917 resultados para HIV-1 viral load
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The 32-bp deletion in the HIV-1 co-receptor CCR5 confers a high degree of resistance to HIV-1 infection in homozygous individuals for the deleted allele and partial protection against HIV-1 during disease progression in heterozygotes. Natural ligands for CCR5, MIP-1alpha, MIP-1ß and RANTES, have been shown to inhibit HIV replication in CD4+ T cells. In the present study, we examined the CCR5 genotype by PCR and the plasma levels of RANTES and MIP-1alpha by ELISA among blood donors (N = 26) and among HIV-1-infected individuals (N = 129). The control group consisted of healthy adult volunteers and HIV-1-infected subjects were an asymptomatic and heterogeneous group of individuals with regard to immunologic and virologic markers of HIV-1 disease. The frequency of the CCR5 mutant allele (delta32ccr5) in this population was 0.032; however, no delta32ccr5 homozygote was detected. These results could be related to the intense ethnic admixture of the Brazilian population. There was no correlation between circulating ß-chemokines (MIP-1alpha, RANTES) and viral load in HIV-infected individuals. RANTES concentrations in plasma samples from HIV+ patients carrying the homozygous CCR5 allele (CCR5/CCR5) (28.23 ng/ml) were higher than in the control samples (16.07 ng/ml; P<0.05); however, this HIV+ patient group (mean 26.23 pg/ml) had significantly lower concentrations of MIP-1alpha than those observed in control samples (mean 31.20 pg/ml; P<0.05). Both HIV-1-infected and uninfected individuals heterozygous for the delta32ccr5 allele had significantly lower concentrations of circulating RANTES (mean 16.07 and 6.11 ng/ml, respectively) than CCR5/CCR5 individuals (mean 28.23 and 16.07 ng/ml, respectively; P<0.05). These findings suggest that the CCR5 allele and ß-chemokine production may affect the immunopathogenesis of HIV-1.
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Some studies have suggested that human immunodeficiency virus (HIV) infection modifies the natural history of hepatitis C virus (HCV) infection, accelerating the progression of fibrosis and the development of cirrhosis. Our objective was to evaluate the fibrosis progression rate (FPR) in HCV/HIV-co-infected patients, and to identify factors that may influence it. HCV-mono-infected and HCV/HIV-co-infected patients with a known date of HCV infection (transfusion or injection drug use) and a liver biopsy were included. The FPR was defined as the ratio between the fibrosis stage (Metavir score) and the estimated length of infection in years and the result was reported as fibrosis units per year. The factors studied were gender, age at infection, consumption of alcohol, aminotransferase levels, histological activity grade, HCV genotype and viral load, CD4 cell count, HIV viral load, and the use of antiretroviral therapy. Sixty-five HCV-infected (group 1) and 53 HCV/HIV-co-infected (group 2) patients were evaluated over a period of 19 months. The mean FPR of groups 1 and 2 was 0.086 ± 0.074 and 0.109 ± 0.098 fibrosis units per year, respectively (P = 0.276). There was a correlation between length of HCV infection and stage of fibrosis in both groups. The age at infection, the aspartate aminotransferase level (r = 0.36) and the inflammatory activity grade were correlated with the FPR (P < 0.001). No difference in FPR was found between HCV-mono-infected and HCV/HIV-co-infected patients.
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HIV infection has a broad spectrum of renal manifestations. This study examined the clinical and histological manifestations of HIV-associated renal disease, and predictors of renal outcomes. Sixty-one (64% male, mean age 45 years) HIV patients were retrospectively evaluated. Clinical presentation and renal histopathology were assessed, as well as CD4 T-cell count and viral load. The predictive value of histological lesion, baseline CD4 cell count and viral load for end-stage renal disease (ESRD) or death were determined using the Cox regression model. The outcomes of chronic kidney disease (CKD) and ESRD or death were evaluated by baseline CD4 cell count. The percent distribution at initial clinical presentation was non-nephrotic proteinuria (54%), acute kidney injury (28%), nephrotic syndrome (23%), and chronic kidney disease (22%). Focal segmental glomerulosclerosis (28%), mainly the collapsing form (HIVAN), acute interstitial nephritis (AIN) (26%), and immune complex-mediated glomerulonephritis (ICGN) (25%) were the predominant renal histology. Baseline CD4 cell count ≥200 cells/mm3 was a protective factor against CKD (hazard ratio=0.997; 95%CI=0.994-0.999; P=0.012). At last follow-up, 64% of patients with baseline CD4 ≥200 cells/mm3 had eGFR >60 mL·min-1·(1.73 m2)-1 compared to the other 35% of patients who presented with CD4 <200 cells/mm3 (log rank=9.043, P=0.003). In conclusion, the main histological lesion of HIV-associated renal disease was HIVAN, followed by AIN and ICGN. These findings reinforce the need to biopsy HIV patients with kidney impairment and/or proteinuria. Baseline CD4 cell count ≥200 cells/mm3 was associated with better renal function after 2 years of follow-up.
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Affiliation: Zhujun Ao, Éric Cohen & Xiaojian Yao : Département de microbiologie et immunologie, Faculté de Médecine, Université de Montréal
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Affiliation: Maude Loignon, Lise Cyr & Emil Toma : Département de microbiologie et immunologie, Faculté de médecine, Université de Montréal
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L’infection par le VIH-1 est caractérisée par une déplétion progressive des cellules T CD4+ ainsi que par un dysfonctionnement des cellules T qui, en l’absence de traitements anti-rétroviraux, conduit inéluctablement à la progression de la maladie vers le stade SIDA. Certains des mécanismes impliqués dans ce dysfonctionnement de la réponse cellulaire T ont été élucidés et ont révélé un rôle important de la molécule PD-1 dans l’exhaustion des cellules T en phase chronique de l’infection. En effet, des niveaux élevés de PD-1 ont été associés à une charge virale élevée ainsi qu’à une diminution de la production de cytokines et de la capacité de proliférer des cellules T spécifiques du virus. De plus, bloquer in vitro l’interaction de PD-1 avec son ligand PD-L1 en utilisant un anticorps bloquant rétabli la fonction de ces cellules. De façon intéressante, notre groupe ainsi que d’autres équipes, ont montré que l’expression de PD-1 était non seulement augmentée sur les cellules spécifiques de l’antigène mais aussi sur les cellules T totales. Cependant, peu de choses sont connues quant à l’impact de l’expression de PD-1 sur le renouvellement et la différenciation des cellules T qui expriment PD-1, et ce au cours de l’infection. L’expression de PD-1 n’a notamment pas été étudiée en phase aigue de l’infection. Nous montrons clairement que, aussi bien chez les individus en phase aigue qu’en phase chronique de l’infection, l’expression de PD-1 est augmentée sur toutes les sous-populations T, y compris les cellules naïves. Nous avons également mis en relief une distribution anormale des sous-populations T, ces cellules ayant un phénotype plus différencié, et ce à tous les stades de la maladie. Dans cette thèse, nous discutons le rôle possible de PD-1 dans l’homéostasie des cellules T chez les individus infectés par le VIH-1. En étudiant la transition de la phase aigue à la phase chronique de l’infection, nous avons trouvé que les sous-populations T CD8+ des individus récemment infectés exprimaient moins de PD-1 que celles des individus à un stade plus avancé de la maladie. Ces niveaux plus élevés de PD-1 sur les cellules T CD8+ en phase chronique sont associés à des niveaux réduits de prolifération in vivo – comme mesuré par l’expression de Ki67 – suggérant que l’expression de PD-1 est partiellement impliquée dans cette perte de fonction des cellules T CD8+. De plus, les cellules naïves s’accumulent en fréquence lors de la transition de la phase aigue à la phase chronique de l’infection. Considérant que les cellules naïves expriment déjà des hauts niveaux de PD-1, nous avons émis l’hypothèse que l’activation initiale des cellules T chez les individus chroniquement infectés est affectée. En résumé, nous proposons un modèle où des hauts niveaux d’expression de PD-1 sont associés à (1) un dysfonctionnement de la réponse cellulaire T CD8+ et (2) un défaut d’activation des cellules naïves ce qui contribue non seulement à la progression de la maladie mais aussi ce qui va limiter l’efficacité de potentiels vaccins dans l’infection par le VIH-1 en empêchant toute nouvelle réponse d’être initiée. Afin de mieux disséquer la réponse immunitaire mise en place lors d’une infection comme celle du VIH-1, nous avons développé un outil qui permet de détecter les cellules T CD4+ i.e. des tétramères de CMH de classe II. Ces réactifs ont pour but d’augmenter l’avidité du CMH de classe II pour son ligand et donc de détecter des TCR de faible affinité. Dans cette thèse, nous décrivons une méthode originale et efficace pour produire diverses molécules de HLA-DR liant de façon covalente le peptide antigénique. Mieux déterminer les mécanismes responsables de l’exhaustion des cellules T dans l’infection par le VIH-1 et de la progression de la maladie, ainsi que développer des outils de pointe pour suivre ces réponses T, est central à une meilleure compréhension de l’interaction entre le virus et le système immunitaire de l’hôte, et permettra ainsi le développement de stratégies pertinentes pour lutter contre l’infection par le VIH-1.
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Nous avons effectué ce travail afin d’évaluer l’impact d’une utilisation accrue des antirétroviraux (ARV) sur l’émergence de la résistance dans le cadre d’une cohorte de sujets infectés par le VIH-1, enrôlés au Mali pour recevoir la thérapie antirétrovirale. La première partie de ce travail a évalué la résistance primaire auprès de 101 sujets naïfs aux ARV. Cette étude a démontré que la majorité des sujets (71,3%) étaient infectés par le sous-type CRF02_AG. La prévalence de la résistance primaire était de 9,9%. Ce chiffre dépasse largement la moyenne de 5,5% observée dans les pays en développement et le seuil des 5% fixé par l’OMS dans le cadre de la surveillance de la résistance. Les mutations associées aux analogues de la thymidine ou « Thymidine-associated Mutations » (TAMs): M41L, D67N, L210W, T215A/Y, K219E liées à la résistance aux inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI) ainsi que les mutations K103N, V108I, V179E et Y181C impliquées dans la résistance aux inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI) étaient majoritairement observées. Ces mutations sont compatibles avec les régimes de traitement de première ligne utilisés au Mali, composés de stavudine/lamivudine/nevirapine. Nous n’avons pas trouvé de mutations majeures aux inhibiteurs de protéase (IP), probablement du fait que cette classe d’ARV est rarement utilisée au Mali. Cependant plusieurs polymorphismes au niveau du gène de la protéase, particulièrement L10I et L10V ont été observés à une fréquence très élevée (18,80%). Compte tenu de ces premiers résultats, une suite logique de ce travail était de savoir comment des souches de sous-type CRF02_AG évolueraient sous la pression de sélection des ARV. Nous avons abordé ces questions dans une étude de cohorte de 132 sujets infectés majoritairement avec le sous-type CRF02_AG débutant une thérapie de première ligne. Nos résultats suggèrent que la présence de mutation de résistance primaire pourrait avoir un effet sur l’efficacité du traitement. Par exemple, la présence d’une seule mutation INNTI avant traitement comme K103N ou V179E était suffisante pour mener à l’échec au traitement (charge virale supérieure à 400 copies/ml). Par ailleurs, nous avons effectué des expériences in vitro pour mieux évaluer l’impact du polymorphisme L10I/V chez le sous-type CRF02_AG. Il faut savoir que le rôle de ce polymorphisme reste incertain chez le sous-type CRF02_AG, car aucune étude in vitro n’avait été réalisée auparavant. Nos résultats indiquent chez le sous-type sauvage CRF02_AGwt_10L une légère augmentation de la concentration inhibitrice 50% (IC50) pour le darunavir, le lopinavir et le nelfinavir comparativement au sous-type de référence B HXB2_10L avec respectivement un « Fold Change » (FC) de 1,2, 1,3 et 1,5. Cette augmentation est plus importante pour le lopinavir avec un FC (1,3) très proche de son seuil biologique (1,6). Comparativement au type sauvage CRF02_AGwt_10L, nos deux mutants CRF02_AGL10I et CRF02_AGL10V ont démontré une légère augmentation d’IC50 pour l’indinavir (avec respectivement un FC de 1,3 et 1,2) et une diminution pour le lopinavir (avec respectivement un FC de 0,78 et 0,75). Toutes ces observations suggèrent que la mutation en position 10 pourrait avoir un impact chez le sous-type CRF02_AG. Toutefois, la signification clinique de ces observations doit être déterminée. En conclusion, nos résultats supportent d’une part la nécessité de renforcer la surveillance de la résistance aux ARV et d’autre part, il fournit des informations nécessaires à l’amélioration des stratégies thérapeutiques afin de prévenir les échecs aux traitements chez les sous-types non B, particulièrement le CRF02_AG.
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Les progresseurs lents du VIH-1 sont de rares sujets asymptomatiques pendant plusieurs années sans thérapie antirétrovirale. Parmi ces sujets à progression lente vers le SIDA, il est possible qu’un sous-groupe perde le contrôle de leur infection après plusieurs années de contrôle. Notre laboratoire a analysé l’expression différentielle de différentes protéines et voies moléculaires associées à la perte de contrôle de l’infection: l’interleukine-32 (IL-32) est une cytokine pro-inflammatoire dont le niveau des isoformes alpha et delta a significativement diminué chez les progresseurs lents lors de la perte de contrôle. Par ailleurs, des études antérieures ont attribué, de façon intrigante, à l’IL-32 aussi bien des propriétés anti-VIH-1 que des propriétés immunosuppressives induisant un environnement propice à la réplication du VIH-1. Ce projet de maitrise s’est penché sur l’implication de l’IL-32 dans la progression de l’infection à VIH-1 avec un accent particulier sur les progresseurs lents. Nous avons principalement mesuré les niveaux d’IL-32 des sujets séropositifs comparativement aux sujets VIH négatif et estimé les fonctions de cette cytokine à travers des études longitudinales et de corrélation. Nous avons observé que l’IL-32 total demeure plus élevé chez les séropositifs comparativement aux sujets VIH négatif. Également, l’infection par le VIH-1 entraine une augmentation du niveau d’IL-32 total. De plus, après une année de thérapie antirétrovirale, les taux plasmatiques d’IL-32 total demeurent significativement plus élevés que ceux des sujets VIH négatif. Comme attendu, le taux d’IL-32 total augmente lors de la perte de contrôle de l’infection chez les progresseurs lents. Une forte concentration plasmatique d’IL-32 total coïncide avec: 1) une augmentation du taux plasmatique de sCD14 et de la cytokine pro-inflammatoire IL-6, 2) une baisse du compte cellulaire CD4 et une augmentation de la charge virale. Un taux plasmatique élevé de CCL5 pourrait prédire une faible concentration d’IL-32 total. L’isoforme alpha de l’IL-32 est plus élevée dans le plasma des sujets VIH négatif tandis que l’IL-32 gamma semble induire un environnement pro-inflammatoire et immunosuppressif. Il ressort à l’issue de ces observations que l’augmentation de l’IL-32 total est associée à la progression de l’infection à VIH-1 et pourrait constituer un biomarqueur permettant d’apprécier le pronostic de cette infection.
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Objective: The objective of this study is to conduct a description of the features of optic neuropathy associated with Human Immunodeficiency Virus in relation to their possible incidence within our population, regarding that there is no data in our population in terms of frequency of this pathology (1,2). Methodology: Descriptive cross-sectional study of a clinical series of patients infected with human immunodeficiency virus, but AIDS, and the thickness of optic nerve´s layer of fibers studied with OCT technology (optical coherence tomography), patients were cited once captured. OCT was performed by the same observer, by taking 3 shots and picking the one with better reliability. Patients were given personally to the Ophthalmologic Foundation of Santander to conduct the review called OCT (optical coherence tomography). Results: In terms of viral load variable, we found a clear correlation in which validates the hypothesis that lower viral load means a thicker layer of fibers finding statistically significant differences for the 6 hours in right eye and 12 and 6 hours in left eye. Comparison between the known nomogram of fiber layer thickness for the population of Bucaramanga, Santander and thickness found in our sample, we note a clear decrease in the upper and lower quadrants, specifically in 7 hours and 11 hours, being more important in 7 hours, showing statistically significant differences. Conclusions: The pattern of thinning of the nerve fiber layer in HIV positive patients without AIDS, and antiretroviral treatment type HAART, showed a statistically significant thinning targeted at 7 hours and 11 hours, being higher in first. Viral load figures have a direct relation with loss fiber layer, showing a statistically significant difference for the 6 and 12 hours.
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Los tratamientos para aumentar los niveles de cúmulo de diferenciación 4 – CD4 en personas que padecen la enfermedad ocasionada por el Virus de la Inmunodeficiencia Humana (VIH), son importantes tanto para el mejoramiento del bienestar de los pacientes, como para el buen funcionamiento de las instituciones de salud. La presente investigación compara la intervención farmacológica de dos líneas de tratamiento, Lamivudina, Zidovudina, Efavirenz contra Efavirenz, Emtricitabina, Disoproxilo de Tenofovir que se encuentran en la recomendación de esquema de primera línea según la Guía Práctica Clínica (2014). Se evaluó el efecto costo-efectivo de estos dos tratamientos basado en el aumento de los niveles de CD4 a lo largo de tres tiempos diferentes (inicial, 6 y 12 meses) y los costos de los medicamentos de acuerdo a los precios en Colombia según el SISMED en el año 2014. Se realizó un análisis de varianza factorial con medidas repetidas, un árbol de decisiones y un análisis de costo-efectividad incremental (ACEI). Se obtuvo información de 546 pacientes, tanto hombres como mujeres, de la Institución Asistencia Científica de Alta Complejidad S.A.S de la ciudad de Bogotá. Se encontró que el esquema 1 (Lamivudina, Zidovudina, Efavirenz) fue considerado más efectivo y menos costoso que el tratamiento 2 (Efavirenz, Emtricitabina, Disoproxilo de Tenofovir), sin embargo no se evidenció una alta frecuencia de efectos adversos que pueda contribuir a la escogencia de un tratamiento u otro. De acuerdo a estos resultados la institución o los médicos tratantes tienen una alternativa farmacoeconómica para la toma de decisión del tratamiento a utilizar y así iniciar la terapia antirretroviral de pacientes que conviven con VHI con carga viral indetectable.
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Los tratamientos para aumentar los niveles de cúmulo de diferenciación 4 – CD4 en personas que padecen la enfermedad ocasionada por el Virus de la Inmunodeficiencia Humana (VIH), son importantes tanto para el mejoramiento del bienestar de los pacientes, como para el buen funcionamiento de las instituciones de salud. La presente investigación compara la intervención farmacológica de dos líneas de tratamiento, Lamivudina, Zidovudina, Efavirenz contra Efavirenz, Emtricitabina, Disoproxilo de Tenofovir que se encuentran en la recomendación de esquema de primera línea según la Guía Práctica Clínica (2014). Se evaluó el efecto costo-efectivo de estos dos tratamientos basado en el aumento de los niveles de CD4 a lo largo de tres tiempos diferentes (inicial, 6 y 12 meses) y los costos de los medicamentos de acuerdo a los precios en Colombia según el SISMED en el año 2014. Se realizó un análisis de varianza factorial con medidas repetidas, un árbol de decisiones y un análisis de costo-efectividad incremental (ACEI). Se obtuvo información de 546 pacientes, tanto hombres como mujeres, de la Institución Asistencia Científica de Alta Complejidad S.A.S de la ciudad de Bogotá. Se encontró que el esquema 1 (Lamivudina, Zidovudina, Efavirenz) fue considerado más efectivo y menos costoso que el tratamiento 2 (Efavirenz, Emtricitabina, Disoproxilo de Tenofovir), sin embargo no se evidenció una alta frecuencia de efectos adversos que pueda contribuir a la escogencia de un tratamiento u otro. De acuerdo a estos resultados la institución o los médicos tratantes tienen una alternativa farmacoeconómica para la toma de decisión del tratamiento a utilizar y así iniciar la terapia antirretroviral de pacientes que conviven con VHI con carga viral indetectable.
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Previously we described a heterosexual outbreak of HIV-1 subtype B in a town in the north of England (Doncaster) where 11 of 13 infections were shown to be linked by phylogenetic analysis of the env gp120 region. The 11 infections were related to a putative index case, Don1, and further divided into two groups based on the patients' disease status, their viral sequences, and other epidemiological information. Here we describe two further findings. First, we found that viral isolates and gp120 recombinant viruses derived from patients from one group used the CCR5 coreceptor, whereas viruses from the other group could use both the CCR5 and CXCR4 coreceptors. Patients with the X4/R5 dual tropic strains were symptomatic when diagnosed and progressed rapidly, in contrast to the other patient group that has remained asymptomatic, implying a link between the tropism of the strains and disease outcome. Second, we present additional sequence data derived from the index case, demonstrating the presence of sequences from both clades, with an average interclade distance of 9.56%, providing direct evidence of a genetic link between these two groups. This new study shows that Don1 harbored both strains, implying he was either dually infected or that over time intrahost diversification from the R5 to R5/X4 phenotype occurred. These events may account for/have led to the spread of two genetically related strains with different pathogenic properties within the same heterosexual community.
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The study aimed at verifying the associated factors of self-perceived body changes in adults living with HIV in highly-active antiretroviral therapy (HAART) in the city of Sao Paulo, Brazil. This cross-sectional study was conducted among people living with HIV on HAART for at least three months. A standardized questionnaire was used for assessing self-perceived body changes. Associated factors relating to self-reported body changes in people living with HIV (PLHIV) were assessed with Student`s t-test and chi-square test. In total, 507 patients were evaluated. The mean time since diagnosis was 6.6 years [standard deviation (SD)+/-4.1], and the mean duration of HAART was 5.1 years (SD+/-3.3). Self-perceived body changes were reported by 79.5% of the participants and were associated with viral load and duration of HAART. Fibre intake was lower among males who gained in abdominal fat (p=0.035). HAART-related body changes were reported by the large majority of the population and were associated with demographic and clinical variables.
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Genital mycoplasmas are natural inhabitants of the male urethra and are potentially pathogenic species playing an aetiological role in both genital infections and male infertility. This study aims to determine the presence of Mycoplasma genitalium DNA in urine samples of HIV-1-infected men in Sao Paulo city. Realtime polymerase chain reaction (PCR) was performed using the primers My-ins and Mgso-2 and the Taqman probe Mgen-P1 as described previously. A total of 223 HIV-1-infected men were tested with a mean age of 44 years. Thirteen (5.8%) presented M. genitalium in urine and the co-infection was more common among homosexual men (76.9% versus 51.9%, P < 0.26). In conclusion, realtime PCR was a useful and rapid method for detecting M. genitalium DNA in urine samples. Further studies should be conducted to assess the clinical significance of these results on HIV transmission and its impact on HIV viral load.
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This descriptive study aimed to investigate the relationship between expression of immunological (TCD4 +) and virological (viral load) parameters, lipodystrophy syndrome and lifestyle variables of people living with HIV who underwent a program of physicalexercise. Initially, the sample was composed by 17 persons, recorded at the Department of Giselda Trigueiro Hospital Care (GTH), Natal-RN . With the passing of the stages of intervention (physical training program- PTP) the number of participants has changed (17, 9, 8 and 7) as the training phases (I, II, III and IV). Data collected were on total cholesterol, High Density Lipoprotein (HDL) and triglycerides. The % fat (% F), body mass index (BMI), waist-hip ratio (WHR), lean mass (LM), central fat (BF), total (TF) and peripheral (PF), weight and height were used to measure the morphological parameters. For control of variables (TCD4 +, viral load, Triglycerides, Cholesterol, HDL), the information contained in the blood tests every four months were investigated. After Phase I and II, it was used a structured interview. Then sampling was carried out considering the pre-and post-tests 1, 2, 3 and 4 (after 16, 32, 48 and 64 weeks of training, respectively). Daily, the intensity of the work was checked by the scale of perceived exertion for exercises adapted to resistance34. Procedures used were descriptive statistics (dispersion, absolute and relative frequencies, means, standard deviations and minimum and maximum values) as well as Spearman linear correlation adopting a significance level of p ≤ 0.05. Positive changes were observed for TCD4 + and viral load in all phases of the PTP. For the morphological components, the loss of central subcutaneous fat (CSF) and total subcutaneous fat (TSF) for both sexes and the decrease in % BF among women were the most dramatic results after the training phase I. For men, results were more significant to % F and LM in Phases I and II and peripheral subcutaneous fat (PSF) declined in all phases of the exercise. As for women, results were more expressive for % F and TM in the phases I and II and the PSF decreased in all phases of the exercise. Whereas for women, the waist/hip ratio (WCQ) and 0% F decreased and showed a positive association with triglycerides (WHR r * 0.82, p 0.042, r 0.88 TSF *, p 0.019 and r 1.00 ** CSF, p <0.001) and among men with limb subcutaneous fat (LSF)* r 0.65, p 0.029). The PTP provided improvement in the health, self-esteem and quality of life, proving to be a possible strategy to positively influence the expression of immunological parameters (TCD4 +) and virological (viral load) and morphological components of people living with HIV causing no deleterious effects in these parameters