984 resultados para Ovid, 43 B.C.-17 A.D. or 18 A.D
Resumo:
The HACEK organisms (Haemophilus species, Aggregatibacter species, Cardiobacterium hominis, Eikenella corrodens, and Kingella species) are rare causes of infective endocarditis (IE). The objective of this study is to describe the clinical characteristics and outcomes of patients with HACEK endocarditis (HE) in a large multi-national cohort. Patients hospitalized with definite or possible infective endocarditis by the International Collaboration on Endocarditis Prospective Cohort Study in 64 hospitals from 28 countries were included and characteristics of HE patients compared with IE due to other pathogens. Of 5591 patients enrolled, 77 (1.4%) had HE. HE was associated with a younger age (47 vs. 61 years; p<0.001), a higher prevalence of immunologic/vascular manifestations (32% vs. 20%; p<0.008) and stroke (25% vs. 17% p = 0.05) but a lower prevalence of congestive heart failure (15% vs. 30%; p = 0.004), death in-hospital (4% vs. 18%; p = 0.001) or after 1 year follow-up (6% vs. 20%; p = 0.01) than IE due to other pathogens (n = 5514). On multivariable analysis, stroke was associated with mitral valve vegetations (OR 3.60; CI 1.34-9.65; p<0.01) and younger age (OR 0.62; CI 0.49-0.90; p<0.01). The overall outcome of HE was excellent with the in-hospital mortality (4%) significantly better than for non-HE (18%; p<0.001). Prosthetic valve endocarditis was more common in HE (35%) than non-HE (24%). The outcome of prosthetic valve and native valve HE was excellent whether treated medically or with surgery. Current treatment is very successful for the management of both native valve prosthetic valve HE but further studies are needed to determine why HE has a predilection for younger people and to cause stroke. The small number of patients and observational design limit inferences on treatment strategies. Self selection of study sites limits epidemiological inferences.
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Depuis son indépendance en 1975, le Cap Vert est résolument engagé dans la lutte contre la désertification et les effets de la sécheresse. Plus de 32.000.000 arbres ont été plantés au cours des vingt dernières années pour protéger le sol de l'érosion et reconstituer un espace forestier pratiquement anéanti par cinq siècles d'occupation humaine. Des milliers de kilomètres de murettes et de banquettes, des milliers de digues de correction torrentielle et d'ouvrages hydrauliques ont été construits sur l'ensemble de l'archipel. Les aménagements anti-érosifs ont été mis en place sur plus de 43 % des terres occupées par les cultures pluviales, soit plus de 16.000 hectares. Cet immense effort déployé par les Capverdiens pour lutter contre la dgradation de leurs ressources naturelles et l'appauvrissement des populations qui en dépendent, tire ses motivations historiques des sécheresses désastreuses qui ont secoué le pays au fil des années, jusqu'à celle de 1947 - 49 qui a provoqué des milliers de morts. Ce Programme d'Action National (PAN) s'inscrit dans la continuité de ces efforts. Il est le fruit d'une réflexion conjointe de l'ensemble des acteurs concernés par le problème de la désertification. Il repose à la fois sur le bilan des actions menées jusqu'à ce jour par les différents intervenants, et sur une consultation massive, menée sur l'ensemble du pays, des populations touchées par la dsertification et les effets de la sécheresse. Il ne prétend pas innover dans le domaine des techniques de lutte, ni remettre en question le rôle des différents acteurs engagés dans cette lutte. Il vise simplement à une meilleure coordination des efforts et à une plus large participation de la population. Conscientes des problèmes posés par l'interaction de l'homme et de l'environnement sur l'ensemble de la planète, les nations du monde se sont réunies à Rio de Janeiro au mois de juin 1992 lors de la Conférence Mondiale de L’Environnement. Cette conférence organisée par les Nations Unies visait à rapprocher les pays en voie de développement et les pays industrialisés pour garantir l'avenir de la planète terre. Trois conventions internationales fixant des accords de partenariat et des modalités concrètes de mise en oeuvre sont issues de cette rencontre. Il s'agit de: - La Convention sur la Diversité Biologique; - La Convention sur les Changements Climatiques; - Et enfin la Convention de Lutte Contre la Dsertification dans les pays gravement touchés par la sécheresse et/ou la dsertification, en particulier en Afrique, qui fut adoptée à Paris le 17 juin 1994, et ouverte à la signature en octobre de la même année. Parmi la centaine de signataires de la convention, la République du Cap-Vert fut le deuxième signataire au monde et le premier pays en Afrique. Depuis son indépendance en 1975, le Cap Vert est résolument engagé dans la lutte contre la désertification et les effets de la sécheresse. Plus de 32.000.000 arbres ont été plantés au cours des vingt dernières années pour protéger le sol de l'érosion et reconstituer un espace forestier pratiquement anéanti par cinq siècles d'occupation humaine. Des milliers de kilomètres de murettes et de banquettes, des milliers de digues de correction torrentielle et d'ouvrages hydrauliques ont été construits sur l'ensemble de l'archipel. Les aménagements anti-érosifs ont été mis en place sur plus de 43 % des terres occupées par les cultures pluviales, soit plus de 16.000 hectares. Cet immense effort déployé par les Capverdiens pour lutter contre la dgradation de leurs ressources naturelles et l'appauvrissement des populations qui en dépendent, tire ses motivations historiques des sécheresses désastreuses qui ont secoué le pays au fil des années, jusqu'à celle de 1947 - 49 qui a provoqué des milliers de morts. Ce Programme d'Action National (PAN) s'inscrit dans la continuité de ces efforts. Il est le fruit d'une réflexion conjointe de l'ensemble des acteurs concernés par le problème de la désertification. Il repose à la fois sur le bilan des actions menées jusqu'à ce jour par les différents intervenants, et sur une consultation massive, menée sur l'ensemble du pays, des populations touchées par la dsertification et les effets de la sécheresse. Il ne prétend pas innover dans le domaine des techniques de lutte, ni remettre en question le rôle des différents acteurs engagés dans cette lutte. Il vise simplement à une meilleure coordination des efforts et à une plus large participation de la population. Conscientes des problèmes posés par l'interaction de l'homme et de l'environnement sur l'ensemble de la planète, les nations du monde se sont réunies à Rio de Janeiro au mois de juin 1992 lors de la Conférence Mondiale de L’Environnement. Cette conférence organisée par les Nations Unies visait à rapprocher les pays en voie de développement et les pays industrialisés pour garantir l'avenir de la planète terre. Trois conventions internationales fixant des accords de partenariat et des modalités concrètes de mise en oeuvre sont issues de cette rencontre. Il s'agit de: - La Convention sur la Diversité Biologique; - La Convention sur les Changements Climatiques; - Et enfin la Convention de Lutte Contre la Dsertification dans les pays gravement touchés par la sécheresse et/ou la dsertification, en particulier en Afrique, qui fut adoptée à Paris le 17 juin 1994, et ouverte à la signature en octobre de la même année. Parmi la centaine de signataires de la convention, la République du Cap-Vert fut le deuxième signataire au monde et le premier pays en Afrique. La Convention de Lutte Contre la Dsertification (CCD) repose sur quatre grands principes: a) "Les décisions concernant la conception et l'exécution des programmes de lutte contre la désertification doivent être prises avec la participation des populations et des collectivités locales, et un environnement porteur doit être créé aux échelons supérieurs pour faciliter l'action aux niveaux national et local"; b) La nécessité "d'améliorer, dans un esprit de solidarité et de partenariat internationaux, la coopération et la coordination au niveau sous-régional, régional et international, et de concentrer les ressources financières, humaines, organisationnelles, et techniques là où elles sont nécessaires"; c) La nécessité "d'instituer une coopération entre les pouvoirs publics à tous les niveaux, les collectivités, les organisations non gouvernementales et les exploitants des terres pour mieux faire comprendre, dans les zones touchées, la nature et la valeur de la terre et des rares ressources en eau, et pour promouvoir une utilisation durable de ces ressources"; d) Enfin, "la prise en considération de la situation et des besoins particuliers des pays en voie de développement, tout spécialement les moins avancés d'entre eux". Afin de mettre en oeuvre les résolutions de la convention, il a été demand à chaque pays signataire d'élaborer un Programme d'Action National, pour en faire l'élément central de sa stratégie en matière de LCD. Le Comité Inter-Etats de Lutte Contre la Sécheresse au Sahel (CILSS), qui regroupe neuf pays dont la République du Cap-Vert, a été désigné pour appuyer et pour coordonner au niveau sous-régional la mise en oeuvre de la convention. Au niveau national, le Secrétariat Exécutif pour l'Environnement (SEPA) a été désigné pour assurer la coordination de la mise en oeuvre du PAN. Dans cette tâche, le SEPA compte déjà avec l’appui du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD/UNSO) et de la Coopération Française - chef de file des bailleurs de fonds pour la mise en oeuvre de la CCD au Cap-Vert. L’élaboration du PAN a été un processus relativement long qui a commencé par la réalisation du Premier Forum National en novembre 1995. Ce Forum a permis, entre autres, d’informer les différents partenaires sur la CCD. Par la suite, le Secrétariat Exécutif pour l’Environnement avec l’aide du projet “Appui à la Mise en Oeuvre de la CCD”, a réalisé des tournées d’information et de discussions dans toutes les 17 municipalités qui composent le Pays. Ces tournées ont permis de dialoguer et d’engager effectivement le processus de décentralisation dans l’élaboration du PAN. Il a été convenu que chaque commune doit élaborer un Programme Municipal de Lutte Contre la Dsertification. Une formation en approche participative (Méthode accélérée de recherche participative) a été organisée à l’attention des représentants des communes. Cela a permis aux municipalités de réaliser un diagnostic participatif au niveau des communautés. Des Commissions Municipales pour l’Environnement ont été créées pour la mise en oeuvre de la CCD. Ces Commissions sont formées par les représentants des services publics, des ONG, des associations paysannes et des confessions religieuses. Chaque Municipalité a réalisé un diagnostic participatif et élaboré un rapport qui décrit la situation socio économique des différentes zones et les propositions des communautés pour lutter contre la désertification. Sur la base des diagnostics participatifs et avec l’appui du SEPA, les différentes municipalités ont élaboré leurs propres programmes. Ces programmes ont été validés au cours d’ateliers municipaux avec la participation de tous les partenaires concernés. Le PAN comporte 190 projets municipaux présentés sous forme de fiches de projets dans le volume annexe, auxquels s’ajoutent 5 projets nationaux. Ces derniers ont été définis, d’une part pour répondre à des problèmes et préoccupations manifestées au niveau municipal, mais dont les solutions ont un caractère national et d’autre part pour créer la complémentarité nécessaire avec les autres Programmes Nationaux. Parmi les objectifs majeurs que le Cap-Vert s'est fixé dans son 4ème Plan National de Développement, figurent des objectifs économiques comme la valorisation des ressources naturelles, et des objectifs sociaux, comme la lutte contre la pauvreté et le sous-emploi, la sécurité alimentaire, la protection de l'environnement, et la couverture des besoins essentiels de la population. Tous ces objectifs rentrent dans le champ d'action du PAN, qui contribue donc largement à l'objectif principal du 4ème Plan, à savoir l'intégration dynamique du Cap-Vert dans l'économie mondiale.
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Depuis son indépendance en 1975, le Cap Vert est résolument engagé dans la lutte contre la désertification et les effets de la sécheresse. Plus de 32.000.000 arbres ont été plantés au cours des vingt dernières années pour protéger le sol de l'érosion et reconstituer un espace forestier pratiquement anéanti par cinq siècles d'occupation humaine. Des milliers de kilomètres de murettes et de banquettes, des milliers de digues de correction torrentielle et d'ouvrages hydrauliques ont été construits sur l'ensemble de l'archipel. Les aménagements anti-érosifs ont été mis en place sur plus de 43 % des terres occupées par les cultures pluviales, soit plus de 16.000 hectares. Cet immense effort déployé par les Capverdiens pour lutter contre la dgradation de leurs ressources naturelles et l'appauvrissement des populations qui en dépendent, tire ses motivations historiques des sécheresses désastreuses qui ont secoué le pays au fil des années, jusqu'à celle de 1947 - 49 qui a provoqué des milliers de morts. Ce Programme d'Action National (PAN) s'inscrit dans la continuité de ces efforts. Il est le fruit d'une réflexion conjointe de l'ensemble des acteurs concernés par le problème de la désertification. Il repose à la fois sur le bilan des actions menées jusqu'à ce jour par les différents intervenants, et sur une consultation massive, menée sur l'ensemble du pays, des populations touchées par la dsertification et les effets de la sécheresse. Il ne prétend pas innover dans le domaine des techniques de lutte, ni remettre en question le rôle des différents acteurs engagés dans cette lutte. Il vise simplement à une meilleure coordination des efforts et à une plus large participation de la population. Conscientes des problèmes posés par l'interaction de l'homme et de l'environnement sur l'ensemble de la planète, les nations du monde se sont réunies à Rio de Janeiro au mois de juin 1992 lors de la Conférence Mondiale de L’Environnement. Cette conférence organisée par les Nations Unies visait à rapprocher les pays en voie de développement et les pays industrialisés pour garantir l'avenir de la planète terre. Trois conventions internationales fixant des accords de partenariat et des modalités concrètes de mise en oeuvre sont issues de cette rencontre. Il s'agit de: - La Convention sur la Diversité Biologique; - La Convention sur les Changements Climatiques; - Et enfin la Convention de Lutte Contre la Dsertification dans les pays gravement touchés par la sécheresse et/ou la dsertification, en particulier en Afrique, qui fut adoptée à Paris le 17 juin 1994, et ouverte à la signature en octobre de la même année. Parmi la centaine de signataires de la convention, la République du Cap-Vert fut le deuxième signataire au monde et le premier pays en Afrique. La Convention de Lutte Contre la Dsertification (CCD) repose sur quatre grands principes: a) "Les décisions concernant la conception et l'exécution des programmes de lutte contre la désertification doivent être prises avec la participation des populations et des collectivités et un environnement porteur doit être créé aux échelons supérieurs pour faciliter l'action aux niveaux national et local"; b) La nécessité "d'améliorer, dans un esprit de solidarité et de partenariat internationaux, la coopération et la coordination au niveau sous-régional, régional et international, et de concentrer les ressources financières, humaines, organisationnelles, et techniques là où elles sont nécessaires"; c) La nécessité "d'instituer une coopération entre les pouvoirs publics à tous les niveaux, les collectivités, les organisations non gouvernementales et les exploitants des terres pour mieux faire comprendre, dans les zones touchées, la nature et la valeur de la terre et des rares ressources en eau, et pour promouvoir une utilisation durable de ces ressources"; d) Enfin, "la prise en considération de la situation et des besoins particuliers des pays en voie de développement, tout spécialement les moins avancés d'entre eux". Afin de mettre en oeuvre les résolutions de la convention, il a été demand à chaque pays signataire d'élaborer un Programme d'Action National, pour en faire l'élément central de sa stratégie en matière de LCD. Le Comité Inter-Etats de Lutte Contre la Sécheresse au Sahel (CILSS), qui regroupe neuf pays dont la République du Cap-Vert, a été désigné pour appuyer et pour coordonner au niveau sous-régional la mise en oeuvre de la convention. Au niveau national, le Secrétariat Exécutif pour l'Environnement (SEPA) a été désigné pour assurer la coordination de la mise en oeuvre du PAN. Dans cette tâche, le SEPA compte déjà avec l’appui du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD/UNSO) et de la Coopération Française - chef de file des bailleurs de fonds pour la mise en oeuvre de la CCD au Cap-Vert. L’élaboration du PAN a été un processus relativement long qui a commencé par la réalisation du Premier Forum National en novembre 1995. Ce Forum a permis, entre autres, d’informer les différents partenaires sur la CCD. Par la suite, le Secrétariat Exécutif pour l’Environnement avec l’aide du projet “Appui à la Mise en Oeuvre de la CCD”, a réalisé des tournées d’information et de discussions dans toutes les 17 municipalités qui composent le Pays. Ces tournées ont permis de dialoguer et d’engager effectivement le processus de décentralisation dans l’élaboration du PAN. Il a été convenu que chaque commune doit élaborer un Programme Municipal de Lutte Contre la Dsertification. Une formation en approche participative (Méthode accélérée de recherche participative) a été organisée à l’attention des représentants des communes. Cela a permis aux municipalités de réaliser un diagnostic participatif au niveau des communautés. Des Commissions Municipales pour l’Environnement ont été créées pour la mise en oeuvre de la CCD. Ces Commissions sont formées par les représentants des services publics, des ONG, des associations paysannes et des confessions religieuses. Chaque Municipalité a réalisé un diagnostic participatif et élaboré un rapport qui décrit la situation socio économique des différentes zones et les propositions des communautés pour lutter contre la désertification. Sur la base des diagnostics participatifs et avec l’appui du SEPA, les différentes municipalités ont élaboré leurs propres programmes. Ces programmes ont été validés au cours d’ateliers municipaux avec la participation de tous les partenaires concernés. Le PAN comporte 190 projets municipaux présentés sous forme de fiches de projets dans le volume annexe, auxquels s’ajoutent 5 projets nationaux. Ces derniers ont été définis, d’une part pour répondre à des problèmes et préoccupations manifestées au niveau municipal, mais dont les solutions ont un caractère national et d’autre part pour créer la complémentarité nécessaire avec les autres Programmes Nationaux. Parmi les objectifs majeurs que le Cap-Vert s'est fixé dans son 4ème Plan National de Développement, figurent des objectifs économiques comme la valorisation des ressources naturelles, et des objectifs sociaux, comme la lutte contre la pauvreté et le sous-emploi, la sécurité alimentaire, la protection de l'environnement, et la couverture des besoins essentiels de la population. Tous ces objectifs rentrent dans le champ d'action du PAN, qui contribue donc largement à l'objectif principal du 4ème Plan, à savoir l'intégration dynamique du Cap-Vert dans l'économie mondiale.
Resumo:
Depuis son indépendance en 1975, le Cap Vert est résolument engagé dans la lutte contre la désertification et les effets de la sécheresse. Plus de 32.000.000 arbres ont été plantés au cours des vingt dernières années pour protéger le sol de l'érosion et reconstituer un espace forestier pratiquement anéanti par cinq siècles d'occupation humaine. Des milliers de kilomètres de murettes et de banquettes, des milliers de digues de correction torrentielle et d'ouvrages hydrauliques ont été construits sur l'ensemble de l'archipel. Les aménagements anti-érosifs ont été mis en place sur plus de 43 % des terres occupées par les cultures pluviales, soit plus de 16.000 hectares. Cet immense effort déployé par les Capverdiens pour lutter contre la dgradation de leurs ressources naturelles et l'appauvrissement des populations qui en dépendent, tire ses motivations historiques des sécheresses désastreuses qui ont secoué le pays au fil des années, jusqu'à celle de 1947 - 49 qui a provoqué des milliers de morts. Ce Programme d'Action National (PAN) s'inscrit dans la continuité de ces efforts. Il est le fruit d'une réflexion conjointe de l'ensemble des acteurs concernés par le problème de la désertification. Il repose à la fois sur le bilan des actions menées jusqu'à ce jour par les différents intervenants, et sur une consultation massive, menée sur l'ensemble du pays, des populations touchées par la dsertification et les effets de la sécheresse. Il ne prétend pas innover dans le domaine des techniques de lutte, ni remettre en question le rôle des différents acteurs engagés dans cette lutte. Il vise simplement à une meilleure coordination des efforts et à une plus large participation de la population. Conscientes des problèmes posés par l'interaction de l'homme et de l'environnement sur l'ensemble de la planète, les nations du monde se sont réunies à Rio de Janeiro au mois de juin 1992 lors de la Conférence Mondiale de L’Environnement. Cette conférence organisée par les Nations Unies visait à rapprocher les pays en voie de développement et les pays industrialisés pour garantir l'avenir de la planète terre. Trois conventions internationales fixant des accords de partenariat et des modalités concrètes de mise en oeuvre sont issues de cette rencontre. Il s'agit de: - La Convention sur la Diversité Biologique; - La Convention sur les Changements Climatiques; - Et enfin la Convention de Lutte Contre la Dsertification dans les pays gravement touchés par la sécheresse et/ou la dsertification, en particulier en Afrique, qui fut adoptée à Paris le 17 juin 1994, et ouverte à la signature en octobre de la même année. Parmi la centaine de signataires de la convention, la République du Cap-Vert fut le deuxième signataire au monde et le premier pays en Afrique. La Convention de Lutte Contre la Dsertification (CCD) repose sur quatre grands principes: a) "Les décisions concernant la conception et l'exécution des programmes de lutte contre la désertification doivent être prises avec la participation des populations et des collectivités locales, et un environnement porteur doit être créé aux échelons supérieurs pour faciliter l'action aux niveaux national et local"; b) La nécessité "d'améliorer, dans un esprit de solidarité et de partenariat internationaux, la coopération et la coordination au niveau sous-régional, régional et international, et de concentrer les ressources financières, humaines, organisationnelles, et techniques là où elles sont nécessaires"; c) La nécessité "d'instituer une coopération entre les pouvoirs publics à tous les niveaux, les collectivités, les organisations non gouvernementales et les exploitants des terres pour mieux faire comprendre, dans les zones touchées, la nature et la valeur de la terre et des rares ressources en eau, et pour promouvoir une utilisation durable de ces ressources"; d) Enfin, "la prise en considération de la situation et des besoins particuliers des pays en voie de développement, tout spécialement les moins avancés d'entre eux". Afin de mettre en oeuvre les résolutions de la convention, il a été demand à chaque pays signataire d'élaborer un Programme d'Action National, pour en faire l'élément central de sa stratégie en matière de LCD. Le Comité Inter-Etats de Lutte Contre la Sécheresse au Sahel (CILSS), qui regroupe neuf pays dont la République du Cap-Vert, a été désigné pour appuyer et pour coordonner au niveau sous-régional la mise en oeuvre de la convention. Au niveau national, le Secrétariat Exécutif pour l'Environnement (SEPA) a été désigné pour assurer la coordination de la mise en oeuvre du PAN. Dans cette tâche, le SEPA compte déjà avec l’appui du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD/UNSO) et de la Coopération Française - chef de file des bailleurs de fonds pour la mise en oeuvre de la CCD au Cap-Vert. L’élaboration du PAN a été un processus relativement long qui a commencé par la réalisation du Premier Forum National en novembre 1995. Ce Forum a permis, entre autres, d’informer les différents partenaires sur la CCD. Par la suite, le Secrétariat Exécutif pour l’Environnement avec l’aide du projet “Appui à la Mise en Oeuvre de la CCD”, a réalisé des tournées d’information et de discussions dans toutes les 17 municipalités qui composent le Pays. Ces tournées ont permis de dialoguer et d’engager effectivement le processus de décentralisation dans l’élaboration du PAN. Il a été convenu que chaque commune doit élaborer un Programme Municipal de Lutte Contre la Dsertification. Une formation en approche participative (Méthode accélérée de recherche participative) a été organisée à l’attention des représentants des communes. Cela a permis aux municipalités de réaliser un diagnostic participatif au niveau des communautés. Des Commissions Municipales pour l’Environnement ont été créées pour la mise en oeuvre de la CCD. Ces Commissions sont formées par les représentants des services publics, des ONG, des associations paysannes et des confessions religieuses. Chaque Municipalité a réalisé un diagnostic participatif et élaboré un rapport qui décrit la situation socio économique des différentes zones et les propositions des communautés pour lutter contre la désertification. Sur la base des diagnostics participatifs et avec l’appui du SEPA, les différentes municipalités ont élaboré leurs propres programmes. Ces programmes ont été validés au cours d’ateliers municipaux avec la participation de tous les partenaires concernés. Le PAN comporte 190 projets municipaux présentés sous forme de fiches de projets dans le volume annexe, auxquels s’ajoutent 5 projets nationaux. Ces derniers ont été définis, d’une part pour répondre à des problèmes et préoccupations manifestées au niveau municipal, mais dont les solutions ont un caractère national et d’autre part pour créer la complémentarité nécessaire avec les autres Programmes Nationaux. Parmi les objectifs majeurs que le Cap-Vert s'est fixé dans son 4ème Plan National de Développement, figurent des objectifs économiques comme la valorisation des ressources naturelles, et des objectifs sociaux, comme la lutte contre la pauvreté et le sous-emploi, la sécurité alimentaire, la protection de l'environnement, et la couverture des besoins essentiels de la population. Tous ces objectifs rentrent dans le champ d'action du PAN, qui contribue donc largement à l'objectif principal du 4ème Plan, à savoir l'intégration dynamique du Cap-Vert dans l'économie mondiale.
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Receptor activity modifying proteins RAMP1, RAMP2, and RAMP3 are responsible for defining affinity to ligands of the calcitonin receptor-like receptor (CRLR). It has also been proposed that receptor activity-modifying proteins (RAMP) are molecular chaperones required for CRLR transport to the cell surface. Here, we have studied the respective roles of CRLR and RAMP in transporting CRLR/RAMP heterodimers to the plasma membrane by using a highly specific binding assay that allows quantitative detection of cell surface-expressed CRLR or RAMP in the Xenopus oocytes expression system. We show that: (i) heterodimer assembly is not a prerequisite for efficient cell surface expression of CRLR, (ii) N-glycosylated RAMP2 and RAMP3 are expressed at the cell surface and their transport to the plasma membrane requires N-glycans, (iii) RAMP1 is not N-glycosylated and is transported to the plasma membrane only upon formation of heterodimers with CRLR, and (iv) introduction of N-glycosylation sites in the RAMP1 sequence (D58N/G60S, Y71N, and K103N/P105S) allows cell surface expression of these mutants at levels similar to that of wild-type RAMP1 co-expressed with CRLR. Our data argue against a chaperone function for RAMP and identify the role of N-glycosylation in targeting these molecules to the cell surface.
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We report 24 unrelated individuals with deletions and 17 additional cases with duplications at 10q11.21q21.1 identified by chromosomal microarray analysis. The rearrangements range in size from 0.3 to 12 Mb. Nineteen of the deletions and eight duplications are flanked by large, directly oriented segmental duplications of >98% sequence identity, suggesting that nonallelic homologous recombination (NAHR) caused these genomic rearrangements. Nine individuals with deletions and five with duplications have additional copy number changes. Detailed clinical evaluation of 20 patients with deletions revealed variable clinical features, with developmental delay (DD) and/or intellectual disability (ID) as the only features common to a majority of individuals. We suggest that some of the other features present in more than one patient with deletion, including hypotonia, sleep apnea, chronic constipation, gastroesophageal and vesicoureteral refluxes, epilepsy, ataxia, dysphagia, nystagmus, and ptosis may result from deletion of the CHAT gene, encoding choline acetyltransferase, and the SLC18A3 gene, mapping in the first intron of CHAT and encoding vesicular acetylcholine transporter. The phenotypic diversity and presence of the deletion in apparently normal carrier parents suggest that subjects carrying 10q11.21q11.23 deletions may exhibit variable phenotypic expressivity and incomplete penetrance influenced by additional genetic and nongenetic modifiers.
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BACKGROUND: Vitamin D insufficiency has been associated with the occurrence of various types of cancer, but causal relationships remain elusive. We therefore aimed to determine the relationship between genetic determinants of vitamin D serum levels and the risk of developing hepatitis C virus (HCV)-related hepatocellular carcinoma (HCC). METHODOLOGY/PRINCIPAL FINDINGS: Associations between CYP2R1, GC, and DHCR7 genotypes that are determinants of reduced 25-hydroxyvitamin D (25[OH]D3) serum levels and the risk of HCV-related HCC development were investigated for 1279 chronic hepatitis C patients with HCC and 4325 without HCC, respectively. The well-known associations between CYP2R1 (rs1993116, rs10741657), GC (rs2282679), and DHCR7 (rs7944926, rs12785878) genotypes and 25(OH)D3 serum levels were also apparent in patients with chronic hepatitis C. The same genotypes of these single nucleotide polymorphisms (SNPs) that are associated with reduced 25(OH)D3 serum levels were found to be associated with HCV-related HCC (P = 0.07 [OR = 1.13, 95% CI = 0.99-1.28] for CYP2R1, P = 0.007 [OR = 1.56, 95% CI = 1.12-2.15] for GC, P = 0.003 [OR = 1.42, 95% CI = 1.13-1.78] for DHCR7; ORs for risk genotypes). In contrast, no association between these genetic variations and liver fibrosis progression rate (P>0.2 for each SNP) or outcome of standard therapy with pegylated interferon-α and ribavirin (P>0.2 for each SNP) was observed, suggesting a specific influence of the genetic determinants of 25(OH)D3 serum levels on hepatocarcinogenesis. CONCLUSIONS/SIGNIFICANCE: Our data suggest a relatively weak but functionally relevant role for vitamin D in the prevention of HCV-related hepatocarcinogenesis.
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BACKGROUND: By analyzing human immunodeficiency virus type 1 (HIV-1) pol sequences from the Swiss HIV Cohort Study (SHCS), we explored whether the prevalence of non-B subtypes reflects domestic transmission or migration patterns. METHODS: Swiss non-B sequences and sequences collected abroad were pooled to construct maximum likelihood trees, which were analyzed for Swiss-specific subepidemics, (subtrees including ≥80% Swiss sequences, bootstrap >70%; macroscale analysis) or evidence for domestic transmission (sequence pairs with genetic distance <1.5%, bootstrap ≥98%; microscale analysis). RESULTS: Of 8287 SHCS participants, 1732 (21%) were infected with non-B subtypes, of which A (n = 328), C (n = 272), CRF01_AE (n = 258), and CRF02_AG (n = 285) were studied further. The macroscale analysis revealed that 21% (A), 16% (C), 24% (CRF01_AE), and 28% (CRF02_AG) belonged to Swiss-specific subepidemics. The microscale analysis identified 26 possible transmission pairs: 3 (12%) including only homosexual Swiss men of white ethnicity; 3 (12%) including homosexual white men from Switzerland and partners from foreign countries; and 10 (38%) involving heterosexual white Swiss men and females of different nationality and predominantly nonwhite ethnicity. CONCLUSIONS: Of all non-B infections diagnosed in Switzerland, <25% could be prevented by domestic interventions. Awareness should be raised among immigrants and Swiss individuals with partners from high prevalence countries to contain the spread of non-B subtypes.
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BACKGROUND: Obesity is associated with vitamin D deficiency, and both are areas of active public health concern. We explored the causality and direction of the relationship between body mass index (BMI) and 25-hydroxyvitamin D [25(OH)D] using genetic markers as instrumental variables (IVs) in bi-directional Mendelian randomization (MR) analysis. METHODS AND FINDINGS: We used information from 21 adult cohorts (up to 42,024 participants) with 12 BMI-related SNPs (combined in an allelic score) to produce an instrument for BMI and four SNPs associated with 25(OH)D (combined in two allelic scores, separately for genes encoding its synthesis or metabolism) as an instrument for vitamin D. Regression estimates for the IVs (allele scores) were generated within-study and pooled by meta-analysis to generate summary effects. Associations between vitamin D scores and BMI were confirmed in the Genetic Investigation of Anthropometric Traits (GIANT) consortium (n = 123,864). Each 1 kg/m(2) higher BMI was associated with 1.15% lower 25(OH)D (p = 6.52×10⁻²⁷). The BMI allele score was associated both with BMI (p = 6.30×10⁻⁶²) and 25(OH)D (-0.06% [95% CI -0.10 to -0.02], p = 0.004) in the cohorts that underwent meta-analysis. The two vitamin D allele scores were strongly associated with 25(OH)D (p≤8.07×10⁻⁵⁷ for both scores) but not with BMI (synthesis score, p = 0.88; metabolism score, p = 0.08) in the meta-analysis. A 10% higher genetically instrumented BMI was associated with 4.2% lower 25(OH)D concentrations (IV ratio: -4.2 [95% CI -7.1 to -1.3], p = 0.005). No association was seen for genetically instrumented 25(OH)D with BMI, a finding that was confirmed using data from the GIANT consortium (p≥0.57 for both vitamin D scores). CONCLUSIONS: On the basis of a bi-directional genetic approach that limits confounding, our study suggests that a higher BMI leads to lower 25(OH)D, while any effects of lower 25(OH)D increasing BMI are likely to be small. Population level interventions to reduce BMI are expected to decrease the prevalence of vitamin D deficiency.
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Introduction: The Thalidomide-Dexamethasone (TD) regimen has provided encouraging results in relapsed MM. To improve results, bortezomib (Velcade) has been added to the combination in previous phase II studies, the so called VTD regimen. In January 2006, the European Group for Blood and Marrow Transplantation (EBMT) and the Intergroupe Francophone du Myélome (IFM) initiated a prospective, randomized, parallel-group, open-label phase III, multicenter study, comparing VTD (arm A) with TD (arm B) for MM patients progressing or relapsing after autologous transplantation. Patients and Methods: Inclusion criteria: patients in first progression or relapse after at least one autologous transplantation, including those who had received bortezomib or thalidomide before transplant. Exclusion criteria: subjects with neuropathy above grade 1 or non secretory MM. Primary study end point was time to progression (TTP). Secondary end points included safety, response rate, progression-free survival (PFS) and overall survival (OS). Treatment was scheduled as follows: bortezomib 1.3 mg/m2 was given as an i.v bolus on Days 1, 4, 8 and 11 followed by a 10-Day rest period (days 12 to 21) for 8 cycles (6 months) and then on Days 1, 8, 15, 22 followed by a 20-Day rest period (days 23 to 42) for 4 cycles (6 months). In both arms, thalidomide was scheduled at 200 mg/Day orally for one year and dexamethasone 40 mg/Day orally four days every three weeks for one year. Patients reaching remission could proceed to a new stem cell harvest. However, transplantation, either autologous or allogeneic, could only be performed in patients who completed the planned one year treatment period. Response was assessed by EBMT criteria, with additional category of near complete remission (nCR). Adverse events were graded by the NCI-CTCAE, Version 3.0.The trial was based on a group sequential design, with 4 planned interim analyses and one final analysis that allowed stopping for efficacy as well as futility. The overall alpha and power were set equal to 0.025 and 0.90 respectively. The test for decision making was based on the comparison in terms of the ratio of the cause-specific hazards of relapse/progression, estimated in a Cox model stratified on the number of previous autologous transplantations. Relapse/progression cumulative incidence was estimated using the proper nonparametric estimator, the comparison was done by the Gray test. PFS and OS probabilities were estimated by the Kaplan-Meier curves, the comparison was performed by the Log-Rank test. An interim safety analysis was performed when the first hundred patients had been included. The safety committee recommended to continue the trial. Results: As of 1st July 2010, 269 patients had been enrolled in the study, 139 in France (IFM 2005-04 study), 21 in Italy, 38 in Germany, 19 in Switzerland (a SAKK study), 23 in Belgium, 8 in Austria, 8 in the Czech republic, 11 in Hungary, 1 in the UK and 1 in Israel. One hundred and sixty nine patients were males and 100 females; the median age was 61 yrs (range 29-76). One hundred and thirty six patients were randomized to receive VTD and 133 to receive TD. The current analysis is based on 246 patients (124 in arm A, 122 in arm B) included in the second interim analysis, carried out when 134 events were observed. Following this analysis, the trial was stopped because of significant superiority of VTD over TD. The remaining patients were too premature to contribute to the analysis. The number of previous autologous transplants was one in 63 vs 60 and two or more in 61 vs 62 patients in arm A vs B respectively. The median follow-up was 25 months. The median TTP was 20 months vs 15 months respectively in arm A and B, with cumulative incidence of relapse/progression at 2 years equal to 52% (95% CI: 42%-64%) vs 70% (95% CI: 61%-81%) (p=0.0004, Gray test). The same superiority of arm A was also observed when stratifying on the number of previous autologous transplantations. At 2 years, PFS was 39% (95% CI: 30%-51%) vs 23% (95% CI: 16%-34%) (A vs B, p=0.0006, Log-Rank test). OS in the first two years was comparable in the two groups. Conclusion: VTD resulted in significantly longer TTP and PFS in patients relapsing after ASCT. Analysis of response and safety data are on going and results will be presented at the meeting. Protocol EU-DRACT number: 2005-001628-35.
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The identification of associations between interleukin-28B (IL-28B) variants and the spontaneous clearance of hepatitis C virus (HCV) raises the issues of causality and the net contribution of host genetics to the trait. To estimate more precisely the net effect of IL-28B genetic variation on HCV clearance, we optimized genotyping and compared the host contributions in multiple- and single-source cohorts to control for viral and demographic effects. The analysis included individuals with chronic or spontaneously cleared HCV infections from a multiple-source cohort (n = 389) and a single-source cohort (n = 71). We performed detailed genotyping in the coding region of IL-28B and searched for copy number variations to identify the genetic variant or haplotype carrying the strongest association with viral clearance. This analysis was used to compare the effects of IL-28B variation in the two cohorts. Haplotypes characterized by carriage of the major alleles at IL-28B single-nucleotide polymorphisms (SNPs) were highly overrepresented in individuals with spontaneous clearance versus those with chronic HCV infections (66.1% versus 38.6%, P = 6 × 10(-9) ). The odds ratios for clearance were 2.1 [95% confidence interval (CI) = 1.6-3.0] and 3.9 (95% CI = 1.5-10.2) in the multiple- and single-source cohorts, respectively. Protective haplotypes were in perfect linkage (r(2) = 1.0) with a nonsynonymous coding variant (rs8103142). Copy number variants were not detected. We identified IL-28B haplotypes highly predictive of spontaneous HCV clearance. The high linkage disequilibrium between IL-28B SNPs indicates that association studies need to be complemented by functional experiments to identify single causal variants. The point estimate for the genetic effect was higher in the single-source cohort, which was used to effectively control for viral diversity, sex, and coinfections and, therefore, offered a precise estimate of the net host genetic contribution.
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Contient : 1 « Deul et ennuy... » ; 2 « Beata es, Maria... » ; 3 « Da pacem, Domine... » ; 4 « Da pacem, Domine... » ; 5 « Dulcis amica Dei... » ; 6 « Si sumpsero... » ; 7 « O quam glorifica... » ; 8 « Si dedero... » ; 9 « Mes pensées... » ; 10 « L'eure est venue... » ; 11 « Despitant fortune... » ; 12 « Allez, regretz... » ; 13 « Les grans regretz... » ; 14 « Va t'em, regret... » ; 15 « Qui belles amours a... » ; 16 « Se je vous eslongne... » ; 17 « Helas! de vous certes... » ; 18 « Si vous voulez estre... » ; 19 « N'ay ge pas droit... » ; 20 « Ha! qu'il m'ennuye... » ; 21 « Seul et eureux... » ; 22 « La saison en est... » ; 23 « Penser en vous... » ; 24 « Venez, regretz... » ; 25 « Des fais mondains... » ; 26 « De plus en plus... » ; 27 « Mon souvenir... » ; 28 « A heur le tiens... » ; 29 « Tant ay d'ennuyt... » ; 30 « Comme femme desconfortée... » ; 31 « Si congié prens... » ; 32 « Se mieulx ne vient... » ; 33 « Plus que aultre... » ; 34 « En l'ombre d'ung buyssonnet... » ; 35 « La regrettée... » ; 36 « Je sçay tout... » ; 37 « Fors seullement... » ; 38 « Il n'est vivant... » ; 39 « Vostre beaulté... » ; 40 « Helas ! pourquoy... » ; 41 « Je ne viz oncques... » ; 42 « Royne dez flours... » ; 43 « Faisons boutons... » ; 44 « Fin ch'yo vivo... » ; 45 « Yo so contento... » ; 46 « Que vous ma dame... » ; 47 « La gaye pastoure... » ; 48 « Se j'ay perdu mon amy... » ; 49 « Mon seul plaisir... » ; 50 « Ce moys de may... » ; 51 « Si fayt il vous... » ; 52 « Pastourelle... » ; 53 « Belle, se j'avoye... » ; 54 « Amoureuse m'y fault estre... » ; 55 « Tant bel m'y sont... » ; 56 « Se j'avoye de la soie... » ; 57 « Lourdault... » ; 58 « L'autre jour m'y chevauchoye... » ; 59 « La nuyt s'en va... » ; 60 « Il estoit ung bon homme... » ; 61 « Fors seulement... » ; 62 « Crux triumphans... » ; 63 « Jesus, dignum nomen... » ; 64 « My levay... » ; 65 « Mary de par sa mere... » ; 66 « La cuiller d'or... » ; 67 « Faictes, s'il vous plait... » ; 68 « Ne par Dieu... » ; 69 « Seullette suis... » ; 70 « Mon mari m'a diffamée... » ; 71 « L'amour de moy est enclose... » ; 72 « Mannette m'a mand... » ; 73 « A l'ombre du bissonnet... » ; 74 « Triste et pensif... » ; 75 « Cum summo... »
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Hepatocellular apoptosis plays a major role in the pathogenesis of chronic hepatitis C. It can be measured noninvasively by determining the circulating levels of cytokeratin-18 fragments. We hypothesized that the effect of antiviral therapy on this parameter will be different in patients with a sustained virological response, relapse (REL) and nonresponse (NR). We quantified cytokeratin-18 fragments in plasma of patients participating in the Swiss Hepatitis C cohort, who received antiviral therapy without stopping because of sides effects. A total of 315 patients were included, 183 with a sustained response, 64 with NR and 68 who relapsed. Mean levels ±SD of circulating cytokeratin-18 fragments before therapy were 174 ± 172 U/L for responsders, 188 ± 145 for nonresponders and 269 ± 158 U/L for patients who relapsed. The values were significantly higher in the REL group (ANOVA P < 0.006). A sustained response was associated with a significant improvement of the plasma levels (94 ± 92 U/L, paired test P < 0.000001), whereas there was no improvement in the nonresponder group (183 ± 158 U/L) and in the relapser group (158 ± 148 U/L). There was a weak correlation between alanine aminotransferase (ALT) and cytokeratin-18 fragment levels (r² = 0.35, P < 0.000001) before therapy but not after therapy and none with hepatitis C virus (HCV) viremia. Successful antiviral therapy results in a significant decrease in circulating levels of cytokeratin-18 fragments arguing for a reduction in hepatocellular apoptosis after clearance of the HCV. Baseline cytokeratin-18 fragment levels are higher in relapsers. Correlations with ALT are weak, suggesting that these two tests measure different but related processes.
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Background In angioimmunoblastic T-cell lymphoma, symptoms linked to B-lymphocyte activation are common, and variable numbers of CD20(+) large B-blasts, often infected by Epstein-Barr virus, are found in tumor tissues. We postulated that the disruption of putative B-T interactions and/or depletion of the Epstein-Barr virus reservoir by an anti-CD20 monoclonal antibody (rituximab) could improve the clinical outcome produced by conventional chemotherapy. DESIGN AND METHODS: Twenty-five newly diagnosed patients were treated, in a phase II study, with eight cycles of rituximab + chemotherapy (R-CHOP21). Tumor infiltration, B-blasts and Epstein-Barr virus status in tumor tissue and peripheral blood were fully characterized at diagnosis and were correlated with clinical outcome. RESULTS: A complete response rate of 44% (95% CI, 24% to 65%) was observed. With a median follow-up of 24 months, the 2-year progression-free survival rate was 42% (95% CI, 22% to 61%) and overall survival rate was 62% (95% CI, 40% to 78%). The presence of Epstein-Barr virus DNA in peripheral blood mononuclear cells (14/21 patients) correlated with Epstein-Barr virus score in lymph nodes (P<0.004) and the detection of circulating tumor cells (P=0.0019). Despite peripheral Epstein-Barr virus clearance after treatment, the viral load at diagnosis (>100 copy/μg DNA) was associated with shorter progression-free survival (P=0.06). Conclusions We report here the results of the first clinical trial targeting both the neoplastic T cells and the microenvironment-associated CD20(+) B lymphocytes in angioimmunoblastic T-cell lymphoma, showing no clear benefit of adding rituximab to conventional chemotherapy. A strong relationship, not previously described, between circulating Epstein-Barr virus and circulating tumor cells is highlighted.
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Context: The complexity of genetic testing in Kallmann syndrome (KS) is growing and costly. Thus, it is important to leverage the clinical evaluations of KS patients to prioritize genetic screening. Objective: The objective of the study was to determine which reproductive and nonreproductive phenotypes of KS subjects have implications for specific gene mutations. Subjects: Two hundred nineteen KS patients were studied: 151 with identified rare sequence variants (RSVs) in 8 genes known to cause KS (KAL1, NELF, CHD7, HS6ST1, FGF8/FGFR1, or PROK2/PROKR2) and 68 KS subjects who remain RSV negative for all 8 genes. Main Outcome Measures: Reproductive and nonreproductive phenotypes within each genetic group were measured. Results: Male KS subjects with KAL1 RSVs displayed the most severe reproductive phenotype with testicular volumes (TVs) at presentation of 1.5 ± 0.1 mL vs 3.7 ± 0.3 mL, P < .05 vs all non-KAL1 probands. In both sexes, synkinesia was enriched but not unique to patients with KAL1 RSVs compared with KAL1-negative probands (43% vs 12%; P < .05). Similarly, dental agenesis and digital bone abnormalities were enriched in patients with RSVs in the FGF8/FGFR1 signaling pathway compared with all other gene groups combined (39% vs 4% and 23% vs 0%; P < .05, respectively). Hearing loss marked the probands with CHD7 RSVs (40% vs 13% in non-CHD7 probands; P < .05). Renal agenesis and cleft lip/palate did not emerge as statistically significant phenotypic predictors. Conclusions: Certain clinical features in men and women are highly associated with genetic causes of KS. Synkinesia (KAL1), dental agenesis (FGF8/FGFR1), digital bony abnormalities (FGF8/FGFR1), and hearing loss (CHD7) can be useful for prioritizing genetic screening.