975 resultados para Comprehensive economic and financial analysis
Resumo:
We describe one of the research lines of the Grup de Teoria de Funcions de la UAB UB, which deals with sampling and interpolation problems in signal analysis and their connections with complex function theory.
Resumo:
BACKGROUND: Results from cohort studies evaluating the severity of respiratory viral co-infections are conflicting. We conducted a systematic review and meta-analysis to assess the clinical severity of viral co-infections as compared to single viral respiratory infections. METHODS: We searched electronic databases and other sources for studies published up to January 28, 2013. We included observational studies on inpatients with respiratory illnesses comparing the clinical severity of viral co-infections to single viral infections as detected by molecular assays. The primary outcome reflecting clinical disease severity was length of hospital stay (LOS). A random-effects model was used to conduct the meta-analyses. RESULTS: Twenty-one studies involving 4,280 patients were included. The overall quality of evidence applying the GRADE approach ranged from moderate for oxygen requirements to low for all other outcomes. No significant differences in length of hospital stay (LOS) (mean difference (MD) -0.20 days, 95% CI -0.94, 0.53, p = 0.59), or mortality (RR 2.44, 95% CI 0.86, 6.91, p = 0.09) were documented in subjects with viral co-infections compared to those with a single viral infection. There was no evidence for differences in effects across age subgroups in post hoc analyses with the exception of the higher mortality in preschool children (RR 9.82, 95% CI 3.09, 31.20, p<0.001) with viral co-infection as compared to other age groups (I2 for subgroup analysis 64%, p = 0.04). CONCLUSIONS: No differences in clinical disease severity between viral co-infections and single respiratory infections were documented. The suggested increased risk of mortality observed amongst children with viral co-infections requires further investigation.
Resumo:
MicroRNAs (miRs) are involved in the pathogenesis of several neoplasms; however, there are no data on their expression patterns and possible roles in adrenocortical tumors. Our objective was to study adrenocortical tumors by an integrative bioinformatics analysis involving miR and transcriptomics profiling, pathway analysis, and a novel, tissue-specific miR target prediction approach. Thirty-six tissue samples including normal adrenocortical tissues, benign adenomas, and adrenocortical carcinomas (ACC) were studied by simultaneous miR and mRNA profiling. A novel data-processing software was used to identify all predicted miR-mRNA interactions retrieved from PicTar, TargetScan, and miRBase. Tissue-specific target prediction was achieved by filtering out mRNAs with undetectable expression and searching for mRNA targets with inverse expression alterations as their regulatory miRs. Target sets and significant microarray data were subjected to Ingenuity Pathway Analysis. Six miRs with significantly different expression were found. miR-184 and miR-503 showed significantly higher, whereas miR-511 and miR-214 showed significantly lower expression in ACCs than in other groups. Expression of miR-210 was significantly lower in cortisol-secreting adenomas than in ACCs. By calculating the difference between dCT(miR-511) and dCT(miR-503) (delta cycle threshold), ACCs could be distinguished from benign adenomas with high sensitivity and specificity. Pathway analysis revealed the possible involvement of G2/M checkpoint damage in ACC pathogenesis. To our knowledge, this is the first report describing miR expression patterns and pathway analysis in sporadic adrenocortical tumors. miR biomarkers may be helpful for the diagnosis of adrenocortical malignancy. This tissue-specific target prediction approach may be used in other tumors too.
Resumo:
Résumé Les rongeurs utilisent leurs moustaches (vibrisses) pour explorer le milieu environnant. Chaque moustache est mue par un système des muscles. Les récepteurs situés à sa base transmettent les informations au système nerveux central. La transmission vers l'écorce se fait via trois neurones de relais qui se trouvent au niveau du ganglion trigéminé, du tronc cérébral et du thalamus. La représentation corticale d'une vibrisse est une concentration des axones thalamo-corticaux (ATC) autour desquelles s'organisent leurs cibles, les cellules de la couche IV. La structure peut être identifiée histologiquement en coupes tangentielles et porte le nom de « barrel » (« tonneau »). Cette correspondance vibrisse - barrel fait de ce système un model idéal pour étudier l'influence de l'activité périphérique sur l'établissement et le maintien des cartes somatotopiques. Notre laboratoire dispose d'une souche de souris qui a subi une mutation spontanée pour le gène codant l'adenylyl cyclase I (ACI). Cette enzyme membranaire catalyse la formation de l'AMPc et joue un rôle important dans le guidage axonal, la libération des neurotransmetteurs et l'intégration des signaux postsynaptiques. Nous avons démontré dans un premier temps que cette souris adulte ne développe pas de barrels. Cela est dû à un manque d'organisation des ATC et aussi des cellules de la couche IV. De plus, les résultats électrophysiologiques montrent que les informations venant des vibrisses adjacentes ne sont pas intégrées d'une manière normale. Dans ce travail de thèse, j'ai analysé la morphologie des ATC révélés individuellement avec de la biocytine. L'analyse quantitative des ATC a mis en évidence les points suivants: 1. Les axones de la souris normale (NOR) quittent le thalamus, traversent la capsule interne et la substance blanche sous-corticale et pénètrent dans le cortex somato-sensoriel primaire. A l'intérieur de l'écorce ils traversent au maximum 3 colonnes corticales adjacentes dont une contient le barrel cible. En passant à travers les couches VI et V, ces axones arborisent et convergent progressivement vers le barrel dans lequel ils forment une riche arborisation. Un petit nombre des branches « errantes », pleines de boutons synaptiques, pénètrent dans les barrels voisins. Deux axones NOR provenant de corps cellulaires très proches dans le thalamus peuvent avoir un cheminement très divergent lors de la traversée de la capsule interne et de la substance blanche sous-corticale mais, à leur entrée dans le cortex, ils sont distants d'au maximum 2 colonnes corticales de la colonne qui contient le barrel cible et ils convergent progressivement vers ce barrel. 2. Les axones de la souris mutante (BRL) ont le même trajet sous-cortical que les axones NOR, mais leur entrée dans le cortex somato-sensoriel primaire est aléatoire. A l'interface entre la substance blanche sous-corticale et le cortex, l'axone principal se divise rapidement en troncs axonaux qui traversent les couches VI et V d'une manière divergente pour arriver dans la couche IV. Cela contraste beaucoup avec la trajectoire des NOR qui convergent graduellement vers leur barrel cible. Le nombre de branches radiales que les axones BRL utilisent pour entrer dans le cortex et dans la couche IV est double par rapport aux axones NOR. Parmi ces branches, seules quelques-unes donnent des arborisations, les autres ne sont pas développées et leur morphologie est semblable à celle des branches formées par les axones de la souris normale lors du développement. Deux axones BRL issus de corps cellulaires proches dans le thalamus peuvent avoir une trajectoire très divergente jusqu'à leur entrée dans la couche IV, mais à ce niveau ils sont réorientés pour se retrouver et faire un nombre maximal de branches et boutons synaptiques dans la même région corticale. Dans un cas extrême, un des axones observés est entré dans le cortex à la limite entre l'aire somatosensorielle primaire et secondaire et a parcouru une distance de 2 mm pour retrouver son partenaire thalamique et donner avec celui-ci un nombre maximal de branches dans la même région de la couche IV. 3. Les mesures quantitatives ont montré que les arborisations corticales des axones NOR ont une longueur moyenne de 18mm et sont formées par 200 segments qui portent 1200 boutons synaptiques. Par rapport à la souris NOR, les axones BRL ont en moyenne la même longueur, le même nombre de segments et boutons synaptiques, mais donnent deux fois plus de branches radiales. La surface tangentielle occupée par les arborisations BRL dans la couche IV est 2 fois plus grande que celle des NOR. Cela signifie que les 1000 boutons synaptiques qui caractérisent les arborisations NOR et BRL dans la couche IV sont disséminés sur une surface tangentielle double chez les derniers, et donc que la densité des boutons par unité de surface corticale est en moyenne plus faible. En effet, l'augmentation de la surface corticale tangentielle des BRL est due aux surfaces de faible et moyenne densité synaptique (0 - 8 boutons / 400pn2) qui augmentent 2 fois tandis que les surfaces de haute densité synaptiques (8 - 64 boutons / 4001.tm2) sont les mêmes. Nous émettons l'hypothèse selon laquelle, durant le développement, les ATC de la souris BRL divergent et forment un nombre exubérant de branches. Grâce à cette divergence et aux branches supranuméraires, ils trouvent l'endroit de l'écorce où se trouvent leurs voisins thalamiques et arborisent abondamment dans cette région. Cependant, le déficit en AGI ne leurs permet pas par la suite, sous influence de l'activité périphérique, de retirer les branches qui se trouvent dans les endroits inappropriés de l'écorce, avec de possibles conséquences sur la discrimination tactile.
Resumo:
Reductive evolution and massive pseudogene formation have shaped the 3.31-Mb genome of Mycobacterium leprae, an unculturable obligate pathogen that causes leprosy in humans. The complete genome sequence of M. leprae strain Br4923 from Brazil was obtained by conventional methods (6x coverage), and Illumina resequencing technology was used to obtain the sequences of strains Thai53 (38x coverage) and NHDP63 (46x coverage) from Thailand and the United States, respectively. Whole-genome comparisons with the previously sequenced TN strain from India revealed that the four strains share 99.995% sequence identity and differ only in 215 polymorphic sites, mainly SNPs, and by 5 pseudogenes. Sixteen interrelated SNP subtypes were defined by genotyping both extant and extinct strains of M. leprae from around the world. The 16 SNP subtypes showed a strong geographical association that reflects the migration patterns of early humans and trade routes, with the Silk Road linking Europe to China having contributed to the spread of leprosy.
Resumo:
We present here a draft genome sequence of the red jungle fowl, Gallus gallus. Because the chicken is a modern descendant of the dinosaurs and the first non-mammalian amniote to have its genome sequenced, the draft sequence of its genome--composed of approximately one billion base pairs of sequence and an estimated 20,000-23,000 genes--provides a new perspective on vertebrate genome evolution, while also improving the annotation of mammalian genomes. For example, the evolutionary distance between chicken and human provides high specificity in detecting functional elements, both non-coding and coding. Notably, many conserved non-coding sequences are far from genes and cannot be assigned to defined functional classes. In coding regions the evolutionary dynamics of protein domains and orthologous groups illustrate processes that distinguish the lineages leading to birds and mammals. The distinctive properties of avian microchromosomes, together with the inferred patterns of conserved synteny, provide additional insights into vertebrate chromosome architecture.
Resumo:
Rôle du génotype 3 du virus de l'hépatite C dans la progression de la fibrose hépatique, une revue systématique avec méta-analyse. On estime à 170 millions le nombre de personnes atteintes d'hépatite C chronique dans le monde. La principale conséquence de cette maladie est la fibrose du foie, qui évolue plus ou moins rapidement, pour aboutir au développement d'une cirrhose et/ou d'un hépatocarcinome. Certains des facteurs accélérateurs de la fibrose, comme l'âge avancé au moment de l'infection, le sexe masculin, la consommation d'alcool, sont bien connus. On a longtemps considéré que les six différents génotypes viraux n'influençaient pas la progression de la fibrose. Des études récentes ont cependant suggéré que certains génotypes, en particulier ie génotype 3, pouvaient entraîner une fibrose plus rapide. Le but de ce travail de thèse était de déterminer à l'aide d'une méta-analyse le rôle du génotype viral dans la progression de la fibrose dans l'infection chronique au virus de l'hépatite C. Les études ont été sélectionnées dans la littérature médicale à partir d'une série de mots-clés. Le degré de fibrose a été estimé par biopsie, en utilisant le score Metavir. Deux types d'études ont décrits de manière différente la durée d'infection. Les premières ont calculé la progression de la fibrose depuis le moment estimée de l'infection (« études avec une biopsie »), les secondes ont exprimés cette durée comme étant l'intervalle entre deux biopsies (« études avec deux biopsies »). L'analyse a permis d'identifier 8 études avec une biopsie pour un collectif total de 3182 patients ainsi que 8 études avec deux biopsies pour un collectif de 896 patients. Dans une méta-analyse de type « random effect », le rapport de cote pour l'association du génotype 3 avec une fibrose accélérée est de 1.52 (95% IC 1.12-2.07, p=0.007) pour les études à une biopsie. Pour les études à deux biopsies, le rapport de cote pour cette association est de 1.37 (95% IC 0.87-2.17, P=0.17). Cette étude montre que les patients avec une hépatite C chronique due au génotype 3 ont une progression de fibrose plus rapide que ceux qui sont infectés par les autres génotypes. Alors que la méta-analyse des études avec une biopsie est clairement significative, celle des études avec deux biopsies est au-dessous du seuil de significativité. Les études à deux biopsies peuvent être limitées par plusieurs facteurs, comprenant un « biais d'indication » (seuls les patients évoluant rapidement vers la cirrhose ont plus de risque d'avoir une deuxième biopsie), une durée d'observation très courte (5 années comparée à 13 années pour les études à 2 biopsies), et un nombre de patient limité (896 pour le études à 2 biopsies comparé à 3182 pour les études à 1 biopsie). Impact d'un programme de vaccination sur l'immunité contre l'hépatite Β dans une clinique suisse du VIH Le virus de l'hépatite Β cause une infection aigûe dont la symptomatologie varie d'une présentation subclinique à une progression fulminante. Dans une minorité de cas, l'infection aigiie est suivie d'une infection chronique pouvant évoluer vers une cirrhose hépatique et/ou un hépatocarcinome. La prévalence de l'hépatite Β aiguë et chronique chez les personnes vivant avec le virus d'immunodéficience humaine (VIH) est supérieure à celle de la population générale. Par ailleurs la co-infection avec le virus du VIH entraine une progression plus rapide de l'hépatite B. Dès lors, l'immunité pour le virus de l'hépatite Β représente un facteur primordial de prévention dans la population infectée par le virus de l'HIV. Bien que l'administration d'un vaccin contre l'hépatite Β soit particulièrement recommandée chez tous les individus infectés par le VIH, la couverture vaccinale dans cette population est souvent insuffisante. Le but de cette étude était de déterminer l'état d'immunisation contre le virus de l'hépatite Β dans la population infectée par le VIH de la cohorte Suisse HIV et d'analyser l'efficacité d'un programme de vaccination administré par le personnel soignant. L'immunité avant et après intervention dans notre centre a été comparée aux autres centres de la cohorte HIV en Suisse. L'immunité pour le centre d'intervention a passé de 32% avant intervention à 76% après intervention alors que pour les autres centres, l'immunité n'a progressé que de 33% à 39% dans le même laps de temps (n=2712, P=0.001). Cette étude montre qu'un contrôle systématique de l'immunité par du personnel soignant augmente de manière significative l'immunité pour le vaccin de l'hépatite Β dans la population HIV.
Resumo:
OBJECTIVE: This systematic review and meta-analysis of randomized controlled trials (RCTs) assesses the effect of pharmacist care on cardiovascular disease (CVD) risk factors among outpatients with diabetes. RESEARCH DESIGN AND METHODS: MEDLINE, EMBASE, CINAHL, and the Cochrane Central Register of Controlled Trials were searched. Pharmacist interventions were classified, and a meta-analysis of mean changes of blood pressure (BP), total cholesterol (TC), LDL cholesterol, HDL cholesterol, and BMI was performed using random-effects models. RESULTS: The meta-analysis included 15 RCTs (9,111 outpatients) in which interventions were conducted exclusively by pharmacists in 8 studies and in collaboration with physicians, nurses, dietitians, or physical therapists in 7 studies. Pharmacist interventions included medication management, educational interventions, feedback to physicians, measurement of CVD risk factors, or patient-reminder systems. Compared with usual care, pharmacist care was associated with significant reductions for systolic BP (12 studies with 1,894 patients; -6.2 mmHg [95% CI -7.8 to -4.6]); diastolic BP (9 studies with 1,496 patients; -4.5 mmHg [-6.2 to -2.8]); TC (8 studies with 1,280 patients; -15.2 mg/dL [-24.7 to -5.7]); LDL cholesterol (9 studies with 8,084 patients; -11.7 mg/dL [-15.8 to -7.6]); and BMI (5 studies with 751 patients; -0.9 kg/m(2) [-1.7 to -0.1]). Pharmacist care was not associated with a significant change in HDL cholesterol (6 studies with 826 patients; 0.2 mg/dL [-1.9 to 2.4]). CONCLUSIONS: This meta-analysis supports pharmacist interventions-alone or in collaboration with other health care professionals-to improve major CVD risk factors among outpatients with diabetes.
Resumo:
Fossil bones and teeth of Late Pleistocene terrestrial mammals from Rhine River gravels (RS) and the North Sea (NS), that have been exposed to chemically and isotopically distinct diagenetic fluids (fresh water versus seawater), were investigated to study the effects of early diagenesis on biogenic apatite. Changes in phosphate oxygen isotopic composition (delta O-18(PO4)), nitrogen content (wt.% N) and rare earth element (REE) concentrations were measured along profiles within bones that have not been completely fossilized, and in skeletal tissues (bone, dentine, enamel) with different susceptibilities to diagenetic alteration. Early diagenetic changes of elemental and isotopic compositions of apatite in fossil bone are related to the loss of the stabilizing collagen matrix. The REE concentration is negatively correlated with the nitrogen content, and therefore the amount of collagen provides a sensitive proxy for early diagenetic alteration. REE patterns of RS and NS bones indicate initial fossilization in a fresh water fluid with similar REE compositions. Bones from both settings have nearly collagen-free, REE-, U-, F- and Sr-enriched altered outer rims, while the collagen-bearing bone compacta in the central part often display early diagenetic pyrite void-fillings. However, NS bones exposed to Holocene seawater have outer rim delta O-18(PO4) values that are 1.1 to 2.6 parts per thousand higher compared to the central part of the same bones (delta O-18(PO4) = 18.2 +/- 0.9 parts per thousand, n = 19). Surprisingly, even the collagen-rich bone compacta with low REE contents and apatite crystallinity seems altered, as NS tooth enamel (delta O-18(PO4) =15.0 +/- 0.3 parts per thousand, n=4) has about 3%. lower delta O-18(PO4) values, values that are also similar to those of enamel from RS teeth. Therefore, REE concentration, N content and apatite crystallinity are in this case only poor proxies for the alteration of delta O-18(PO4) values. Seawater exposure of a few years up to 8 kyr can change the delta O-18(PO4) values of the bone apatite by > 3 parts per thousand. Therefore, bones fossilized in marine settings must be treated with caution for palaeoclimatic reconstructions. However, enamel seems to preserve pristine delta O-18(PO4) values on this time scale. Using species-specific calibrations for modern mammals, a mean delta O-18(H2O) value can be reconstructed for Late Pleistocene mammalian drinking water of around -9.2 +/- 0.5 parts per thousand, which is similar to that of Late Pleistocene groundwater from central Europe. (c) 2008 Elsevier B.V. All rights reserved.
Resumo:
Objecte: L'aplicació de la NIC 32 en les cooperatives ha generat una important controvèrsia en els últims anys. Fins al moment, s'han realitzat diversos treballs que intenten preveure els possibles efectes de la seva aplicació. Aquest treball pretén analitzar l'impacte de la primera aplicació de la NIC 32 en el sector cooperatiu. Disseny/metodologia/enfocament: S'ha seleccionat una mostra de 98 cooperatives, i s'ha realitzat una anàlisi comparativa de la seva informació financera presentada abans i després de l'aplicació de la NIC 32, per a determinar les diferències existents. S’ha utilitzat la prova de la suma de rangs de Wilcoxon per comprovar si aquestes diferències són significatives. També s’ha utilitzat la prova de la U de Mann Whitney per comprovar si existeixen diferències significatives en l’impacte relatiu de l’aplicació de la NIC 32 entre diversos grups de cooperatives. Finalment, s'ha realitzat una anàlisi dels efectes de l'aplicació de la NIC 32 en la situació patrimonial i econòmica de les cooperatives, i en l'evolució dels seus actius intangibles, mitjançant l’ús de tècniques d’anàlisi econòmico-financera. Aportacions i resultats: Els resultats obtinguts confirmen que l'aplicació de la NIC 32 provoca diferències significatives en algunes partides del balanç de situació i el compte de pèrdues i guanys, així com en les ràtios analitzades. Les principals diferències es concreten en una reducció del nivell de capitalització i un augment de l'endeutament de les cooperatives, així com un empitjorament general dels ràtios de solvència i autonomia financera. Limitacions: Cal tenir en compte que el treball s'ha realitzat amb una mostra de cooperatives que estan obligades a auditar els seus comptes anuals. Per tant, els resultats obtinguts han d'interpretar-se en un context de cooperatives de tamany elevat. També cal tenir en compte que hem realitzat una anàlisi comparativa dels comptes anuals de 2011 i 2010. Això ens ha permès conèixer les diferències en la informació financera de les cooperatives abans i després d'aplicar la NIC 32. Encara que algunes d’aquestes diferències també podrien estar causades per altres factors com la situació econòmica, els canvis en l'aplicació de les normes comptables, etc. Originalitat/valor afegit: Creiem que és el moment idoni per a realitzar aquest treball d'investigació, ja que des de 2011 totes les cooperatives espanyoles han d'aplicar les normes comptables adaptades a la NIC 32. A més, fins on coneixem, no existeixen altres treballs similars realitzats amb comptes anuals de cooperatives que ja han aplicat les normes comptables adaptades a la NIC 32 . Creiem que els resultats d'aquest treball d'investigació poden ser útils per a diferents grups d'interès. En primer lloc, perquè els organismes emissors de normes comptables puguin conèixer l'abast de la NIC 32 en les cooperatives i, puguin plantejar millores en el contingut de la norma. En segon lloc, perquè les pròpies cooperatives, federacions, confederacions i altres organismes cooperatius disposin d'informació sobre l'impacte econòmic de la primera aplicació de la NIC 32, i puguin realitzar les valoracions que creguin convenients. I en tercer lloc, perquè les entitats financeres, auditors i assessors de cooperatives i altres grups d'interès disposin d'informació sobre els canvis en els comptes anuals de les cooperatives, i puguin tenir-los en compte a l'hora de prendre decisions. Paraules clau: Cooperatives, patrimoni net, capital social, NIC 32, solvència, efectes de la normativa comptable, informació financera, ràtios.