987 resultados para Mossé, Claude
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Intervenant sur l'exemplaire (autre) : Crépy, Louis (1680?-17..)
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Échelle(s) : [1:3 964 000 environ], 1200 stades olympiques dont 8 égalent un mille romain [= 5,6 cm]
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La thèse est articulée en trois grandes sections, consacrées respectivement: (I) à la traduction poétique en Italie à partir des années 1540 jusqu'à la fin du XVIème siècle (II), à la réception des Métamorphoses d'Ovide à travers la réflexion théorique et les réécritures en italien (III), à la plus célèbre des versions italiennes du poème latin, celle de Giovanni Andrea dell'Anguillara (1507-1570 env.), parue à Venise en 1561. Le premier chapitre (La traduzione poetica nel Cinquecento) prend en considération plus d'une trentaine de traductions d'auteurs classiques parues en Italie entre 1540 et 1580. L'examen détaillé du péritexte qui accompagne les éditions (préfaces, commentaires, dédicaces) montre l'existence d'un riche débat autour de la traduction littéraire ainsi que la présence d'un public vaste et diversifié comme destinataire de ces oeuvres. Dans ce contexte, la traduction en langue vulgaire de l'oeuvre d'Ovide, et particulièrement des Métamorphoses, constitue un cas fort intéressant. Le deuxième chapitre (Aspetti della ricezione delle Metamorfosi nel Cinquecento) offre un ample aperçu sur la réception du poème latin à travers ses principales éditions, commentaires et interprétations. En s'appuyant sur les travaux de A. Moss et D. Javitch, ce chapitre (II. 2 Usi e funzioni delle Metamorfosi in ambito teorico e poetico) montre les contradictions existant dans les jugements sur les Métamorphoses au XVIème siècle, partagés entre l'admiration pour la virtuosité du poète latin et l'écho des préjugés moraux et stylistiques hérités de la critique ancienne. La poétique du Cinquecento en effet devait faire face à deux problèmes majeurs posés par le texte d'Ovide: au niveau structurel son caractère polycentrique et digressif, inconciliable avec le modèle épique virgilien chéri par le siècle; au niveau thématique la présence de récits de phénomènes jugés invraisemblables, comme notamment celui de la métamorphose. L'analyse des traductions des Métamorphoses en italien entre 1530 et 1570 prend en considération autant les réécritures partielles (dues aux poètes Luigi Alamanni, Bernardo Tasso, Girolamo Parabosco) que les versions intégrales du poème. Parmi ces dernières, une attention particulière a été réservée à l'adaptation du vénitien Ludovico Dolce, Le Trasformationi (1553), libre réécriture sur le modèle du Roland Furieux. La dernière partie du travail est entièrement consacrée à la célèbre version de Giovanni Andrea dell'Anguillara, poète et traducteur dans le cercle du cardinal Alessandro Farnese. Comme le démontre l'analyse comparée du texte italien et de l'original latin, cette «belle infidèle» (qui supplanta la version de Dolce et fut réimprimée maintes fois jusqu'au XIX siècle) doit son succès à son parfait équilibre entre fidélité à la structure du poème et une attitude très libre dans la narration, qui n'hésite pas à actualiser et «contaminer» le texte ovidien avec des auteurs modernes tels que l'Arioste ou Bandello. L'appendice comprend une bibliographie exhaustive des éditions de la traduction d'Anguillara parues au XVIème siècle.
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Comprend : Portrait historique du charlatanisme, fait par lui-même dans un moment de franchise ; Dissertation epistolaire sur les monumens antiques et les monumens funèbres... ; Les Échecs, poëme
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En tête du ms., lettre d'Alexandre III, datée du 19 juillet 1169, n. 7768 de Jaffé (1v-2)."
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Au f. 153, ex-libris lavé, du XIVe s. (lampe de Wood): "Iste liber est Hugoni de Villeni Sancti Ligari [...] quem emit ab exequo (?) defuncti domini Stephani de Susciaco presbiteri". Dans l'obituaire de la cathédrale de Paris, publié par A. Molinier (Obituaires de la province de Sens, I, Paris, 1902, 91-240), le décès de Stephanus de Susiaco [Etienne de Suizy], "presbiter cardinalis", est mentionné à la date du 11 décembre 1311 (p. 208). En-dessous, un second ex-libris du XIVe s. a été gratté: "Iste liber est [...] rectoris [...] Carnotensis dyocesis". Il est suivi par une mention d'achat partiellement lisible, du XIVe s.: "Vendidi [...] ante s. crucem text. sextio casus quosdam decretalium vendedi magister Stephanus de Lugello habuit [...] tamquam (?) de bonis iste [...] + Richardus ad bonum baculum tenetur presens I. et marg. emo [...], debet XXVII s. IIII d. par. medi augusti. Solvi V p. De quibus se [...] Anchi (?) Yvoni X sol. par. IIII d. par." Ce ms. a été acheté par Claude Joly, chantre de Notre-Dame de Paris, à Chaumont-en-Bassigny en 1655, comme l'indique la note de Claude Joly au contreplat sup.: "Cl. Joly M. oct. 1658. J'ay eu ce mss. a Chaumont en Bassigni en 1655". En-dessous de cette note figure l'ex-libris "A la bibliotheque de l'Eglise de Paris", précédé de la cote C18 (fin XVIIe s.-début XVIIIe s.). Notre-Dame.
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Liber Alchandrei philosophi (2-13). - Epistola Phetosiri de sphera (13-13v). - "Quicumque nosse desiderat legem..." [traité astronomique arabe traduit en latin] (14-15). - Abbo Floriacensis, Sententia de differentia circuli et spherae (15-16v). - Pseudo Alexander Astrologus, Mathematica (17-17v). - Varia astronomica et astrologica (18v, 20v). Le texte du f. 18v a été copié à une date plus tardive, peut-être au XIe s. Ce ms. est intéressant à plus d'un titre, car les textes qu'il contient attestent l'influence des traités d'astronomie arabe en Occident."