968 resultados para Cole Jack
Resumo:
Background: The move toward evidence-based education has led to increasing numbers of randomised trials in schools. However, the literature on recruitment to non-clinical trials is relatively underdeveloped, when compared to that of clinical trials. Recruitment to school-based randomised trials is, however, challenging; even more so when the focus of the study is a sensitive issue such as sexual health. This article reflects on the challenges of recruiting post-primary schools, adolescent pupils and parents to a cluster randomised feasibility trial of a sexual health intervention, and the strategies employed to address them.
Methods: The Jack Trial was funded by the UK National Institute for Health Research (NIHR). It comprised a feasibility study of an interactive film-based sexual health intervention entitled If I Were Jack, recruiting over 800 adolescents from eight socio-demographically diverse post-primary schools in Northern Ireland. It aimed to determine the facilitators and barriers to recruitment and retention to a school-based sexual health trial and identify optimal multi-level strategies for an effectiveness study. As part of an embedded process evaluation, we conducted semi-structured interviews and focus groups with principals, vice-principals, teachers, pupils and parents recruited to the study as well as classroom observations and a parents’ survey.
Results: With reference to Social Learning Theory, we identified a number of individual, behavioural and environmental level factors which influenced recruitment. Commonly identified facilitators included perceptions of the relevance and potential benefit of the intervention to adolescents, the credibility of the organisation and individuals running the study, support offered by trial staff, and financial incentives. Key barriers were prior commitment to other research, lack of time and resources, and perceptions that the intervention was incompatible with pupil or parent needs or the school ethos.
Conclusions: Reflecting on the methodological challenges of recruiting to a school-based sexual health feasibility trial, this study highlights pertinent general and trial-specific facilitators and barriers to recruitment, which will prove useful for future trials with schools, adolescent pupils and parents.
Resumo:
Ce mémoire vise à connaître la perception des parents de la collaboration école-famille principalement lorsque leur enfant est victime de violence à l’école primaire. Un total de 4 394 parents a complété le QSVE/parents (Beaumont Paquet et Leclerc, 2013). Les résultats révèlent que l’ensemble des parents a une perception positive de cette collaboration, mais elle est perçue plus positivement chez ceux ayant des enfants d’âge préscolaire comparativement à ceux de la fin du primaire. Les parents qui croient leur enfant victime de violence montrent cependant une perception plus négative de cette collaboration. Au primaire, c’est près de 20 % des parents qui ont dit avoir rapporté à l’école la victimisation de leur enfant au cours de l’année scolaire. Une relation significative a été observée entre le nombre de fois que les parents ont avisé l’école et leur niveau de satisfaction de l’accueil et de l’aide reçus par les intervenants scolaires. Même si la perception de la collaboration école-famille devient moins positive en fonction du nombre de fois que le parent a signalé cette victimisation, les résultats suggèrent que près de 40 % des parents qui ont signalé quatre fois et plus la victimisation de leur enfant au cours de l’année se sont dits satisfaits de l’aide reçue par l’école. Des pistes de réflexion sont finalement suggérées soulignant l’importance de pousser plus loin la réflexion sur les conditions facilitant la collaboration école-famille dans ce type de situation difficile.
Resumo:
Les élèves vivant dans la crainte d’être victimisés par leurs pairs peuvent se comporter de différentes façons, notamment en évitant de se rendre à l’école ou encore en imaginant différents moyens d’autoprotection (ex., apporter divers objets potentiellement dangereux à l’école). L’objectif de ce mémoire est de vérifier s’il existe des liens entre la victimisation par les pairs et le fait d’apporter des objets potentiellement dangereux et pouvant servir d’arme à l’école. L’échantillon est composé de 28 015 élèves de la première à la cinquième secondaire (12 à 17 ans) en provenance des écoles secondaires publiques du Québec. Les participants ont rempli le Questionnaire sur la Sécurité et la Violence à l’école Révisé (QSVE-R) visant à dresser le portrait de la violence dans les établissements scolaires du Québec. Les résultats démontrent que 5,1 % des élèves, davantage de garçons (8,2 %) que de filles (2,1 %) disent avoir déjà apporté un objet potentiellement dangereux à l’école. Le risque d’apporter ces objets augmente avec l’âge et c’est le couteau qui est l’objet le plus populaire auprès des répondants. L’étude confirme l’influence de la victimisation de type direct (insultes-menaces et agressions physiques), du sexe (garçons) et de l’âge (17 ans et plus) sur le fait d’apporter un objet pouvant servir d’arme à l’école. En plus de proposer des pistes d’études futures pour en connaître davantage sur ce que vivent les élèves victimisés à l’école, les conclusions de cette recherche soulèvent l’importance d’aider ces jeunes victimes à développer de meilleures stratégies afin de mieux gérer cette situation pénible, et amènent des réflexions pour orienter les interventions visant à créer des milieux scolaires sécurisants pour tous.
Resumo:
Dans le programme de sciences et technologies du primaire, la dimension expérimentale du travail scientifique qu'on souhaite insuffler à l'élève est rendue effective grâce à l'appropriation des concepts scientifiques et technologiques et des démarches à caractère scientifique. La réforme curriculaire dans laquelle s'inscrit ce programme se présente dans un contexte de stratification des représentations des enseignants à l'égard des sciences et des technologies qui les perçoivent comme secondaires. De ce fait, peu de temps serait alloué à cette discipline en classe et l'enseignement serait dispensé selon un mode de transmission et d'exercisation plutôt qu'en fonction de réels problèmes. Par ailleurs, le matériel mis à la disposition des enseignants ne rencontrerait pas toutes les attentes véhiculées dans les programmes. Dans son rapport de conjoncture 2004, le Conseil des sciences de la technologie révèle l'occasion unique engendrée par la réforme afin de renforcer l'enseignement de la science et de la technologie et rapelle le lien étroit entre l'école et les organismes de médiation scientifique, les acteurs de la promotion des sciences. Du même coup, il évoque le large éventail des réalisations de ces mêmes acteurs et la pertinence de celles-ci.
Resumo:
La révolution introduite par l'ordinateur est l'un des faits les plus marquants du vingtième siècle. En effet, l'ordinateur a des répercussions profondes sur de nombreux aspects de notre vie quotidienne: transactions bancaires, cueillettes de données, recherche d'information, enseignement, sciences, etc. La manière dont l'ordinateur influence notre vie soit dans notre travail ou soit dans le monde qui nous entoure n'est pas terminée. Nos jeunes n'échappent pas à cette réalité. Dans la mesure où les ordinateurs modifient notre quotidien, nos jeunes doivent acquérir une expérience pratique de ce nouvel outil qui peut influencer et changer leur façon d'apprendre. Il nous apparaît donc souhaitable que nos jeunes utilisent ce nouvel outil qu'est l'ordinateur comme aide et soutien à leur apprentissage.
Resumo:
Le monde de l'éducation est en effervescence depuis près de trente ans au Québec. Nous sommes passés de l'éducation réservée à un petit groupe de gens privilégiés qui avaient accès aux études secondaires et supérieures, à l'accessibilité pour tous. Cet objectif du Ministère de l'éducation, du début des années soixante, a généré une augmentation presqu'incontrôlable de la clientèle. À ce moment, les autorités se sont précipitées sur ce qui apparaissait le plus urgent: 1) La construction de bâtisses; ainsi sont nés polyvalentes et cegeps. 2) Avec l'augmentation de clientèle, il faut voir l'augmentation du nombre d'enseignants et autres personnels avec des préparations plus ou moins adéquates dans plusieurs cas. 3) Plus tard la gestion et l'encadrement de ces organismes sont devenus des objets de préoccupations. Les postes de cadres d'écoles étaient occupés par des personnes qui n'avaient pas ou peu de préparation sauf des expériences dans l'enseignement. Pour d'autres, c'était le transfert de l'industrie à l'enseignement. Ces trois éléments ont produit des effets secondaires sur le système scolaire du Québec. Le premier des trois éléments a généré des changements importants au niveau de la culture scolaire. Alors que la population scolaire du Québec avait vécu dans de petites écoles et dans des milieux plus ou moins populeux où l'école de quartier était le lieu de vie en éducation, on assiste à des regroupements de plus en plus grands afin d'offrir de meilleures possibilités du côté des ressources matérielles, physiques et humaines. La façon de vivre l'éducation s'en trouvait beaucoup changée. Le deuxième élément traite de l'augmentation importante des besoins comme enseignants ou autres personnels d'encadrement. L'augmentation de la clientèle et la laïcisation de l'éducation sont deux éléments qui influencèrent beaucoup l'éducation. Alors que pendant de nombreuses années les communautés religieuses avaient fourni les personnels dans les écoles, tout à coup on décide de les mettre de côté pour utiliser des laïcs, ces derniers n'étaient pas tous bien pré parés. […]
Resumo:
[…] À la fin de notre essai, nous aurons: 1. Identifié les articles de la Loi 71 qui touchent aux droits, aux pouvoirs et aux fonctions du directeur d'école face au Comité de gestion, au Conseil de participation scolaire, au Comité d'École et au Conseil d'orientation scolaire selon la Loi 71. 2. Traduit les obligations et les fonctions du directeur d'école, en termes de tâches à accomplir en relation avec le Comité de gestion, le Conseil de participation scolaire, le Comité d'École et le Conseil d'orientation. 3. Vérifié auprès des directeurs d'école et des directeurs généraux de différentes Commissions Scolaires l'interprétation du rôle du directeur d'école selon la Loi 71, en relation avec le Comité de gestion, le Conseil de participation scolaire, le Comité d'École et le Conseil d'orientation. 4. Comparé l'analyse des résultats entre les directeurs d'école, entre les directeurs généraux, et entre les directeurs d'école et les directeurs généraux, de la perception du rôle du directeur d'école selon la Loi 71, face au Comité de gestion, au Conseil de participation scolaire, au Comité d'École et au Conseil d'orientation. 5. Identifié les principaux points discordants entre les directeurs d'école, entre les directeurs généraux, et entre les directeurs généraux et les directeurs d'école afin de proposer des moyens pour combler l'écart qui existe ou pourrait exister face à la Loi 71, en relation avec le Comité de gestion, le Conseil de participation scolaire, le Comité d'École et le Conseil d'orientation scolaire.
Resumo:
La participation n'est certes pas une idée nouvelle bien qu’elle soit de plus en plus à la mode particulièrement dans notre monde de l'éducation. L'homme des cavernes participait à la vie du clan, tout comme les jeux olympiques ont amené la participation de nombreux athlètes et les légions romaines ont nécessité la participation de milliers de légionnaires. Tout au long de l'histoire de l'homme, la participation s'est manifestée par nécessité ou par intérêt. Elle a donc pu revêtir de nombreuses formes, se manifester de moultes façons et apporter toute une gamme de résultats. Notre monde moderne où les groupes se multiplient des plus petits aux plus grands, pour des fins multiples allant du travail, en passant par les activités sociales, pour aller jusqu'aux loisirs, ne peut que promouvoir la mode de la participation. Face à cette multitude d'occasions de participer, il est facile d’entrevoir les innombrables avenues que la participation peut emprunter : que ce soit la simple participation d'un spectateur à un événement ou la participation plus complexe à la gestion d'une multinationale ou d’un ministère. Dans ce dédale des voies participatives, il importe pour chacun de bien définir son rôle précis à l'acte participatif en tenant compte de ses droits et devoirs. Le sportif qui paie ses billets pour la saison de hockey a-t-il voix au chapitre quand il s'agit d’un échange de joueur? Le syndiqué du Québec a-t-il un pouvoir d’influence sur les idéologies et les luttes que poursuit son syndicat? De quelle façon le payeur de taxe peut-il se prononcer sur l'administration de son gouvernement après qu'il a élu ses représentants? Et les questions sur l'implication de chacun au domaine participatif pourraient pleuvoir à torrents avant de faire place à l'éclat sécurisant des réponses rassurantes. C'est pourtant un de ces rayons de soleil que nous tenterons de laisser filtrer à travers les pages qui suivent. Ainsi nous ne nous attarderons pas à étudier la participation dans son entier allant de la vie familiale jusqu'à la vie planétaire. Nous nous attacherons plutôt à cerner la participation dans ce qu'elle a de grandiose pour les directeurs d'école dans la gestion de leur commission scolaire. La loi 71 a lancé la mode de la participation à ce niveau et nous tenterons d'en saisir les différentes facettes pour une application concrète. Pour ce faire, nous scruterons la participation dans sa définition et ses mécanismes en appliquant le tout à la gestion scolaire pour le directeur d'école.
Resumo:
Depuis les deux dernières décennies, l'enfant est au coeur des changements rapides de la famille et des bouleversements de la société. Des changements sociaux et économiques ont modifié considérablement les relations enfant, éducateur, parents. Si la notion de famille a évolué rapidement, est-ce que le rôle des parents, des instituteurs, des écoles, s'est adapté de pair à ces changements? Si nos enfants sont appelés à devenir les membres de notre future société, il est temps de s'interroger si ceux-ci possèdent tout le bagage et les outils nécessaires pour devenir de vrais citoyens et des adultes à l’image d'une société que nous anticipons. À tous ceux qui consulteront ce document. J'espère que cet essai vous aidera à devenir de "VRAIS BATISSEURS" auprès des jeunes et à développer le goût d’investir auprès d'eux; sachant que les répercussions du décrochage scolaire auront un impact encore plus grand dans notre société.
Resumo:
Change la société, change l'école," entend-on souvent dire, parfois avec nostalgie ou résignation, parfois avec soulagement ou satisfaction. Les contextes, les besoins, les aspirations évoluent, les ressources mêmes, et engagent ainsi l'école à s'adapter et à s'ajuster. Les québécois sont nombreux à reconnaître et à accepter que l'école ne puisse pas être aujourd'hui ce qu'elle était hier et doive donc évoluer avec son temps." (Laurin, 1982, p.3). Ce sont les premiers mots avec lesquels le docteur Camille Laurin, alors ministre de l'éducation du Québec, nous présentait une proposition gouvernementale pour le développement d'une école communautaire et responsable. Vingt ans auparavant, la réforme proposée par la Commission Parent au début des années 1960, nous avait dirigés vers un système scolaire dont le maillon central était constitué de l'enseignement polyvalent, où tous les élèves avaient accès à un réseau scolaire complet de type public et où un focus particulier était fait sur les objectifs pédagogiques. Pour réaliser ce projet, il aura fallu procéder à des investissements importants tant matériels qu'humains, le tout sous le couvert de la gratuité scolaire. Les écoles québécoises vécurent pendant une bonne quinzaine d'années une période où les populations étudiantes croissaient: il fallut construire, engager des personnels, développer des programmes, bref: réaliser l'école polyvalente. [...]
Resumo:
De plus en plus de partenaires socio-économiques de l'éducation reconnaissent que les besoins d'orientation sont flagrants, en particulier au niveau secondaire, et que les problèmes conséquents d'une orientation inadéquate engendrent des coûts sociaux aussi élevés que déplorables. Face au décrochage scolaire par exemple, Emploi et Immigration Canada (1990) dans son Projet national d'Incitation à la poursuite des études résume assez bien cette pensée générale en affirmant que: "Le taux actuel d'abandon scolaire entraîne une perte inacceptable de potentiel humain, un coût social élevé et une pénurie importante de travailleurs possédant les compétences nécessaires pour qu'augmentent les revenus de tous les Canadiens" ( E.I.C., 1990, p.7). […]Enfin, c'est la pertinence même de la formation prodiguée au secondaire en regard du projet d'avenir des jeunes qui serait remise en question par quelques-uns et quelques-unes, tel qu'en rend compte l'étude Quand les choix débutent menée par le Ministère de l'Éducation du Québec en 1992 auprès d'élèves de cinquième secondaire: "Un ou une élève sur cinq ne voit pas en quoi lui servira la formation reçue par rapport à ce qu'il veut faire plus tard" (M.E.Q, 1992a, p. 57). Cet état de fait témoigne d'une lacune certaine dans la cohérence du système éducatif dont les objectifs terminaux ne semblent pas se traduire dans le cheminement vocationnel des élèves. On reconnaît donc d'emblée le caractère alarmant des problèmes qui découlent de la crise en orientation. Mais qu'en est-il exactement de la situation actuelle de l'orientation dans les écoles secondaires du Québec?
Resumo:
Il n'y a pas si longtemps encore, la sélection des directeurs d'école se faisait parmi les meilleurs enseignants, les plus doués, les plus efficaces à qui l'on donnait une promotion d'adjoint puis plus tard de directeur d'école, bien souvent sans autres études particulières, ni supports spécifiques. Et les commissions scolaires, le Ministère, la collectivité s'attendent à ce que ce professionnel fasse preuve de compétence et qu'il corresponde à tous les standards d'excellence dans son domaine. Mais ce candidat, bien intentionné et certainement doué d'intuition, sait-il les connaissances qu'il devra acquérir, les habiletés qu'il devra développer, les techniques qu'il devra maîtriser pour devenir un agent de changement compétent dans le monde scolaire? Et ces autorités qui l'ont engagé et qui veulent un directeur d'école compétent, sont-elles en mesure de qualifier cette compétence, de la décrire, d'en énoncer les critères? La plupart des gens concernés ont plutôt une perception globale, intuitive, de la compétence d'un agent de changement. Ils n'ont pas une connaissance ni une analyse détaillée des critères de compétence. Alors ils ne peuvent qu'exprimer leur insatisfaction devant un fonctionnement qui ne correspond pas à leur idéal de compétence, mais ils sont tout à fait impuissants à aider quiconque désire acquérir, accroître ou développer sa compétence. Notre société ne peut se payer le luxe de nommer ou de supporter des incompétents aux fonctions de directeur d'école et d'agent de changement. Il nous faut donc faire l'effort de définir et de clarifier les critères de compétence.
Resumo:
Il en va des organisations comme des personnes. Qu'on le veuille ou non, nous projetons tous une image auprès de nos interlocuteurs. Et c'est sur cette image que se fondent des décisions importantes : un consommateur va-t-il acheter un produit qu'il juge de mauvaise qualité ou trop cher, ou dont il ignore l'utilité? Une personne va-t-elle profiter d'un service public dont elle ignore l'existence? Nous vivons dans un monde de communication. Pour réussir, une organisation doit contrôler l'image qu'elle projette d'elle. Elle doit s'assurer d'être connue du public qui l'entoure. Elle doit faire comprendre ses produits, ses services et les objectifs qu'elle poursuit. De plus en plus d'organismes du secteur public et parapublic font maintenant appel à la recherche dans le but de leur permettre de prendre des décisions éclairées. Les institutions d'enseignement n'échappent pas à cette règle. Au cours des dernières années, la concurrence dans le secteur de l'enseignement secondaire s'est considérablement accrue. Même si la clientèle demeure aussi nombreuse dans les maisons d'enseignement privé de Montréal et de la Rive-Sud, il n'en demeure pas moins que les écoles publiques se sont prises en main, notamment en améliorant la qualité des services et le milieu de vie (Commission scolaire Sainte-Croix, École Pierre-Laporte; cours professionnels de ballet classique intégrés à un programme d'études secondaires régulier dans une école publique). Avec la sélection d'un projet éducatif précis dans chaque institution d'enseignement public, nous découvrons maintenant des écoles publiques spécialisées, possédant des personnalités différentes les unes des autres. Or, avec l'inversion de la pyramide des âges, la volonté de redressement des écoles publiques et leurs campagnes de sensibilisation auprès de la population, l'intégration des commissions scolaires, la concurrence existant entre les écoles privées, ces dernières doivent se définir un positionnement clair, net et précis sur l'échiquier concurrentiel. Afin de savoir si les écoles privées secondaires sont conscientes de leur image, nous avons analysé leur matériel promotionnel, c'est-à-dire brochures et dépliants. [...]
Resumo:
La participation, tout comme la compétence, sont deux notions souvent prisées dans notre société actuelle. Qui n'a pas connu de sollicitations autour de lui afin de participer soit à la communauté chrétienne, soit aux services de santé, aux services municipaux ou à un club quelconque. Ou encore qui n'a pas été appelé à viser l’excellence par la publicité, par les divers logos retenus par certaines entreprises. En éducation, le phénomène est bien présent et prend sa source dans des origines non lointaines. En effet, c'est avec le rapport Parent (1963) qu'on s'est vraiment penché sur la nécessité d'impliquer les parents à la vie de l’école. On a d'abord commencé par accorder le droit de vote à toutes personnes majeures et non seulement aux propriétaires fonciers. […]