989 resultados para Atatürk, Mustafa Kemal (1881-1938)


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Mostly correspondence between family members, beginning with Catherine Lawrence and Charles Appleton, the parents of Helen Brooks. Also records of Brooks' voluntary activities, her diaries and personal writings, and material collected by Grace Norton about Henry James.

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This study explores the curriculum at Queen’s-affiliated medical colleges, specifically The Royal College of Physicians and Surgeons, Kingston, the Kingston Women’s Medical College, and Queen’s Medical College, from 1881 to 1910, using the textbooks prescribed by these institutions as primary sources. The central question encompasses what factors primarily motivated the curriculum at Queen’s-affiliated medical colleges to change. Within the historiographical scholarship on Queen’s College, this question has not yet been addressed and, to my knowledge, this is the first medical education history to specifically address textbooks as part of a medical school curriculum. During this period, these institutions experienced reorganizational shifts, such as the reunification of Queen’s Medical College with The Royal College of Physicians and Surgeons, Kingston, as well as the introduction and subsequent exclusion of female students. Within this context, this study examines how the forces of scientific innovation and co-education impacted the curriculum during the period under study, as measured by textbook change, specifically in the courses of obstetrics and gynaecology, the theory and practice of medicine, and surgery. To what degree was curriculum in these courses responsive to scientific inventions and discoveries, changing therapeutic practices, and possible gender biases? From 1881 to 1910, innovations such as x-ray and anaesthesia became commonplace within medical practice. Some technologies gained acceptance in the curriculum, while others fell out of favour. This study tracks these scientific discoveries through the textbooks used at Queen’s-affiliated medical colleges in order to demonstrate how the evolving nature of medicine was represented in the curriculum. To address how gender influenced the curriculum, textbooks from the Kingston Women’s Medical College and The Royal College of Physicians and Surgeons, Kingston, were compared. For two out of the three examined courses, it was found that sections of textbooks discussing various topics at the Kingston Women’s Medical College contained significantly more detail than their corresponding sections within The Royal College’s textbooks. It was speculated that the instructors preferred to teach their female students through textbooks, rather than lectures.

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Cette thèse traite de quelques moments clés dans l’histoire urbaine et architecturale moderne de la ville de Tunis. Elle les aborde conjointement à la problématique du percement de son noyau historique : la médina, née d’un projet de modernisation urbaine lancé par les beys de Tunis à la fin du XIXe siècle, poursuivi par le protectorat français de 1881 à 1956, puis par le gouvernement indépendant de 1956 à 1987. Partant, la recherche est répartie sur trois temps avec, au centre, le projet de la percée dite de la Casbah adopté par le Président Bourguiba à la fin de 1959. Pour plusieurs raisons, ce moment est cité rapidement dans la littérature malgré son importance dans la compréhension du visage actuel de la capitale tunisienne. Pour le saisir, on a dû retourner aux premières tentatives de percement de la médina de Tunis par le colonisateur français en 1887. Puis, on s’est progressivement approché de l’ancêtre direct de la percée bourguibienne paru sur le Plan directeur de Tunis en 1948. De ce premier temps, on a mis en valeur les stratégies coloniales dans leur gestion du territoire et leur rapport au processus de valorisation/dévalorisation du patrimoine issu de la civilisation arabo-islamique. Le second temps, qui correspond au plan de décolonisation mené par l’État indépendant dès 1955, est marqué par le lancement d’un « concours international ouvert pour une étude d’aménagement de la ville de Tunis » organisé par le Secrétariat d’État aux travaux publics en collaboration avec l’Union internationale des architectes. L’étude de cet événement et du colloque qui l’a suivi a ôté le voile sur ses raisons d’être politico-économiques que dissimulaient les usuels soucis de l’hygiène, de la circulation et de l’embellissement du Grand Tunis. Pour appuyer davantage ces constats, un troisième et dernier temps a été dédié au chantier de Tunis au lendemain du concours. L’accent mis sur les lieux symboliques du pouvoir et le désir obsessif des autorités à se les approprier ont réduit ce chantier à une redistribution concertée des symboles de la souveraineté nationale dans le but de centraliser et de personnifier le pouvoir en place. Le présent travail se situe dans le cadre des études postcoloniales et projette un regard critique sur la décolonisation en rapport avec ce qu’on a taxé d’urbanisme d’État. Propulsé par une certaine perception de la modernité, cet urbanisme est indissociable d’une instrumentalisation politique qui met l’accent sur les questions identitaires et patrimoniales, insiste sur la rupture avec le passé et tend à écarter l’opinion publique des questions inhérentes à l’aménagement du territoire et à la sauvegarde de la mémoire collective. En procédant par une analyse contextuelle de faits historiques et une lecture typomorphologique de la percée de la Casbah, cette recherche attire l’attention sur l’ampleur de certaines décisions gouvernementales concernant l’aménagement de l’espace urbain et la conservation de l’héritage architectural à court, moyen et long termes. Elle renseigne aussi sur le rôle des collectivités, de l’élite et des professionnels dans la canalisation de ces décisions pour ou contre leur droit à la ville.

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Cette thèse traite de quelques moments clés dans l’histoire urbaine et architecturale moderne de la ville de Tunis. Elle les aborde conjointement à la problématique du percement de son noyau historique : la médina, née d’un projet de modernisation urbaine lancé par les beys de Tunis à la fin du XIXe siècle, poursuivi par le protectorat français de 1881 à 1956, puis par le gouvernement indépendant de 1956 à 1987. Partant, la recherche est répartie sur trois temps avec, au centre, le projet de la percée dite de la Casbah adopté par le Président Bourguiba à la fin de 1959. Pour plusieurs raisons, ce moment est cité rapidement dans la littérature malgré son importance dans la compréhension du visage actuel de la capitale tunisienne. Pour le saisir, on a dû retourner aux premières tentatives de percement de la médina de Tunis par le colonisateur français en 1887. Puis, on s’est progressivement approché de l’ancêtre direct de la percée bourguibienne paru sur le Plan directeur de Tunis en 1948. De ce premier temps, on a mis en valeur les stratégies coloniales dans leur gestion du territoire et leur rapport au processus de valorisation/dévalorisation du patrimoine issu de la civilisation arabo-islamique. Le second temps, qui correspond au plan de décolonisation mené par l’État indépendant dès 1955, est marqué par le lancement d’un « concours international ouvert pour une étude d’aménagement de la ville de Tunis » organisé par le Secrétariat d’État aux travaux publics en collaboration avec l’Union internationale des architectes. L’étude de cet événement et du colloque qui l’a suivi a ôté le voile sur ses raisons d’être politico-économiques que dissimulaient les usuels soucis de l’hygiène, de la circulation et de l’embellissement du Grand Tunis. Pour appuyer davantage ces constats, un troisième et dernier temps a été dédié au chantier de Tunis au lendemain du concours. L’accent mis sur les lieux symboliques du pouvoir et le désir obsessif des autorités à se les approprier ont réduit ce chantier à une redistribution concertée des symboles de la souveraineté nationale dans le but de centraliser et de personnifier le pouvoir en place. Le présent travail se situe dans le cadre des études postcoloniales et projette un regard critique sur la décolonisation en rapport avec ce qu’on a taxé d’urbanisme d’État. Propulsé par une certaine perception de la modernité, cet urbanisme est indissociable d’une instrumentalisation politique qui met l’accent sur les questions identitaires et patrimoniales, insiste sur la rupture avec le passé et tend à écarter l’opinion publique des questions inhérentes à l’aménagement du territoire et à la sauvegarde de la mémoire collective. En procédant par une analyse contextuelle de faits historiques et une lecture typomorphologique de la percée de la Casbah, cette recherche attire l’attention sur l’ampleur de certaines décisions gouvernementales concernant l’aménagement de l’espace urbain et la conservation de l’héritage architectural à court, moyen et long termes. Elle renseigne aussi sur le rôle des collectivités, de l’élite et des professionnels dans la canalisation de ces décisions pour ou contre leur droit à la ville.

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El siguiente proyecto de investigación tiene como objetivo analizar la constitución del campo de la cultura física y de la educación física en la Argentina durante las primeras cuatro décadas del siglo XX. Centrará su atención en la disputa entre, por lo menos, dos grupos con sus instituciones de formación específicas. El Instituto Nacional Superior de Educación Física (INEF), cuyos orígenes se remontan a 1901 y la Escuela de Gimnasia y Esgrima del Ejército en creada en 1897 (Saraví Riviere, 1998; Bertoni, 1996, 2001; Aisenstein & Scharagrodsky, 2006).Cada una de estas matrices de formación pensó la pedagogía, la didáctica, la metodología y más ampliamente la política, la nación, la patria, los cuerpos o la sexualidad de formas diferentes y con sentidos y significados particulares. El objetivo será explorar las diferencias y similitudes entre ambas instituciones retomando algunos de los tópicos mencionados a partir de los discursos que legitimaron a los mismos, centrando el análisis tanto en el discurso pedagógico moderno como en el discurso médico hegemónico. En especial, analizaremos el discurso médico como legitimador del campo, y en particular, indagaremos las cuatro sub-disciplinas que se constituyeron en la grilla interpretativa por excelencia de los cuerpos en movimiento: la anatomía descriptiva, la fisiología del ejercicio, la ginecología y la antropometría

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El siguiente proyecto de investigación tiene como objetivo analizar la constitución del campo de la cultura física y de la educación física en la Argentina durante las primeras cuatro décadas del siglo XX. Centrará su atención en la disputa entre, por lo menos, dos grupos con sus instituciones de formación específicas. El Instituto Nacional Superior de Educación Física (INEF), cuyos orígenes se remontan a 1901 y la Escuela de Gimnasia y Esgrima del Ejército en creada en 1897 (Saraví Riviere, 1998; Bertoni, 1996, 2001; Aisenstein & Scharagrodsky, 2006).Cada una de estas matrices de formación pensó la pedagogía, la didáctica, la metodología y más ampliamente la política, la nación, la patria, los cuerpos o la sexualidad de formas diferentes y con sentidos y significados particulares. El objetivo será explorar las diferencias y similitudes entre ambas instituciones retomando algunos de los tópicos mencionados a partir de los discursos que legitimaron a los mismos, centrando el análisis tanto en el discurso pedagógico moderno como en el discurso médico hegemónico. En especial, analizaremos el discurso médico como legitimador del campo, y en particular, indagaremos las cuatro sub-disciplinas que se constituyeron en la grilla interpretativa por excelencia de los cuerpos en movimiento: la anatomía descriptiva, la fisiología del ejercicio, la ginecología y la antropometría