973 resultados para Floral anomaly
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O processo de indução floral da mangueira no Nordeste brasileiro, mediante o uso do déficit hídrico, não tem dado resultado satisfatório, principalmente pelo manejo inadequado da irrigação. O processo transpiratório e a resistência estomática da mangueira refletem a condição hídrica da planta. O monitoramento destes parâmetros fisiológicos na mangueira, durante o período de repouso fisiológico e irrigado, sugere que a indução floral por déficit hídrico não é eficiente devido ao manejo incorreto da irrigação.
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A poda é uma prática cultural de grande importância para o cultivo da pinheira, influenciando no fenômeno da diferenciação floral de maneira a permitir frutificação fora de época, o que constitui uma importante alternativa econômica para as diversas regiões produtoras. O experimento foi conduzido no período de 21 de junho a 15 de novembro de 2000, em condições de clima semi-árido, no município de Tanhaçu -BA, com o objetivo de avaliar a influência que a poda de produção, executada em ramos com diferentes diâmetros, exerce sobre o desenvolvimento vegetativo e reprodutivo da pinheira. Utilizou-se o delineamento experimental em blocos casualizados, com sete repetições e três plantas por parcela. Os tratamentos utilizados foram: T1- ramos grossos (11-14 mm de diâmetro); T2- ramos medianos (7-10 mm de diâmetro); T3- ramos finos (3-6 mm de diâmetro). Constatou-se, nas condições estudadas, que o crescimento dos ramos e vigor das flores foram maiores para os ramos grossos, porém, os diferentes diâmetros não influenciaram na qualidade dos frutos (características físicas e químicas).
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Les anomalies vasculaires constituent des affections rares présentes dès la naissance. Elles sont classées selon leur histologie en tumeurs ou malformations vasculaires. La connaissance de ces anomalies par le médecin de famille est importante, permettant ainsi leur diagnostic, qui repose essentiellement sur la clinique. Les caractéristiques anatomiques et hémodynamiques de l'anomalie sont précisées par l'angiologue grâce à l'écho-Doppler. Cet examen permet un suivi de la lésion et le diagnostic d'éventuelles complications. Un bilan radiologique peut compléter cette évaluation avant discussion multidisciplinaire en vue d'un traitement parfois difficile. Dans cet article, un bref aperçu des malformations vasculaires et de leur prise en charge multidisciplinaire est discuté, en particulier dans le cas du syndrome de Klippel-Trenaunay. Vascular anomalies are rare conditions that could be observed at all ages. They are classified, according to their histology, in vascular tumors or vascular malformations. The general practitioner plays a significant role in diagnosis and patient management, diagnosis being suspected on clinical history. In case of vascular anomaly, ultrasound-Doppler assessment is helpful to characterize morphologic and hemodynamic changes of the lesion and permits to monitor the evolution and to detect complications. Further investigations are often necessary prior to multidisciplinary management. In this article, a brief overview of vascular anomalies, their multidisciplinary management and the exemple of Klippel-Trenaunay syndrome are presented.
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Résumé: Le complexe du Mont Collon (nappe de la Dent Blanche, Austroalpin) est l'un des exemples les mieux préservés du magmatisme mafique permien des Alpes occidentales. Il est composé d'affleurements discontinus et d'une stratification magmatique en son centre (Dents de Bertol) et est composé à 95% de roches mafiques cumulatives (gabbros à olivine et/ou cpx, anorthositiques, troctolites, wehrlites et wehrlites à plagioclase) et localement de quelques gabbros pegmatitiques. Ces faciès sont recoupés par de nombreux filons acides (aphtes, pegmatites quartziques, microgranodiorites et filons anorthositiques) et mafiques tardifs (dikes mélanocrates riches en Fe et Ti). Les calculs thermométriques (équilibre olivine-augite) montrent des températures de 1070-1120 ± 6°C, tandis que le thermomètre amphibole-plagioclase indique une température de 740 ± 40°C à 0.5 GPa pour les amphiboles magmatiques tardives. La geobarométrie sur pyroxène donne des pressions moyennes de 0.3-0.6 GPa, indiquant un emplacement dans la croûte moyenne. De plus, les températures obtenues sur des amphiboles coronitiques indiquent des températures de l'ordre de 700 ± 40°C confirmant que les réactions coronitiques apparaissent dans des conditions subsolidus. Les âges concordants U/Pb sur zircons de 284.2 ± 0.6 et 282.9 ± 0.6 Ma obtenus sur un gabbro pegmatitique et une pegmatitique quartzique, sont interprétés comme des âges de cristallisation. Les datations 40Ar/39Ar sur amphiboles des filons mélanocrates donnent un âge plateau de 260.2 ± 0.7 Ma, qui est probablement très proche de l'âge de cristallisation. Ainsi, cet age 40Ar/39Ar indique un second évènement magmatique au sein du complexe. Les compositions des roches totales en éléments majeurs et traces montrent peu de variations, ainsi que le Mg# (75-80). Les éléments traces enregistrent le caractère cumulatif des roches (anomalie positive en Eu) et révèlent des anomalies négatives systématiques en Nb, Ta, Zr, Hf et Ti dans les faciès basiques. Le manque de corrélation entre éléments majeurs et traces est caractéristique d'un processus de cristallisation in situ impliquant une quantité variable de liquide interstitiel (L) entre les phases cumulus. Les distributions des éléments traces dans les minéraux sont homogènes, indiquant une rééquilibration .subsolidus entre cristaux et liquide interstitiel. Un modèle quantitatif basé sur les équations de cristallisation in situ de Langmuir reproduisent correctement les concentrations en terres rares légères des minéraux cumulatifs montrant la présence de 0 à 35% de liquide interstitiel L pour des degrés de différenciation F de 0 à 45%, par rapport au faciès les moins évolués du complexe. En outre, les valeurs de L sont bien corrélées avec les proportions modales d'amphibole interstitielle et les concentrations en éléments incompatibles des roches (Zr, Nb). Le liquide parental calculé des cumulats du Mont Collon est caractérisé par un enrichissement relatif en terres rares légères et Th, un appauvrissement en terres rares lourdes typique d'une affinité transitionnelle (T-MORB) et une forte anomalie négative en Nb-Ta. Les roches cumulatives montrent des compositions isotopiques en Nd-Sr proches de la terre globale silicatée (BSE), soit 0.6<εNdi<+3.2, 0.7045<87Sr/86Sri<0.7056. Les rapports initiaux en Pb indiquent une source dans le manteau enrichi subcontinental lithosphérique, préalablement contaminé par des sédiments océaniques. Les dikes mélanocrates Fe-Ti sont représentatifs de liquides et ont des spectres de terres rares enrichis, une anomalie positive en Nb-Ta et des εNdi de +7, des 87Sr/86Sri de 0.703 et des rapports initiaux en Pb, similaires à ceux des basaltes d'île océanique, indiquant une source asthénosphérique modérément appauvrie. Ainsi, la fusion partielle du manteau lithosphérique subcontinental est induite par l'amincissement post-orogénique et la remontée de l'asthénosphère. Les filons mélanocrates proviennent, après délamination du manteau lithosphérique, de la fusion de l'asthénosphère. Abstract The early Permian Mont Collon mafic complex (Dent Blanche nappe, Austroalpine nappe system) is one of the best preserved examples of the Permian mafic magmatism in the Western Alps. It is composed of discontinuous exposures and a well-preserved magmatic layering (the Dents de Bertol cliff) crops out in the center part of the complex. It mainly consists of cumulative mafic rocks, which represent 95 vol-% of the mafic complex (ol- and cpx-bearing gabbros and rare anorthositic layers, troctolites, wehrlites and plagioclase-wehrlites) and locally pegmatitic gabbros. All these facies are crosscut by widespread acidic (aplites, quartz-rich pegmatites, microgranodiorites) and late mafic Fe-Ti melanocratic dikes. Olivine-augite thermometric calculations yield a range of 1070-1120 ± 6°C, while amphibole-plagioclase thermometer yields a temperature of 740 ± 40°C at 0.5 GPa. Pyroxene geobarometry points to a pressure of 0.3-0.6 GPa, indicating a middle crustal level of emplacement. Moreover, temperature calculations on the Mont Conon coronitic amphiboles indicate temperatures of 700 ± 40°C, close to those calculated for magmatic amphiboles. These temperatures confirm that coronitic reactions occurred at subsolidus conditions. ID-TIMS U/Pb zircon ages of 284.2 ± 0.6 and 282.9 ± 0.6 Ma obtained on a pegmatitic gabbro and a quartz-pegmatitic dike, respectively, were interpreted as the crystallization ages of these rocks. 40Ar/39Ar dating on amphiboles from Fe-Ti melanocratic dikes yields a plateau age of 260.2 ± 0.7 Ma, which is probably very close to the crystallization age. Consequently, this 40Ar/P39Ar age indicates a second magmatic event. Whole-rock major- and trace-element compositions show little variation across the whole intrusion and Mg-number stays within a narrow range (75-80). Trace-element concentrations record the cumulative nature of the rocks (e.g. positive Eu anomaly) and reveal systematic Nb, Ta, Zr, Hf and Ti negative anomalies for all basic facies. The lack of correlation between major and trace elements is characteristic of an in situ crystallization process involving variable amounts of interstitial liquid (L) trapped between the cumulus mineral phases. LA-ICPMS measurements show that trace-element distributions in minerals are homogeneous, pointing to subsolidus re-equilibration between crystals and interstitial melts. A quantitative modeling based on Langmuir's in situ crystallization equation successfully reproduced the Rare Earth Element (REE) concentrations in cumulitic minerals. The calculated amounts of interstitial liquid L vary between 0 and 35% for degrees of differentiation F of 0 to 45%, relative to the least evolved facies of the intrusion. Furthermore, L values are well correlated with the modal proportions of interstitial amphibole and whole-rock incompatible trace-element concentrations (e.g. Zr, Nb) of the tested samples. The calculated parental melt of the Mont Collon cumulates is characterized by a relative enrichment in Light REE and Th, a depletion in Heavy REE, typical of a transitional affinity (T-MORB), and strong negative Nb-Ta anomaly. Cumulative rocks display Nd-Sr isotopic compositions close to the BSE (-0.6 < εNdi < +3.2, 0.7045 < 87Sr/86Sri < 0.7056). Initial Pb ratios point to an origin from the melting of an enriched subcontinental lithospheric mantle source, previously contaminated at the source by oceanic sediments. The contrasted alkaline Fe-Ti melanocratic dikes are representative of liquids. They display enriched fractionated REE patterns, a positive Nb-Ta anomaly and εNdi of +7, 87Sr/86Sri of 0.703 and initial Pb ratios, all reminiscent of Ocean Island Basalt-type rocks, pointing to a moderately
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Résumé: Dans le contexte d'un climat de plus en plus chaud, la localisation du pergélisol dans les terrains sédimentaires à forte déclivité et l'évaluation des mouvements de terrain qui y ont cours s'avèrent primordiales. S'insérant dans cette problématique, ce travail de thèse s'articule autour de deux axes de recherche différents. D'un point de vue statique, cette recherche propose une étude de la distribution et des caractéristiques du pergélisol dans les éboulis de la zone périglaciaire alpine. D'un point de vue dynamique, une analyse de l'influence des caractéristiques du pergélisol (teneur en glace, température du pergélisol, etc.) et des variations des températures de l'air et du sol sur les vitesses de fluage des corps sédimentaires gelés est effectuée. Afin de répondre à ce double objectif, l'approche "terrain" a été privilégiée. Pour déterminer la répartition et les caractéristiques du pergélisol, les méthodes traditionnelles de prospection du pergélisol ont été utilisées, à savoir la mesure de la température du sol à la base du manteau neigeux (BTS), la mesure de la température du sol en continu ainsi que la méthode géoélectrique. Les mouvements de terrain ont pour leur part été mesurés à l'aide d'un GPS différentiel. L'étude de la distribution du pergélisol a été effectuée dans une quinzaine d'éboulis situés dans les régions du Mont Gelé (Verbier-Nendaz) et d'Arolla principalement. Dans la plupart des cas, un pergélisol a pu être mis en évidence dans la partie inférieure des accumulations sédimentaires, alors que la partie médiane des éboulis n'est, le plus souvent, pas gelée. Si cette absence de pergélisol se prolonge parfois dans les portions sommitales des pentes, les mesures réalisées montrent que dans d'autres cas des sédiments gelés y sont à nouveau présents. Les résistivités électriques mesurées dans les portions gelées des éboulis étudiés sont dans la plupart des cas nettement inférieures à celles mesurées sur les glaciers rocheux. Des études préalables ont montré que des circulations d'air internes sont responsables de l'anomalie thermique négative et, lorsqu'il existe, du pergélisol que l'on trouve dans la partie inférieure d'éboulis situés plus de 1000 m plus bas que la limite inférieure régionale du pergélisol discontinu. L'étude de quatre sites de basse altitude (1400-1900 m), et notamment l'équipement du site de Dreveneuse (Préalpes Valaisannes) avec deux forages, des capteurs de température de surface et un anémomètre a permis de vérifier et de préciser le mécanisme de ventilation actif au sein des éboulis froids de basse altitude. Ce mécanisme fonctionne de la manière suivante: en hiver, l'air contenu dans l'éboulis, plus chaud et plus léger que l'air extérieur, monte à l'intérieur de l'accumulation sédimentaire et est expulsé dans ses parties sommitales. Cet effet de cheminée provoque une aspiration d'air froid à l'intérieur de la partie inférieure de l'éboulis, causant ainsi un sur-refroidissement marqué du terrain. En été, le mécanisme s'inverse, l'éboulis étant plus froid que l'air environnant. De l'air froid est alors expulsé au bas de la pente. Une ventilation ascendante hivernale a pu être mise en évidence dans certains des éboulis de haute altitude étudiés. Elle est probablement en grande partie responsable de la configuration particulière des zones gelées observées. Même si l'existence d'un effet de cheminée n'a pu être démontrée dans tous les cas, du fait notamment de la glace interstitielle qui entrave le cheminement de l'air, des indices laissant présager son possible fonctionnement existent dans la quasi totalité des éboulis étudiés. L'absence de pergélisol à des altitudes qui lui sont favorables pourrait en tous les cas s'expliquer par un réchauffement du terrain lié à des expulsions d'air relativement chaud. L'étude des mouvements de terrain a été effectuée sur une dizaine de sites, principalement sur des glaciers rocheux, mais également sur une moraine de poussée et - II - Résumé ? abstract quelques éboulis. Plusieurs glaciers rocheux présentent des formes de déstabilisation récente (niches d'arrachement, blocs basculés, apparition de la matrice fine à la surface, etc.), ce qui témoigne d'une récente accélération des vitesses de déplacement. Ce phénomène, qui semble général à l'échelle alpine, est probablement à mettre sur le compte du réchauffement du pergélisol depuis une vingtaine d'années. Les vitesses mesurées sur ces formations sont souvent plus élevées que les valeurs habituellement proposées dans la littérature. On note par ailleurs une forte variabilité inter-annuelle des vitesses, qui semblent dépendre de la variation de la température moyenne annuelle de surface. Abstract: In the context of a warmer climate, the localisation of permafrost in steep sedimentary terrain and the measurement of terrain movements that occur in these areas is of great importance. With respect to these problems, this PhD thesis follows two different research axes. From a static point of view, the research presents a study of the permafrost distribution and characteristics in the talus slopes of the alpine periglacial belt. From a dynamic point of view, an analysis of the influence of the permafrost characteristics (ice content, permafrost temperature, etc.) and air and soil temperature variations on the creep velocities of frozen sedimentary bodies is carried out. In order to attain this double objective, the "field" approach was favoured. To determine the distribution and the characteristics of permafrost, the traditional methods of permafrost prospecting were used, i.e. ground surface temperature measurements at the base of the snow cover (BTS), year-round ground temperature measurements and DC-resistivity prospecting. The terrain movements were measured using a differential GPS. The permafrost distribution study was carried out on 15 talus slopes located mainly in the Mont Gelé (Verbier-Nendaz) and Arolla areas (Swiss Alps). In most cases, permafrost was found in the lower part of the talus slope, whereas the medium part was free of ice. In some cases, the upper part of the talus is also free of permafrost, whereas in other cases permafrost is present. Electrical resistivities measured in the frozen parts of the studied talus are in most cases clearly lower than those measured on rock glaciers. Former studies have shown that internal air circulation is responsible for the negative thermal anomaly and, when it exists, the permafrost present in the lower part of talus slopes located more than 1000 m below the regional lower limit of discontinuous permafrost. The study of four low-altitude talus slopes (1400-1900 m), and notably the equipment of Dreveneuse field site (Valais Prealps) with two boreholes, surface temperature sensors and an anemometer permitted to verify and to detail the ventilation mechanism active in low altitude talus slopes. This mechanism works in the following way: in winter, the air contained in the block accumulation is warmer and lighter than the surrounding air and therefore moves upward in the talus and is expelled in its upper part. This chimney effect induces an aspiration of cold air in the interior of the lower part of talus, that causes a strong overcooling of the ground. In summer, the mechanism is reversed because the talus slope is colder than the surrounding air. Cold air is then expelled in the lower part of the slope. Evidence of ascending ventilation in wintertime could also be found in some of the studied high-altitude talus slopes. It is probably mainly responsible for the particular configuration of the observed frozen areas. Even if the existence of a chimney effect could not be demonstrated in all cases, notably because of interstitial ice that obstructs Résumé ? abstract - III - the air circulation, indices of its presence exist in nearly all the studied talus. The absence of permafrost at altitudes favourable to its presence could be explained, for example, by the terrain warming caused by expulsion of relatively warm air. Terrain movements were measured at about ten sites, mainly on rock glaciers, but also on a push moraine and some talus slopes. Field observations reveal that many rock glaciers display recent destabilization features (landslide scars, tilted blocks, presence of fine grained sediments at the surface, etc.) that indicate a probable recent acceleration of the creep velocities. This phenomenon, which seems to be widespread at the alpine scale, is probably linked to the permafrost warming during the last decades. The measured velocities are often higher than values usually proposed in the literature. In addition, strong inter-annual variations of the velocities were observed, which seems to depend on the mean annual ground temperature variations.
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Foram determinados o acúmulo de matérias fresca e seca e dos nutrientes N, P, K, Ca, Mg, Zn, Fe e Mn em bananas 'Mysore', desde a antese floral da primeira penca feminina até o completo amadurecimento. O desenvolvimento dos frutos foi lento até o 42º dia após a antese, acelerando-se posteriormente. A fase de acúmulo máximo de minerais coincidiu com a de acúmulo máximo de matéria fresca, ou seja, 112 dias após a antese. A ordem de exportação de macronutrientes pelos frutos, em seu estádio de máximo acúmulo de matéria fresca, expressa em kg t-1 de fruto fresco, foi 3,61 para K; 0,98 para N; 0,27 para Mg; 0,19 para P e 0,12 para Ca. Quanto aos micronutrientes, a ordem de exportação, expressa em g t-1 de fruto fresco, foi 7,92 para Mn; 5,99 para Fe e 2,92 para Zn. Em frutos plenamente desenvolvidos, à exceção de Ca, Mn e Zn, todos os nutrientes acumularam-se mais na polpa do que na casca.
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A descoberta do fungo Colletotrichum gloeosporioides parasitando cochonilha em pomares cítricos levantou a possibilidade de sua utilização no controle de Orthezia praelonga. O controle biológico, porém, deve ser feito com a certeza de que o microrganismo utilizado não ocasionará doenças em outras culturas. Este trabalho teve por objetivo avaliar e comparar o potencial fitopatogênico dos isolados de C. gloeosporioides patogênicos a O. praelonga, com outros isolados de C. gloeosporioides, C. acutatum e C. lagenarium, responsáveis pelas doenças de pós-colheita e podridão floral, em citros, e da antracnose, em abobrinha, respectivamente. Os fungos foram inoculados em banana, café, maçã, mamão, pêssego e folhas de abobrinha, com e sem ferimentos. Os pêssegos foram suscetíveis a todos os isolados testados, nas duas metodologias utilizadas. As maçãs e as folhas de abobrinha, quando lesadas, também mostraram suscetibilidade. A banana, o café e o mamão não foram suscetíveis em nenhum dos métodos de inoculação.
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O objetivo do presente estudo foi avaliar a influência exercida por diferentes comprimentos de ramos podados no crescimento vegetativo e reprodutivo da pinheira. O experimento foi conduzido no período de 21-02 a 1º-07-2003, no município de Anagé, região de clima semi-árido do Estado da Bahia. O delineamento experimental foi em blocos casualisados, com seis tratamentos, quatro repetições e três plantas úteis por parcela. Os tratamentos utilizados foram: T1- ramos podados com 5 cm de comprimento; T2- ramos podados com 10 cm de comprimento; T3- ramos podados com 15 cm de comprimento; T4- ramos podados com 20 cm de comprimento; T5- ramos podados com 25 cm de comprimento; T6- ramos podados com 30 cm de comprimento. Constatou-se, nas condições estudadas, que ramos podados com menores comprimentos tendem a reduzir a emissão de flores e a aumentar o vigor de brotações e tamanho de frutos.
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O retardador de crescimento paclobutrazol (PBZ) e o anelamento dos ramos foram aplicados em mudas de tangerineira satsuma 'Owari' sobre porta-enxerto de citrange 'Carrizo', cultivadas em vaso e mantidas em dois ambientes (câmaras de crescimento com temperatura diurna de 15(0)C e noturna de 8(0)C e com temperatura diurna de 26(0)C e noturna de 20(0)C). Houve aumento significativo no florescimento da tangerineira 'Satsuma', devido ao regime de baixas temperaturas (15/8ºC); entretanto, o PBZ não foi efetivo na indução do florescimento da tangerineira 'Satsuma' em ambas as condições de temperatura (15/8ºC e 26/20ºC). O florescimento aumentou quando as plantas foram aneladas, principalmente nas condições de temperaturas baixas (15/8ºC). A aplicação de paclobutrazol e o anelamento induziram variações nas concentrações de carboidratos nas folhas e raízes das plantas; entretanto, não foi possível estabelecer relação de causa-efeito entre florescimento e os níveis de carboidratos na planta.
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As pereiras européias e asiáticas, cultivadas sob condições de inverno ameno, como na região Sul do Brasil, apresentam problemas de adaptação. Durante o inverno, as oscilações térmicas e o baixo acúmulo de frio têm sido referidos por alguns autores como causas do abortamento de gemas florais. O objetivo deste trabalho foi determinar o balanço de carboidratos em tecidos de gemas florais de duas cultivares de pereiras: Kieffer (P. communis x P. pyrifolia) e Housui (P. pyrifolia). Os tecidos de gemas florais e da base de gemas foram coletados mensalmente, de fevereiro a setembro de 2002, de plantas de pomar da Embrapa Clima Temperado, Pelotas-RS, coordenadas 32°51' S e 52°21'O, localizado a 230 metros de altitude. O material vegetal foi analisado separadamente quanto às concentrações de açúcares solúveis (por cromatografia gasosa) e porcentagens de amido (por espectrofotometria). Em ambas as cultivares, observou-se que a base da gema é um importante local de reserva. Ocorreram significativos aumentos de açúcares solúveis nas gemas das duas cultivares na fase que antecede a brotação. Em setembro, os açúcares solúveis totais na matéria seca (MS), nas gemas florais da cv. Housui (38,33 mg g-1), foram menores do que os observados nos tecidos da cv. Kieffer (50,39 mg g-1), cultivar melhor adaptada às condições climáticas. O açúcar-álcool sorbitol, seguido da sacarose, foi o açúcar solúvel mais abundante nos tecidos das duas cultivares.
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O objetivo deste trabalho foi determinar os níveis de cálcio (Ca) e boro (B) em gemas florais de pereiras em função do local, cultivar, época e sua distribuição nas gemas. Os experimentos foram conduzidos em duas regiões edafoclimática diferentes no Sul do Brasil: em Pelotas-RS, no Centro de Pesquisa Embrapa Clima Temperado, e em São Joaquim-SC, na Estação Experimental da Empresa de Pesquisa Agropecuária e Extensão Rural de Santa Catarina, durante o outono e inverno de 2000 e 2001. Foram executados três ensaios, envolvendo as cultivares Nijisseiki (Século XX), Kousui e Kieffer. As análises quantitativas de cálcio e boro foram realizadas pelo método adaptado por Freire (1998). As análises químicas possibilitaram verificar que os níveis de cálcio e boro permaneceram praticamente inalterados durante o inverno, nas gemas florais das cultivares Kieffer e Nijisseiki, em Pelotas-RS. A cultivar Nijisseiki possui maior teor de boro nas gemas florais do que a cultivar Kieffer, de melhor adaptação. Do início do outono até o início do inverno, há um incremento nos teores de boro em ambos os locais e cultivares. Na cultivar Nijisseiki, os maiores teores de boro foram detectados na porção basal e mediana da gema floral, enquanto os de cálcio ocorreram na porção basal.
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Differences amongst wheat cultivars in the rate of reproductive development are largely dependent on differences in their sensitivity to photoperiod and vernalization. However, when these responses are accounted for, by growing vernalized seedlings under long photoperiods, cultivars can still differ markedly in time to ear emergence. Control of rate of development by this ‘third factor’ has been poorly understood and is variously referred to as intrinsic earliness, earliness in the narrow sense, basic vegetative period, earliness per se, and basic development rate. Certain assumptions are made in the concept of intrinsic earliness. They are that differences in intrinsic earliness (i) are independent of the responses of the cultivars to photoperiod and vernalization, (ii) apply only to the length of the vegetative period up to floral initiation (as suggested by several authors), (iii) are maintained under different temperatures, measured either in days or degree days. As a consequence of this, the ranking of cultivars (from intrinsically early to intrinsically late) must be maintained at different temperatures. This paper, by the re-analysis of published data, examines the extent to which these assumptions can be supported. Although it is shown that intrinsic earliness operates independently of photoperiod and vernalization responses, the other assumptions were not supported. The differences amongst genotypes in time to ear emergence, grown under above-optimum vernalization and photoperiod (that is when the response to these factors is saturated), were not exclusively due to parallel differences in the length of the vegetative phase, and the length of the reproductive phase was independent of that of the vegetative phase. Thus, it would be possible to change the relative allocation of time to vegetative and reproductive periods with no change in the full period to ear emergence. The differences in intrinsic earliness between cultivars were modified by the temperature regime under which they were grown, i.e. the difference between cultivars (both considering the full phase to ear emergence or some sub-phases) was not a constant amount of time or thermal time at different temperatures. In addition, in some instances genotypes changed their ranking for ‘intrinsic earliness’ depending on the temperature regime. This was interpreted to mean that while all genotypes are sensitive to temperature they differ amongst themselves in the extent of that sensitivity. Therefore, ‘intrinsic earliness’ should not be considered as a static genotypic characteristic, but the result of the interaction between the genotype and temperature. Intrinsic earliness is therefore likely to be related to temperature sensitivity. Some implications of these conclusions for plant breeding and crop simulation modelling are discussed.
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Foram realizados dois experimentos com plantas de tangerineira 'Ponkan'e da limeira ácida 'Tahiti' enxertadas sobre o limoeiro 'Cravo', e cultivadas em vasos de cinco litros. O estresse hídrico foi aplicado em plantas conduzidas em câmara de crescimento, sob temperatura controlada (25º C dia/ 20º C noite) e fotoperíodo de 16 horas de luz, com fluxo de fótons fotossintético (FFF) de aproximadamente 170 µmol m-2 s-1. E em plantas conduzidas em casa de vegetação, com temperaturas médias variando de 9,9º C (mínima) a 29,0º C (máxima) e FFF de 427 a 803 µmol m-2 s-1. O estresse hídrico não induziu o florescimento da tangerineira 'Ponkan' e da limeira ácida 'Tahiti' nas condições da câmara de crescimento. No entanto, favoreceu o aumento do florescimento na tangerineira 'Poncã' e na limeira ácida 'Tahiti', nas condições da casa de vegetação. O potencial hídrico foliar reduziu com o estresse hídrico imposto às plantas de tangerineira 'Ponkan' e a limeira ácida 'Tahiti', entretanto foi variável para as cultivares. Os maiores valores foram observados para a limeira 'Tahiti'.