985 resultados para beef exportation


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Animal science newsletter about Johne's Disease in cattle. Statistics, treatments, information about the disease itself and more.

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Cette thèse porte sur l’effet du risque de prix sur la décision des agriculteurs et les transformateurs québécois. Elle se divise en trois chapitres. Le premier chapitre revient sur la littérature. Le deuxième chapitre examine l’effet du risque de prix sur la production de trois produits, à savoir le maïs grain, la viande de porc et la viande d’agneau dans la province Québec. Le dernier chapitre est centré sur l’analyse de changement des préférences du transformateur québécois de porc pour ce qui est du choix de marché. Le premier chapitre vise à montrer l’importance de l’effet du risque du prix sur la quantité produite par les agriculteurs, tel que mis en évidence par la littérature. En effet, la littérature révèle l’importance du risque de prix à l’exportation sur le commerce international. Le deuxième chapitre est consacré à l’étude des facteurs du risque (les anticipations des prix et la volatilité des prix) dans la fonction de l’offre. Un modèle d’hétéroscédasticité conditionnelle autorégressive généralisée (GARCH) est utilisé afin de modéliser ces facteurs du risque. Les paramètres du modèle sont estimés par la méthode de l’Information Complète Maximum Vraisemblance (FIML). Les résultats empiriques montrent l’effet négatif de la volatilité du prix sur la production alors que la prévisibilité des prix a un effet positif sur la quantité produite. Comme attendu, nous constatons que l’application du programme d’assurance-stabilisation des revenus agricoles (ASRA) au Québec induit une plus importante sensibilité de l’offre par rapport au prix effectif (le prix incluant la compensation de l’ASRA) que par rapport au prix du marché. Par ailleurs, l’offre est moins sensible au prix des intrants qu’au prix de l’output. La diminution de l’aversion au risque de producteur est une autre conséquence de l’application de ce programme. En outre, l’estimation de la prime marginale relative au risque révèle que le producteur du maïs est le producteur le moins averse au risque (comparativement à celui de porc ou d’agneau). Le troisième chapitre consiste en l’analyse du changement de préférence du transformateur québécois du porc pour ce qui est du choix de marché. Nous supposons que le transformateur a la possibilité de fournir les produits sur deux marchés : étranger et local. Le modèle théorique explique l’offre relative comme étant une fonction à la fois d’anticipation relative et de volatilité relative des prix. Ainsi, ce modèle révèle que la sensibilité de l’offre relative par rapport à la volatilité relative de prix dépend de deux facteurs : d’une part, la part de l’exportation dans la production totale et d’autre part, l’élasticité de substitution entre les deux marchés. Un modèle à correction d’erreurs est utilisé lors d’estimation des paramètres du modèle. Les résultats montrent l’effet positif et significatif de l’anticipation relative du prix sur l’offre relative à court terme. Ces résultats montrent donc qu’une hausse de la volatilité du prix sur le marché étranger par rapport à celle sur le marché local entraine une baisse de l’offre relative sur le marché étranger à long terme. De plus, selon les résultats, les marchés étranger et local sont plus substituables à long terme qu’à court terme.

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Cette recherche présente les résultats d'une étude portant sur les éléments de la performance à l'exportation de vingt-trois entreprises tunisiennes de confection, appréhendées par le niveau et la croissance de leurs ventes à l'exportation. Ce travail part de l'hypothèse que cette performance dépend d'une série de facteurs dont certains sont internes à la firme et d'autres appartiennent à son environnement externe. Un modèle, reliant plus de 74 variables indépendantes aux deux critères de la performance (le niveau des exportations et la croissance de celles-ci), a été élaboré. Il a permis de cerner l'influence de plusieurs variables inhérentes à la firme et à son preneur de décision sur les mesures de la performance. Il a pu également déceler l'impact d'un certain nombre de variables attitudinales et de perception sur la performance export. La collecte des données a eu lieu en Tunisie durant l'été 1990. Les résultats de l'étude montrent que des critères comme l'âge du preneur de décision, l'ancienneté de l'entreprise et l'expérience internationale de cette dernière affectent aussi bien le niveau que la croissance des exportations. La perception de l'activité d'exportation influe davantage sur la croissance que sur le niveau des exportations. Le choix de la stratégie marketing à l'export affecte considérablement le succès de celle-ci à l'échelle internationale. Les données recueillies traduisent également des divergences de profils entre les exportateurs performants et les exportateurs non-performants. La recherche autorise, par ailleurs, une meilleure compréhension des spécificités de la branche de la confection tunisienne. En dépit des difficultés rencontrées, la confection de cette thèse fut, pour nous, un travail passionnant. Nous invitons le lecteur, à venir partager notre intérêt et espérons pouvoir lui transmettre notre enthousiasme.

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Étant donné l'étroitesse du marché canadien, la compagnie BHF Recherche de Bromptonville envisage d'aborder le plus tôt possible le marché américain. Le but de ce travail était donc de prendre certaines décisions de base et d'établir un cadre de travail théorique et une méthodologie qui permettent d'orienter efficacement la planification et l'exécution de ce projet de vente à l'étranger. Compte tenu de la position géographique de BHF, de ses moyens financiers et de la concentration des populations, le Nord-Est des États-Unis et plus particulièrement le Massachusetts semble être l'état idéal pour débuter les activités américaines. Avant d'attaquer cet état, BHF devra amasser des données lui permettant de mieux cerner la taille du marché, son degré de permissivité aux nouveaux produits et son fonctionnement (processus décisionnel quant à l'achat). Certaines améliorations techniques seraient profitables pour contrer la présence de quatre principaux concurrents, dont le MultiRanger Plus qui domine effrontément le marché. Comme BHF désire concentrer ses efforts sur la recherche et le développement, elle devra confier les tâches de distribution et de promotion à un intermédiaire. Ce dernier devra être sélectionné en tenant compte de sa réputation dans le milieu et du temps qu'il peut consacrer à la vente du Vérificateur. Les barrières tarifaires sont relativement restreintes pour le Vérificateur puisque les douanes américaines ne représentent qu'environ 5% du prix de vente de l'appareil. Ce prix fixé à 5 500$ US permet de dégager une marge bénéficiaire de 71,7%, et ce en excluant la commission de l'intermédiaire et les frais de promotion. Ces derniers sont heureusement partagés avec l'agent-distributeur et seront orientés vers deux pôles: le développement de contacts personnels avec la clientèle par le biais d'évènements spéciaux et la publicité dans les publications spécialisées. L'exportation constituant un projet d'investissement, des sorties de fonds seront nécessaires. Une évaluation primaire permet de chiffrer des besoins annuels variant de 14 000$ à 35 000$ entre 1990 et 1994. Heureusement, le projet pourrait s'autofinancer dès la deuxième année. Quant à la première année, une injection de 15 000$ devrait suffire, ce qui devrait être facilité par une aide gouvernementale au fédéral. Relativement au risque de crédit international habituellement lié à l'exportation, il apparaît que la clientèle des municipalités visées par BHF en soit pratiquement exempte, ce qui évitera le recours au crédit documentaire. Quant à la protection contre le risque de change, sa nécessité ne semble évidente que pour les ventes de plusieurs appareils à la fois, et ce à cause des frais reliés à cette protection.

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Jerked beef, an industrial meat product obtained from beef with the addition of sodium chloride and curing salts and subjected to a maturing and drying process is a typical Brazilian product which has been gradually discovered by the consumer. The replacement of synthetic antioxidants by natural substances with antioxidant potential due to possible side effects discovered by lab tests, consumer health, is being implemented by the meat industry. This study aimed to evaluate the lipid oxidation of jerked beef throughout the storage period by replacing the sodium nitrite by natural extracts of propolis and Yerba Mate. For jerked beef processing brisket was used as raw material processed in 6 different formulations: formulation 1 (control - in nature), formulation 2 (sodium nitrite - NO), formulation 3 (Yerba Mate - EM), formulation 4 (propolis extract - PRO), formulation 5 (sodium nitrite + Yerba Mate - MS + NO), formulation 6 (propolis extract + sodium nitrite - PRO + NO). The raw material was subjected to wet salting, dry salting (tombos), drying at 25°C, packaging and storage in BOD 25°C. Samples of each formulation were taken every 7 days for analysis of lipid oxidation by the TBARS method. In all formulations, were carried out analysis of chemical composition at time zero and sixty days of storage. The water activity analysis and color (L *, a *, b *) was monitored at time zero, thirty and sixty days of storage. The Salmonella spp count, Coliform bacteria, Termotolerant coliforms and coagulase positive staphylococci were taken at time zero and sixty days. The activity of natural antioxidants evaluated shows the decline of lipid oxidation up to 2.5 times compared with the product in natura and presented values with no significant differences between treatments NO and EM, confirming the potential in minimize lipid oxidation of Jerked beef throughout the 60 days of storage. The results also showed that yerba mate has a higher antioxidant capacity compared to the propolis except the PRO + NO formulation. When associated with yerba mate with sodium nitrate, TBARS values become close to values obtained only for the control samples with the addition of sodium nitrite. The proximal composition of the formulations remained within the standards required in the IN nº22/2000 for jerked beef. Samples that differ significantly at 5% are directly related to the established type of formulation. The count of microorganisms was within the standards of the DRC nº12/2001 required for matured meat products. The intensity of the red (a*) decreased with storage time and increase the intensity of yellow (b*) indicates a darkening of the product despite L* also have been increased. These results suggest that yerba mate is a good alternative to meat industry in reducing healing addition salts when associated with another antioxidant.

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La higiene de los alimentos para el consumo humano es un derecho que tienen todas las personas, pues esto les evita daños a la salud. La incidencia de las enfermedades por transmisión alimentaria ha ido en aumento, y pueden llevar en muchos casos incluso hasta la muerte. Asimismo, hay efectos negativos en el deterioro de los alimentos, significan costos y pérdidas económicas para los países. Estas son razones por las que se deben tener sistemas que aseguren la higiene de los alimentos. Los riesgos alimentarios pueden ser de tipo microbiológico, residuos de plaguicidas, utilización inadecuada de los aditivos alimentarios, contaminantes químicos, incluidas las toxinas biológicas, adulteraciones. Así también se pueden incluir organismos genéticamente modificados, alérgenos, residuos de medicamentos veterinarios y hormonas. Por estas razones, es necesario un control eficaz de la higiene para evitar las enfermedades y por el daño en alimentos a la economía de un país. Cada vez que un consumidor paga por un alimento, bien sea para consumo inmediato o para un proceso de cocción y luego ser ingerido, espera que lo puede consumir sin ningún peligro, ya que confía en que las autoridades sanitarias encargadas en cada uno de los eslabones de la cadena alimenticia (Finca, Planta, Expendio, Comercio, Transporte) han desarrollado actividades que le den la garantía al consumidor de pagar por el producto e ingerirlo sin pensar en que afectará su salud. Hoy en día, se observa, como sigue en aumento los índices de Enfermedades Transmitidas por Alimentos (ETA´s), mientras que, los esfuerzos por disminuir e identificar las fallas en el aseguramiento de la inocuidad de los alimentos en todo el proceso son insuficientes. El Gobierno de Nicaragua, ha tomado conciencia y se está preparando para los próximos desafíos que presentará el comercio mundial en cuanto a garantizar productos de alta calidad e inocuidad. Por lo tanto, el MAG para mejorar y asegurar la inocuidad de los productos de origen animal y vegetal se ha basado en la implementación del sistema HACCP cuyo enfoque principal es la seguridad alimentaria y nutricional, en conjunto con la implementación de los programas prerrequisitos como son las Buenas Prácticas Agrícolas (BPA), Buenas Prácticas de manufactura (BPM), Programas de Operación y Sanitización (SOP's).(Picado, 2002).El objetivo del presente estudio de caso fue: Contrastar la aplicación de las normas Sistemas de Análisis de Peligro y Puntos Críticos de Control (HACCP) en el periodo 2014 – 2015, en el MATADERO NICA BEEF PACKERS S.A, que funciona en el municipio de Condega, Departamento de Estelí, Nicaragua. Para alcanzar el objetivo se aplicó una metodología comparativa entre un estudio anterior y las nuevas realidades generadas en la empresa, apoyándonos para tal efecto de técnicas e instrumentos aplicados por la ciencia como son: la entrevista, la observación, el análisis documental, y programas de aplicación Microsoft Word y Excel 2010, las que fueron utilizadas pertinentemente en su momento, permitiendo el procesamiento de datos y su posterior análisis. El punto de partida de este proceso investigativo fue la búsqueda de información relacionada al objeto de estudio, determinándose los tres puntos críticos de control y las variables que influyen en el fenómeno estudiado.. Las variables tomadas en cuenta fueron: Buenas prácticas de manufacturación, Procedimientos operativos estandarizados de Higiene, Análisis de riesgos, identificación y control de puntos críticos (HACCP). En lo concerniente a la primer variable las buenas prácticas de manufactura que realiza el personal de la empresa, se cumplen en un 91 % en ambos estudios, destacándose en forma ascendente las condiciones de edificio con el 94% y el personal con 93%; la segunda variable referida a los Procedimientos Operacionales Estándares (POE), se cumplen en un 88.65 %, ubicándose en un lugar privilegiado la salud de los trabajadores al tener 99% de cumplimiento. En promedio estos prerrequisitos generales se cumplen en un 89.82 %. La tercera variable las acciones correctivas de los PCC del sistema HACCP presentaron un 95.22% de cumplimiento, mostrando así que los equipos de trabajo de la empresa tienen un alto grado de conocimiento y la práctica requerida para las labores que realizan; en esta última sobresale el PCC N°2 que en cuanto a intervención antimicrobiano tuvo el 100% de cumplimiento, y un rango aceptable en la concentración de la solución de ácido orgánico de 1.5 a 2% y pH entre 3 y 4.4 unidades después del rociado,. En el PCC N°3 relacionada a la etapa de enfriamiento, se está cumpliendo con las normas establecidas en el reglamento HACCP, manteniendo temperatura de canales ≤ 8.33333 Grados Celsius, y 24 horas de refrigeración, impidiendo todas estas aplicaciones el desarrollo de bacterias patógenas.

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The Rangeland Journal – Climate Clever Beef special issue examines options for the beef industry in northern Australia to contribute to the reduction in global greenhouse gas (GHG) emissions and to engage in the carbon economy. Relative to its gross value (A$5 billion), the northern beef industry is responsible for a sizable proportion of national reportable GHG emissions (8–10%) through enteric methane, savanna burning, vegetation clearing and land degradation. The industry occupies large areas of land and has the potential to impact the carbon cycle by sequestering carbon or reducing carbon loss. Furthermore, much of the industry is currently not achieving its productivity potential, which suggests that there are opportunities to improve the emissions intensity of beef production. Improving the industry’s GHG emissions performance is important for its environmental reputation and may benefit individual businesses through improved production efficiency and revenue from the carbon economy. The Climate Clever Beef initiative collaborated with beef businesses in six regions across northern Australia to better understand the links between GHG emissions and carbon stocks, land condition, herd productivity and profitability. The current performance of businesses was measured and alternate management options were identified and evaluated. Opportunities to participate in the carbon economy through the Australian Government’s Emissions Reduction Fund (ERF) were also assessed. The initiative achieved significant producer engagement and collaboration resulting in practice change by 78 people from 35 businesses, managing more than 1 272 000 ha and 132 000 cattle. Carbon farming opportunities were identified that could improve both business performance and emissions intensity. However, these opportunities were not without significant risks, trade-offs and limitations particularly in relation to business scale, and uncertainty in carbon price and the response of soil and vegetation carbon sequestration to management. This paper discusses opportunities for reducing emissions, improving emission intensity and carbon sequestration, and outlines the approach taken to achieve beef business engagement and practice change. The paper concludes with some considerations for policy makers.

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Beef businesses in northern Australia are facing increased pressure to be productive and profitable with challenges such as climate variability and poor financial performance over the past decade. Declining terms of trade, limited recent gains in on-farm productivity, low profit margins under current management systems and current climatic conditions will leave little capacity for businesses to absorb climate change-induced losses. In order to generate a whole-of-business focus towards management change, the Climate Clever Beef project in the Maranoa-Balonne region of Queensland trialled the use of business analysis with beef producers to improve financial literacy, provide a greater understanding of current business performance and initiate changes to current management practices. Demonstration properties were engaged and a systematic approach was used to assess current business performance, evaluate impacts of management changes on the business and to trial practices and promote successful outcomes to the wider industry. Focus was concentrated on improving financial literacy skills, understanding the business’ key performance indicators and modifying practices to improve both business productivity and profitability. To best achieve the desired outcomes, several extension models were employed: the ‘group facilitation/empowerment model’, the ‘individual consultant/mentor model’ and the ‘technology development model’. Providing producers with a whole-of-business approach and using business analysis in conjunction with on-farm trials and various extension methods proved to be a successful way to encourage producers in the region to adopt new practices into their business, in the areas of greatest impact. The areas targeted for development within businesses generally led to improvements in animal performance and grazing land management further improving the prospects for climate resilience.

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In 2014, the Australian Government implemented the Emissions Reduction Fund to offer incentives for businesses to reduce greenhouse gas (GHG) emissions by following approved methods. Beef cattle businesses in northern Australia can participate by applying the 'reducing GHG emissions by feeding nitrates to beef cattle' methodology and the 'beef cattle herd management' methods. The nitrate (NO3) method requires that each baseline area must demonstrate a history of urea use. Projects earn Australian carbon credit units (ACCU) for reducing enteric methane emissions by substituting NO3 for urea at the same amount of fed nitrogen. NO3 must be fed in the form of a lick block because most operations do not have labour or equipment to manage daily supplementation. NO3 concentrations, after a 2-week adaptation period, must not exceed 50 g NO3/adult animal equivalent per day or 7 g NO3/kg dry matter intake per day to reduce the risk of NO3 toxicity. There is also a 'beef cattle herd management' method, approved in 2015, that covers activities that improve the herd emission intensity (emissions per unit of product sold) through change in the diet or management. The present study was conducted to compare the required ACCU or supplement prices for a 2% return on capital when feeding a low or high supplement concentration to breeding stock of either (1) urea, (2) three different forms of NO3 or (3) cottonseed meal (CSM), at N concentrations equivalent to 25 or 50 g urea/animal equivalent, to fasten steer entry to a feedlot (backgrounding), in a typical breeder herd on the coastal speargrass land types in central Queensland. Monte Carlo simulations were run using the software @risk, with probability functions used for (1) urea, NO3 and CSM prices, (2) GHG mitigation, (3) livestock prices and (4) carbon price. Increasing the weight of steers at a set turnoff month by feeding CSM was found to be the most cost-effective option, with or without including the offset income. The required ACCU prices for a 2% return on capital were an order of magnitude higher than were indicative carbon prices in 2015 for the three forms of NO3. The likely costs of participating in ERF projects would reduce the return on capital for all mitigation options. © CSIRO 2016.

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Approximately 5% of Australian national greenhouse gas (GHG) emissions are derived from the northern beef industry. Improving the reproductive performance of cows has been identified as a key target for increasing profitability, and this higher efficiency is also likely to reduce the GHG emissions intensity of beef production. The effects of strategies to increase the fertility of breeding herds and earlier joining of heifers as yearlings were studied on two properties at Longreach and Boulia in western Queensland. The beef production, GHG emissions, emissions intensity and profitability were investigated and compared with typical management in the two regions. Overall weaning rates achieved on the two properties were 79% and 74% compared with typical herd weaning rates of 58% in both regions. Herds with high reproductive performance had GHG emissions intensities (t CO2-e t–1 liveweight sold) 28% and 22% lower than the typical herds at Longreach and Boulia, with most of the benefit from higher weaning rates. Farm gross margin analysis showed that it was more profitable, by $62 000 at Longreach and $38 000 at Boulia, to utilise higher reproductive performance to increase the amount of liveweight sold with the same number of adult equivalents compared with reducing the number of adult equivalents to maintain the same level of liveweight sold and claiming a carbon credit for lower farm emissions. These gains achieved at two case study properties which had different rainfall, country types, and property sizes suggest similar improvements can be made on-farm across the Mitchell Grass Downs bioregion of northern Australia.