841 resultados para debt tax shield


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The government’s extensive programme for stimulating the economy has enabled China to maintain high economic growth after the global financial crisis in 2008. However, this success has come at the price of a number of negative economic phenomena and the consequences they have had are the major challenge for the government today. The vast programme of investments in infrastructure, construction and fixed assets, which has been the main source of economic growth over the past few years, has caused a rapid increase in China’s debt from 158% of GDP in 2007 to 282% in 2014. Along with the local governments in charge of implementing the programme, the Chinese sector of state-owned enterprises (SOEs) has been heavily burdened by the stimulation policy. The sector’s profitability has fallen, its indebtedness has increased and management problems have been revealed.

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The European Union’s regulations governing sovereign debt are based on the principle of equal treatment of all member states. The recommendations we make here concerning changes in European Union sovereign-debt reduction rules take account of national particularities, but are by no means arbitrary in nature. According to the calculations we present here, such reformed regulations would do far more to promote economic growth than would be the case under the Fiscal Compact’s European debt brake. By 2030, real gains in growth will amount to more than 450 billion euros more than the outcome that would presumably be obtained under the European debt brake.

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Federal financial structures which include fiscal equalization between the states are and will remain to be indispensable. Such structures are required to equalize the significant regional economic differences which exist within the federal republic and to ensure sufficient funding for the responsibilities of the public sector across the nation. The current federal financial structures have a number of structural flaws which regard both the criteria for tax distribution, the design of the debt brake and the role of municipalities. The financial structures will have to be revised beginning in 2020. The objective is to consolidate in the long term the budgets of federation, state and municipal governments and to safe-guard a modern welfare state.

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This paper provides empirical evidence in support of the view that the quality of institutions is an important determinant of long-term growth of European countries. When also taking into account the initial level of GDP per capita and government debt, cross-country institutional differences can explain to a great extent the relative long-term GDP performance of European countries. It also shows that an initial government debt level above a threshold (e.g. 60-70%) coupled with institutional quality below the EU average tends to be associated with particularly poor long-term real growth performance. Interestingly, the detrimental effect of high debt levels on long-term growth seems cushioned by the presence of very sound institutions. This might be because good institutions help to alleviate the debt problem in various ways, e.g. by ensuring sufficient fiscal consolidation in the longer-run, allowing for better use of government expenditures and promoting sustainable growth, social fairness and more efficient tax administration. The quality of national institutions seems to enhance the long-term GDP performance across a large sample of countries, also including OECD countries outside Europe. The paper offers some evidence that, in the presence of good institutions, conditions for catching-up seem generally good also for euro-area and fixed exchange rate countries. Looking at sub-groupings, it seems that sound institutions may be particularly important for long-term growth in the countries where the exchange rate tool is no longer available (and where also sovereign debt is high), and less so in the countries with flexible exchange rate regimes. However, this result is preliminary and requires further research. The empirical findings on the importance of institutions are robust to various measures of output growth, different measures of institutional indicators, different sample sizes, different country groupings and to the inclusion of additional control variables. Overall, the results tend to support the call for structural reforms in general and reforms enhancing the efficiency of public administration and regulation, the rule of law and the fight against rent-seeking and corruption in particular.

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Cette thèse est une collection de trois articles en macroéconomie et finances publiques. Elle développe des modèles d'Equilibre Général Dynamique et Stochastique pour analyser les implications macroéconomiques des politiques d'imposition des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Le premier chapitre analyse les mécanismes de transmission à l'économie, des effets d'un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises. Dans une économie constituée d'un gouvernement, d'une firme représentative et d'un ménage représentatif, j'élabore un théorème de l'équivalence ricardienne avec l'impôt sur le profit des entreprises. Plus particulièrement, j'établis que si les marchés financiers sont parfaits, un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises qui ne change pas la valeur présente de l'impôt total auquel l'entreprise est assujettie sur toute sa durée de vie n'a aucun effet réel sur l'économie si l'état utilise un impôt forfaitaire. Ensuite, en présence de marchés financiers imparfaits, je montre qu'une une baisse temporaire de l'impôt forfaitaire sur le profit des entreprises stimule l'investissement parce qu'il réduit temporairement le coût marginal de l'investissement. Enfin, mes résultats indiquent que si l'impôt est proportionnel au profit des entreprises, l'anticipation de taxes élevées dans le futur réduit le rendement espéré de l'investissement et atténue la stimulation de l'investissement engendrée par la réduction d'impôt. Le deuxième chapitre est écrit en collaboration avec Rui Castro. Dans cet article, nous avons quantifié les effets sur les décisions individuelles d'investis-sement et de production des entreprises ainsi que sur les agrégats macroéconomiques, d'une baisse temporaire de l'impôt sur le profit des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Dans un modèle où les entreprises sont sujettes à des chocs de productivité idiosyncratiques, nous avons d'abord établi que le rationnement de crédit affecte plus les petites (jeunes) entreprises que les grandes entreprises. Pour des entreprises de même taille, les entreprises les plus productives sont celles qui souffrent le plus du manque de liquidité résultant des imperfections du marché financier. Ensuite, nous montré que pour une baisse de 1 dollar du revenu de l'impôt, l'investissement et la production augmentent respectivement de 26 et 3,5 centimes. L'effet cumulatif indique une augmentation de l'investissement et de la production agrégés respectivement de 4,6 et 7,2 centimes. Au niveau individuel, nos résultats indiquent que la politique stimule l'investissement des petites entreprises, initialement en manque de liquidité, alors qu'elle réduit l'investissement des grandes entreprises, initialement non contraintes. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse des effets de la réforme de l'imposition des revenus d'entreprise proposée par le Trésor américain en 1992. La proposition de réforme recommande l'élimination des impôts sur les dividendes et les gains en capital et l'imposition d'une seule taxe sur le revenu des entreprises. Pour ce faire, j'ai eu recours à un modèle dynamique stochastique d'équilibre général avec marchés financiers imparfaits dans lequel les entreprises sont sujettes à des chocs idiosyncratiques de productivité. Les résultats indiquent que l'abolition des impôts sur les dividendes et les gains en capital réduisent les distorsions dans les choix d'investissement des entreprises, stimule l'investissement et entraîne une meilleure allocation du capital. Mais pour être financièrement soutenable, la réforme nécessite un relèvement du taux de l'impôt sur le profit des entreprises de 34\% à 42\%. Cette hausse du taux d'imposition décourage l'accumulation du capital. En somme, la réforme engendre une baisse de l'accumulation du capital et de la production respectivement de 8\% et 1\%. Néanmoins, elle améliore l'allocation du capital de 20\%, engendrant des gains de productivité de 1.41\% et une modeste augmentation du bien être des consommateurs.

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Bibliography: p. 179-181.

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