987 resultados para polytene chromosome synapse


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Steroidogenic acute regulatory protein (StAR) appears to mediate the rapid increase in pregnenolone synthesis stimulated by tropic hormones. cDNAs encoding StAR were isolated from a human adrenal cortex library. Human StAR, coexpressed in COS-1 cells with cytochrome P450scc and adrenodoxin, increased pregnenolone synthesis > 4-fold. A major StAR transcript of 1.6 kb and less abundant transcripts of 4.4 and 7.5 kb were detected in ovary and testis. Kidney had a lower amount of the 1.6-kb message. StAR mRNA was not detected in other tissues including placenta. Treatment of granulosa cells with 8-bromo-adenosine 3',5'-cyclic monophosphate for 24 hr increased StAR mRNA 3-fold or more. The structural gene encoding StAR was mapped using somatic cell hybrid mapping panels to chromosome 8p. Fluorescence in situ hybridization placed the StAR locus in the region 8p11.2. A StAR pseudogene was mapped to chromosome 13. We conclude that StAR expression is restricted to tissues that carry out mitochondrial sterol oxidations subject to acute regulation by cAMP and that StAR mRNA levels are regulated by cAMP.

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The suppressor of Hairy-wing [su(Hw)] protein exerts a polar effect on gene expression by repressing the function of transcriptional enhancers located distally from the promoter with respect to the location of su(Hw) binding sequences. The directionality of this effect suggests that the su(Hw) protein specifically interferes with the basic mechanism of enhancer action. Moreover, mutations in modifier of mdg4 [mod(mdg4)] result in the repression of expression of a gene when the su(Hw) protein is bound to sequences in the copy of this gene located in the homologous chromosome. This effect is dependent on the presence of the su(Hw) binding region from the gypsy retrotransposon in at least one of the chromosomes and is enhanced by the presence of additional gypsy sequences in the other homology. This phenomenon is inhibited by chromosomal rearrangements that disrupt pairing, suggesting that close apposition between the two copies of the affected gene is important for trans repression of transcription. These results indicate that, in the absence of mod-(mdg4) product, the su(Hw) protein present in one chromosome can act in trans and inactivate enhancers located in the other homolog.

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Chromosome I from the yeast Saccharomyces cerevisiae contains a DNA molecule of approximately 231 kbp and is the smallest naturally occurring functional eukaryotic nuclear chromosome so far characterized. The nucleotide sequence of this chromosome has been determined as part of an international collaboration to sequence the entire yeast genome. The chromosome contains 89 open reading frames and 4 tRNA genes. The central 165 kbp of the chromosome resembles other large sequenced regions of the yeast genome in both its high density and distribution of genes. In contrast, the remaining sequences flanking this DNA that comprise the two ends of the chromosome and make up more than 25% of the DNA molecule have a much lower gene density, are largely not transcribed, contain no genes essential for vegetative growth, and contain several apparent pseudogenes and a 15-kbp redundant sequence. These terminally repetitive regions consist of a telomeric repeat called W', flanked by DNA closely related to the yeast FLO1 gene. The low gene density, presence of pseudogenes, and lack of expression are consistent with the idea that these terminal regions represent the yeast equivalent of heterochromatin. The occurrence of such a high proportion of DNA with so little information suggests that its presence gives this chromosome the critical length required for proper function.

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During early mammalian embryogenesis, one of the two X chromosomes in somatic cells of the female becomes inactivated through a process that is thought to depend on a unique initiator region, the X-chromosome inactivation center (Xic). The recently characterized Xist sequence (X-inactive-specific transcript) is thought to be a possible candidate for Xic. In mice a further genetic element, the X chromosome-controlling element (Xce), is also known to influence the choice of which of the two X chromosomes is inactivated. We report that a region of the mouse X chromosome lying 15 kb distal to Xist contains several sites that show hypermethylation specifically associated with the active X chromosome. Analysis of this region in various Xce strains has revealed a correlation between the strength of the Xce allele carried and the methylation status of this region. We propose that such a region could be involved in the initial stages of the inactivation process and in particular in the choice of which of the two X chromosomes present in a female cell will be inactivated.

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La déficience intellectuelle est la cause d’handicap la plus fréquente chez l’enfant. De nombreuses évidences convergent vers l’idée selon laquelle des altérations dans les gènes synaptiques puissent expliquer une fraction significative des affections neurodéveloppementales telles que la déficience intellectuelle ou encore l’autisme. Jusqu’à récemment, la majorité des mutations associées à la déficience intellectuelle a été liée au chromosome X ou à la transmission autosomique récessive. D’un autre côté, plusieurs études récentes suggèrent que des mutations de novo dans des gènes à transmission autosomique dominante, requis dans les processus de la plasticité synaptique peuvent être à la source d’une importante fraction des cas de déficience intellectuelle non syndromique. Par des techniques permettant la capture de l’exome et le séquençage de l’ADN génomique, notre laboratoire a précédemment reporté les premières mutations pathogéniques dans le gène à transmission autosomique dominante SYNGAP1. Ces dernières ont été associées à des troubles comportementaux tels que la déficience intellectuelle, l’inattention, des problèmes d’humeur, d’impulsivité et d’agressions physiques. D’autres patients sont diagnostiqués avec des troubles autistiques et/ou des formes particulières d’épilepsie généralisée. Chez la souris, le knock-out constitutif de Syngap1 (souris Syngap1+/-) résulte en des déficits comme l’hyperactivité locomotrice, une réduction du comportement associée à l’anxiété, une augmentation du réflexe de sursaut, une propension à l’isolation, des problèmes dans le conditionnement à la peur, des troubles dans les mémoires de travail, de référence et social. Ainsi, la souris Syngap1+/- représente un modèle approprié pour l’étude des effets délétères causés par l’haploinsuffisance de SYNGAP1 sur le développement de circuits neuronaux. D’autre part, il est de première importance de statuer si les mutations humaines aboutissent à l’haploinsuffisance de la protéine. SYNGAP1 encode pour une protéine à activité GTPase pour Ras. Son haploinsuffisance entraîne l’augmentation des niveaux d’activité de Ras, de phosphorylation de ERK, cause une morphogenèse anormale des épines dendritiques et un excès dans la concentration des récepteurs AMPA à la membrane postsynaptique des neurones excitateurs. Plusieurs études suggèrent que l’augmentation précoce de l’insertion des récepteurs AMPA au sein des synapses glutamatergiques contribue à certains phénotypes observés chez la souris Syngap1+/-. En revanche, les conséquences de l’haploinsuffisance de SYNGAP1 sur les circuits neuronaux GABAergiques restent inconnues. Les enjeux de mon projet de PhD sont: 1) d’identifier l’impact de mutations humaines dans la fonction de SYNGAP1; 2) de déterminer si SYNGAP1 contribue au développement et à la fonction des circuits GABAergiques; 3) de révéler comment l’haploinsuffisance de Syngap1 restreinte aux circuits GABAergiques affecte le comportement et la cognition. Nous avons publié les premières mutations humaines de type faux-sens dans le gène SYNGAP1 (c.1084T>C [p.W362R]; c.1685C>T [p.P562L]) ainsi que deux nouvelles mutations tronquantes (c.2212_2213del [p.S738X]; c.283dupC [p.H95PfsX5]). Ces dernières sont toutes de novo à l’exception de c.283dupC, héritée d’un père mosaïque pour la même mutation. Dans cette étude, nous avons confirmé que les patients pourvus de mutations dans SYNGAP1 présentent, entre autre, des phénotypes associés à des troubles comportementaux relatifs à la déficience intellectuelle. En culture organotypique, la transfection biolistique de l’ADNc de Syngap1 wild-type dans des cellules pyramidales corticales réduit significativement les niveaux de pERK, en fonction de l’activité neuronale. Au contraire les constructions plasmidiques exprimant les mutations W362R, P562L, ou celle précédemment répertoriée R579X, n’engendre aucun effet significatif sur les niveaux de pERK. Ces résultats suggèrent que ces mutations faux-sens et tronquante résultent en la perte de la fonction de SYNGAP1 ayant fort probablement pour conséquences d’affecter la régulation du développement cérébral. Plusieurs études publiées suggèrent que les déficits cognitifs associés à l’haploinsuffisance de SYNGAP1 peuvent émerger d’altérations dans le développement des neurones excitateurs glutamatergiques. Toutefois, si, et auquel cas, de quelle manière ces mutations affectent le développement des interneurones GABAergiques résultant en un déséquilibre entre l’excitation et l’inhibition et aux déficits cognitifs restent sujet de controverses. Par conséquent, nous avons examiné la contribution de Syngap1 dans le développement des circuits GABAergiques. A cette fin, nous avons généré une souris mutante knockout conditionnelle dans laquelle un allèle de Syngap1 est spécifiquement excisé dans les interneurones GABAergiques issus de l’éminence ganglionnaire médiale (souris Tg(Nkx2.1-Cre);Syngap1flox/+). En culture organotypique, nous avons démontré que la réduction de Syngap1 restreinte aux interneurones inhibiteurs résulte en des altérations au niveau de leur arborisation axonale et dans leur densité synaptique. De plus, réalisés sur des coupes de cerveau de souris Tg(Nkx2.1-Cre);Syngap1flox/+, les enregistrements des courants inhibiteurs postsynaptiques miniatures (mIPSC) ou encore de ceux évoqués au moyen de l’optogénétique (oIPSC) dévoilent une réduction significative de la neurotransmission inhibitrice corticale. Enfin, nous avons comparé les performances de souris jeunes adultes Syngap1+/-, Tg(Nkx2.1-Cre);Syngap1flox/+ à celles de leurs congénères contrôles dans une batterie de tests comportementaux. À l’inverse des souris Syngap1+/-, les souris Tg(Nkx2.1-Cre);Syngap1flox/+ ne présentent pas d’hyperactivité locomotrice, ni de comportement associé à l’anxiété. Cependant, elles démontrent des déficits similaires dans la mémoire de travail et de reconnaissance sociale, suggérant que l’haploinsuffisance de Syngap1 restreinte aux interneurones GABAergiques dérivés de l’éminence ganglionnaire médiale récapitule en partie certains des phénotypes cognitifs observés chez la souris Syngap1+/-. Mes travaux de PhD établissent pour la première fois que les mutations humaines dans le gène SYNGAP1 associés à la déficience intellectuelle causent la perte de fonction de la protéine. Mes études dévoilent, également pour la première fois, l’influence significative de ce gène dans la régulation du développement et de la fonction des interneurones. D’admettre l’atteinte des cellules GABAergiques illustre plus réalistement la complexité de la déficience intellectuelle non syndromique causée par l’haploinsuffisance de SYNGAP1. Ainsi, seule une compréhension raffinée de cette condition neurodéveloppementale pourra mener à une approche thérapeutique adéquate.

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Le co-transporteur KCC2 spécifique au potassium et chlore a pour rôle principal de réduire la concentration intracellulaire de chlore, entraînant l’hyperpolarisation des courants GABAergic l’autorisant ainsi à devenir inhibiteur dans le cerveau mature. De plus, il est aussi impliqué dans le développement des synapses excitatrices, nommées aussi les épines dendritiques. Le but de notre projet est d’étudier l’effet des modifications concernant l'expression et la fonction de KCC2 dans le cortex du cerveau en développement dans un contexte de convulsions précoces. Les convulsions fébriles affectent environ 5% des enfants, et ce dès la première année de vie. Les enfants atteints de convulsions fébriles prolongées et atypiques sont plus susceptibles à développer l’épilepsie. De plus, la présence d’une malformation cérébrale prédispose au développement de convulsions fébriles atypiques, et d’épilepsie du lobe temporal. Ceci suggère que ces pathologies néonatales peuvent altérer le développement des circuits neuronaux irréversiblement. Cependant, les mécanismes qui sous-tendent ces effets ne sont pas encore compris. Nous avons pour but de comprendre l'impact des altérations de KCC2 sur la survenue des convulsions et dans la formation des épines dendritiques. Nous avons étudié KCC2 dans un modèle animal de convulsions précédemment validé, qui combine une lésion corticale à P1 (premier jour de vie postnatale), suivie d'une convulsion induite par hyperthermie à P10 (nommés rats LHS). À la suite de ces insultes, 86% des rats mâles LHS développent l’épilepsie à l’âge adulte, au même titre que des troubles d’apprentissage. À P20, ces animaux presentent une augmentation de l'expression de KCC2 associée à une hyperpolarisation du potentiel de réversion de GABA. De plus, nous avons observé des réductions dans la taille des épines dendritiques et l'amplitude des courants post-synaptiques excitateurs miniatures, ainsi qu’un déficit de mémoire spatial, et ce avant le développement des convulsions spontanées. Dans le but de rétablir les déficits observés chez les rats LHS, nous avons alors réalisé un knock-down de KCC2 par shARN spécifique par électroporation in utero. Nos résultats ont montré une diminution de la susceptibilité aux convulsions due à la lésion corticale, ainsi qu'une restauration de la taille des épines. Ainsi, l’augmentation de KCC2 à la suite d'une convulsion précoce, augmente la susceptibilité aux convulsions modifiant la morphologie des épines dendritiques, probable facteur contribuant à l’atrophie de l’hippocampe et l’occurrence des déficits cognitifs. Le deuxième objectif a été d'inspecter l’effet de la surexpression précoce de KCC2 dans le développement des épines dendritiques de l’hippocampe. Nous avons ainsi surexprimé KCC2 aussi bien in vitro dans des cultures organotypiques d’hippocampe, qu' in vivo par électroporation in utero. À l'inverse des résultats publiés dans le cortex, nous avons observé une diminution de la densité d’épines dendritiques et une augmentation de la taille des épines. Afin de confirmer la spécificité du rôle de KCC2 face à la région néocorticale étudiée, nous avons surexprimé KCC2 dans le cortex par électroporation in utero. Cette manipulation a eu pour conséquences d’augmenter la densité et la longueur des épines synaptiques de l’arbre dendritique des cellules glutamatergiques. En conséquent, ces résultats ont démontré pour la première fois, que les modifications de l’expression de KCC2 sont spécifiques à la région affectée. Ceci souligne les obstacles auxquels nous faisons face dans le développement de thérapie adéquat pour l’épilepsie ayant pour but de moduler l’expression de KCC2 de façon spécifique.

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Cohesin's Smc1, Smc3, and kleisin subunits create a tripartite ring within which sister DNAs are entrapped. Evidence suggests that DNA enters through a gate created by transient dissociation of the Smc1/3 interface. Release at the onset of anaphase is triggered by proteolytic cleavage of kleisin. Less well understood is the mechanism of release at other stages of the cell cycle, in particular during prophase when most cohesin dissociates from chromosome arms in a process dependent on the regulatory subunit Wapl. We show here that Wapl-dependent release from salivary gland polytene chromosomes during interphase and from neuroblast chromosome arms during prophase is blocked by translational fusion of Smc3's C-terminus to kleisin's N-terminus. Our findings imply that proteolysis-independent release of cohesin from chromatin is mediated by Wapl-dependent escape of DNAs through a gate created by transient dissociation of the Smc3/kleisin interface. Thus, cohesin's DNA entry and exit gates are distinct.

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Chromosome bi-orientation at the metaphase spindle is essential for precise segregation of the genetic material. The process is error-prone, and error-correction mechanisms exist to switch misaligned chromosomes to the correct, bi-oriented configuration. Here, we analyze several possible dynamical scenarios to explore how cells might achieve correct bi-orientation in an efficient and robust manner. We first illustrate that tension-mediated feedback between the sister kinetochores can give rise to a bistable switch, which allows robust distinction between a loose attachment with low tension and a strong attachment with high tension. However, this mechanism has difficulties in explaining how bi-orientation is initiated starting from unattached kinetochores. We propose four possible mechanisms to overcome this problem (exploiting molecular noise; allowing an efficient attachment of kinetochores already in the absence of tension; a trial-and-error oscillation; and a stochastic bistable switch), and assess their impact on the bi-orientation process. Based on our results and supported by experimental data, we put forward a trial-and-error oscillation and a stochastic bistable switch as two elegant mechanisms with the potential to promote bi-orientation both efficiently and robustly.

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Le co-transporteur KCC2 spécifique au potassium et chlore a pour rôle principal de réduire la concentration intracellulaire de chlore, entraînant l’hyperpolarisation des courants GABAergic l’autorisant ainsi à devenir inhibiteur dans le cerveau mature. De plus, il est aussi impliqué dans le développement des synapses excitatrices, nommées aussi les épines dendritiques. Le but de notre projet est d’étudier l’effet des modifications concernant l'expression et la fonction de KCC2 dans le cortex du cerveau en développement dans un contexte de convulsions précoces. Les convulsions fébriles affectent environ 5% des enfants, et ce dès la première année de vie. Les enfants atteints de convulsions fébriles prolongées et atypiques sont plus susceptibles à développer l’épilepsie. De plus, la présence d’une malformation cérébrale prédispose au développement de convulsions fébriles atypiques, et d’épilepsie du lobe temporal. Ceci suggère que ces pathologies néonatales peuvent altérer le développement des circuits neuronaux irréversiblement. Cependant, les mécanismes qui sous-tendent ces effets ne sont pas encore compris. Nous avons pour but de comprendre l'impact des altérations de KCC2 sur la survenue des convulsions et dans la formation des épines dendritiques. Nous avons étudié KCC2 dans un modèle animal de convulsions précédemment validé, qui combine une lésion corticale à P1 (premier jour de vie postnatale), suivie d'une convulsion induite par hyperthermie à P10 (nommés rats LHS). À la suite de ces insultes, 86% des rats mâles LHS développent l’épilepsie à l’âge adulte, au même titre que des troubles d’apprentissage. À P20, ces animaux presentent une augmentation de l'expression de KCC2 associée à une hyperpolarisation du potentiel de réversion de GABA. De plus, nous avons observé des réductions dans la taille des épines dendritiques et l'amplitude des courants post-synaptiques excitateurs miniatures, ainsi qu’un déficit de mémoire spatial, et ce avant le développement des convulsions spontanées. Dans le but de rétablir les déficits observés chez les rats LHS, nous avons alors réalisé un knock-down de KCC2 par shARN spécifique par électroporation in utero. Nos résultats ont montré une diminution de la susceptibilité aux convulsions due à la lésion corticale, ainsi qu'une restauration de la taille des épines. Ainsi, l’augmentation de KCC2 à la suite d'une convulsion précoce, augmente la susceptibilité aux convulsions modifiant la morphologie des épines dendritiques, probable facteur contribuant à l’atrophie de l’hippocampe et l’occurrence des déficits cognitifs. Le deuxième objectif a été d'inspecter l’effet de la surexpression précoce de KCC2 dans le développement des épines dendritiques de l’hippocampe. Nous avons ainsi surexprimé KCC2 aussi bien in vitro dans des cultures organotypiques d’hippocampe, qu' in vivo par électroporation in utero. À l'inverse des résultats publiés dans le cortex, nous avons observé une diminution de la densité d’épines dendritiques et une augmentation de la taille des épines. Afin de confirmer la spécificité du rôle de KCC2 face à la région néocorticale étudiée, nous avons surexprimé KCC2 dans le cortex par électroporation in utero. Cette manipulation a eu pour conséquences d’augmenter la densité et la longueur des épines synaptiques de l’arbre dendritique des cellules glutamatergiques. En conséquent, ces résultats ont démontré pour la première fois, que les modifications de l’expression de KCC2 sont spécifiques à la région affectée. Ceci souligne les obstacles auxquels nous faisons face dans le développement de thérapie adéquat pour l’épilepsie ayant pour but de moduler l’expression de KCC2 de façon spécifique.

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Thesis (Ph.D.)--University of Washington, 2016-05

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Distal spinal muscular atrophy is a heterogeneous group of neuromuscular disorders caused by progressive anterior born cell degeneration and characterized by progressive motor weakness and muscular atrophy, predominantly in the distal parts of the limbs. Here we report on chronic autosomal recessive distal spinal muscular atrophy in a large, inbred family with onset at various ages. Because this condition had some of the same clinical features as spinal muscular atrophy with respiratory distress, we tested the disease gene for linkage to chromosome 11q and mapped the disease locus to chromosome 11q13 in the genetic interval that included the spinal muscular atrophy with respiratory distress gene (D11S1889-D11S1321, Z(max) = 4.59 at theta = 0 at locus D11S4136). The sequencing of IGHMBP2, the human homologue of the mouse neuromuscular degeneration gene (nmd) that accounts for spinal muscular atrophy with respiratory distress, failed to detect any mutation in our chronic distal spinal muscular atrophy patients, suggesting that spinal muscular atrophy with respiratory distress and chronic distal spinal muscular atrophy are caused by distinct genes located in the so-me chromosomal region. In addition, the high intrafamilial variability in age at onset raises the question of whether nonallelic modifying genes could be involved in chronic distal spinal muscular atrophy.

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CD4-CD8 ratio is an important diagnostic measure of immune system functioning. In particular, CD4-CD8 ratio predicts the time taken for progression of HIV infection to acquired immune deficiency syndrome (AIDS) and the long-term survival of AIDS patients. To map genes that regulate differences between healthy individuals in CD4-CD8 ratio, we typed 757 highly polymorphic microsatellite markers at an average spacing of similar to5 cM across the genome in 405 pairs of dizygotic twins at ages 12, 14 and 16. We used multipoint variance components linkage analysis to test for linkage between marker loci and CD4-CD8 ratio at each age. We found suggestive evidence of linkage on chromosome 11p in 12-year-old twins (LOD=2.55, P=0.00031) and even stronger evidence of linkage in the same region at age 14 (LOD 3.51, P=0.00003). Possible candidate genes include CD5 and CD6, which encode cell membrane proteins involved in the positive selection of thymocytes. We also found suggestive evidence of linkage at other areas of the genome including regions on chromosomes 1, 3, 4, 5, 6, 12, 13, 15, 17 and 22.

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Platelet count is a highly heritable trait with genetic factors responsible for around 80% of the phenotypic variance. We measured platelet count longitudinally in 327 monozygotic and 418 dizygotic twin pairs at 12, 14 and 16 years of age. We also performed a genome-wide linkage scan of these twins and their families in an attempt to localize QTLs that influenced variation in platelet concentrations. Suggestive linkage was observed on chromosome 19q13.13-19q13.31 at 12 (LOD=2.12, P=0.0009), 14 (LOD=2.23, P=0.0007) and 16 (LOD=1.01, P=0.016) years of age and multivariate analysis of counts at all three ages increased the LOD to 2.59 (P=0.0003). A possible candidate in this region is the gene for glycoprotein VI, a receptor involved in platelet aggregation. Smaller linkage peaks were also seen at 2p, 5p, 5q, 10p and 15q. There was little evidence for linkage to the chromosomal regions containing the genes for thrombopoietin (3q27) and the thrombopoietin receptor (1q34), suggesting that polymorphisms in these genes do not contribute substantially to variation in platelet count between healthy individuals.

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We have rated eye color on a 3-point scale (1=blue/grey, 2=hazel/green, 3=brown) in 502 twin families and carried out a 5-10 cM genome scan (400-757 markers). We analyzed eye color as a threshold trait and performed multipoint sib pair linkage analysis using variance components analysis in Mx. A lod of 19.2 was found at the marker D15S1002, less than 1 cM from OCA2, which has been previously implicated in eye color variation. We estimate that 74% of variance in eye color liability is due to this QTL and a further 18% due to polygenic effects. However, a large shoulder on this peak suggests that other loci affecting eye color may be telomeric of OCA2 and inflating the QTL estimate. No other peaks reached genome-wide significance, although lods >2 were seen on 5p and 14q and lods >1 were additionally seen on chromosomes 2, 3, 6, 7, 8, 9, 17 and 18. Most of these secondary peaks were reduced or eliminated when we repeated the scan as a two locus analysis with the 15q linkage included, although this does not necessarily exclude them as false positives. We also estimated the interaction between the 15q QTL and the other marker locus but there was only minor evidence for additive x additive epistasis. Elaborating the analysis to the full two-locus model including non-additive main effects and interactions did not strengthen the evidence for epistasis. We conclude that most variation in eye color in Europeans is due to polymorphism in OCA2 but that there may be modifiers at several other loci.