944 resultados para 25-hydroxyvitamine-D


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Introduction: Seulement 25-30% des patients avec syndrome coronarien aigu (SCA) atteignent les valeurs cibles de LDL-cholestérol (LDL-C) dans leur suivi. L'objectif de cette étude pré/post est de tester une alerte automatique centralisée pour améliorer les pratiques. L'alerte apparaît sur les feuilles de laboratoire pour tous les patients ayant une troponine >= 0,1 microg/l; elle précise notamment les recommandations en matière de profil lipidique (LDL-C cible) à atteindre. Méthode: Tout patient admis au CHUV pour un SCA avec troponine >= 0,1 microg/l était éligible. Durant les 2 phases de l'étude (du 23.11.2008 au 15.08.201), un bilan lipidique complet a été dosé à l'admission et à 3 mois. La phase 1 (pré) était observationnelle et le message d'alerte a été introduit pour la phase 2 (post). Résultats: Phase 1: 157 patients dont 56 (35%) étaient déjà traités par une statine: 114 hommes (âge moyen 62 ans) et 43 femmes (73 ans). LDL-C moyen: 3,4 ± 1,0 mmol/l à l'admission et 2,4 ± 0,8 mmol/l à 3 mois (p <0,001). Phase 2: 140 patients dont 42 (30%) étaient déjà traités par une statine: 116 hommes (62 ans) et 24 femmes (67 ans). LDL-C moyen: 3,4 ± 1,1 mmol/l à l'admission et 2,2 ± 1,0 mmol/l à 3 mois (p <0,001). 66 % (104 patients) atteignent un LDL-C cible < = 2,6 mmol/l à 3 mois lors de la phase 1, versus 78% (110 patients) lors de la phase 2 (p = 0,2). Les patients déjà sous statine à l'admission ont une faible diminution du LDL-C à 3 mois (de 2,8 à 2,5 mmol/l phase 1, p <0,05; de 2,5 à 2,6 mmol/l phase 2, p = 0.2), alors que les patients chez qui une statine est introduite à l'admission ont une baisse significative et plus importante du LDL-C à 3 mois (de 3,8 à 2,3 mmol/l phase 1, p <0,001; de 3,7 à 2,1 mmol/l phase 2, p <0,001) que les patients déjà sous statine au préalable. Conclusion: La phase observationnelle montre un taux élevé de patients atteignant un LDL-C cible à 3 mois. L'introduction d'une alarme automatique centralisée n'a pas permis d'améliorer ces résultats. Par contre, les patients arrivant à l'hôpital avec un SCA et étant déjà sous statine devraient avoir une intensification de leur traitement.

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Audit report on America’s Agricultural Industrial Heritage Landscape, Inc., d/b/a Silos and Smokestacks National Heritage Area, in Waterloo, Iowa for the years ended December 31, 2010 and 2009

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Vitamin D deficiency rickets became a rare disease in industrialized countries due to vitamin D supplementation in infants and nutritional guidelines. Symptoms of hypocalcemia due to vitamin D deficiency rickets may be life threatening. We report a case of a 16 months old infant who initially presented with stridor that was misdiagnosed as viral laryngitis. He presented, two weeks later, a cardiorespiratory arrest related to a laryngospasm secondary to severe hypocalcemia (ionized calcium level: 0.42 mmol/l,total calcium level: 1.15 mmol/). He was successfully resuscitated and vitamin D deficiency rickets was diagnosed. The medical history revealed that the infant was exclusively breast fed without vitamin D supplementation till the age of 10 months and also deprived from other milk products intentionally by the parents due to cultural habits. The laboratory investigations showed an elevated alkaline phosphatase level at 577 U/l, a normal phosphatemia level at 2 mmol/l, a decreased 25 (OH) cholecalciferol at 5.7 mcg/l,a normal calciuria level at 0.35 mol/mol of creatinine and an increased parathyroid hormone level at 325 ng/l. Cardiocirculatory arrest secondary to vitamin D deficiency rickets is very rare. The aim of this presentation is to highlight the symptoms of vitamin D deficiency rickets and to raise pediatricians' awareness to the necessity of including the diagnosis of hypocalcemia in case of stridor especially if the nutritional history or ethnic origin of the infant predispose to vitamin D deficiency. Vitamin D supplementation is important for some ethnic minority population, whom are faced with the risk of developing this disease

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But. - Investiguer l'influence d'une hospitalisation prénatale précédant une naissance préma¬turée sur les facteurs de stress parentaux et la relation parent-enfant lors de l'hospitalisation en néonatologie ainsi que sur les symptômes de stress post-traumatique parentaux. Population et méthodes. - Population : 51 enfants prématurés et 25 enfants nés à terme (groupe témoin). Quatre groupes : groupe témoin, prématurés sans hospitalisation prénatale, prématu¬rés avec hospitalisation courte (< 8 jours) et prématurés avec hospitalisation longue (> 8 jours). Instruments: le Parental Stressor Scale: Neonatal Intensive Care Unit (PSS: NICU, Miles et al., 1993 [14]) et le Perinatal PTSD Questionnaire (PPQ, Quinnell et Hynan, 1999 [16]). Résultats. -En cas d'hospitalisation prénatale, les parents se disent plus stressés par l'environnement du bébé en néonatologie. Les mères avec une hospitalisation prénatale courte (< 8 jours) se différencient significativement du groupe témoin par plus de symptômes de stress post-traumatique. Les parents présentant plus de symptômes post-traumatiques décrivent la relation avec leur bébé en néonatologie comme significativement plus difficile. Conclusion. - Cette étude indique l'attention à apporter aux patientes hospitalisées brièvement en prénatal (< 8 jours). Il s'agit d'un groupe plus à risque de présenter des symptômes de stress post-traumatique qui peuvent engendrer des troubles dans la relation à l'enfant.

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Contexte¦Le PET/CT au 18Fluor (FDG) fait aujourd'hui partie intégrante des moyens diagnostiques¦à disposition pour la stadification des cancers suspectés ou connus. Il n'est pas rare de¦découvrir des lésions fortuites.¦Objectifs¦Notre but était de déterminer la fréquence des lésions tumorales ou non, cliniquement¦silencieuses (incidentalomes), chez des patients consécutifs non sélectionnés examinés¦par PET/CT au FDG pour un cancer connu ou supposé au sein du bassin populationnel¦du CHUV.¦Méthode¦Nous avons rétrospectivement lu les 1226 des rapports d'examens faits d'août 2009 à¦juillet 2010 pour toute indication oncologique et relevé les lésions de découverte¦fortuite et leur localisation, avant de rechercher leur investigation et leur prise en¦charge.¦Résultats¦Nous avons retenu 309 lésions fortuites chez 260 patients (25,2% des rapports lus),¦dont 141 chez 127 patients investiguées. Ont été relevés 31 patients présentant 32¦incidentalomes (2,6%), dont 6 étaient malins, 6 pré-malins et 20 bénins, soit un taux de¦1% pour les malins et pré-malins. Les sites les plus fréquents étaient les mêmes que¦dans la littérature, à savoir la thyroïde, le poumon, la sphère colorectale (lésions prémalignes¦uniquement) et les lymphomes. Pour ces trois derniers, les lésions étaient¦moins fréquentes que ce qui est rapporté. Tous ces foyers sont à investiguer¦soigneusement, afin de différencier une nouvelle atteinte d'une métastase.¦Conclusion¦En tant que première étude suisse sur le sujet, nous obtenons 1% d'incidentalomes¦(pré)malins, soit l'équivalent de la limite inférieure de la littérature, dans des sites¦similaires. Une amélioration serait possible en augmentant l'attention portée aux lésions¦jugées peu significatives. A l'instar de nombreuses autres études, nous sommes aussi¦confrontés au problème lié à l'interprétation des foyers de captation et à la nonspécificité¦du FDG.

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Among 645 obese patients examined at an out-patient clinic for obese patients by physical examination and a computerized questionnaire, two subgroups of patients could be identified according to their nutritional preferences: 177 patients preferred carbohydrates exclusively (group A) and 73 patients fat exclusively (group B). No definite preferences were formulated by the other patients. Among patients under 25 years, only 3 belonged to group B and 49 to group A, while in older patients no significant differences were found. Among patients with BMI less than 30, there were significantly fewer patients from group B than from group A (p = 0.006), while in patients with BMI greater than 30 no significant difference was observed. There were significantly more men in group B than in group A. 57% of the patients of group B complained of physical symptoms related to their obesity, compared to 37% in group A (p = 0.006). 26% of group B suffered from joints and muscles compared to 13% of group A (p = 0.003). Hyperglycemia (greater than 5,6 mmol/l) was found in 21% of group A and in 40% of group B (p less than 0.005). Hypercholesterolemia (greater than 6.5 mmol/l) was found in 20% of group A and in 32% of group B (p less than 0.05). In conclusion, obese patients who prefer fat have more general symptoms related to obesity, more abnormal physical signs, and more frequently have hyperglycemia and hypercholesterolemia than patients who prefer carbohydrates.