct Brieuc »

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Le premier mémoire, qui concerne la Bourgogne, la comté de Bourgogne, les comtés de Mâcon et d'Auxerre, occupe les feuillets 1 à 94. Premiers mots : « Sur la question qui est entre le duc d'Auteriche et madame la duchesse sa femme, d'une part, et le roy de France très christien, nostre souverain seigneur Loys neufiesme de ce nom, d'aultre part, touchant les terres et seigneuries que le duc Charles de Bourgongne, dernier trespassé, père de ladicte madame la duchesse, tenoit, possidoit, occupoit, usurpoit ou pretendoit y avoir droit, à divers tiltres et par divers moyens, et en divers lieux, contrées et parties de ce royaulme ; et mesmement, en tant que touche la duché et la conté de Bourgongne, et les contez de Mascon et d'Ausserre, dient mesdis seigneur et dame, duc et duchesse, les choses qui s'ensuivent ... ». Derniers mots : « ... ainsi que plus à plain dessus est declairé ». Le second mémoire, qui concerne la comté d'Artois, occupe les feuillets 99 à 136. Premiers mots : « Pour oster l'erreur de ceulx qui cuident et veullent maintenir que la conté d'Artois n'est pas subgecte à retour à la couronne de France, en deffaulte des hoirs masles, et que c'est fief femenin... ». Derniers mots : « ... et ycelle conté joindre et unir à la dicte couronne, ainsi que les aultres terres et seignouries appartenans à icelle, etc. Fine le livre touchant la conté d'Artoys ». Les feuillets 2 à 6 ont été refaits en écriture gothique au XVIe siècle.

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This thesis consists of a quantitative analysis of the regional prevalence of certain artistic motifs as they appear in Minoan wall painting of the Neopalatial period. This will help to establish the relative degree of artistic autonomy exercised by each of the sites included in this study. The results show that the argument for itinerant artists during this time period is a strong one, but the assumption that these travelling artists were being controlled by any one palace-centre is erroneous. Rather, the similarities and differences seen suggest that the choices were predicated either by the specific patrons, or by the function of the associated building or room. Thus, the motifs found within this study should be understood as constituting a cultural identity, with greater or lesser degrees of regional homogeneity, which act as one facet of a number of cultural indicators that can be used to better understand the role of artists and regional dynamics on the island during the Bronze Age.

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Frank C. (Case) McCordick (1873-1946) was the son of William Henry (1849-1930) and Emily D. Howell (1851-1927) McCordick. William H. McCordick was in the coal business. The McCordick family included Frank Case, Mabel Gertrude, Ethel Howell and Arthur Stanley. Frank C. McCordick was educated in St. Catharines, and worked with his father in the coal business and eventually opened up a leather tanning operation. McCordick was active in the Lincoln Regiment and in 1906 was promoted to captain and in command of Company A, 19th Regiment. He was promoted to major and at the outbreak of war he was sent overseas as a commander of the 35th Battalion of the Canadian Expeditionary Forces (CEF). Upon arrival in France he was made officer commanding the 15th Battalion, King’s Own Yorkshire Light Infantry (KOYLI). After the war and his return to Canada he continued to play an active role in the local military units in the area as well as in Hamilton. After his retirement from the military in 1927 McCordick served as alderman and then mayor of St. Catharines from 1930 to 1931. He was a member of a large number of civic clubs, including St. Catharines Chamber of Commerce, Y.M.C.A., Lion’s Club, St. Catharines Golf Club, Detroit Boat Club, the St Catharines Club, as well as a member of several Masonic lodges. He continued to operate McCordick Tannery and other local investments. In 1903 Frank C. McCordick married May Beatrice Simson, daughter of Thomas E. Simson of Thorold. They had three children, E. (Edward) Frank McCordick, Bruce McCordick and (Margaret) Doris McCordick (m. Hubert Grigaut, d. 1977). The McCordick family resided at 82 Yates Street, near Adams Street. May Simson McCordick (b. 1873) was the daughter of Thomas Edward (1836-1908) and Julia Headlam (1844-1887) Simson of Thorold. Her siblings included: Edward, Frances, John, Augusta, Georgia and Gertrude. E. (Edward) Frank McCordick (1904-1980) was born in St. Catharines, Ont., attended Lake Lodge School in Grimsby, Ridley College in St. Catharines, Beechmont Preparatory School in England, Upper Canada College in Toronto and graduated from Royal Military College in Kingston, Ont. in 1925. Upon graduation he was made a lieutenant in the 10th (St. Catharines) Field Battery. In 1929 he married Helen Stanley Smith, daughter of Stanley George and Mary Walker Smith of St. Catharines. Col. McCordick, now promoted to Major, played an active role in the 10th (St. Catharines) Field Battery, being officer commanding the battery. In late 1939 McCordick headed to England for artillery tactical training and on December 6, 1939 the battery began the long trek overseas. McCordick saw action in Italy and in Holland. Upon his return to Canada at the end of the war he was the Liberal candidate in the federal election for Lincoln County. He remained active in the local military serving as honorary lieutenant-colonel of the 56th Field Regiment (ARCA) and in 1976 as the honorary colonel of the regiment. Col. McCordick held the Efficiency Decoration, the Order of the British Empire, granted in 1945 and was made an officer in the Order of St. John in 1978. He continued to serve his community in various capacities, including the Unemployment Insurance Canada Board, Royal Trust Company and the St. John Ambulance Society. He remained an active member of the alumni of Royal Military College, editing and compiling a newsletter and organizing reunion weekends. He kept in close contact with many of his classmates. Helen Stanley Smith McCordick lived in St. Catharines, Ont., attended Robertson School, and graduated from the University of Toronto in 1926 with a Bachelor of Arts degree in Modern Languages. During the war years (1939-1945) Helen was active in the Transport division of the local branch of the Canadian Red Cross and the Women’s Auxiliary of the 10th Field Battery. In 1932 E. Frank and Helen McCordick welcomed their only child, (Catharine) Anne McCordick. Helen continued to play an active role in her community until her passing in 1997. Stanley George Smith (1865-1960) was born in St. Catharines, Ont., the only child of William Smith (d. June 16, 1876) a native of Edinburgh, Scotland and his wife Hannah Louisa Maria Bulkeley a native of Fairfield, Connecticut. Stanley George Smith married Mary Walker of Guelph, Ont.(d. 1956) Mary was the daughter of Hugh and Elizabeth (d. 1924) Walker. Her siblings included Margaret, Agnes, Jessie, Isabella, Lorne, Ada, Alice, Eva, Alexander and George. Hugh Walker was a prominent fruit and vegetable merchant in Guelph. On 1904 their only child, Helen Stanley Smith was born. He was a post office clerk, and the treasurer for the James D. Tait Co. Ltd., a clothing and dry goods retailer in St. Catharines. The family lived at 39 Church Street in St. Catharines, Ont.

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The origins of the Welland County Fair date back to the founding of the County of Welland in 1852. A provincial charter was issued in 1853 to create the Welland County Agricultural Society that was to operate the Fair. In 1970, the Welland County Fair became the Niagara Regional Exhibition, and the Society became known as the Niagara Regional Agriculture Society. The Society seeks to “encourage interest, promote improvements in and advance the standards of agriculture, domestic industry and rural life”. The Welland Festival of Arts was developed in 1986 in order to revitalize the town’s economy. An “outdoor art gallery” was created by painting murals on buildings that depicted the town’s heritage, a concept successfully adopted by the town of Chemainus, B.C. The first mural was completed in the summer of 1988, and by 1991 there were a total of 28 murals around the city. The endeavour proved successful: in the years that followed the creation of the Festival, two new hotels were constructed, a third was expanded, and there was an addition to the Seaway Mall to accommodate the increased tourist traffic. Optimist International is a non-profit organization that strives to “bring out the best in kids” . The first Canadian club was formed in Toronto in 1924. The Welland branch of the Optimist Club was founded in 1937. The first Welland County General Hospital opened in 1908. As the population increased, it became necessary to expand the existing facilities. Additions were made to the original structure with an East wing in 1930 and a children’s ward in 1931. However, in the 1950’s, the hospital was operating beyond optimum capacity and the need for a larger facility was clear. It was decided that a new hospital would be built, which opened in April 1960. The new hospital had 259 beds and 51 bassinets. Further additions were made in 1967 and 1978. The County of Welland was formed in 1850 when it was officially separated from Lincoln County, however, the two counties continued to operate together until 1856 when a new County building and jail for Welland County were completed. That same year, the first meeting of the Council of the Corporation of Welland County took place. The final meeting of the Council took place on December 18, 1969. The following year, the County of Welland merged with Lincoln County to form the Regional Municipality of Niagara. The Welland Mills in Thorold, Ont., was built in 1846-1847 by Jacob Keefer and is thought to have been one of the largest flour mills in Upper Canada. Ownership of the mill changed several times over the years and previous owners include the Howland family, the Hedley Shaw Milling Company and the Maple Leaf Milling Company. In 1986, the building received a heritage plaque from the Ontario Heritage Foundation, an agency of the Ontario Ministry of Culture and Recreation. At this time, the mill was no longer in operation and was being used for storage by Fraser, Inc. By 2006, the dilapidated building had been redeveloped into18 apartments and 2 floors of commercial space, while maintaining many heritage features. The building is currently known as the Welland Mills Centre.

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Un fichier intitulé Charbonneau_Nathalie_2008_AnimationAnnexeT accompagne la thèse. Il contient une séquence animée démontrant le type de parcours pouvant être effectué au sein des environnements numériques développés. Il s'agit d'un fichier .wmv qui a été compressé.

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Cette recherche a pour but d’évaluer le rôle de la vision et de la proprioception pour la perception et le contrôle de l’orientation spatiale de la main chez l’humain. L’orientation spatiale de la main est une composante importante des mouvements d’atteinte et de saisie. Toutefois, peu d’attention a été portée à l’étude de l’orientation spatiale de la main dans la littérature. À notre connaissance, cette étude est la première à évaluer spécifiquement l’influence des informations sensorielles et de l’expérience visuelle pour la perception et le contrôle en temps réel de l'orientation spatiale de la main pendant le mouvement d’atteinte naturel vers une cible stationnaire. Le premier objectif était d’étudier la contribution de la vision et de la proprioception dans des tâches de perception et de mouvement d’orientation de la main. Dans la tâche de perception (orientation-matching task), les sujets devaient passivement ou activement aligner une poignée de forme rectangulaire avec une cible fixée dans différentes orientations. Les rotations de l’avant-bras et du poignet étaient soit imposées par l’expérimentateur, soit effectuées par les sujets. Dans la tâche de mouvement d’orientation et d’atteinte simultanées (letter posting task 1), les sujets ont réalisé des mouvements d’atteinte et de rotation simultanées de la main afin d’insérer la poignée rectangulaire dans une fente fixée dans les mêmes orientations. Les tâches ont été réalisées dans différentes conditions sensorielles où l’information visuelle de la cible et de la main était manipulée. Dans la tâche perceptive, une augmentation des erreurs d’orientation de la main a été observée avec le retrait des informations visuelles concernant la cible et/ou ou la main. Lorsque la vision de la main n’était pas permise, il a généralement été observé que les erreurs d’orientation de la main augmentaient avec le degré de rotation nécessaire pour aligner la main et la cible. Dans la tâche de mouvement d’orientation et d’atteinte simultanées, les erreurs ont également augmenté avec le retrait des informations visuelles. Toutefois, les patrons d’erreurs étaient différents de ceux observés dans la tâche de perception, et les erreurs d’orientation n’ont pas augmenté avec le degré de rotation nécessaire pour insérer la poignée dans la fente. En absence de vision de la main, il a été observé que les erreurs d’orientation étaient plus petites dans la tâche de mouvement que de perception, suggérant l’implication de la proprioception pour le contrôle de l’orientation spatiale de la main lors des mouvements d’orientation et d’atteinte simultanées. Le deuxième objectif de cette recherche était d’étudier l’influence de la vision et de la proprioception dans le contrôle en temps réel de l’orientation spatiale de la main. Dans une tâche d’orientation de la main suivie d’une atteinte manuelle (letter posting task 2), les sujets devaient d’abord aligner l’orientation de la même poignée avec la fente fixée dans les mêmes orientations, puis réaliser un mouvement d’atteinte sans modifier l’orientation initiale de la main. Une augmentation des erreurs initiales et finales a été observée avec le retrait des informations visuelles. Malgré la consigne de ne pas changer l’orientation initiale de la main, une diminution des erreurs d’orientation a généralement été observée suite au mouvement d’atteinte, dans toutes les conditions sensorielles testées. Cette tendance n’a pas été observée lorsqu’aucune cible explicite n’était présentée et que les sujets devaient conserver l’orientation de départ de la main pendant le mouvement d’atteinte (mouvement intransitif; letter-posting task 3). La diminution des erreurs pendant l’atteinte manuelle transitive vers une cible explicite (letter-posting task 2), malgré la consigne de ne pas changer l’orientation de la main pendant le mouvement, suggère un mécanisme de corrections automatiques pour le contrôle en temps réel de l’orientation spatiale de la main pendant le mouvement d’atteinte naturel vers une cible stationnaire. Le troisième objectif de cette recherche était d’évaluer la contribution de l’expérience visuelle pour la perception et le contrôle de l’orientation spatiale de la main. Des sujets aveugles ont été testés dans les mêmes tâches de perception et de mouvement. De manière générale, les sujets aveugles ont présenté les mêmes tendances que les sujets voyants testés dans la condition proprioceptive (sans vision), suggérant que l’expérience visuelle n’est pas nécessaire pour le développement d’un mécanisme de correction en temps réel de l’orientation spatiale de la main basé sur la proprioception.