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Introduction : Les tumeurs solides pseudo-papillaires du pancréas (SPT) sont des tumeurs rares, d'étiopathogénie encore incertaine.Le but de notre travail était de décrire les caractéristiques radiologiques des SPT dans le groupe d'âge pédiatrique et d'étudier leur corrélation avec les études anatomopathologiques en vue d'établir un diagnostic.Patients et Méthodes : Nous avons étudié rétrospectivement trois malades pédiatriques pour lesquelles le diagnostic de tumeur solide pseudo-papillaire du pancréas a été porté à l'examen d'une pièce opératoire. Ce groupe comprenait 3 jeunes filles et femmes (âge médian: 13 ans).Résultats : La tumeur a été découverte pendant le bilan de symptômes digestifs non spécifiques. Les examens biologiques n'étaient pas informatifs. Des investigations radiologiques complètes ont été réalisées y compris les ultrasons (US), la tomodensitométrie (CT) et l'imagerie par résonance magnétique (IRM).Celles-ci ont montré de volumineuses lésions nodulaires, peu vascularisées, de compositions habituellement hétérogènes, avec des composantes kystiques et hémorragiques identifiées dans les 3 cas. Un traitement chirurgical a été pratiqué chez toute les patientes. L'étude de la pièce opératoire a montré une tumeur encapsulée dans les 3 cas. Aucune métastase n'a été mise en évidence.Conclusion : Les SPT doivent être considérées dans le diagnostic différentiel des masses pancréatiques pédiatriques, en particulier chez les adolescentes. Certaines caractéristiques radiologiques comme des masses volumineuses bien circonscrites, des lésions hétérogènes avec des zones kystiques et hémorragiques, de plus entourées d'une pseudocapsule fibreuse réactive, suggèrent fortement le diagnostic de SPT. Celui-ci devrait ensuite être confirmé par une biopsie avant que la résection chirurgicale soit effectuée. Chez les enfants, Γ écho graphie abdominale reste la méthode de première intention, suivie par l'IRM comme technique d'imagerie de choix pour évaluer les caractéristiques et l'extension de la lésion, tout en évitant l'exposition des patients aux rayonnements ionisants.

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PURPOSE: To compare examination time with radiologist time and to measure radiation dose of computed tomographic (CT) fluoroscopy, conventional CT, and conventional fluoroscopy as guiding modalities for shoulder CT arthrography. MATERIALS AND METHODS: Glenohumeral injection of contrast material for CT arthrography was performed in 64 consecutive patients (mean age, 32 years; age range, 16-74 years) and was guided with CT fluoroscopy (n = 28), conventional CT (n = 14), or conventional fluoroscopy (n = 22). Room times (arthrography, room change, CT, and total examination times) and radiologist times (time the radiologist spent in the fluoroscopy or CT room) were measured. One-way analysis of variance and Bonferroni-Dunn posthoc tests were performed for comparison of mean times. Mean effective radiation dose was calculated for each method with examination data, phantom measurements, and standard software. RESULTS: Mean total examination time was 28.0 minutes for CT fluoroscopy, 28.6 minutes for conventional CT, and 29.4 minutes for conventional fluoroscopy; mean radiologist time was 9.9 minutes, 10.5 minutes, and 9.0 minutes, respectively. These differences were not statistically significant. Mean effective radiation dose was 0.0015 mSv for conventional fluoroscopy (mean, nine sections), 0.22 mSv for CT fluoroscopy (120 kV; 50 mA; mean, 15 sections), and 0.96 mSv for conventional CT (140 kV; 240 mA; mean, six sections). Effective radiation dose can be reduced to 0.18 mSv for conventional CT by changing imaging parameters to 120 kV and 100 mA. Mean effective radiation dose of the diagnostic CT arthrographic examination (140 kV; 240 mA; mean, 25 sections) was 2.4 mSv. CONCLUSION: CT fluoroscopy and conventional CT are valuable alternative modalities for glenohumeral CT arthrography, as examination and radiologist times are not significantly different. CT guidance requires a greater radiation dose than does conventional fluoroscopy, but with adequate parameters CT guidance constitutes approximately 8% of the radiation dose.