834 resultados para severs acute respivatory syndrome (SARS)-associated Coronavirus (SARS-CoV)
Resumo:
The gene encoding human myosin VIIA is responsible for Usher syndrome type III (USH1B), a disease which associates profound congenital sensorineural deafness, vestibular dysfunction, and retinitis pigmentosa. The reconstituted cDNA sequence presented here predicts a 2215 amino acid protein with a typical unconventional myosin structure. This protein is expected to dimerize into a two-headed molecule. The C terminus of its tail shares homology with the membrane-binding domain of the band 4.1 protein superfamily. The gene consists of 48 coding exons. It encodes several alternatively spliced forms. In situ hybridization analysis in human embryos demonstrates that the myosin VIIA gene is expressed in the pigment epithelium and the photoreceptor cells of the retina, thus indicating that both cell types may be involved in the USH1B retinal degenerative process. In addition, the gene is expressed in the human embryonic cochlear and vestibular neuroepithelia. We suggest that deafness and vestibular dysfunction in USH1B patients result from a defect in the morphogenesis of the inner ear sensory cell stereocilia.
Resumo:
We describe a case report of a patient that was implanted with a posterior chamber phakic intraocular lens (Phakic Refractive Lens, PRL) for the correction of moderate myopia and who developed postoperatively a fixed mydriasis compatible with an Urrets-Zavalia Syndrome (UZS). Specifically, a sudden acute increase of IOP in the left eye was observed in the immediate postoperative period. After IOP stabilization, the refractive result was good, but a fixed and mydriatic pupil appeared. This condition led the patient to experience visual discomfort, halos, and glare associated with high levels of higher-order aberrations in spite of the good visual result. A tinted-contact lens was fitted in order to minimize those symptoms. The UZS should be considered as a possible complication after implantation of posterior chamber phakic intraocular lenses.
Resumo:
Les cellules endothéliales (EC) constituent une première barrière physique à la dissémination de virus pléiotropiques circulant par voie hématogène mais leur contribution à la défense innée anti-virale est peu connue. Des dysfonctions des EC de la barrière hémato-encéphalique (BMEC) et des sinusoïdes hépatiques (LSEC) ont été rapportées dans des neuropathologies et des hépatites aiguës ou chroniques d’origine virale, suggérant que des atteintes à leur intégrité contribuent à la pathogenèse. Les sérotypes de coronavirus de l’hépatite murine (MHV), se différenciant par leur capacité à induire des hépatites et des maladies neurologiques de sévérité variable et/ou leur tropisme pour les EC, représentent des modèles viraux privilégiés pour déterminer les conséquences de l’infection des EC sur la pathogenèse virale. Lors d’infection par voie hématogène, le sérotype MHV3, le plus virulent des MHV, induit une hépatite fulminante, caractérisée par une réponse inflammatoire sévère, et des lésions neurologiques secondaires alors que le sérotype moins virulent, MHV-A59, induit une hépatite modérée sans atteintes secondaires du système nerveux central (SNC). Par ailleurs, le sérotype MHV3, à la différence du MHV-A59, démontre une capacité à stimuler la production de cytokines par la voie TLR2. Les variants atténués du MHV3, les virus 51.6-MHV3 et YAC-MHV3, sont caractérisés par un faible tropisme pour les LSEC et induisent respectivement une hépatite modérée et subclinique. Compte tenu de l’importance des LSEC dans le maintien de la tolérance hépatique et de l’élimination des pathogènes circulants, il a été postulé que la sévérité de l’hépatite et de la réponse inflammatoire lors d’infections par les MHV est associée à la réplication virale et à l’altération des propriétés tolérogéniques et vasculaires des LSEC. Les désordres inflammatoires hépatiques pourraient résulter d’une activation différentielle du TLR2, plutôt que des autres TLR et des hélicases, selon les sérotypes. D’autre part, compte tenu du rôle des BMEC dans la prévention des infections du SNC, il a été postulé que l’invasion cérébrale secondaire par les coronavirus est reliée à l’infection des BMEC et le bris subséquent de la barrière hémato-encéphalique (BHE). À l’aide d’infections in vivo et in vitro par les différents sérotypes MHV, chez des souris ou des cultures de BMEC et de LSEC, nous avons démontré, d’une part, que l’infection in vitro des LSEC par le sétotype MHV3, à la différence des variants 51.6- et YAC-MHV3, altérait la production du facteur vasodilatant NO et renversait leur phénotype tolérogénique en favorisant la production de cytokines et de chimiokines inflammatoires. Ces dysfonctions se traduisaient in vivo par une réponse inflammatoire incontrôlée et une dérégulation du recrutement intrahépatique de leucocytes, favorisant la réplication virale et les dommages hépatiques. Nous avons aussi démontré, à l’aide de souris TLR2 KO et de LSEC dont l’expression du TLR2 a été abrogée par des siRNA, que la sévérité de l’hépatite et de la réponse inflammatoire induite par le sérotype MHV3, dépendait en partie de l’induction et de l’activation préférentielle du TLR2 par le virus dans le foie. D’autre part, la sévérité de la réplication virale au foie et des désordres dans le recrutement leucocytaire intrahépatique induits par le MHV3, et non par le MHV-A59 et le 51.6-MHV3, corrélaient avec une invasion virale subséquente du SNC, au niveau de la BHE. Nous avons démontré que l’invasion cérébrale du MHV3 était associée à une infection productive des BMEC et l’altération subséquente des protéines de jonctions serrées occludine, VE-cadhérine et ZO-1 se traduisant par une augmentation de la perméabilité de la BHE et l’entrée consécutive du virus dans le cerveau. Dans l’ensemble, les résultats de cette étude mettent en lumière l’importance du maintien de l’intégrité structurale et fonctionnelle des LSEC et des BMEC lors d’infections virales aigües par des MHV afin de limiter les dommages hépatiques associés à l’induction d’une réponse inflammatoire exagérée et de prévenir le passage des virus au cerveau suite à une dissémination par voie hématogène. Ils révèlent en outre un nouveau rôle aggravant pour le TLR2 dans l’évolution de l’hépatite virale aigüe ouvrant la voie à de nouvelles avenues thérapeutiques visant à moduler l’activité inflammatoire du TLR2.
Resumo:
Increased plasma fibrinogen levels are associated with shortened overall survival (OS) in some solid tumor types. In contrast, the prognostic significance of varying fibrinogen levels in acute myeloid leukemia (AML) at diagnosis is unknown. In this study, we assessed the prognostic significance of fibrinogen levels in AML patients. In a comprehensive retrospective single-center study, we determined the survival rates of 375 consecutive AML patients undergoing at least one cycle of intensive chemotherapy induction treatment. Patients were dichotomized between low (<4.1 g/L) and high fibrinogen levels (≥4.1 g/L) at diagnosis of AML before initiation of treatment. Subsequently, quartile ranges were applied to analyze the association of varying fibrinogen levels on survival. We observed that the rates of complete remission, early death, and admission to intensive care unit were equal in the low versus high fibrinogen group. However, OS was significantly better in the low fibrinogen group (27.3 vs 13.5 months; p = 0.0009) as well as progression-free survival (12.3 vs 7.8 months; p = 0.0076). This survival difference remained significant in the multivariate analysis (p = 0.003). Assessing quartiles of fibrinogen values, we further confirmed this observation. Our data suggest that high fibrinogen levels at diagnosis of AML are associated with unfavorable OS and progression-free survival but not with increased mortality during induction treatment.
Resumo:
OBJECTIVES Cardiac involvement in the course of acute kidney injury is described in humans as cardiorenal syndrome type 3 but has received only limited attention in dogs. This study was designed to evaluate cardiac injury and dysfunction in acute kidney injury in dogs and its association with outcome. METHODS This prospective cohort study enrolled 24 client-owned dogs with acute kidney injury. Cardiac disorders were evaluated with thoracic radiographs, echocardiography, 24-hour Holter monitoring and cardiac troponin I concentrations within 2 days of admission and 7 to 10 days later. RESULTS Most dogs were diagnosed with leptospirosis (n=18, 75%) and presented with moderate-to-severe acute kidney injury, International Renal Interest Society grades III to V. Dogs with ê100 ventricular premature complexes per 24 hour in the first examination (n=8) had significantly higher initial cTnI concentrations (P=0·007) compared to dogs with fewer than 100. In receiver operating characteristic curve analysis, the number of ventricular premature complexes was predictive of outcome (AUC 0·83, P<0·001). CLINICAL SIGNIFICANCE Acute kidney injury seems to be associated with cardiac injury and arrhythmias in dogs. The data do not indicate a cardiac cause of poor outcome in dogs with increased number of ventricular premature complexes but the association may reflect the severity of disease.
Resumo:
Mode of access: Internet.
Resumo:
"Bibliographie": p. [329]-332.
Resumo:
Mode of access: Internet.
Resumo:
Mode of access: Internet.
Resumo:
Mode of access: Internet.
Resumo:
Mode of access: Internet.
Resumo:
Study Design. An experimental study of motor and sensory function and psychological distress in subjects with acute whiplash injury. Objectives. To characterize acute whiplash injury in terms of motor and sensory systems dysfunction and psychological distress and to compare subjects with higher and lesser levels of pain and disability. Summary of Background Data. Motor system dysfunction, sensory hypersensitivity, and psychological distress are present in chronic whiplash associated disorders ( WAD), but little is known of such factors in the acute stage of injury. As higher levels of pain and disability in acute WAD are accepted as signs of poor outcome, further characterization of this group from those with lesser symptoms is important. Materials and Methods. Motor function ( cervical range of movement [ ROM], joint position error [JPE]; activity of the superficial neck flexors [EMG] during a test of craniocervical flexion), quantitative sensory testing ( pressure, thermal pain thresholds, and responses to the brachial plexus provocation test), and psychological distress (GHQ-28, TAMPA, IES) were measured in 80 whiplash subjects ( WAD II or III) within 1 month of injury, as were 20 control subjects. Results. Three subgroups were identified in the cohort using cluster analysis based on the Neck Disability Index: those with mild, moderate, or severe pain and disability. All whiplash groups demonstrated decreased ROM and increased EMG compared with the controls ( all P < 0.01). Only the moderate and severe groups demonstrated greater JPE and generalized hypersensitivity to all sensory tests ( all P < 0.01). The three whiplash subgroups demonstrated evidence of psychological distress, although this was greater in the moderate and severe groups. Measures of psychological distress did not impact on between group differences in motor or sensory tests. Conclusions. Acute whiplash subjects with higher levels of pain and disability were distinguished by sensory hypersensitivity to a variety of stimuli, suggestive of central nervous system sensitization occurring soon after injury. These responses occurred independently of psychological distress. These findings may be important for the differential diagnosis of acute whiplash injury and could be one reason why those with higher initial pain and disability demonstrate a poorer outcome.