980 resultados para Church of Christ (Owosso, Mich.)
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This edition of Milton’s Epistolarum Familiarium Liber Unus and of his Uncollected Letters, will appear as 672 pp. of The Complete Works of John Milton Volume XI, eds. Gordon Campbell and Edward Jones (Oxford University Press, forthcoming 2016). A diplomatic Latin text and a new facing English translation are complemented by a detailed Introduction and commentary that situate Milton’s Latin letters in relation to the classical, pedagogical and essentially humanist contexts at the heart of their composition. Now the art of epistolography advocated and exemplified by Cicero and Quintilian and embraced by Renaissance pedagogical manuals is read through a humanist filter whereby, via the precedent (and very title) of Epistolae Familiares, the Miltonic Liber is shown to engage with a neo-Latin re-invention of the classical epistola that had come to birth in quattrocento Italy in the letters of Petrarch and his contemporaries. At the same time the Epistolae are seen as offering fresh insight into Milton’s views on education, philology, his relations with Italian literati, his blindness, the poetic dimension of his Latin prose, and especially his verbal ingenuity as the ‘words’ of Latin ‘Letters’ become a self-conscious showcasing of etymological punning on the ‘letters’ of Latin ‘words’. The edition also announces several new discoveries, most notably its uncovering and collation of a manuscript of Henry Oldenburg’s transcription (in his Liber Epistolaris held in Royal Society, London) of Milton’s Ep. Fam. 25 (to Richard Jones). Oldenburg’s transcription (from the original sent to his pupil Jones) is an important find, given the loss of all but two of the manuscripts of Milton’s original Latin letters included in the 1674 volume. The edition also presents new evidence in regard to Milton’s relationships with the Italian philologist Benedetto Buonmattei, the Greek humanist Leonard Philaras, the radical pastor Jean Labadie (and the French church of London), and the elusive Peter Heimbach.
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This article describes the culture of print and polemic associated with the Cromwellian invasion of Scotland and the resistance of the Church of Scotland. It argues that print solidified Parliamentary ideas during the invasion but that it did not continue to do so after English dominance had been established. These texts illustrate the divisions between the mentalité of the Cromwellian rank-and-file and that of the rather small and probably unrepresentative body of opinion formers who sought to control and represent it.
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Hesperian College building, constructed in 1860-61, Woodland, California, ca. 1862. [Chapman University was founded by members of the Christian Church (Disciples of Christ) as Hesperian College in Woodland, Calif., on March 4, 1861. In 1920, the assets of Hesperian College were absorbed by California Christian College, which held classes in downtown Los Angeles. In 1934, the school was renamed after the chairman of its board of trustees (and primary benefactor), C.C. Chapman.]
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Hesperian College building, constructed in 1860-61, with students and faculty, Woodland, California, ca. 1862. [Chapman University was founded by members of the Christian Church (Disciples of Christ) as Hesperian College in Woodland, Calif., on March 4, 1861. In 1920, the assets of Hesperian College were absorbed by California Christian College, which held classes in downtown Los Angeles. In 1934, the school was renamed after the chairman of its board of trustees (and primary benefactor), C.C. Chapman.]
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The Gainsborough Presbyterian Church was organized prior to 1833, but no records were kept until this date. In 1809, the church was lead by Rev. Daniel Ward Eastman. In 1833 the church became part of the Niagara Presbytery of the American Presbyterian Church. The records include transfer of membership, records of marriages, lists of subscribers and session minutes. Photocopies from originals were made in 1977 by E. Phelps, University of Western Ontario, prior to their deposit with the United Church of Canada Archives, Toronto, Ont.
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Grace Anglican Church was founded as a mission church of St. Thomas', St. Catharines. A large house, originally built and owned by the William and Maria McCalla family, was donated by Colonel R.W. Leonard for this purpose. The mission was dedicated on 29 June 1921. It was not until 1938 that Grace Church became an independent parish. A church building was constructed and opened on 28 November 1939. In April 1956 part of the church was damaged by fire, was rebuilt and enlarged.
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The book of Common Prayer Canada is bound in soft leather. This book contains 2 book plates from St. George's Church, St. Catharines. The first one says that Margaret Julia Band was confirmed April 17, 1935 and had her first communion April 21, 1935. The second one says that Percy Caruthers Band was confirmed April 8, 1936 and received first communion April 12, 1936. There is also an inscription which reads "To Margaret from her mother, April the 21st, 1935, St. Catharines. The full text is available in the Brock University Special Collections and Archives.
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La théologie catholique affirme que Jésus, médiateur par excellence, est la Révélation plénière de Dieu à son peuple. Cependant, il y a eu au fil des siècles des révélations dites «privées», dont certaines ont été reconnues par l’autorité de l’Église. Le cas des révélations privées non reconnues a toujours été générateur de malentendus et de conflits froids et parfois ouverts entre l’autorité de l’Église et certains fidèles. En contexte africain, où le christianisme se greffe sur la culture traditionnelle, cette question de révélations privées est importante car elle imprègne la religion ancestrale. Dans notre contexte où le Christianisme semble avoir le vent en poupe, on se demande quelque rapport y a-t-il entre foi et expérience individuelle de révélation privée; la révélation privée est-elle un couronnement d’une vie de foi bien menée sous le regard du Seigneur et des hommes? Comment Dieu se manifeste-t-il aux hommes et comment en rendre compte sans faire face à l’adversité? Avec l’étude de l’expérience de Paul en 2Co 12, 1-10, il y a lieu de revenir sur la théologie catholique au sujet de la Révélation en rapport avec les révélations pour voir comment elle s’est articulée, à partir de la Bible, au fil des temps, en fonction des cultures et des réalités sans cesse nouvelles. À la base de cette théologie, on peut trouver en bonne position l’influence herméneutique de l’expérience mystique de Paul. Une révélation privée comme celle qu’il vit, fait toujours face à des doutes ou des attitudes sceptiques parfois tenaces pour se préciser après coup et fonder en raison son apport par rapport au Christ et à la vie ecclésiale. Si le jugement de l’Église est important pour son insertion dans la vie des communautés, toutefois, il faut dire qu’il n’est pas déterminant. Tout se joue entre Dieu et la personne certes, mais la qualité des fruits de ce jeu spirituel étant garante de la crédibilité de la révélation. Dieu, qui sait toujours communiquer avec son peuple sous des formes variées, en est capable en tout temps et selon le mode qu’il se donne. Pour mieux parler de l’expérience de Paul en 2Co 12,1-10, les démarches historico-critique et narrative ont été d’une utilité complémentaire en vue d’authentifier dans la péricope ce qu’il convient d’appeler : la mystique de Paul. Le témoignage spirituel de Paul peut servir de paradigme pour les personnes et d’éclairage pour l’Église dans le discernement des phénomènes de révélation privée aujourd’hui. Paul vit une relation forte avec le Dieu de Jésus Christ, il la fait vivre à ses communautés; quoiqu’il advienne, il n’hésite pas à en rendre compte et à la communauté, et à Pierre et aux autres. Sa vie intensément mystique, ne le soustrait pas de la démarche ecclésiale pour défendre ses révélations.
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Dès les débuts du christianisme, l’Église s’est servie de l’art. Au Moyen âge, en particulier, la décoration des cathédrales (sculptures, fresques vitraux) avait une valeur esthétique, mais plus encore, une valeur didactique. Moyens matériels pour faire la catéchèse, voire évangéliser, les crèches du Musée de l’Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal s’inscrivent dans cette perspective. Tenant compte de cette mission d’évangélisation qui incombe à l’Église et de l’importance que prend de plus en plus le visuel dans la culture et la société actuelles, nous voulons partir de l’exposition des crèches de Noël à l’Oratoire Saint-Joseph, de l’année 2009, pour découvrir en quoi elle pourrait contribuer à l’évangélisation et à la croissance du christianisme et des chrétiens. En effet, les crèches de Noël sont essentiellement œuvre de foi, – non pas liée à la foi de l’auteur mais plutôt à l’effet que cette oeuvre peut avoir sur celui qui la regarde, – dont la dévotion à la sainte Famille. Ce moyen d’évangélisation dans ce monde en mutation où l’art visuel s’est avéré d’une extrême importance convient bien au contexte de la déchristianisation et peut offrir une complémentarité aux méthodes traditionnelles d’évangélisation basées surtout sur le discours. Ils sont complémentaires, dans le sens où il ne s’agit pas de « cheminer à travers villes et villages, prêchant et annonçant la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu » (Lc 8,1) aux personnes qui n’ont pas encore entendu parler du Christ, mais d’éveiller la curiosité chez les visiteurs non-chrétiens (Evangelii Nuntiandi 53), de stimuler l’intérêt à l’égard de la religion chez les non-pratiquants (EN 56) et, de soutenir et approfondir la foi des fidèles. Mots-clés : Christianisme – Église – transmission – évangélisation – éducation de la foi – musée – crèches – Oratoire Saint-Joseph.
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La relación entre la política y la religión ha sido un fenómeno constante en la historia de Colombia, pero gracias a la pluralización religiosa manifestada en la Constitución Política de 1991 se abrió el panorama político para la participación política de congregaciones confesionales, diferentes a la católica. En este contexto de participación pluralista surgió la presente investigación que tiene como propósito la caracterización de la relación entre la Iglesia de Dios Ministerial de Jesucristo Internacional y el Movimiento Político MIRA a partir de la eficiencia electoral obtenida en las elecciones al Senado del 2006 y el 2010 en Bogotá. Dando como resultado una indiscutible relación entre la localización de una sede de la IDMJI y la concentración electoral por el MIRA en las localidades de Bogotá.
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El propósito de esta investigación es explorar los efectos del liderazgo carismático religioso sobre el desempeño electoral y la supervivencia del movimiento político MIRA en Colombia. Para ello, emplea una metodología cualitativa, que se vale principalmente de entrevistas a profundidad y observación no participante, para acercarse a las prácticas religiosas y a las actitudes políticas de los fieles de la Iglesia de Dios Ministerial de Jesucristo Internacional. A partir de la información recabada a lo largo de este estudio, se pretende demostrar que hay una relación entre el tamaño de la congregación religiosa y el número de votos que obtiene el movimiento MIRA. Ello, gracias a que el papel que María Luisa Piraquive desempeña dentro de la comunidad religiosa contribuye a la legitimación del accionar del movimiento político y al surgimiento de un voluntariado activo dentro de este, que se comporta disciplinada y comprometidamente con los objetivos de dicha organización.
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Inside the stones of its most famous buildings, Évora keeps mysteries and secrets which constitute the most hidden side of its cultural identity. A World Heritage site, this town seems to preserve, in its medieval walls, a precious knowledge of the most universal and ancient human emotion: fear. Trying to transcend many of its past and future fears, some of its historical monuments in Gothic style were erected against the fear of death, the most terrible of all fears, which the famous inscription, in the Bones Chapel of the Church of São Francisco, insistently reminds us, through the most disturbing words: “Nós ossos que aqui estamos pelos vossos esperamos”. If the first inquisitors worked in central Europe (Germany, northern Italy, eastern France), later the centres of the Inquisition were established in the Mediterranean regions, especially southern France, Italy, Portugal, and Spain. Consequently, the roots of fear in Évora are common to other towns, where the Inquisition developed a culture of fear, through which we can penetrate into the dark side of the Mediterranean, where people were subjected to the same terrifying methods of persecution and torture. This common geographical and historical context was not ignored by one of the most famous masters of American gothic fiction, Edgar Allan Poe. Through the pages of The Pit and the Pendulum, readers get precise images of the fearful instruments of terror that were able to produce the legend that has made the first grand inquisitor, Tomas de Torquemada, a symbol of ultimate cruelty, bigotry, intolerance, and religious fanaticism, which unfortunately are still the source of our present fears in a time when religious beliefs can be used again as a motif of war and destruction. As Krishnamurti once suggested, only a fundamental realization of the root of all fear can free our minds.