759 resultados para preoperative anxiety
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The purpose of this study was to examine the reliability and validity of the School Anxiety Inventory (SAI) using a sample of 646 Slovenian adolescents (48% boys), ranging in age from 12 to 19 years. Single confirmatory factor analyses replicated the correlated four-factor structure of scores on the SAI for anxiety-provoking school situations (Anxiety about School Failure and Punishment, Anxiety about Aggression, Anxiety about Social Evaluation, and Anxiety about Academic Evaluation), and the three-factor structure of the anxiety response systems (Physiological Anxiety, Cognitive Anxiety, and Behavioral Anxiety). Equality of factor structures was compared using multigroup confirmatory factor analyses. Measurement invariance for the four- and three-factor models was obtained across gender and school-level samples. The scores of the instrument showed high internal reliability and adequate test–retest reliability. The concurrent validity of the SAI scores was also examined through its relationship with the Social Anxiety Scale for Adolescents (SASA) scores and the Questionnaire about Interpersonal Difficulties for Adolescents (QIDA) scores. Correlations of the SAI scores with scores on the SASA and the QIDA were of low to moderate effect sizes.
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Les arthroplasties totales de la hanche (ATH) et du genou (ATG) sont souvent offertes aux patients atteints de dégénérescence articulaire sévère. Bien qu’efficace chez la majorité des patients, ces interventions mènent à des résultats sous-optimaux dans de nombreux cas. Il demeure difficile d’identifier les patients à risque de résultats sous-optimaux à l’heure actuelle. L’identification de ces patients avant la chirurgie pourrait permettre d’optimiser la gamme de soins et de services offerts et de possiblement améliorer les résultats de leur chirurgie. Ce mémoire a comme objectifs : 1) de réaliser une revue systématique des déterminants associés à la douleur et aux incapacités fonctionnelles rapportées par les patients à moyen-terme suivant ces deux types d’arthroplastie et 2) de développer des modèles de prédiction clinique permettant l’identification des patients à risque de mauvais résultats en terme de douleur et d’incapacités fonctionnelles suivant l’ATH et l’ATG. Une revue systématique de la littérature identifiant les déterminants de la douleur et de la fonction suivant l’ATH et l’ATG a été réalisée dans quatre bases de données jusqu’en avril 2015 et octobre 2014, respectivement. Afin de développer un algorithme de prédiction pouvant identifier les patients à risque de résultats sous-optimaux, nous avons aussi utilisé des données rétrospectives provenant de 265 patients ayant subi une ATH à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont (HMR) de 2004 à 2010. Finalement, des données prospectives sur 141 patients recrutés au moment de leur inclusion sur une liste d’attente pour une ATG dans trois hôpitaux universitaires à Québec, Canada et suivis jusqu’à six mois après la chirurgie ont permis l’élaboration d’une règle de prédiction clinique permettant l’identification des patients à risque de mauvais résultats en terme de douleur et d’incapacités fonctionnelles. Vingt-deux (22) études d’une qualité méthodologique moyenne à excellente ont été incluses dans la revue. Les principaux déterminants de douleur et d’incapacités fonctionnelles après l’ATH incluaient: le niveau préopératoire de douleur et de fonction, un indice de la masse corporelle plus élevé, des comorbidités médicales plus importantes, un état de santé générale diminué, une scolarité plus faible, une arthrose radiographique moins sévère et la présence d’arthrose à la hanche controlatérale. Trente-quatre (34) études évaluant les déterminants de douleur et d’incapacités fonctionnelles après l’ATG avec une qualité méthodologique moyenne à excellente ont été évaluées et les déterminants suivant ont été identifiés: le niveau préopératoire de douleur et de fonction, des comorbidités médicales plus importantes, un état de santé générale diminué, un plus grands niveau d’anxiété et/ou de symptômes dépressifs, la présence de douleur au dos, plus de pensées catastrophiques ou un faible niveau socioéconomique. Pour la création d’une règle de prédiction clinique, un algorithme préliminaire composé de l’âge, du sexe, de l’indice de masse corporelle ainsi que de trois questions du WOMAC préopératoire a permis l’identification des patients à risque de résultats chirurgicaux sous-optimaux (pire quartile du WOMAC postopératoire et percevant leur hanche opérée comme artificielle avec des limitations fonctionnelles mineures ou majeures) à une durée moyenne ±écart type de 446±171 jours après une ATH avec une sensibilité de 75.0% (95% IC: 59.8 – 85.8), une spécificité de 77.8% (95% IC: 71.9 – 82.7) et un rapport de vraisemblance positif de 3.38 (98% IC: 2.49 – 4.57). Une règle de prédiction clinique formée de cinq items du questionnaire WOMAC préopratoire a permis l’identification des patients en attente d’une ATG à risque de mauvais résultats (pire quintile du WOMAC postopératoire) six mois après l’ATG avec une sensibilité de 82.1 % (95% IC: 66.7 – 95.8), une spécificité de 71.7% (95% IC: 62.8 – 79.8) et un rapport de vraisemblance positif de 2.9 (95% IC: 1.8 – 4.7). Les résultats de ce mémoire ont permis d’identifier, à partir de la littérature, une liste de déterminants de douleur et d’incapacités fonctionnelles après l’ATH et l’ATG avec le plus haut niveau d’évidence à ce jour. De plus, deux modèles de prédiction avec de très bonnes capacités prédictives ont été développés afin d’identifier les patients à risque de mauvais résultats chirurgicaux après l’ATH et l’ATG. L’identification de ces patients avant la chirurgie pourrait permettre d’optimiser leur prise en charge et de possiblement améliorer les résultats de leur chirurgie.
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The population of English Language Learners (ELLs) globally has been increasing substantially every year. In the United States alone, adult ELLs are the fastest growing portion of learners in adult education programs (Yang, 2005). There is a significant need to improve the teaching of English to ELLs in the United States and other English-speaking dominant countries. However, for many ELLs, speaking, especially to Native English Speakers (NESs), causes considerable language anxiety, which in turn plays a vital role in hindering their language development and academic progress (Pichette, 2009; Woodrow, 2006). Task-based Language Teaching (TBLT), such as simulation activities, has long been viewed as an effective approach for second-language development. The current advances in technology and rapid emergence of Multi-User Virtual Environments (MUVEs) have provided an opportunity for educators to consider conducting simulations online for ELLs to practice speaking English to NESs. Yet to date, empirical research on the effects of MUVEs on ELLs’ language development and speaking is limited (Garcia-Ruiz, Edwards, & Aquino-Santos, 2007). This study used a true experimental treatment control group repeated measures design to compare the perceived speaking anxiety levels (as measured by an anxiety scale administered per simulation activity) of 11 ELLs (5 in the control group, 6 in the experimental group) when speaking to Native English Speakers (NESs) during 10 simulation activities. Simulations in the control group were done face-to-face, while those in the experimental group were done in the MUVE of Second Life. The results of the repeated measures ANOVA revealed after the Huynh-Feldt epsilon correction, demonstrated for both groups a significant decrease in anxiety levels over time from the first simulation to the tenth and final simulation. When comparing the two groups, the results revealed a statistically significant difference, with the experimental group demonstrating a greater anxiety reduction. These results suggests that language instructors should consider including face-to-face and MUVE simulations with ELLs paired with NESs as part of their language instruction. Future investigations should investigate the use of other multi-user virtual environments and/or measure other dimensions of the ELL/NES interactions.
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Miami-Dade County has approximately 27,000 people living with HIV (PLWH), and the highest HIV incidence in the nation. PLWH have reported several types of sleep disturbances. Caffeine is an anorexic and lipolytic stimulant that may adversely affect sleep patterns, dietary intakes and body composition. High caffeine consumption (>250 mg. per day or the equivalent of >4 cups of brewed coffee) may also affect general functionality, adherence to antiretroviral treatment (ART) and HIV care. This study assess the relationship of high caffeine intake with markers of disease progression, sleep quality, insomnia, anxiety, nutritional intakes and body composition. A convenience sample of 130 PLWH on stable ART were recruited from the Miami Adult Studies on HIV (MASH) cohort, and followed for three months. After consenting, questionnaires on Modified Caffeine Consumption (MCCQ), Pittsburg Insomnia Rating Scale (PIRS), Pittsburg Sleep Quality Index (PSQI), Generalized Anxiety Disorder-7 (GAD-7), socio-demographics, drug and medication use were completed. CD4 count, HIV viral load, anthropometries, and body composition measures were obtained. Mean age was 47.89±6.37 years, 60.8% were male and 75.4% were African-Americans. Mean caffeine intake at baseline was 337.63 ± 304.97 mg/day (Range: 0-1498 mg/day) and did not change significantly at 3 months. In linear regression, high caffeine consumption was associated with higher CD4 cell count (β=1.532, P=0.049), lower HIV viral load (β=-1.067, P=0.048), higher global PIRS (β=1.776, P=0.046), global PSQI (β=2.587, P=0.038), and GAD-7 scores (β=1.674, P=0.027), and with lower fat mass (β=-0.994, P=0.042), energy intakes (β=-1.643, P=0.042) and fat consumption (β=-1.902, P=0.044), adjusting for relevant socioeconomic and disease progression variables. Over three months, these associations remained significant. The association of high caffeine with lower BMI weakened when excluding users of other anorexic and stimulant drugs such as cocaine and methamphetamine, suggesting that caffeine in combination, but not alone, may worsen their action. In summary, high caffeine consumption was associated with better measures of disease progression; but was also detrimental on sleep quality, nutritional intakes, BMI and body composition and associated with insomnia and anxiety. Large scale studies for longer time are needed to elucidate the contribution of caffeine to the well-being of PLWH.
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Anxiety disorders; such as separation anxiety disorder, generalized anxiety disorder, social phobia and specific phobia, are widespread in children and adolescents. Cognitive behavioral therapy (CBT) has been shown to be effective in reducing excessive fears and anxieties in children and adolescents. Research has produced equivocal findings that involving parents in treatment of child anxiety enhances effects over individual CBT (ICBT). The present dissertation study examined whether parental involvement can enhance individual treatment effect if the parent conditions are streamlined by targeting specific parental variables. The first parent condition, Parent Reinforcement Skills Training (RFST), involved increasing mothers’ use of positive reinforcement and decreasing use of negative reinforcement. The second parent condition, Parent Relationship Skill Training (RLST), involved increasing maternal child acceptance and decreasing maternal control (or increasing autonomy granting). Results of the present dissertation findings support the use of all three treatment conditions (ICBT, RLST, RFST) for child anxiety; that is, significant reductions in anxiety were found in each of the three treatment conditions. No significant differences were found between treatment conditions with respect to diagnostic recovery rate, clinician rating, and parent rating of child anxiety. Significant differences between conditions were found on child self rating of anxiety, with some evidence to support the superiority of RLST and RFST to ICBT. These findings support the efficacy of individual, as well as parent involved CBT, and provide mixed evidence with respect to the superiority of parent involved CBT over ICBT. The conceptual, empirical, and clinical implications of the findings are discussed.
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Background: Chronic stress frequently manifests with anxiety and/or depressive symptomatology and may have detrimental cardiometabolic effects over time. As such, recognising the potential links between stress-related psychological disorders and cardiovascular disease (CVD) is becoming increasingly important in cardiovascular epidemiology research. The primary aim of this study was to explore prospectively potential associations between clinically relevant depressive symptomatology and anxiety levels and the 10-year CVD incidence among apparently healthy Greek adults. Design: A population-based, health and nutrition prospective survey. Methods: In the context of the ATTICA Study (2002–2012), 853 adult participants without previous CVD history (453 men (45 ± 13 years) and 400 women (44 ± 18 years)) underwent psychological evaluations through validated, self-reporting depression and anxiety questionnaires. Results: After adjustment for multiple established CVD risk factors, both reported depression and anxiety levels were positively and independently associated with the 10-year CVD incidence, with depression markedly increasing the CVD risk by approximately fourfold (adjusted odds ratio (95% confidence interval) 3.6 (1.3, 11) for depression status; 1.03 (1.0, 1.1) for anxiety levels). Conclusions: Our findings indicate that standardised psychological assessments focusing on depression and anxiety should be considered as an additional and distinct aspect in the context of CVD preventive strategies that are designed and implemented by health authorities at the general population level.
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Les arthroplasties totales de la hanche (ATH) et du genou (ATG) sont souvent offertes aux patients atteints de dégénérescence articulaire sévère. Bien qu’efficace chez la majorité des patients, ces interventions mènent à des résultats sous-optimaux dans de nombreux cas. Il demeure difficile d’identifier les patients à risque de résultats sous-optimaux à l’heure actuelle. L’identification de ces patients avant la chirurgie pourrait permettre d’optimiser la gamme de soins et de services offerts et de possiblement améliorer les résultats de leur chirurgie. Ce mémoire a comme objectifs : 1) de réaliser une revue systématique des déterminants associés à la douleur et aux incapacités fonctionnelles rapportées par les patients à moyen-terme suivant ces deux types d’arthroplastie et 2) de développer des modèles de prédiction clinique permettant l’identification des patients à risque de mauvais résultats en terme de douleur et d’incapacités fonctionnelles suivant l’ATH et l’ATG. Une revue systématique de la littérature identifiant les déterminants de la douleur et de la fonction suivant l’ATH et l’ATG a été réalisée dans quatre bases de données jusqu’en avril 2015 et octobre 2014, respectivement. Afin de développer un algorithme de prédiction pouvant identifier les patients à risque de résultats sous-optimaux, nous avons aussi utilisé des données rétrospectives provenant de 265 patients ayant subi une ATH à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont (HMR) de 2004 à 2010. Finalement, des données prospectives sur 141 patients recrutés au moment de leur inclusion sur une liste d’attente pour une ATG dans trois hôpitaux universitaires à Québec, Canada et suivis jusqu’à six mois après la chirurgie ont permis l’élaboration d’une règle de prédiction clinique permettant l’identification des patients à risque de mauvais résultats en terme de douleur et d’incapacités fonctionnelles. Vingt-deux (22) études d’une qualité méthodologique moyenne à excellente ont été incluses dans la revue. Les principaux déterminants de douleur et d’incapacités fonctionnelles après l’ATH incluaient: le niveau préopératoire de douleur et de fonction, un indice de la masse corporelle plus élevé, des comorbidités médicales plus importantes, un état de santé générale diminué, une scolarité plus faible, une arthrose radiographique moins sévère et la présence d’arthrose à la hanche controlatérale. Trente-quatre (34) études évaluant les déterminants de douleur et d’incapacités fonctionnelles après l’ATG avec une qualité méthodologique moyenne à excellente ont été évaluées et les déterminants suivant ont été identifiés: le niveau préopératoire de douleur et de fonction, des comorbidités médicales plus importantes, un état de santé générale diminué, un plus grands niveau d’anxiété et/ou de symptômes dépressifs, la présence de douleur au dos, plus de pensées catastrophiques ou un faible niveau socioéconomique. Pour la création d’une règle de prédiction clinique, un algorithme préliminaire composé de l’âge, du sexe, de l’indice de masse corporelle ainsi que de trois questions du WOMAC préopératoire a permis l’identification des patients à risque de résultats chirurgicaux sous-optimaux (pire quartile du WOMAC postopératoire et percevant leur hanche opérée comme artificielle avec des limitations fonctionnelles mineures ou majeures) à une durée moyenne ±écart type de 446±171 jours après une ATH avec une sensibilité de 75.0% (95% IC: 59.8 – 85.8), une spécificité de 77.8% (95% IC: 71.9 – 82.7) et un rapport de vraisemblance positif de 3.38 (98% IC: 2.49 – 4.57). Une règle de prédiction clinique formée de cinq items du questionnaire WOMAC préopratoire a permis l’identification des patients en attente d’une ATG à risque de mauvais résultats (pire quintile du WOMAC postopératoire) six mois après l’ATG avec une sensibilité de 82.1 % (95% IC: 66.7 – 95.8), une spécificité de 71.7% (95% IC: 62.8 – 79.8) et un rapport de vraisemblance positif de 2.9 (95% IC: 1.8 – 4.7). Les résultats de ce mémoire ont permis d’identifier, à partir de la littérature, une liste de déterminants de douleur et d’incapacités fonctionnelles après l’ATH et l’ATG avec le plus haut niveau d’évidence à ce jour. De plus, deux modèles de prédiction avec de très bonnes capacités prédictives ont été développés afin d’identifier les patients à risque de mauvais résultats chirurgicaux après l’ATH et l’ATG. L’identification de ces patients avant la chirurgie pourrait permettre d’optimiser leur prise en charge et de possiblement améliorer les résultats de leur chirurgie.
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Centenarians' psychological well-being is presently of great interest in psychogeriatric research but little is known about factors that specifically account for the presence of clinically relevant anxiety symptoms in this age group. This study examined the presence of anxiety and its predictors in a sample of centenarians and aims to contribute to a better understanding of anxiety determinants in extreme old age.
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Introdução: A vida dos jovens adultos com diabetes tipo 1 (DM1) tem muitas exigências e as consequências psicológicas da adesão contínua aos aspetos do tratamento pode afetar a qualidade de vida. Objetivos: Conhecer o suporte social, satisfação com a vida, ansiedade, stresse e depressão nos jovens adultos com DM1. Material e Métodos: Estudo quantitativo realizado com 278 jovens adultos com DM1 (18 - 35 anos). Resultados: Os jovens consideram ter bom suporte social. A média de satisfação com a vida é 6,6 ±1,7 (escala 0-10). A maior parte dos jovens não apresenta estados persistentes de ansiedade e de excitação e tensão (stresse), pelo que têm resistência à frustração e desilusão. A maioria dos jovens não apresenta sintomas de depressão, revelando auto-estima, sentimentos positivos, motivação, entusiasmo e perceção da probabilidade de alcançar objetivos de vida que sejam significativos. A análise fatorial das escalas de ansiedade, stresse e depressão permitiu encontrar 3 fatores que explicam 50% da variância total: stresse (36%), ansiedade (8%), depressão (6%). Conclusões: Os jovens adultos com DM1 têm bom suporte social e satisfação com a vida. A maior parte dos jovens não revela sintomas de ansiedade, stresse e depressão. O suporte social e a satisfação com a vida poderão contribuir para uma boa saúde mental.