990 resultados para Deleuze, Gilles, 1925 1995.


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Tesis (Doctor en Ciencias sociales con orientación en desarrollo sustentable) UANL, 2007

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Le thème de la mobilisation totale est au cÅur de la réflexion actuelle sur le renouvellement des modes de subjectivation et des manières dâêtre-ensemble. En arrière-plan, on trouve la question de la compatibilité entre les processus vitaux humains et la modernité, bref, la question de la viabilité du processus de civilisation occidental. Au cÅur du diagnostic: lâinsuffisance radicale de la fiction de lâhomo oeconomicus, modèle de lâindividu privé sans liens sociaux et souffrant dâun déficit de sphère. La « communauté qui vient » (Agamben), la « politisation de lâexistence » (Lopez Petit) et la création de « sphères régénérées » (Sloterdijk) nomment autant de tentatives pour penser le dépassement de la forme désormais impropre et insensée de lâindividualité. Mais comment réaliser ce dépassement? Ou de manière plus précise : quelle traversée pour amener lâindividu privé à opérer ce dépassement? Ce doctorat sâorganise autour dâune urgence focale : [E]scape. Ce concept suggère un horizon de fuite immanent : il signe une sortie hors de lâindividu privé et trace un plan dâidéalité permettant dâeffectuer cette sortie. Concrètement, ce concept commande la production dâune série dâanalyses théoriques et artistiques portant sur des penseurs contemporains tels que Foucault, Deleuze ou Sloterdijk, lâalbum Kid A de Radiohead ainsi que sur le cinéma et lâart contemporain chinois (Jia Zhangke, Wong Kar-Wai, Wong Xiaoshuai, Lou Ye, Shu Yong, Huang Rui, Zhang Huan, Zhu Yu, etc.). Ces analyses sont conçues comme autant de passages ou itinéraires de désubjectivation. Elles posent toutes, dâune manière ou dâune autre, le problème du commun et de lâêtre-ensemble, sur le seuil des non-lieux du capitalisme global. Ces itinéraires se veulent liminaux, câest-à-dire quâils se constituent comme passages sur la ligne dâun dehors et impliquent une mise en jeu éthopoïétique. Sur le plan conceptuel, ils marquent résolument une distance avec le paradigme de la politique identitaire et la critique des représentations interculturelles.

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Ayant réalisé neuf longs-métrages entre 1988 et 2007, aussi que plusieurs campagnes publicitaires, vidéo-clips, courts-métrages et projets collectifs, Wong Kar-wai est un des réalisateurs contemporains les plus importants actuellement. Issu de l'industrie cinématographique fortement commerciale de Hong Kong, Wong est parvenu à attirer l'attention du circuit international des festivals de cinéma avec son style visuel unique et son récit fragmenté. Considéré par plusieurs critiques comme le poète de la recherche dâidentité de Hong Kong après 1997, Wong Kar-wai défie toutes les tentatives de catégorisation. Lâétude qui se poursuivit ici a donc pour objet essentiel de fournir une analyse attentive et complète de son oeuvre, tout en se concentrant sur les traits stylistiques qui donnent à ses films une unité. Ces caractéristiques correspondent à une certaine façon de raconter des histoires, de composer des personnages et des récits, de manipuler le temps et d'utiliser des ressources techniques de sorte que ses films offrent une identité cohérente. L'objectif est d'analyser les différents composants de ses images pour découvrir comment ses films communiquent les uns avec les autres afin de créer une identité unique. Pour atteindre cet objectif, je pose comme hypothèse de travail que le cinéma de Wong est marqué par une structure dualiste qui permet à ses films de présenter des qualités contradictoires simultanément. La plupart de mes arguments se concentrent sur le travail du philosophe français Gilles Deleuze, qui a proposé une théorie du cinéma divisé entre lâimage-mouvement et lâimage-temps. Je considère que sa théorie fournit un cadre valide sur lequel les films de Wong peuvent être projetés. Tandis que ma recherche se concentre sur lâinterprétation textuelle des films, je profiterais également dâune analyse comparative.

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à partir de lâétude des concepts de la ritournelle et du galop chez Gilles Deleuze et Félix Guattari, le présent mémoire explore les fonctions temporelles de la musique dans le cinéma moderne. Ce concept de temporalité sera déplié en trois temps. En premier lieu, une relecture de la musique romantique permettra dâen développer les différentes articulations temporelles. Par la figure du compositeur incompris, reclus et exilé ainsi que par lâutilisation du fragment, la musique romantique se donne des personnages qui habitent la terre et fondent des territoires. Ensuite, parce quâil sâagit de comprendre les mécanismes de la musique au cinéma, il est primordial dâexaminer les conclusions des différentes théories sur le sujet. De ce parcours théorique, il faudra comprendre que les fonctions classiques attribuées à la musique de cinéma ne réussissent pas complètement à expliquer les mécanismes de la musique dans le cinéma moderne. En fait, câest quâune nouvelle problématique motive les images. Ces films, tout comme la musique romantique, font voir les mouvements du temps. Finalement, câest par la ritournelle et le galop, aux croisements des concepts de la musique romantique et du cinéma moderne, quâune musicalité filmique fait voir un nouveau temps dans lâimage.

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La version intégrale de ce mémoire est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de lâUniversité de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU).

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Lâarchitecture au sens strict, qui renvoie à la construction, nâest pas indépendante des déterminations mentales, des images et des valeurs esthétiques, comme références, amenées par divers champs dâintérêt au problème du sens. Elle est, de par ce fait, un objet dâinterprétation. Ce quâon appelle communément « signification architecturale », est un univers vaste dans lequel sont constellées des constructions hypothétiques. En ce qui nous concerne, il sâagit non seulement de mouler la signification architecturale selon un cadre et des matières spécifiques de référence, mais aussi, de voir de près la relation de cette question avec lâattitude de perception de lâhomme. Dans lâétude de la signification architecturale, on ne peut donc se détacher du problème de la perception. Au fond, notre travail montrera leur interaction, les moyens de sa mise en Åuvre et ce qui est en jeu selon les pratiques théoriques qui la commandent. En posant la question de lâorigine de lâacte de perception, qui nâest ni un simple acte de voir, ni un acte contemplatif, mais une forme dâinteraction active avec la forme architecturale ou la forme dâart en général, on trouve dans les écrits de lâhistorien Christian Norberg-Schulz deux types de travaux, et donc deux types de réponses dont nous pouvons dâemblée souligner le caractère antinomique lâune par rapport à lâautre. Câest quâil traite, dans le premier livre quâil a écrit, Intentions in architecture (1962), connu dans sa version française sous le titre Système logique de lâarchitecture (1974, ci-après SLA), de lâexpression architecturale et des modes de vie en société comme un continuum, défendant ainsi une approche culturelle de la question en jeu : la signification architecturale et ses temporalités. SLA désigne et représente un système théorique influencé, à bien des égards, par les travaux de lâépistémologie de Jean Piaget et par les contributions de la sémiotique au développement de lâétude de la signification architecturale. Le second type de réponse sur lâorigine de lâacte de perception que formule Norberg-Schulz, basé sur sur les réflexions du philosophe Martin Heidegger, se rapporte à un terrain dâétude qui se situe à la dérive de la revendication du fondement social et culturel du langage architectural. Il lie, plus précisément, lâétude de la signification à lâétude de lâêtre. Reconnaissant ainsi la primauté, voire la prééminence, dâune recherche ontologique, qui consiste à soutenir les questionnements sur lâêtre en tant quâêtre, il devrait amener avec régularité, à partir de son livre Existence, Space and Architecture (1971), des questions sur le fondement universel et historique de lâexpression architecturale. Aux deux mouvements théoriques caractéristiques de ses écrits correspond le mouvement que prend la construction de notre thèse que nous séparons en deux parties. La première partie sera ainsi consacrée à lâétude de SLA avec lâobjectif de déceler les ambiguïtés qui entourent le cadre de son élaboration et à montrer les types de legs que son auteur laisse à la théorie architecturale. Notre étude va montrer lâaspect controversé de ce livre, lié aux influences quâexerce la pragmatique sur lâétude de la signification. Il sâagit dans cette première partie de présenter les modèles théoriques dont il débat et de les mettre en relation avec les différentes échelles qui y sont proposées pour lâétude du langage architectural, notamment avec lâéchelle sociale. Celle-ci implique lâétude de la fonctionnalité de lâarchitecture et des moyens de recherche sur la typologie de la forme architecturale et sur sa schématisation. Notre approche critique de cet ouvrage prend le point de vue de la recherche historique chez Manfredo Tafuri. La seconde partie de notre thèse porte, elle, sur les fondements de lâintérêt chez Norberg-Schulz à partager avec Heidegger la question de lâÊtre qui contribuent à fonder une forme dâinvestigation existentielle sur la signification architecturale et du problème de la perception . Lâéclairage de ces fondements exige, toutefois, de montrer lâenracinement de la question de lâÊtre dans lâessence de la pratique herméneutique chez Heidegger, mais aussi chez H. G. Gadamer, dont se réclame aussi directement Norberg-Schulz, et de dévoiler, par conséquent, la primauté établie de lâimage comme champ permettant dâinstaurer la question de lâÊtre au sein de la recherche architecturale. Sa recherche conséquente sur des valeurs esthétiques transculturelles a ainsi permis de réduire les échelles dâétude de la signification à lâunique échelle dâétude de lâÊtre. Câest en empruntant cette direction que Norberg-Schulz constitue, au fond, suivant Heidegger, une approche qui a pour tâche dâaborder lâ« habiter » et le « bâtir » à titre de solutions au problème existentiel de lâÊtre. Notre étude révèle, cependant, une interaction entre la question de lâÊtre et la critique de la technique moderne par laquelle lâarchitecture est directement concernée, centrée sur son attrait le plus marquant : la reproductibilité des formes. Entre les écrits de Norberg-Schulz et les analyses spécifiques de Heidegger sur le problème de lâart, il existe un contexte de rupture avec le langage de la théorie quâil sâagit pour nous de dégager et de ramener aux exigences du travail herméneutique, une approche que nous avons nous-même adoptée. Notre méthode est donc essentiellement qualitative. Elle sâinspire notamment des méthodes dâinterprétation, de là aussi notre recours à un corpus constitué des travaux de Gilles Deleuze et de Jacques Derrida ainsi quâà dâautres travaux associés à ce type dâanalyse. Notre recherche demeure cependant attentive à des questions dâordre épistémologique concernant la relation entre la discipline architecturale et les sciences qui se prêtent à lâétude du langage architectural. Notre thèse propose non seulement une compréhension approfondie des réflexions de Norberg-Schulz, mais aussi une démonstration de lâincompatibilité de la phénoménologie de Heidegger et des sciences du langage, notamment la sémiotique.

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Notre thèse sâattache à définir certains rapports possibles entre le cinéma et le politique ou, plus précisément, entre le cinéma et le concept pratique de résistance. Il existe une théorie de la résistance, soit sous la forme dâune cartographie du pouvoir moléculaire (M. Foucault), soit sous la forme dâune analytique de la résistance (F. Proust). Il existe également une théorie de la résistance cinématographique, soit comme sociologie ou histoire de lâaction politique par le cinéma (cinéma de la Résistance, cinéma militant), soit comme une sémiotique des formes et des genres marginaux (cinéma expérimental, cinéma des avant-gardes). Suivant une direction tracée par Serge Daney et Gilles Deleuze, nous croyons quâil faut poser autrement le problème : si « le politique est affaire de perception », alors la résistance est dâabord une invention de visibilité et dâaudibilité. En ce sens, la résistance cinématographique est une exploration de ce que peut le cinéma, tant dâun point de vue esthétique, éthique, que politique. Dâoù notre hypothèse, qui est double : dâune part, cette invention de visibilité, cette création de potentiel nâest peut-être possible quâen passant par un ré-enchaînement anachronique dâune déformation plastique, narrative et audiovisuelle à une autre, câest-à-dire dâune survivance à une autre. Dâautre part, nous croyons quâune forme esthétique est en soi matière politique et manière de politique, et quâelle implique également une éthique venant brasser notre propre subjectivité (de cinéaste, de spectateur, de citoyen, etc.). Or, pour saisir cette invention de visibilité inhérente au cinéma, il faut en passer par une généalogie de certaines alliances théoriques et pratiques parmi les plus importantes. Le cas de trois machines autopoïétiques nous intéressera tout particulièrement, trois constellations dâÅuvres et de pensées qui débordent le nom propre des « Auteurs » convoqués : Eisenstein et les résistances méthodologiques ; Syberberg et les résistances plastiques ou audiovisuelles (à travers la seule figure du hors-champ) ; Welles et les résistances esth/éthico-politiques. Ainsi, une telle chaîne généalogique nous permettra de mieux mesurer lâefficace de ces résistances, mais sans désir de systématisation ni constitution dâune Théorie de la résistance cinématographique.