996 resultados para Saturation cérébrale
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Six gases (N((CH3)3), NH2OH, CF3COOH, HCl, NO2, O3) were selected to probe the surface of seven combustion aerosol (amorphous carbon, flame soot) and three types of TiO2 nanoparticles using heterogeneous, that is gas-surface reactions. The gas uptake to saturation of the probes was measured under molecular flow conditions in a Knudsen flow reactor and expressed as a density of surface functional groups on a particular aerosol, namely acidic (carboxylic) and basic (conjugated oxides such as pyrones, N-heterocycles) sites, carbonyl (R1-C(O)-R2) and oxidizable (olefinic, -OH) groups. The limit of detection was generally well below 1% of a formal monolayer of adsorbed probe gas. With few exceptions most investigated aerosol samples interacted with all probe gases which points to the coexistence of different functional groups on the same aerosol surface such as acidic and basic groups. Generally, the carbonaceous particles displayed significant differences in surface group density: Printex 60 amorphous carbon had the lowest density of surface functional groups throughout, whereas Diesel soot recovered from a Diesel particulate filter had the largest. The presence of basic oxides on carbonaceous aerosol particles was inferred from the ratio of uptakes of CF3COOH and HCl owing to the larger stability of the acetate compared to the chloride counterion in the resulting pyrylium salt. Both soots generated from a rich and a lean hexane diffusion flame had a large density of oxidizable groups similar to amorphous carbon FS 101. TiO2 15 had the lowest density of functional groups among the three studied TiO2 nanoparticles for all probe gases despite the smallest size of its primary particles. The used technique enabled the measurement of the uptake probability of the probe gases on the various supported aerosol samples. The initial uptake probability, g0, of the probe gas onto the supported nanoparticles differed significantly among the various investigated aerosol samples but was roughly correlated with the density of surface groups, as expected. [Authors]
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Necrotizing fasciitis is a rare, rapidly spreading, deep-seated infection causing thrombosis of the blood vessels located in the fascia. Necrotizing fasciitis is a surgical emergency. The diagnosis typically relies on clinical findings of severe sepsis and intense pain, although subacute forms may be difficult to recognize. Imaging studies can help to differentiate necrotizing fasciitis from infections located more superficially (dermohypodermitis). The presence of gas within the necrotized fasciae is characteristic but may be lacking. The main finding is thickening of the deep fasciae due to fluid accumulation and reactive hyperemia, which can be visualized using computed tomography and, above all, magnetic resonance imaging (high signal on contrast-enhanced T1 images and T2 images, best seen with fat saturation). These findings lack specificity, as they can be seen in non-necrotizing fasciitis and even in non-inflammatory conditions. Signs that support a diagnosis of necrotizing fasciitis include extensive involvement of the deep intermuscular fascias (high sensitivity but low specificity), thickening to more than 3mm, and partial or complete absence on post-gadolinium images of signal enhancement of the thickened fasciae (fairly high sensitivity and specificity). Ultrasonography is not recommended in adults, as the infiltration of the hypodermis blocks ultrasound transmission. Thus, imaging studies in patients with necrotizing fasciitis may be challenging to interpret. Although imaging may help to confirm deep tissue involvement and to evaluate lesion spread, it should never delay emergency surgical treatment in patients with established necrotizing fasciitis.
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This study details a method to statistically determine, on a millisecond scale and for individual subjects, those brain areas whose activity differs between experimental conditions, using single-trial scalp-recorded EEG data. To do this, we non-invasively estimated local field potentials (LFPs) using the ELECTRA distributed inverse solution and applied non-parametric statistical tests at each brain voxel and for each time point. This yields a spatio-temporal activation pattern of differential brain responses. The method is illustrated here in the analysis of auditory-somatosensory (AS) multisensory interactions in four subjects. Differential multisensory responses were temporally and spatially consistent across individuals, with onset at approximately 50 ms and superposition within areas of the posterior superior temporal cortex that have traditionally been considered auditory in their function. The close agreement of these results with previous investigations of AS multisensory interactions suggests that the present approach constitutes a reliable method for studying multisensory processing with the temporal and spatial resolution required to elucidate several existing questions in this field. In particular, the present analyses permit a more direct comparison between human and animal studies of multisensory interactions and can be extended to examine correlation between electrophysiological phenomena and behavior.
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Rapport de synthèseLe syndrome d'apnées obstructives du sommeil (SAOS) est une pathologie respiratoire fréquente. Sa prévalence est estimée entre 2 et 5% de la population adulte générale. Ses conséquences sont importantes. Notamment, une somnolence diurne, des troubles de la concentration, des troubles de la mémoire et une augmentation du risque d'accident de la route et du travail. Il représente également un facteur de risque cardiovasculaire indépendant.Ce syndrome est caractérisé par la survenue durant le sommeil d'obstructions répétées des voies aériennes supérieures. L'arrêt ou la diminution d'apport en oxygène vers les poumons entraîne des épisodes de diminution de la saturation en oxygène de l'hémoglobine. Les efforts ventilatoires visant à lever l'obstacle présent sur les voies aériennes causent de fréquents réveils à l'origine d'une fragmentation du sommeil.La polysomnographie (PSG) représente le moyen diagnostic de choix. Il consiste en l'enregistrement dans un laboratoire du sommeil et en présence d'un technicien diplômé, du tracé électroencéphalographique (EEG), de l'électrooculogramme (EOG), de l'électromyogramme mentonnier (EMG), du flux respiratoire nasal, de l'oxymétrie de pouls, de la fréquence cardiaque, de l'électrocardiogramme (ECG), des mouvements thoraciques et abdominaux, de la position du corps et des mouvements des jambes. L'examen est filmé par caméra infrarouge et les sons sont enregistrés.Cet examen permet entre autres mesures, de déterminer les événements respiratoires obstructifs nécessaires au diagnostic de syndrome d'apnée du sommeil. On définit une apnée lors d'arrêt complet du débit aérien durant au moins 10 secondes et une hypopnée en cas, soit de diminution franche de l'amplitude du flux respiratoire supérieure à 50% durant au moins 10 secondes, soit de diminution significative (20%) de l'amplitude du flux respiratoire pendant au minimum 10 secondes associée à un micro-éveil ou à une désaturation d'au moins 3% par rapport à la ligne de base. La détection des micro-éveils se fait en utilisant les dérivations électroencéphalographiques, électromyographiques et électrooculographiques. Il existe des critères visuels de reconnaissance de ces éveils transitoire: apparition de rythme alpha (8.1 à 12.0 Hz) ou beta (16 à 30 Hz) d'une durée supérieure à 3 secondes [20-21].Le diagnostic de S AOS est retenu si l'on retrouve plus de 5 événements respiratoires obstructifs par heure de sommeil associés soit à une somnolence diurne évaluée selon le score d'Epworth ou à au moins 2 symptômes parmi les suivants: sommeil non réparateur, étouffements nocturne, éveils multiples, fatigue, troubles de la concentration. Le S AOS est gradué en fonction du nombre d'événements obstructifs par heure de sommeil en léger (5 à 15), modéré (15 à 30) et sévère (>30).La polysomnographie (PSG) comporte plusieurs inconvénients pratiques. En effet, elle doit être réalisée dans un laboratoire du sommeil avec la présence permanente d'un technicien, limitant ainsi son accessibilité et entraînant des délais diagnostiques et thérapeutiques. Pour ces mêmes raisons, il s'agit d'un examen onéreux.La polygraphie respiratoire (PG) représente l'alternative diagnostique au gold standard qu'est l'examen polysomnographique. Cet examen consiste en l'enregistrement en ambulatoire, à savoir au domicile du patient, du flux nasalrespiratoire, de l'oxymétrie de pouls, de la fréquence cardiaque, de la position du corps et du ronflement (par mesure de pression).En raison de sa sensibilité et sa spécificité moindre, la PG reste recommandée uniquement en cas de forte probabilité de SAOS. Il existe deux raisons principales à l'origine de la moindre sensibilité de l'examen polygraphique. D'une part, du fait que l'état de veille ou de sommeil n'est pas déterminé avec précision, il y a dilution des événements respiratoires sur l'ensemble de l'enregistrement et non sur la période de sommeil uniquement. D'autre part, en l'absence de tracé EEG, la quantification des micro-éveils est impossible. Il n'est donc pas possible dans l'examen poly graphique, de reconnaître une hypopnée en cas de diminution de flux respiratoire de 20 à 50% non associée à un épisode de désaturation de l'hémoglobine de 3% au moins. Alors que dans l'examen polysomnographique, une telle diminution du flux respiratoire pourrait être associée à un micro-éveil et ainsi comptabilisée en tant qu'hypopnée.De ce constat est né la volonté de trouver un équivalent de micro-éveil en polygraphie, en utilisant les signaux à disposition, afin d'augmenter la sensibilité de l'examen polygraphique.Or plusieurs études ont démontrés que les micro-éveils sont associés à des réactions du système nerveux autonome. Lors des micro-éveils, on met en évidence la survenue d'une vasoconstriction périphérique. La variation du tonus sympathique associée aux micro-éveils peut être mesurée par différentes méthodes. Les variations de l'amplitude de l'onde de pouls mesurée par pulsoxymétrie représentant un marqueur fiable de la vasoconstriction périphérique associée aux micro-réveils, il paraît donc opportun d'utiliser ce marqueur autonomique disponible sur le tracé des polygraphies ambulatoires afin de renforcer la sensibilité de cet examen.Le but de l'étude est d'évaluer la sensibilité des variations de l'amplitude de l'onde de pouls pour détecter des micro-réveils corticaux afin de trouver un moyen d'augmenter la sensibilité de l'examen polygraphique et de renforcer ainsi sont pouvoir diagnostic.L'objectif est de démontrer qu'une diminution significative de l'amplitude de l'onde pouls est concomitante à une activation corticale correspondant à un micro¬réveil. Cette constatation pourrait permettre de déterminer une hypopnée, en polygraphie, par une diminution de 20 à 50% du flux respiratoire sans désaturation de 3% mais associée à une baisse significative de l'amplitude de pouls en postulant que l'événement respiratoire a entraîné un micro-réveil. On retrouve par cette méthode les mêmes critères de scoring d'événements respiratoires en polygraphie et en polysomnographie, et l'on renforce la sensibilité de la polygraphie par rapport au gold standard polysomnographique.La méthode consiste à montrer en polysomnographie qu'une diminution significative de l'amplitude de l'onde de pouls mesurée par pulsoxymétrie est associée à une activation du signal électroencéphalographique, en réalisant une analyse spectrale du tracé EEG lors des baisses d'amplitude du signal d'onde de pouls.Pour ce faire nous avons réalisé une étude rétrospective sur plus de 1000 diminutions de l'amplitude de l'onde de pouls sur les tracés de 10 sujets choisis de manière aléatoire parmi les patients référés dans notre centre du sommeil (CIRS) pour suspicion de trouble respiratoire du sommeil avec somnolence ou symptomatologie diurne.Les enregistrements nocturnes ont été effectués de manière standard dans des chambres individuelles en utilisant le système d'acquisition Embla avec l'ensemble des capteurs habituels. Les données ont été par la suite visuellement analysées et mesurées en utilisant le software Somnologica version 5.1, qui fournit un signal de l'amplitude de l'onde de pouls (puise wave amplitude - PWA).Dans un premier temps, un technicien du sommeil a réalisé une analyse visuelle du tracé EEG, en l'absence des données du signal d'amplitude d'onde de pouls. Il a déterminé les phases d'éveil et de sommeil, les stades du sommeil et les micro¬éveils selon les critères standards. Les micro-éveils sont définis lors d'un changement abrupt dans la fréquence de l'EEG avec un pattern d'ondes thêta-alpha et/ou une fréquence supérieure à 16 Hz (en l'absence de fuseau) d'une durée d'au minimum trois secondes. Si cette durée excède quinze secondes, l'événement correspond à un réveil.Puis, deux investigateurs ont analysé le signal d'amplitude d'onde de pouls, en masquant les données du tracé EEG qui inclut les micro-éveils. L'amplitude d'onde de pouls est calculée comme la différence de valeur entre le zénith et le nadir de l'onde pour chaque cycle cardiaque. Pour chaque baisse de l'amplitude d'onde de pouls, la plus grande et la plus petite amplitude sont déterminées et le pourcentage de baisse est calculé comme le rapport entre ces deux amplitudes. On retient de manière arbitraire une baisse d'au moins 20% comme étant significative. Cette limite a été choisie pour des raisons pratiques et cliniques, dès lors qu'elle représentait, à notre sens, la baisse minimale identifiable à l'inspection visuelle. Chaque baisse de PWA retenue est divisée en 5 périodes contiguës de cinq secondes chacune. Deux avant, une pendant et deux après la baisse de PWA.Pour chaque période de cinq secondes, on a pratiqué une analyse spectrale du tracé EEG correspondant. Le canal EEG C4-A1 est analysé en utilisant la transformée rapide de Fourier (FFT) pour chaque baisse de PWA et pour chaque période de cinq secondes avec une résolution de 0.2 Hz. La distribution spectrale est catégorisée dans chaque bande de fréquence: delta (0.5 à 4.0 Hz); thêta (4.1 à 8.0Hz); alpha (8.1 à 12.0 Hz); sigma (12.1 à 16 Hz) et beta (16.1 à 30.0 Hz). La densité de puissance (power density, en μΥ2 ) pour chaque bande de fréquence a été calculée et normalisée en tant que pourcentage de la puissance totale. On a déterminé, ensuite, la différence de densité de puissance entre les 5 périodes par ANOVA on the rank. Un test post hoc Tukey est été utilisé pour déterminer si les différences de densité de puissance étaient significatives. Les calculs ont été effectués à l'aide du software Sigmastat version 3.0 (Systat Software San Jose, California, USA).Le principal résultat obtenu dans cette étude est d'avoir montré une augmentation significative de la densité de puissance de l'EEG pour toutes les bandes de fréquence durant la baisse de l'amplitude de l'onde de pouls par rapport à la période avant et après la baisse. Cette augmentation est par ailleurs retrouvée dans la plupart des bande de fréquence en l'absence de micro-réveil visuellement identifié.Ce résultat témoigné donc d'une activation corticale significative associée à la diminution de l'onde de pouls. Ce résulat pourrait permettre d'utiliser les variations de l'onde de pouls dans les tracés de polygraphie comme marqueur d'une activation corticale. Cependant on peut dire que ce marqueur est plus sensible que l'analyse visuelle du tracé EEG par un technicien puisque qu'on notait une augmentation de lactivité corticale y compris en l'absence de micro-réveil visuellement identifié. L'application pratique de ces résultats nécessite donc une étude prospective complémentaire.
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Dans le domaine de la perception, l'apprentissage est contraint par la présence d'une architecture fonctionnelle constituée d'aires corticales distribuées et très spécialisées. Dans le domaine des troubles visuels d'origine cérébrale, l'apprentissage d'un patient hémi-anopsique ou agnosique sera limité par ses capacités perceptives résiduelles, mais un déficit de reconnaissance visuelle de nature apparemment perceptive, peut également être associé à une altération des représentations en mémoire à long terme. Des réseaux neuronaux distincts pour la reconnaissance - cortex temporal - et pour la localisation des sons - cortex pariétal - ont été décrits chez l'homme. L'étude de patients cérébro-lésés confirme le rôle des indices spatiaux dans un traitement auditif explicite du « where » et dans la discrimination implicite du « what ». Cette organisation, similaire à ce qui a été décrit dans la modalité visuelle, faciliterait les apprentissages perceptifs. Plus généralement, l'apprentissage implicite fonde une grande partie de nos connaissances sur le monde en nous rendant sensible, à notre insu, aux règles et régularités de notre environnement. Il serait impliqué dans le développement cognitif, la formation des réactions émotionnelles ou encore l'apprentissage par le jeune enfant de sa langue maternelle. Le caractère inconscient de cet apprentissage est confirmé par l'étude des temps de réaction sériels de patients amnésiques dans l'acquisition d'une grammaire artificielle. Son évaluation pourrait être déterminante dans la prise en charge ré-adaptative. [In the field of perception, learning is formed by a distributed functional architecture of very specialized cortical areas. For example, capacities of learning in patients with visual deficits - hemianopia or visual agnosia - from cerebral lesions are limited by perceptual abilities. Moreover a visual deficit in link with abnormal perception may be associated with an alteration of representations in long term (semantic) memory. Furthermore, perception and memory traces rely on parallel processing. This has been recently demonstrated for human audition. Activation studies in normal subjects and psychophysical investigations in patients with focal hemispheric lesions have shown that auditory information relevant to sound recognition and that relevant to sound localisation are processed in parallel, anatomically distinct cortical networks, often referred to as the "What" and "Where" processing streams. Parallel processing may appear counterintuitive from the point of view of a unified perception of the auditory world, but there are advantages, such as rapidity of processing within a single stream, its adaptability in perceptual learning or facility of multisensory interactions. More generally, implicit learning mechanisms are responsible for the non-conscious acquisition of a great part of our knowledge about the world, using our sensitivity to the rules and regularities structuring our environment. Implicit learning is involved in cognitive development, in the generation of emotional processing and in the acquisition of natural language. Preserved implicit learning abilities have been shown in amnesic patients with paradigms like serial reaction time and artificial grammar learning tasks, confirming that implicit learning mechanisms are not sustained by the cognitive processes and the brain structures that are damaged in amnesia. In a clinical perspective, the assessment of implicit learning abilities in amnesic patients could be critical for building adapted neuropsychological rehabilitation programs.]
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Effects of polyolefins, neoprene, styrene-butadiene-styrene (SBS) block copolymers, styrene-butadiene rubber (SBR) latex, and hydrated lime on two asphalt cements were evaluated. Physical and chemical tests were performed on a total of 16 binder blends. Asphalt concrete mixes were prepared and tested with these modified binders and two aggregates (crushed limestone and gravel), each at three asphalt content levels. Properties evaluated on the modified binders (original and thin-film oven aged) included: viscosity at 25 deg C, 60 deg C and 135 deg C with capillary tube and cone-plate viscometer, penetration at 5 deg C and 25 deg C, softening point, force ductility, and elastic recovery at 10 deg C, dropping ball test, tensile strength, and toughness and tenacity tests at 25 deg C. From these the penetration index, the viscosity-temperature susceptibility, the penetration-viscosity number, the critical low-temperature, long loading-time stiffness, and the cracking temperature were calculated. In addition, the binders were studied with x-ray diffraction, reflected fluorescence microscopy, and high-performance liquid chromatography techniques. Engineering properties evaluated on the 72 asphalt concrete mixes containing additives included: Marshall stability and flow, Marshall stiffness, voids properties, resilient modulus, indirect tensile strength, permanent deformation (creep), and effects of moisture by vacuum-saturation and Lottman treatments. Pavement sections of varied asphalt concrete thicknesses and containing different additives were compared to control mixes in terms of structural responses and pavement lives for different subgrades. Although all of the additives tested improved at least one aspect of the binder/mixture properties, no additive was found to improve all the relevant binder/mixture properties at the same time. On the basis of overall considerations, the optimum beneficial effects can be expected when the additives are used in conjunction with softer grade asphalts.
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The objective of the investigation was the development of a test that would readily identify the potential of an aggregate to cause D-cracking because of its susceptivity to critical saturation. A Press-Ur-Meter was modified by replacing the air chamber with a one-inch diameter plastic tube calibrated in milli-. It was concluded that the pore index was sufficiently reliable to determine the D-cracking potential of limestone aggregates in all but a few cases where marginal results were obtained. Consistently poor or good results were always in agreement with established service records or concrete durability testing. In those instances where marginal results are obtained, the results of concrete durability testing should be considered when making the final determination of the D-cracking susceptibility of the aggregate in question. The following applications for the pore index test have been recommended for consideration: concrete durability testing be discontinued in the evaluation process of new aggregate sources with pore index results between 0-20 (Class 2 durability) and over 35 (Class 1) durability; composite aggregates with intermediate pore index results of 20-35 be tested on each stone type to facilitate the possible removal of low durability stone from the production process; and additional investigation should be made to evaluate the possibility of using the test to monitor and upgrade the acceptance of aggregate from sources associated with D-cracking.
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In view of the energy, environmental, and economic advantages of the foamed asphalt process using local aggregates in cold mixes and the promising results from Research Project HR-212, a 4.2-mile section of county road in Muscatine County was built with foamed asphalt and local aggregates during August-September 1983. Extensive laboratory evaluation was carried out on five plant mixes representing foamed mixes used in the nine test sections, a laboratory prepared foamed mix, and a laboratory prepared hot mix similar to Plant Mix 1. The foamed mixes were compacted, cured under 15 curing conditions and tested for bulk specific gravity, Marshall stability at 77° F and at 140° F, cured moisture content, resilient modulus and effects of moisture damage due to freeze-thaw cycles, water soaking, and vacuum saturation. In addition, four sets of 83 core samples were taken at 1 to 15 months and tested for moisture content, specific gravity, Marshall stability, and resilient modulus. In summary, the test road has performed satisfactorily for almost two years. The few early construction problems encountered were to be expected for experimental projects dealing with new materials and technologies. Overall results to date are encouraging and foamed asphalt mixes have proved to have the potential as a viable base material in areas where marginal aggregates are available. It is hoped and expected that performance evaluation of the test sections will be continued and that more foamed asphalt trial projects will be constructed and monitored so that experiences and findings from this project can be verified and mix design criteria can be gradually established. For future foamed asphalt projects it is recommended that anti-stripping additives, such as hydrated lime, be added in view of the potential moisture susceptibility of foamed mixes observed in the laboratory evaluation.
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Contexte Aider les enfants atteints de paralysie cérébrale à découvrir, puis à perfectionner leurs possibilités de déplacement et de déambulation, est un des buts essentiels de l'action thérapeutique. Cela implique une connaissance approfondie de leurs capacités de marche. Le but de cette étude était d'essayer de trouver un ou des paramètres spatiotemporels du pattern de marche corrélé au score de Gillette afin de disposer d'un outil objectif d'évaluation des capacités de marche de l'enfant paralysé cérébral. Méthode Cinq sujets âgés de 6 à 14 ans (± 4,4), répondant aux classes 1 à 3 du score de Palisano ont été inclus dans l'étude. Une évaluation des qualités de marche par l'échelle de Gillette a été réalisée à la suite d'une évaluation des paramètres spatiotemporels de marche sur un tapis de type GAITRite®. Résultats Ainsi cinq paramètres spatiotemporels corrélés au score de Gillette ont été mis en évidence. Tous ces paramètres sont liés à la vitesse de déplacement. Discussion Les résultats montrent une corrélation des paramètres liés à la vitesse de foulée et du pas des patients. Les paramètres concernant la foulée et le pas des enfants paralysés cérébraux sont à prendre en compte dans le processus de prise en charge rééducative. Conclusion Une étude future devra comprendre un plus grand nombre de sujets et centrer son investigation sur les paramètres corrélés.
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There is a wide range of evidence to suggest that permeability can be constrained through of induced polarization measurements. For clean sands and sandstones, current mechanistic models of induced polarization predict a relationship between the low-frequency time constant inferred from induced polarization measurements and the grain diameter. A number of observations do, however, disagree with this and indicate that the observed relaxation behavior is rather governed by the so-called dynamic pore radius L. To test this hypothesis, we have developed a set of new scaling relationships, which allow the relaxation time to be computed from the pore size and the permeability to be computed from both the Cole-Cole time constant and the formation factor. Moreover, these new scaling relationships can be also used to predict the dependence of the Cole-Cole time constant as a function of the water saturation under unsaturated conditions. Comparative tests of the proposed new relationships with regard to various published experimental results for saturated clean sands and sandstones as well as for partially saturated clean sandstones, do indeed confirm that the dynamic pore radius L is a much more reliable indicator of the observed relaxation behavior than grain-size-based models.
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PURPOSE: In the present study, the impact of the two different fat suppression techniques was investigated for free breathing 3D spiral coronary magnetic resonance angiography (MRA). As the coronary arteries are embedded in epicardial fat and are adjacent to myocardial tissue, magnetization preparation such as T(2)-preparation and fat suppression is essential for coronary discrimination. MATERIALS AND METHODS: Fat-signal suppression in three-dimensional (3D) thin- slab coronary MRA based on a spiral k-space data acquisition can either be achieved by signal pre-saturation using a spectrally selective inversion recovery pre-pulse or by spectral-spatial excitation. In the present study, the performance of the two different approaches was studied in healthy subjects. RESULTS: No significant objective or subjective difference was found between the two fat suppression approaches. CONCLUSION: Spectral pre-saturation seems preferred for coronary MRA applications due to the ease of implementation and the shorter cardiac acquisition window.
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The susceptibility of blood changes after administration of a paramagnetic contrast agent that shortens T(1). Concomitantly, the resonance frequency of the blood vessels shifts in a geometry-dependent way. This frequency change may be exploited for incremental contrast generation by applying a frequency-selective saturation prepulse prior to the imaging sequence. The dual origin of vascular enhancement depending first on off-resonance and second on T(1) lowering was investigated in vitro, together with the geometry dependence of the signal at 3T. First results obtained in an in vivo rabbit model are presented.
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Rumble strips are patches of specially treated pavement surfaces which are designed to produce aural and tactile stimuli inside vehicles. The intent is to alert drivers and when desirable, cause them to slow down or come to a stop. Installations were made in a three-county area in Iowa to study rumble strip effectiveness as an accident reducing measure. The investigation of accidents at the various test sites showed that rumble strips were effective in reducing certain types of intersection accidents. Although no statistically significant effect of the saturation use was found on total accidents, there are indications that accidents may be reduced when used in low density i.e., rural type areas.
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Enjeu et contexte de la recherche La dégénérescence lobaire fronto-temporale (DLFT) est une pathologie neurodégénérative aussi fréquente que la maladie d'Alzheimer parmi les adultes de moins de 65 ans. Elle recouvre une constellation de syndromes neuropsychiatriques et moteurs dont les caractéristiques cliniques et anatomo-pathologiques se recoupent partiellement. La plupart des cas de démence sémantique ne présentent pas de troubles moteurs et révèlent à l'autopsie des lésions ubiquitine-positives. Son association à un syndrome cortico-basal et à une tauopathie 4R est donc très inhabituelle. Le cas que nous présentons est le premier à disposer d'une description clinique complète, tant sur le plan cognitif que moteur, et d'une analyse génétique et histopathologique. Résumé de l'article Il s'agit d'un homme de 57 ans, sans antécédents familiaux, présentant une démence sémantique accompagnée de symptômes inhabituels dans ce contexte, tels qu'une dysfonction exécutive et en mémoire épisodique, une désorientation spatiale et une dyscalculie. Le déclin physique et cognitif fut rapidement progressif. Une année et demie plus tard, il développait en effet des symptômes moteurs compatibles initialement avec un syndrome de Richardson, puis avec un syndrome cortico-basal. Son décès survint à l'âge de 60 ans des suites d'une pneumonie sur broncho-aspiration. L'autopsie cérébrale mit en évidence une perte neuronale et de nombreuses lésions tau-4R-positives dans les lobes frontaux, pariétaux et temporaux, les ganglions de la base et le tronc cérébral. Aucune mutation pathologique n'a été décelée dans le gène MAPT (microtubule-associated protein tau). L'ensemble de ces éléments sont discutés dans le cadre des connaissances actuelles sur la DLFT. Conclusions et perspectives Ce cas illustre le recoupement important des différents syndromes de la DLFT, parfois appelée le « complexe de Pick ». De plus, la démence sémantique pourrait s'avérer cliniquement moins homogène que prévu. Les définitions actuelles de la démence sémantique omettent la description des symptômes cognitifs extra-sémantiques malgré l'accumulation de preuves de leur existence. La faible prévalence de la démence sémantique, ainsi que des différences dans les examens neuropsychologiques, peuvent expliquer en partie la raison de cette omission. La variabilité histopathologique de chaque phénotype de DLFT peut également induire des différences dans leur expression clinique. Dans un domaine aussi mouvant que la DLFT, la co- occurrence ou la succession de plusieurs syndromes cliniques est en outre probablement la règle plutôt que l'exception.
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RÉSUMÉ Les kinases activées par des mitogènes (MAPKs) constituent une importante famille d'enzymes conservée dans l'évolution. Elles forment un réseau de signalisation qui permet à la cellule de réguler spécifiquement divers processus impliqués dans la différenciation, la survie ou l'apoptose. Les kinases formant le module MAPK sont typiquement disposées en cascades de trois partenaires qui s'activent séquentiellement par phosphorylation. Le module minimum est constitué d'une MAPK kinase kinase (MAPKKK), d'une MAPK kinase (MAPKK) et d'une MAPK. Une fois activée, la MAPK phosphoryle différents substrats tels que des facteurs de transcription ou d'autres protéines. Chez les mammifères, trois groupes principaux de MAPKs ont été identifiés. Il s'agit du groupe des kinases régulées par des signaux extracellulaires du type «mitogènes » (ERK), ainsi que des groupes p38 et cJun NH2-terminal kinase (JNK), ou SAPK pour stress activated protein kinase, plutôt activées par des stimuli de type «stress ». De nombreuses études ont impliqué JNK dans la régulation de différents processus physiologiques et pathologiques, comme le diabète, les arthrites rhumatoïdes, l'athérosclérose, l'attaque cérébrale, les maladies de Parkinson et d'Alzheimer. JNK, en particulier joue un rôle dans la mort des cellules sécrétrices d'insuline induite par l'interleukine (IL)-1 β, lors du développement du diabète de type 1. IB1 est une protéine scaffold (échafaud) qui participe à l'organisation du module de JNK. IB1 est fortement exprimée dans les neurones et les cellules β du pancréas. Elle a été impliquée dans la survie des cellules, la régulation de l'expression du transporteur du glucose de type 2 (Glut-2) et dans le processus de sécrétion d'insuline glucose-dépendante. IBl est caractérisée par plusieurs domaines d'interaction protéine-protéine : un domaine de liaison à JNK (JBD), un domaine homologue au domaine 3 de Src (SH3) et un domaine d'interaction avec des tyrosines phosphorylées (PID). Des partenaires d'IB1, incluant les membres de la familles des kinases de lignée mélangée (MLKs), la MAPKK MKK7, la phosphatase 7 des MAPKs (MKP-7) ainsi que la chaîne légère de la kinésine, ont été isolés. Tous ces facteurs, sauf les MLKs et MKK7 interagissent avec le domaine PID ou l'extrême partie C-terminale d'IBl (la chaîne légère de la kinésine). Comme d'autres protéines scaffolds déjà décrites, IBl et un autre membre de la famille, IB2, sont capables d'homo- et d'hétérodimériser. L'interaction a lieu par l'intermédiaire de leur région C-terminale, contenant les domaines SH3 et PID. Mais ni le mécanisme moléculaire, ni la fonction de la dimérisation n'ont été caractérisés. Le domaine SH3 joue un rôle central lors de l'assemblage de complexes de macromolécules impliquées dans la signalisation intracellulaire. Il reconnaît de préférence des ligands contenant un motif riche en proline de type PxxP et s'y lie. Jusqu'à maintenant, tous les ligands isolés se liant à un domaine SH3 sont linéaires. Bien que le domaine SH3 soit un domaine important de la transmission des signaux, aucun partenaire interagissant spécifiquement avec le domaine SH3 d'IB1 n'a été identifié. Nous avons démontré qu'IBl homodimérisait par un nouveau set unique d'interaction domaine SH3 - domaine SH3. Les études de cristallisation ont démontré que l'interface recouvrait une région généralement impliquée dans la reconnaissance classique d'un motif riche en proline de type PxxP, bien que le domaine SH3 d'IB1 ne contienne aucun motif PxxP. L'homodimère d'IB1 semble extrêmement stable. Il peut cependant être déstabilisé par trois mutations ponctuelles dirigées contre des résidus clés impliqués dans la dimérisation. Chaque mutation réduit l'activation basale de JNK dépendante d'IB 1 dans des cellules 293T. La déstabilisation de la dimérisation induite par la sur-expression du domaine SH3, provoque une diminution de la sécrétion d'insuline glucose dépendant. SUMMARY Mitogen activated kinases (MAPK) are an important and conserved enzyme family. They form a signaling network required to specifically regulate process involved in cell differentiation, proliferation or death. A MAPK module is typically organized in a threekinase cascade which are activated by sequential phosphorylation. The MAPK kinase kinase (MAPKKK), the MAPK kinase (MAPKK) and the MAPK constitute the minimal module. Once activated, the MAPK phosphorylates its targets like transcription factors or other proteins. In mammals, three major groups of MAPKs have been identified : the group of extra-cellular regulated kinase (ERK) which is activated by mitogens and the group of p38 and cJun NH2-terminal kinase (JNK) or SAPK for stress activated protein kinase, which are activated by stresses. Many studies implicated JNK in many physiological or pathological process regulations, like diabetes, rheumatoid arthritis, arteriosclerosis, strokes or Parkinson and Alzheimer disease. In particular, JNK plays a crucial role in pancreatic β cell death induced by Interleukin (IL)-1 β in type 1 diabetes. Islet-brain 1 (IB 1) is a scaffold protein that interacts with components of the JNK signal-transduction pathway. IB 1 is expressed at high levels in neurons and in pancreatic β-cells, where it has been implicated in cell survival, in regulating expression of the glucose transporter type 2 (Glut-2) and in glucose-induced insulin secretion. It contains several protein-protein interaction domains, including a JNK-binding domain (JBD), a Src homology 3 domain (SH3) and a phosphotyrosine interaction domain (PID). Proteins that have been shown to associate with IB 1 include members of the Mixed lineage kinase family (MLKs), the MAPKK MKK7, the MAPK phosphatase-7 MKP7, as well as several other ligands including kinesin light chain, LDL receptor related family members and the amyloid precursor protein APP. All these factors, except MLK3 and MKK7 have been shown to interact with the PID domain or the extreme C-terminal part (Kinesin light chain) of IB 1. As some scaffold already described, IB 1 and another member of the family, IB2, have previously been shown to engage in oligomerization through their respective C-terminal regions that include the SH3 and PID domains. But neither the molecular mechanisms nor the function of dimerization have yet been characterized. SH3 domains are central in the assembly of macromolecular complexes involved in many intracellular signaling pathways. SH3 domains are usually characterized by their preferred recognition of and association with canonical PxxP motif. In all these cases, a single linear sequence is sufficient for binding to the SH3 domain. However, although SH3 domains are important elements of signal transduction, no protein that interacts specifically with the SH3 domain of IB 1 has been identified so far. Here, we show that IB 1 homodimerizes through a navel and unique set of SH3-SH3 interactions. X-ray crystallography studies indicate that the dieter interface covers a region usually engaged in PxxP-mediated ligand recognition, even though the IB 1 SH3 domain lacks this motif. The highly stable IB 1 homodimer can be significantly destabilized in vitro by individual point-mutations directed against key residues involved in dimerization. Each mutation reduces IB 1-dependent basal JNK activity in 293T cells. Impaired dimerization induced by over-expression of the SH3 domain also results in a significant reduction in glucose-dependent insulin secretion in pancreatic β-cells.