980 resultados para Sculpture, Renaissance
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Collection : French books before 1601 ; 66.2
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El antiguo arte de la tragedia griega volvió a revivir entre las décadas de 1570 y 1580 gracias a la Camerata Florentina, que la convirtió en el punto de partida de un nuevo género: la opera. El gran interés del Renacimiento por revivir el drama del mundo clásico trae como consecuencia el nacimiento de la protagonista de nuestro estudio: la heroína trágica operística. El objetivo del proyecto es el análisis de los personajes femeninos de la tragedia clásica y su posterior conversión en heroínas de las óperas de inspiración clásica. La literatura griega creó una serie de personajes femeninos que adquirieron un protagonismo inusitado en la época y que, posteriormente, cautivaron a los compositores de ópera. A través de esta investigación trataremos de hallar las razones históricas, sociales, políticas o psicológicas que están detrás del origen de la heroína trágica. Igualmente se estudiarán las diversas características que fue desarrollando y que la definirían como personaje hasta que el mundo operístico la convirtió en la protagonista absoluta de la escena lírica.
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This article discusses one of Lewkenor's more obscure works, The Resolved Gentleman (1594 - STC 15139), in the context of Elizabethan court politics in the 1590s, with a particular emphasis on the author's own experience of dissent, exile to Catholic Spain in the 1580s and return to England in the early 1590s. A translation of Hernando de Acuña's El Caballero Determinado, itself a reworking of Olivier de la Marche's Chevalier Délibéré (1483), the Resolved Gentleman bends the conventions of medieval chivalric allegory to articulate Lewkenor's own experience of alienation and dissent in the specific context of the factionalism of the 1590s. Beneath Lewkenor's seemingly self-effacing, 'humanist' translation it is in fact possible to discern a complex set of criticisms of Elizabeth's court. The knight's 'wandering' and 'errance' thus becomes a complex, multivalent figure that reverberates with a number of autobiographical meanings: the knight's exile becomes in Lewkenor's hands a figure of his own forced exile to Catholic Spain, and the account of the knight's quest functions as an oblique allusion to his own efforts to make his way back to Elizabeth's court. More importantly, however, these 'personal' meanings acquire a wider, political valence in the context of the allegory, and the narrative as a whole thus becomes a subtle, perceptive but scathing criticism of the Elizabethan court in the 1590's and the 'contraction' of royal favour that resulted in particular in the exclusion of capable, experienced but Catholic counsellors like Lewkenor himself. Articulating the frustration of this younger generation of alienated but fundamentally loyalist Catholics, Lewkenor paints a picture of a failed quest for favour, where the questing knight is finally forced to retire from the active life and withdraw to a rustic hermitage that is not only incompatible with his own ideal of the vita activa, but also dangerously smacks of unregenerate, and potentially seditious Catholicism.
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Ce travail n'a pas pour but d'établir une histoire du choeur tragique pour ainsi dire 'd'anthologie', mais bien plutôt de tracer un parcours sélectif et dynamique, en suivant l'évolution de ses formes et de ses fonctions dans la tragédie italienne, à partir du début du XVIe siècle jusqu' à la production alfiérienne et au retour du choeur dans le théâtre de Manzoni ; à cela s'ajoute un exercice en dehors du genre dramatique tel que le Dialogo di Federico Ruysch e delle sue mummie dans les Operette morali di Giacomo Leopardi. Dans la première partie - la plus ample et complexe, portant sur l'emploi du choeur dans la tragédie de la Renaissance - on essaye de cerner le contexte qui favorise la persistance d'un espace choral en examinant plusieurs commentaires de la Poétique aristotélicienne, et des essais de théorie dramaturgique comme Della poesia rappresentativa de Angelo Ingegneri, ou le Discorso intorno al comporre de Giambattista Giraldi Cinzio. À côté de la discussion sur le rôle du choeur on envisage aussi le profil formel des sections chorales, en s'appuyant sur l'analyse métrique, dans le cadre plus général du 'petrarchismo metrico', et en particulier de la réception de la chanson pétrarquesque. Interroger la présence de trois constantes thématiques - par exemple la forme de l'hymne à Éros - signifie en suite relever l'importance de Sophocle pour le théâtre de la Renaissance dans la perspective du choeur. Cette première section est complétée par un chapitre entièrement consacré à Torquato Tasso et à son Re Torrismondo, qui présente un troisième chant choral de grande épaisseur philosophique, central dans l'économie du drame et analysé ici à travers un exercice de lecture qui utilise à la fois les instruments de la stylistique, de l'intertextualité, et de l'intratextualité concernant l'entier corpus poétique et philosophique tassien, de ses Rime aux Dialoghi. La deuxième section, qui commence par une exploration théorique de la question du choeur, conduite par exemple sur les textes de Paolo Beni e Tommaso Campanella, a pour cible principale de expliquer comment le choeur assume le rôle d'un vrai 'personnage collectif' dans le théâtre de Federico Della Valle : un choeur bien installé dans l'action tragique, mais conservant au même temps les qualités lyriques et philosophiques d'un chant riche de mémoire culturelle et intertextuelle, de la Phaedra de Sénèque à la Commedia dantesque dans la Reina di Scozia, centre principal de l'analyse et coeur du catholicisme contreréformiste dellavallien. Dans la troisième partie le discours se concentre sur les formes de la métamorphose, pour ainsi dire, du choeur : par exemple la figure du confident, conçu comme un substitut du groupe choral dans les discussions des théoriciens et des auteurs français - voir Corneille, D'Aubignac, Dacier - et italiens, de Riccoboni à Calepio et Maffei. Cependant dans cette section il est surtout question de la définition de l'aria mélodramatique compris comme le 'nouveau choeur' des Modernes, formulée par Ranieri Calzabigi et par Metastasio. Il s'agit donc ici de mettre en relation l'élaboration théorique contenue dans la Dissertazione de Calzabigi et dans l'Estratto de l'Arte poetica de Metastasio avec le premier et unique essai tragique de jeunesse de ce dernier, le Giustino, et le livret de son Artaserse. On essaye de montrer le profond lien entre l'aria et l'action dramatique : donc c'est le dramma musicale qui est capable d'accueillir la seule forme de choeur - l'aria - encore possible dans le théâtre moderne, tandis que le choeur proprement tragique est désormais considéré inutilisable et pour ainsi dire hors-contexte (sans toutefois oublier qu'à la fin du siècle Vittorio Alfieri essayait de ne pas renoncer au choeur dans sa traduction des Perses d'Eschyle ; et surtout dans un essai tragique comme l'Alceste seconda ou dans sa tramelogedia, l'Abele). Comme conclusion une section contenant des remarques qui voudrait juste indiquer trois possibles directions de recherche ultérieure : une comparaison entre Manzoni et Leopardi - dans la perspective de leur intérêt pour le choeur et de la différence entre le sujet lyrique manzonien et celui léopardien ; une incursion dans le livret du mélodrame verdien, afin de comprendre la fonction du choeur manzonien et sa persistance dans le texte pour l'opéra ; et enfin quelque note sur la réception du choeur manzonien et du Coro di morti léopardien dans le XXe siècle, en assumant comme point d'observation la poésie de Carlo Michelstaedter, Andrea Zanzotto et Franco Fortini. Il lavoro non intende tracciare una storia 'da manuale' del coro tragico, ma piuttosto indicare un percorso selettivo e dinamico, seguendo l'evoluzione delle sue forme e delle sue funzioni nella tragedia italiana, a partire dall'inizio del sedicesimo secolo per arrivare alla produzione alfieriana e al ritorno del coro nel teatro di Manzoni; a ciò si aggiunge una prova estranea al genere drammatico come il Dialogo di Federico Ruysch e delle sue mummie nelle Operette morali di Giacomo Leopardi. Nella prima parte - la più ampia e complessa, riguardante l'impiego del coro nella tragedia rinascimentale - si cerca di ricostruire il contesto che favorisce la persistenza dello spazio corale attraverso l'esame di diversi commenti alla Poetica aristotelica, e di alcuni saggi di teoria drammaturgica come Della poesia rappresentativa di Angelo Ingegneri, o il Discorso intorno al comporre di Giambattista Giraldi Cinzio. La discussione sul ruolo del coro è affiancata dall'esame del profilo formale delle sezioni corali, grazie a un'indagine metrica nel quadro del più ampio petrarchismo metrico cinquecentesco, e in particolare nel quadro della ricezione della formacanzone petrarchesca. Interrogare la presenza di tre costanti tematiche - per esempio la forma dell'inno a Eros - significherà in seguito rilevare l'importanza di Sofocle per il teatro rinascimentale anche nella prospettiva angolata del coro. Questa prima sezione è completata da un capitolo interamente dedicato a Torquato Tasso e al suo Re Torrismondo, che presenta un terzo canto corale di grande spessore stilistico e filosofico, centrale nell'economia del dramma e analizzato qui attraverso un esercizio di lettura che si serve degli strumenti della stilistica e dell'intertestualità, oltre che del rapporto intratestuale fra i vari luoghi del corpus tassiano, dalle Rime ai suoi Dialoghi. La seconda sezione, che si avvia con un'esplorazione teorica della questione del coro nel Seicento - condotta per esempio sui testi di Paolo Beni e Tommaso Campanella - ha per fulcro la descrizione di un coro quale 'personaggio collettivo' nelle tragedie di Federico Della Valle: un coro ben inserito nell'azione tragica, ma che conserva allo stesso tempo le qualità liriche e filosofiche di un canto ricco di memoria culturale e intertestuale, dalla Fedra di Seneca alla Commedia dantesca, nella sua Reina di Scozia, centro dell'analisi e cardine del cattolicesimo controriformista dellavalliano. Nella terza sezione il discorso si concentra sulle forme della metamorfosi, per così dire, del coro: per esempio la figura del confidente, interpretato come un sostituto del gruppo corale nelle discussioni di teorici e autori francesi - Corneille, D'Aubignac, Dacier - e italiani, da Riccoboni a Calepio e Maffei. Ma qui ci si rivolge anzitutto alla definizione dell'aria melodrammatica, sentita quale 'nuovo coro' dei Moderni da Ranieri Calzabigi e Pietro Metastasio. Si tratterà dunque di mettere in relazione l'elaborazione teorica svolta nella Dissertazione di Calzabigi e nell'Estratto dell'arte poetica di Metastasio con il primo e unico - e giovanile - tentativo tragico di quest'ultimo, il Giustino, e con il libretto del suo Artaserse. L'intenzione è quella di mostrare il profondo legame tra l'aria e l'azione drammatica: è perciò il dramma musicale che è capace di accogliere la sola forma di coro - l'aria - ancora possibile nel teatro moderno, mentre il vero e proprio coro tragico si rassegna ormai a essere considerato inutile e per così dire fuori contesto (senza dimenticare, tuttavia, che al chiudersi del secolo Vittorio Alfieri tentava di non rinunciare al coro nella sua traduzione dei Persiani di Eschilo; e soprattutto in un tentativo tragico come la sua Alceste seconda o nella tramelogedia Abele). In conclusione una più veloce sezione che vorrebbe semplicemente indicare qualche altra possibile direzione di ricerca: un confronto fra Manzoni e Leopardi - nella prospettiva del coro interesse per il coro, e della differenza fra il soggetto lirico manzoniano e quello leopardiano; un'incursione nel libretto del melodramma verdiano, per misurarvi la funzione del coro manzoniano e la sua persistenza nel testo operistico; e infine qualche appunto sulla ricezione del coro manzoniano e del Coro di morti di Leopardi nel Novecento, assumendo quale punto d'osservazione la poesia di Carlo Michelstaedter, Andrea Zanzotto e Franco Fortini.
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Aquest estudi pretén mostrar com una cort perifèrica dins de la monarquia espanyola com la dels Centelles, comtes d’Oliva, tot imitant fil per randa la dels Este de Ferrara i la seva brillant presència en la Itàlia renaixentista mitjançant el mecenatge de Boiardo i d’Ariosto, va importar aquells esquemes i es va envoltar d’un grup d’escriptors que van constituir el nucli inicial de la recepció, difusió i continuació castellana de l’èpica d’Ariosto a la península Ibèrica. Gairebé es podria afirmar que la propagació en castellà de l’Orlando furioso a la península Ibèrica estava monopolitzada en gran part pel clan dels Centelles. Un cercle en el qual localitzem, segons tots els indicis, el traductor de Gli asolani de Bembo al castellà: Lluís Santàngel
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Simo Knuuttila
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Starting from embryonic (protoconch-ammonitella) and early juvenile shells, which are indistinguishable at the species level, growth curves of Osperleioceras from the Reynesi Subzone (Upper Toarcian) of the Causses Basin (Aveyron, France) show a continuous radiating range of correlated variation in dimensional and ornamental characters, such as involution, whorl compression, rib strength and rib density. This covariation pattern can be observed among single-horizon assemblages, as well as during individual ontogenetic development. The existence of a continuous intergradational series of shells, ranging from stout coarsely ribbed to smooth suboxycone morphologies, rules out functional or ecological selectivity to explain this non-random variability pattern. The complex interdependence of shape and sculpture can be simulated by a model in which sculpture intensity depends on mantle curvature [GUEX, 1999]. The expression of covariation in subadult specimens since the base of Upper Toarcian reveals a rise in variability, concomitant with a size decrease, both contemporaneous with environmental instability. It developed in successive bursts from a fairly long low variability period spanning the whole Middle Toarcian.