997 resultados para Kuluttajavalituslautakunnan täysistuntoratkaisuja 1991-1995


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Avant-propos : De nombreuses études ont été réalisées sur les inégalités factuelles des structures sociales, comprenant aussi bien l'aspect statique de la stratification sociale que l'aspect dynamique de la mobilité sociale (voir par exemple Levy et Suter, 2002, Lemel, 1991, Erikson et Goldthorpe, 1992, Esping-Andersen, 1993). Par contre, les recherches portant sur la perception, par les acteurs, des inégalités des structures sociales sont en comparaison peu nombreuses en ce qui concerne les représentations de la stratification sociale (Levy et al., 1997, Lorenzi-Cioldi et Joye, 1988, Coxon, Davies et Jones, 1986, Zwicky, 1989) et presque inexistantes dans le cas des représentations de la mobilité sociale (Attias-Donfut et Wolff, 2001). La présente recherche se propose d'étudier simultanément la perception de la stratification sociale et de la mobilité sociale intragénérationnelle par les acteurs en intégrant le caractère multidimensionnel du système d'inégalités. Elle défend la thèse fondamentale d'une double origine des inégalités perçues, qui participeraient à la fois d'aspects macrosociaux et mésosociaux de la stratification sociale, les premiers portant sur la structure sociale dans son ensemble, les seconds sur une partie seulement de celle-ci (voir par exemple Kelley et Evans, 1995, Levy, 2002). Dans une perspective systémique, on se trouverait, à côté de la structure macrosociale, en présence de sous-systèmes mésosociaux, de portée restreinte. La perception de la stratification sociale dépendrait alors du cadre de référence adopté par les acteurs, selon qu'il porte sur le système dans son ensemble ou sur un sous-système. Un des objectifs de cette recherche sera d'établir que la pertinence des cadres de référence macrosocial et mésosocial est étroitement liée à la lecture statique ou dynamique de la stratification sociale. Dans le cas statique, celui du positionnement, les représentations sociales s'articuleraient autour des inégalités macrosociales, tenant compte du système dans son ensemble, tandis que dans le cas dynamique, celui de la mobilité ou de l'évolution du positionnement, les inégalités mésosociales, propres aux sous-systèmes, l'emporteraient. D'une part, la perception du positionnement social dépendrait de l'insertion de l'acteur dans la structure sociale, comprise dans son ensemble, et reproduirait les inégalités factuelles macrosociales, telles qu'elles apparaissent par exemple au travers des catégories socioprofessionnelles. D'autre part, la perception du parcours de mobilité ? conservation, amélioration ou dégradation de la position perçue ? resterait indépendante des changements macrosociaux de l'insertion, mais relèverait avant tout de déterminants propres à l'environnement social immédiat de l'acteur. L'environnement de l'acteur, en tant qu'il s'inscrit dans une partie restreinte de la structure sociale, permettrait de saisir les inégalités mésosociales. L'expérience, par les acteurs, de ces deux aspects de la structure sociale conduirait à la mise en place de deux types d'inégalités perçues irréductibles les unes aux autres dans la mesure où le système macrosocial et les sous-systèmes mésosociaux présentent une certaine autonomie. Cette autonomie peut être vue d'une part en rapport avec l'importance propre des organisations de nature mésosociale - en particulier les entreprises - dans les sociétés contemporaines (Sainsaulieu et Segrestin, 1986, Perrow, 1991), d'autre part en relation avec l'hétérogénéité que ces dernières induisent en termes de segmentation du marché de l'emploi (Baron et Bielby, 1980). Dans une large mesure, les organisations intermédiaires se distinguent ainsi de la structure sociale prise dans son ensemble: plutôt que de reproduire les inégalités macrosociales, elles constitueraient des systèmes d'inégalités indépendants, notamment quant à la régulation des parcours professionnels (Bertaux, 1977). Ainsi, la perception de la structure sociale ne se réduirait pas aux seuls facteurs macrosociaux, mais dépendrait, en l'absence d'un modèle d'organisation mésosocial unique, de la diversité des structures intermédiaires. On peut d'ailleurs supposer que la prise en compte des organisations mésosociales est susceptible de pallier la faiblesse des explications classiques en termes macrosociologiques, relevées par les tenants des thèses avançant le déclin du pouvoir structurant de la stratification sociale ou du travail (voir Levy, 2002 et, sur les thèses citées, par exemple Beck, 1983, Matthes, 1983, Berger et Hradil, 1990, Clark et Lipset, 1991). En effet, dans la mesure où l'acteur serait plus souvent confronté aux structures de son environnement social immédiat plutôt qu'à la structure sociale dans son ensemble, la perception pourrait dépendre en premier lieu de facteurs mésosociaux, susceptibles de supplanter ou, à tout le moins, d'atténuer l'effet des facteurs macrosociaux. Une telle approche permet de conserver une lecture structurelle de la perception du positionnement en enrichissant la relation classique entre structure macrosociale et acteur d'une composante mésosociologique, évitant ainsi le recours à une explication culturelle ad hoc Dès lors, la principale question de recherche s'adresse au lien entre structure sociale factuelle et structure sociale perçue. Dans la perspective statique du positionnement, l'effet des structures mésosociales serait tel qu'il se superposerait à la détermination macrosociale de la perception, sans pour autant subvertir la hiérarchie des positions induites par les catégories socioprofessionnelles. Dans la perspective dynamique, en revanche, les changements liés à l'insertion mésosociale peuvent l'emporter sur l'immobilité ou la mobilité définies en termes macrosociologiques. D'une part, en supposant que les plans mésosocial et macrosocial agissent de manière plus ou moins autonome sur la perception, l'amélioration, la conservation ou la dégradation de la position ne coïncide pas nécessairement selon ces deux plans. D'autre part, l'ampleur de la mobilité perçue due à l'écart entre le positionnement mésosocial passé et actuel peut dépasser celle qui est liée à la mobilité macrosociale, surtout si cette dernière est de faible distance. Le passage de la perspective statique à la perspective dynamique peut dès lors être vu comme un moyen de faire apparaître le rôle fondamental joué par les structures mésosociales au sein de la stratification sociale. L'orientation de la recherche consistera d'abord à mettre en évidence, par-delà les différences macrosociales des représentations des positions professionnelles, les variations de la perception au sein des catégories socioprofessionnelles. Ces étapes montreront, à différents égards, que les représentations se singularisent en relation avec l'insertion mésosociale de l'acteur. On verra également que la perception de la mobilité échappe à une détermination macrosociale, mais qu'elle présente une cohérence mésosociale certaine. Ces résultats, insistant sur la prise en compte des structures mésosociales, nous amèneront enfin à un examen systématique des déterminants de la perception du positionnement et du parcours de mobilité, mettant en oeuvre une variété de facteurs explicatifs dépassant un cadre d'analyse purement structurel. La recherche débute par une discussion de la place qui revient à une étude des représentations du parcours professionnel dans le champ des travaux sur la stratification et la mobilité sociale, en particulier sa justification théorique et empirique, et la formulation des hypothèses de recherche (chapitre 1). Elle se poursuit par la présentation de l'échantillonnage et des variables utilisées (chapitre 2). Le traitement des hypothèses de recherche fait l'objet de trois chapitres distincts. Chaque hypothèse s'accompagne, en plus des développements liés à son examen, d'une introduction et d'une conclusion spécifiques. Le premier (chapitre 3) porte sur la perception de la stratification sociale des positions professionnelles, le second (chapitre 4) sur la perception du parcours de mobilité et le troisième (chapitre 5) sur les déterminants sociologiques de la perception des inégalités liées au positionnement et à la mobilité professionnels. Enfin, au traitement des hypothèses fait suite la conclusion de la recherche (chapitre 6).

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The effect of age at the first mating and herd size were evaluated in the reference Spanish Databank (BDporc) of 37 698 sows born between 1991 and 1995 and with individual lifetime records. The data included dates of births at entrance and culling, first mating, repetitive mating and conception, first farrowing and weaning records. Individual records were validated before the analysis by screening them through a tolerance “filter” in order to eliminate the extreme values from the analysis. The total database of the sows was classified in 7 classes according to age at the first mating (< 210, 210–220, 221–230, 231–240, 241–250, 251–270, and > 270 days) and in 6 classes of herd size (< 200, 200–300, 301–400, 401–600, 601–800, and > 800 sows). The total number of litters and number of weaned piglets obtained from each sow during the lifetime production were significantly (P < 0.05) greater for gilts between 221 and 240 d of age at the first mating. There was a significant (P < 0.001) effect of the herd size on the reproductive performance of the sow, and the best performance was obtained with herds with 401 to 600 sows compared to < 200 or > 800 sow-herds. Furthermore, a significant (P < 0.001) interaction between age at the first mating and herd size was detected and can be associated with a particular pattern for the herd size class 401–600 sows with the best performances obtained for the sows first mated at less than 200 days. For the other herd sizes, the results indicated that sows mated for the first time at the right age, 221–240 days, are more productive, both in the number and size of the parities throughout lifetime production.

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Departamento de Tecnología de Alimentos, Escuela Técnica Superior de Ingeniería Agraria, Universidad de Lleida. Centro UdL-IRTA. Avda. Alcalde Revira Roure, 177. 25198 Lleida, España. RESUMEN Estudio de la calidad del aceite de oliva virgen de la Denominación de Origen «Les Garrigues» (Lleida) durante la campaña 1995/96. La Denominación de Origen «Les Garrigues» se sitúa en el extremo meridional de la provincia de Lleida. La gran mayoría del aceite producido en esta D.O. corresponde a la categoría de virgen extra y posee unas características organolépticas muy peculiares, derivadas del fruto de origen, la variedad «Arbequina» y de su cuidada elaboración. La aplicación en la zona de modemas técnicas de cultivo del olivo y las nuevas tecnologías de extracción del aceite, hacen necesario un estudio de su composición en campañas sucesivas, con el fin de determinar si la calidad se pudiera ver afectada. El presente trabajo se centra en la caracterización de los aceites producidos en la D.O. «Les Garrigues» durante la campaña 1995/96. Los aceites obtenidos presentan un grado de acidez medio de 0.17%, índice de peróxidos de 6.9 meq/kg de aceite y un K270 de 0.21, valores todos ellos dentro de los criterios de calidad que establece la Reglamentación de la D.O. El contenido medio de polifenoles totales en el aceite es de 152 ppm, observándose una gran variabilidad entre las almazaras muestreadas. La concentración de clorofilas va de 15 mg/kg de aceite, al inicio de campaña, a 6 mg/kg al final de la misma. La concentración de carotenoides se reduce paralelamente, pasando de 12.6 a 4.6 mg/kg de aceite, al final de campaña. El color, en base a la escala visual ABT y a las coordenadas CIELAB, se mantiene dentro de los tonos del amarillo y no presenta diferencias importantes entre aceites de principio y final de campaña.

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BACKGROUND: Worldwide data for cancer survival are scarce. We aimed to initiate worldwide surveillance of cancer survival by central analysis of population-based registry data, as a metric of the effectiveness of health systems, and to inform global policy on cancer control. METHODS: Individual tumour records were submitted by 279 population-based cancer registries in 67 countries for 25·7 million adults (age 15-99 years) and 75 000 children (age 0-14 years) diagnosed with cancer during 1995-2009 and followed up to Dec 31, 2009, or later. We looked at cancers of the stomach, colon, rectum, liver, lung, breast (women), cervix, ovary, and prostate in adults, and adult and childhood leukaemia. Standardised quality control procedures were applied; errors were corrected by the registry concerned. We estimated 5-year net survival, adjusted for background mortality in every country or region by age (single year), sex, and calendar year, and by race or ethnic origin in some countries. Estimates were age-standardised with the International Cancer Survival Standard weights. FINDINGS: 5-year survival from colon, rectal, and breast cancers has increased steadily in most developed countries. For patients diagnosed during 2005-09, survival for colon and rectal cancer reached 60% or more in 22 countries around the world; for breast cancer, 5-year survival rose to 85% or higher in 17 countries worldwide. Liver and lung cancer remain lethal in all nations: for both cancers, 5-year survival is below 20% everywhere in Europe, in the range 15-19% in North America, and as low as 7-9% in Mongolia and Thailand. Striking rises in 5-year survival from prostate cancer have occurred in many countries: survival rose by 10-20% between 1995-99 and 2005-09 in 22 countries in South America, Asia, and Europe, but survival still varies widely around the world, from less than 60% in Bulgaria and Thailand to 95% or more in Brazil, Puerto Rico, and the USA. For cervical cancer, national estimates of 5-year survival range from less than 50% to more than 70%; regional variations are much wider, and improvements between 1995-99 and 2005-09 have generally been slight. For women diagnosed with ovarian cancer in 2005-09, 5-year survival was 40% or higher only in Ecuador, the USA, and 17 countries in Asia and Europe. 5-year survival for stomach cancer in 2005-09 was high (54-58%) in Japan and South Korea, compared with less than 40% in other countries. By contrast, 5-year survival from adult leukaemia in Japan and South Korea (18-23%) is lower than in most other countries. 5-year survival from childhood acute lymphoblastic leukaemia is less than 60% in several countries, but as high as 90% in Canada and four European countries, which suggests major deficiencies in the management of a largely curable disease. INTERPRETATION: International comparison of survival trends reveals very wide differences that are likely to be attributable to differences in access to early diagnosis and optimum treatment. Continuous worldwide surveillance of cancer survival should become an indispensable source of information for cancer patients and researchers and a stimulus for politicians to improve health policy and health-care systems. FUNDING: Canadian Partnership Against Cancer (Toronto, Canada), Cancer Focus Northern Ireland (Belfast, UK), Cancer Institute New South Wales (Sydney, Australia), Cancer Research UK (London, UK), Centers for Disease Control and Prevention (Atlanta, GA, USA), Swiss Re (London, UK), Swiss Cancer Research foundation (Bern, Switzerland), Swiss Cancer League (Bern, Switzerland), and University of Kentucky (Lexington, KY, USA).