997 resultados para Forest-Agriculture Frontiers


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Human exploitation of the forest in the northwest of São Paulo State has generated enormous fragmentation of that forest. Such disturbance has reduced the populations of insects in general. This work was a survey of social wasps (Hymenoptera, Vespidae; Polistinae) in three areas in different stages of regeneration: Paulo de Faria - SP (435 ha), Pindorama - SP (128 ha) and Neves Paulista - SP (1 ha). These three areas were chosen for comparative purposes. To capture the wasps, it was used: active collecting with attractant liquid (solution of water, salt and sugar) with the aid of a dorsal spray bag. During the period from July to December 2006, 414 social wasps were collected in Paulo de Faria, constituting seven species belonging to four genera; 111 social wasps were collected in Pindorama, constituting six species belonging to four genera, and 129 social wasps were collected in Neves Paulista constituting 12 species belonging to seven genera. In order to compare these three areas ecological indexes were calculated. Neves Paulista had the greatest diversity, and Paulo de Faria presented greater abundance. These factors were probably caused by neighboring areas and ecological corridors, which were limited in Paulo de Faria and Pindorama.

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Report on the Iowa Department of Agriculture and Land Stewardship for the year ended June 30, 2007

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The purpose of this paper is to examine the relation between government measures, volunteer participation, climate variables and forest fires. A number of studies have related forest fires to causes of ignition, to fire history in one area, to the type of vegetation and weathercharacteristics or to community institutions, but there is little research on the relation between fire production and government prevention and extinction measures from a policy evaluation perspective.An observational approach is first applied to select forest fires in the north east of Spain. Taking a selection of fires with a certain size, a multiple regression analysis is conducted to find significant relations between policy instruments under the control of the government and the number of hectares burn in each case, controlling at the same time the effect of weather conditions and other context variables. The paper brings evidence on the effects of simultaneity and the relevance of recurring to army soldiers in specific days with extraordinary high simultaneity. The analysis also brings light on the effectiveness of twopreventive policies and of helicopters for extinction tasks.

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The knowledge on Atlantic Forest scarab beetle fauna is quite limited. This biome is strongly degraded and these insects can be used as bioindicators since they are sensitive to forest destruction and show distinct organizational patterns in forest fragments or in areas that have been deteriorated by human activity. Thus, a study of the Scarabaeidae (sensu stricto) dung beetles fauna that inhabit Serra do Japi, São Paulo, Brazil (23º12'-23º22' S and 46º53'-47º03'W) was carried out; the monthly species richness was analyzed in six areas during one year and the vegetation's structural physiognomy was described. The areas included a conserved and a degraded valley, a northward and a southward hillside, a hilltop, and an area of secondary forest growing under eucalyptus trees. The specimens were collected using four pitfall traps baited with human feces, which remained at each spot during 48 hours. Between September, 1997 and August, 1998, 3524 individuals of 39 species were collected; the most abundant were: Canthidium trinodosum, Eurysternus cyanescens, Uroxys kratochvili, Scybalocanthon nigriceps, Uroxys lata, Canthonella sp., Dichotomius assifer, Deltochilum furcatum, Canthidium sp.2, Canthon latipes, Deltochilum rubripenne, Eurysternus sp., and Dichotomius sp.1. The number of individuals and species was greater in the hot, rainy season, when there was a correlation between the number of species and the mean annual temperature [r²= 0.69; p<0.01]. The lower winter richness was most pronounced in the conserved valley, while richness remained relatively constant in the degraded valley; abundance was much higher in the degraded valley. The cluster analysis showed that the valleys and hillsides are the most similar in relation to species composition and abundance, yet different from the secondary forest with eucalypts and the hilltop.

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The development time of the immature forms of Sabethes aurescens Lutz, 1905, from perforated bamboo in the southern Brazil rain forest was studied under laboratory conditions. Mean development periods were 5±2.23, 10±5.20, 14±8.26, 36±13.90 and 9±2.43 days, respectively, for the four larval instars and pupae. The 4th instar of females was longer than that of males. Implications of the long development time of the immature forms of Sa. aurescens are discussed.

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Pour lever les contraintes multiples auxquelles le pays est confronté, et développer les différents secteurs de l’agriculture et de la pêche, le gouvernement a adopté plusieurs programmes qui sont à différents stades de mise oeuvre, notamment: (i) le Programme national pour l'environnement, (ii) le Programme national de lutte contre la désertification, (iii) le Programme national de lutte contre la pauvreté, (iv) le Plan d'action forestier national, (v) le Plan directeur des ressources hydriques, (vi) le programme national de sécurité alimentaire, (vii) le Plan directeur pour l'élevage, et (viii) le plan de développement de l’horticulture. Bien que pertinents individuellement, les différents programmes nationaux ne sont point reliés entre eux par une stratégie cohérente de développement agricole au sens large, à moyen et long terme. Une assistance avait été apportée par la FAO au Cap-Vert en 19961 pour appuyer le GEP dans la formulation d'une stratégie sectorielle, en vue de la préparation du 4ème plan national de développement pour la période 1997-2000. Les nouvelles autorités nationales, en place en 2001, voudraient disposer d’une stratégie de développement agricole de long terme, allant au-delà des programmes nationaux de développement élaborés tous les 4 ans, au gré des mandats politiques. Par ailleurs, plusieurs partenaires au développement du Cap-Vert ont également indiqué au Gouvernement que leur nouveau cadre de coopération orienté vers l’aide budgétaire, doit disposer d’un cadre stratégique cohérent à long terme, et d’un plan d'action opérationnel indiquant les actions à entreprendre et les moyens humains, institutionnels, et financiers nécessaires à leur mise en oeuvre. La stratégie de développement agricole, au sens large, s’appuie sur des politiques, initiatives et dynamiques en cours, parmi lesquelles : la vision stratégique de développement à moyen termes du Gouvernement, présentée dans les Grandes Options du Plan 2002-2005 (GOP), le document intérimaire de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP) du pays, indiquant la sécurité alimentaire et la garantie de la cohésion sociale en milieu rural comme des axes stratégiques importants, le programme national de sécurité alimentaire du Cap-Vert, avec une orientation marquée pour la réduction de la pauvreté le PANA II en cours d’élaboration, le document UNDAF2 pour le Cap-Vert élaboré en septembre 2002, avec quatre axes d’intervention prioritaire et cinq dimensions transversales. la dimension genre, pour favoriser la participation effective de toutes les couches de la société (notamment les femmes) au processus de développement socio-économique du pays, particulièrement dans les politiques, stratégies et programmes du MAAP en cohérence avec la politique de décentralisation du Gouvernement. les dynamiques d’intégration sous-régionale en cours dans le cadre de la CEDEAO3, et du CILSS4, et continentales dans le cadre du NEPAD5. C'est en tenant compte de l’ensemble du cadre contextuel évoqué et de la complexité des tâches à accomplir que le Gouvernement a sollicité l'assistance de la FAO, au titre du programme de coopération technique, pour l’aider à élaborer une stratégie de développement agricole à long terme (horizon 2015) et préparer un Plan d’actions prioritaires à moyen terme. 1 TCP/CVI/6611 : “Appui technique et méthodologique pour la formulation d’une stratégie et des politiques de développement rural “. 2 Plan-cadre des Nations Unies pour l’aide au développement. 3 Communauté économique des états de l’Afrique de l’Ouest. 4 Comité inter-états de lutte contre la sécheresse au Sahel. 5 Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique.

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Pour lever les contraintes multiples auxquelles le pays est confronté, et développer les différents secteurs de l’agriculture et de la pêche, le gouvernement a adopté plusieurs programmes qui sont à différents stades de mise oeuvre, notamment: (i) le Programme national pour l'environnement, (ii) le Programme national de lutte contre la désertification, (iii) le Programme national de lutte contre la pauvreté, (iv) le Plan d'action forestier national, (v) le Plan directeur des ressources hydriques, (vi) le programme national de sécurité alimentaire, (vii) le Plan directeur pour l'élevage, et (viii) le plan de développement de l’horticulture. Bien que pertinents individuellement, les différents programmes nationaux ne sont point reliés entre eux par une stratégie cohérente de développement agricole au sens large, à moyen et long terme. Une assistance avait été apportée par la FAO au Cap-Vert en 19961 pour appuyer le GEP dans la formulation d'une stratégie sectorielle, en vue de la préparation du 4ème plan national de développement pour la période 1997-2000. Les nouvelles autorités nationales, en place en 2001, voudraient disposer d’une stratégie de développement agricole de long terme, allant au-delà des programmes nationaux de développement élaborés tous les 4 ans, au gré des mandats politiques. Par ailleurs, plusieurs partenaires au développement du Cap-Vert ont également indiqué au Gouvernement que leur nouveau cadre de coopération orienté vers l’aide budgétaire, doit disposer d’un cadre stratégique cohérent à long terme, et d’un plan d'action opérationnel indiquant les actions à entreprendre et les moyens humains, institutionnels, et financiers nécessaires à leur mise en oeuvre. La stratégie de développement agricole, au sens large, s’appuie sur des politiques, initiatives et dynamiques en cours, parmi lesquelles : la vision stratégique de développement à moyen termes du Gouvernement, présentée dans les Grandes Options du Plan 2002-2005 (GOP), le document intérimaire de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP) du pays, indiquant la sécurité alimentaire et la garantie de la cohésion sociale en milieu rural comme des axes stratégiques importants, le programme national de sécurité alimentaire du Cap-Vert, avec une orientation marquée pour la réduction de la pauvreté le PANA II en cours d’élaboration, le document UNDAF2 pour le Cap-Vert élaboré en septembre 2002, avec quatre axes d’intervention prioritaire et cinq dimensions transversales. la dimension genre, pour favoriser la participation effective de toutes les couches de la société (notamment les femmes) au processus de développement socio-économique du pays, particulièrement dans les politiques, stratégies et programmes du MAAP en cohérence avec la politique de décentralisation du Gouvernement. les dynamiques d’intégration sous-régionale en cours dans le cadre de la CEDEAO3, et du CILSS4, et continentales dans le cadre du NEPAD5. C'est en tenant compte de l’ensemble du cadre contextuel évoqué et de la complexité des tâches à accomplir que le Gouvernement a sollicité l'assistance de la FAO, au titre du programme de coopération technique, pour l’aider à élaborer une stratégie de développement agricole à long terme (horizon 2015) et préparer un Plan d’actions prioritaires à moyen terme. 1 TCP/CVI/6611 : “Appui technique et méthodologique pour la formulation d’une stratégie et des politiques de développement rural “. 2 Plan-cadre des Nations Unies pour l’aide au développement. 3 Communauté économique des états de l’Afrique de l’Ouest. 4 Comité inter-états de lutte contre la sécheresse au Sahel. 5 Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique.

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The Rebuild Iowa Agriculture and Environment Task Force respectfully submits its report to the Rebuild Iowa Advisory Commission (RIAC) for consideration of the impacts of the tornadoes, storms, high winds, and flooding affecting Iowa’s agriculture sector and environment. The Task Force was required to address very complex and multi-faceted issues. Understanding that there were a broad range of immediate concerns, as well as critical issues that need to be addressed in the future, the Task Force structured its work in two sessions. To better address the issues and priorities of the Task Force, this report categorizes the issues as agriculture, conservation, environment, and livestock.

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Termite biomass and abundance were estimated in three remnant areas of Atlantic Forest in northeastern Brazil: Reserva Biológica de Pedra Talhada-RBPT (Alagoas State), Parque Estadual Dois Irmãos-PEDI (Pernambuco State), and Área de Proteção Ambiental Mata do Buraquinho-APMB (Paraíba State). A quantitative sampling of the termite assemblages present on trunks and leaf litter, in nests, and in the soil was undertaken during the months of June and July (rainy season) and November and December (dry season) of 2000. Thirty seven species of termites were encountered and quantified in the three remnant forest areas. The termite biomass varied from 10.09 to 11.30 g (fresh weight)/m² and abundance varied from 4911 to 5663 individuals/m². The subfamily Nasutitermitinae was dominant in terms of the number of species, biomass, and abundance. The soil-feeders were the most abundant at the three sites, while wood-feeders had the largest biomass at least at the PEDI and APMB sites. Among the microhabitats quantified, termites were most frequently encountered in the soil, being most heavily concentrated at depths of 0-20 cm. Two species stood out in terms of their biomass and abundance: Embiratermes parvirostris Constantino, on the soil, and Nasutitermes corniger (Motschulsky), on decomposing trunks and in nests. Estimates of biomass and abundance suggest that termites play an important role in the decomposition of the plant necromass in remnant forest areas of the Atlantic Forest in northeastern Brazil.

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The synanthropic index and other ecological aspects of the Muscidae family were evaluated through simultaneous monthly sampling in three different environments (urban, rural and forest) using van Someren-Rydon traps baited with human faeces, chicken viscera and decomposing fish and onion. Four traps were set up in each environment (one per bait item) for 48 hours per month, with samples taken every 12 hours. A total of 5726 specimens were collected, belonging to 19 species and 13 genera. Brontaea normata (+99,9), Brontaea quadristigma (+96,9), Synthesiomyia nudiseta (+96,5), Ophyra aenescens (+96,2), Musca domestica (+95,7) and Atherigona orientalis (+93,8) had the highest synanthropic indices, showing a marked preference for human environments. The most abundant species were B. normata (24,31%), Biopyrellia bipuncta (20,60%) and Pseudoptilolepis nigripoda (15,82%), the latter two showed a preference for uninhabited areas. A total of 11 new records for Colombia were found: Ophyra aenescens, Cyrtoneuropsis pararescita, Morellia basalis, Neomuscina dorsipuncta, Biopyrellia bipuncta, Pseudoptilolepis nigripoda, Neomuscina instabilis, Neomuscina currani, Polietina orbitalis, Neomuscina pictipennis and Cyrtoneuropsis maculipennis. Except for the first four species, the remainder presented negative synantrophy indexes (from minor to major), which would allow to use them as ecological indicators of the disturbance degree of dry forests in Colombia.

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L’archipel du Cap Vert constitué de 10 îles volcaniques appartient à la zone sahélienne qui s’étend de l’atlantique jusqu’à la mer rouge. Depuis, plusieurs décennies le Cap Vert est affecté par la désertification causée en grande partie par la récession climatique et l’érosion des sols. Ces facteurs, associés à la forte pression anthropique sur les ressources, à l’orographie accidentée et à des pluies tropicales parfois diluviennes, provoquent de sérieuses pertes du patrimoine foncier. Cependant, depuis son Indépendance en 1975, le Gouvernement a mené un vaste programme d’arborisation, de restauration des terres et d’aménagement des cours d’eau. Pourtant, très peu de recherches ont été menées pour évaluer les actions de protection et de conservation des sols et des eaux. Par conséquent, il n’existe quasiment pas de données sur la problématique de la dégradation des terres ni de bilans. Dans le cadre de ce travail, nous avons étudié les différents facteurs qui contrôlent l’érosion hydrique des sols. Nous avons plus particulièrement cherché à différencier les effets des activités humaines, notamment agricoles, de ceux des facteurs climatiques comme les précipitations et la génération des écoulements. Nous avons également établi les premiers bilans d’exportations de matières en suspension et en solution dans le contexte de l’archipel du Cap Vert. L’étude a été menée à l’échelle de trois bassins versants de l’ile de Santiago Cap-Vert. Ces trois bassins versant (Longueira, Grande et Godim) sont localisés dans la partie centrale de l’île de Santiago et représentatifs des divers modes d’occupation du sol et des différents climats de l’île. Il existe un gradient climatique entre les trois bassins versants. En effet, Longueira qui présente une superficie de 4,18 km2, une pente moyenne de 47 %, se localise dans une zone humide couverte à 69 % par une forêt et une surface agricole de 17 %. Grande avec une superficie de 1,87 km2, se localise en zone sub humide pour une pente moyenne de 50 %, il est essentiellement agricole. Godim, avec une superficie de 2,0 km2, se localise en zone semi aride, il est particulièrement agricole et sa pente moyenne est de 32 %. Pour ces trois bassins versants, les écoulements de crue à l’exutoire ont été mesurés et échantillonnés de 2004 à 2009. Le bassin versant de Longueira a fait l’objet d’un suivi plus poussé, notamment en termes de fréquence d’échantillonnage et de suivi des écoulements hors crue. Sur chaque échantillon nous avons procédé à la détermination de la concentration des matières en suspension ainsi qu’à l’analyse des éléments majeurs. Les résultats obtenus montrent que l’érosion mécanique dans les 3 bassins versants est caractérisée par une forte variabilité spatiale et temporelle. Sur la période 2005-2009, le bilan moyen annuel pour les bassins versants de Longueira, Grande et Godim est de : 4266, 157 et 10,1 t.km2.an-1 respectivement. La saison humide 2006 a été la plus érosive pour l’ensemble des trois bassins versants et particulièrement dans Longueira avec 2 crues exceptionnelles qui ont généré une concentration moyenne de matières en suspension supérieure à 100 g/l. En revanche, les saisons 2005 et 2008 ont été dans l’ensemble peu érosives car les concentrations moyennes ne dépassèrent pas 20 g/l. Par ailleurs, il n’y a pas eu de lames d’eau écoulées pour les saisons 2005 et 2007 pour le bassin de Godim. Sur le bassin de Longueira, l’étude des phénomènes d’hystérésis permet de caractériser chaque crue et de montrer que l’évolution temporelle des exportations de matières en suspension au cours de la saison est fortement influencée par les activités agricoles. En effet, la première crue provoque l’exportation massive des sédiments disponibles et localisés dans le lit du cours d’eau. En conséquence, la seconde est moins exportatrice de sédiments. Un mois après les premières pluies, les activités de sarclage diminuent la densité du couvert végétal et destructurent la partie superficielle des sols, ce qui provoque à nouveau une très forte exportation de sédiments lors de la troisième crue. Les résultats de l’érosion chimique sur le bassin de Longueira indiquent que le taux d’érosion chimique moyen s’élève à 45 t.km2.an-1 avec une forte variabilité temporelle. En effet, les saisons les plus humides de 2006 et 2007 sont les plus exportatrices de matières en solution, alors que 2005 a eu une faible exportation. L’utilisation du modèle de mélanges EMMA (End-Members Mixing Analysis) montre que les écoulements hypodermique et profond, qui alimentent le cours d’eau en éléments dissous, sont les principaux facteurs de l’érosion chimique. On montre ainsi que les écoulements hors crue sont à l’origine de plus de 90% des flux d’érosion chimique. L’écoulement superficiel, qui contribue à environ 70 % du débit du cours d’eau en crue, constitue un facteur de premier plan de l’érosion mécanique des sols.

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Melipona bicolor schencki occurs in southern Brazil and at high elevations in southeastern Brazil. It has potential for use in meliponiculture but this stingless bee species is vulnerable to extinction and we have little knowledge about its ecology. In order to gather essential information for species conservation and management, we made a study of seasonal flight activities in its natural environment. We sampled bees entering the nests with pollen, nectar/water and resin/mud, in five colonies during each season. In parallel, we analyzed the influence of hour of the day and meteorological factors on flight activity. Flights were most intense during spring and summer, with daily mean estimates of 2,100 and 2,333 flights respectively, while in fall and winter the daily flight estimate was reduced to 612 and 1,104 flights, respectively. Nectar and water were the most frequently-collected resources, followed by pollen and building materials. This preference occurred in all seasons, but with variations in intensity. During spring, daily flight activity lasted over 14 hours; this period was reduced in the other seasons, reaching eight hours in winter. Meteorological factors were associated with 40.2% of the variation in flight and resource collection activity. Apparently, other factors that we did not measure, such as colony needs and availability of floral resources, also strongly influence the intensity of resource collection.

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A new species of Cernotina (Trichoptera, Polycentropodidae) from the Atlantic Forest, Rio de Janeiro State, southeastern Brazil. Cernotina Ross, 1938, with 64 extant species, is a New World genus of caddisflies. In Brazil, there are 31 described species of which 28 are recorded from the Amazon basin. Cernotina puri sp. nov. is described and figured based on specimens collected in the Atlantic Forest, Rio de Janeiro State, Brazil. The new species can be distinguished by the shape of the intermediate appendages and tergum X. The immature stages of C. puri are unknown.

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Diversity of gall-inducing insects in the tropical dry forest (caatinga) of Pernambuco. We report on the richness of galling insects in the vegetation of caatinga of Pernambuco state, Brazil. We recorded 64 different types of galls collected primarily from leaves and stems of 48 species of host plants belonging to 17 families and 31 genera. The most common gall morphological types were spheroid and discoid, glabrous, predominantly green and with one chamber. The main gall inducing taxon was the Cecidomyiidae (Diptera). The results of this study contribute to existing knowledge of galling insect and host-plant diversity in caatinga.

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Epigean ant communities in Atlantic Forest remnants of São Paulo: a comparative study using the guild concept. The guilds constitute a valuable ecological tool, because they allow conducting comparisons among environments under different conditions. The ants can be used as ecological indicators, mainly for the monitoring of degraded forest areas. The aim of this research was to study guild organization among the epigeous Formicidae living in Atlantic forest remnants of the State of São Paulo, Brazil. Ant collections were performed in three distinct Atlantic forest biome areas: arboreal littoral vegetation ("restinga") (Cananéia), semideciduous seasonal forest (Piracicaba) and dense ombrophylousforest (Pariquera-Açu). After identification, the ants were grouped into guilds, based on the ecological attributes of behavior and habit, according to the literature. Nine guilds were found; the semideciduous seasonal forest ecosystem presented eight of them, followed by the arboreal sandbank (7) and dense ombrophylous forest (6). The guilds found were: litter omnivorous and scavengers, granivorous species, specialist predators living in litter and soil, litter generalist predators, subterranean mealybug-dependent species, army ants, dominant or subdominants arboreal, that occasionally forage on the ground, soil or litter dominant and fungus-growers, using feces and insect body fragments. The guilds found can be used in the monitoring of the mirmecofauna in the Atlantic Forest biome, supplying insights for further ecological studies.