979 resultados para Lispector, Clarice, 1920-1977. O mistério do coelho pensante Teses


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Documents and papers relating to Colonel John Butler and his corps of rangers. Pt.IV. 1783-1977.

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Tesis (Maestría en Salud Pública con Especialidad en Salud en el Trabajo) UANL

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Tesis (Maestría en Salud Pública con Especialidad en Odontología Social) UANL.

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Dès sa création en 1966, lâERAP sâest fixé pour but dâaccroître la production du pétrole « franc », en diversifiant ses sources dâapprovisionnement. Un tel objectif prend une tournure cruciale dès lors que les rapports tendus entre le groupe français et les autorités algériennes semblent menacer ses acquis dans le Sahara. Toutefois, se tailler une place sur le marché mondial semble à cette époque une tâche ardue, voire improbable, puisque les espaces les plus pétrolifères sont déjà occupés par les grandes sociétés, dites Majors. Néanmoins, la société dâÃtat française réussit à sâimplanter dans plusieurs pays producteurs, dont lâIrak en 1968, jusquâalors considéré comme la chasse gardée de la Compagnie française des pétroles (CFP). Aussi, lâexpérience irakienne, suite à lâinsuccès en Algérie, incite Elf ERAP à se concentrer dans les pays pétroliers de lâAfrique subsaharienne et en Mer du Nord. Le 3 février 1968, Elf ERAP signe un accord avec la compagnie dâÃtat pétrolière, INOC, pour se charger de la prospection et de lâexploitation dâune partie du territoire confisqué par lâÃtat irakien à la puissante Iraq Petroleum Company (IPC). En contrepartie de ses apports financiers et techniques, Elf ERAP sera rémunérée par un approvisionnement garanti en pétrole irakien : il sâagit dâun nouveau genre de partenariat, dit « contrat dâagence ». Ce dernier succède au système classique des concessions et vaut à la société dâÃtat un franc succès dans son projet de pénétration au Moyen Orient. Très vite, les prospections donnent lieu à la découverte de gisements. La production démarre en 1976 et sâélève à 5 millions de tonnes en 1977. Dès lors, Elf ERAP, devenue la SNEA, peut envisager avec optimisme son avenir énergétique, puisque sa sécurité dâapprovisionnement est, en partie, assurée par le marché irakien. Mais, contre toute attente, le groupe dâÃtat français se retire de lâaffaire en mai 1977, laissant place à lâINOC, qui prend en charge le projet deux ans avant la date prévue par le contrat initial de 1968. Ce sujet de recherche consiste à éclaircir le rôle dâopérateur joué par lâERAP en Irak, entre 1968 et 1977. Pour tenter dâexpliquer le départ prématuré dâElf Irak, il nous faut identifier les facteurs endogènes et exogènes qui ont pu motiver une telle décision. Autrement dit, la société dâÃtat aurait-elle subi les revers de ses propres choix énergétiques ou un tel dénouement serait-il imputable à la politique pétrolière irakienne? Quelles sont les implications de la conjoncture pétrolière internationale dans le cas dâun tel retrait? Aidée des archives historiques dâElf et de TOTAL, nous sommes arrivée à la conclusion que la compression du marché pétrolier, entre distributeurs et producteurs, au cours des années 1970, a considérablement nui à la rentabilité des contrats intermédiaires du type agence.

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Peu de personnes se rappellent de la présence de la France en Inde. Quelques parties de lâInde sont restées françaises jusquâen 1954. à cette date, lâInde française, consistant de quatre petits établissements (Pondichéry, Yanaon, Karikal et Mahé), était en pleine décadence et éclipsée par dâautres colonies françaises, plus grandes, plus lucratives et plus importantes pour la Métropole. LâIndochine et lâAlgérie ne sont que deux exemples. Toutefois, les Français nâétaient pas disposés à abandonner leurs possessions en Inde sans résistance. Le présent mémoire cherche à expliquer la valeur des possessions françaises en Inde et les raisons de la fin de la tutelle française. Le titre du mémoire indique quâun certain changement a eu lieu dans la politique française vis-à-vis de ses possessions en Inde. Lâétude commence par un résumé de la situation politique et économique de lâInde française depuis la fin de la dernière occupation anglaise en 1814 jusquâà la fin de la Première Guerre mondiale. Lâannée 1920 est choisie comme point de départ de la période visée par le mémoire. Portant sur les années 1920, le premier chapitre examine lâhégémonie du parti Gaebelé qui a eu toutes les caractéristiques dâune dictature. Indifférentes à la vie politique de lâInde française, les autorités métropolitaines étaient surtout attirées par le commerce que la colonie offrait dans la production de tissus et lâexportation dâarachides. Après la chute du parti Gaebelé, lâInde française a été plongée dans une longue période dâagitation, un thème clé du deuxième chapitre sur les années 1930. Inconscientes de la réalité politique, les autorités métropolitaines ont toujours accordé la priorité au commerce. Durant les années 1940, lâInde française nâa jamais arrêté de se rapprocher de lâInde britannique. Ce rapprochement a aussi persisté lorsque lâInde britannique est devenue lâUnion indienne en 1947. Soudainement, les Français ont senti le besoin de réaffirmer leur position dâautorité en Inde française. Le commerce est passé au second plan au profit dâune série de réformes politiques. Toutefois, ce brusque changement de politique fut trop tardif. Le quatrième chapitre, centré surtout sur la période de 1950 à 1954 et vu à travers lâexemple dâÃdouard Goubert, a souligné la méconnaissance des autorités métropolitaines des réalités qui confrontaient lâInde française. Lorsque Goubert a cessé de servir comme porte-parole et principal allié du gouvernement français en Inde, les possessions françaises en Inde furent rattachées une par une à lâUnion indienne. Rétrospectivement, les faits économiques, vitaux pour le début du mémoire, sont quasiment absents de deux derniers chapitres. Se retrouvant face à la menace de perdre leurs possessions en Inde, les Français ont compris que lâInde française était précieuse pour des raisons autres que le commerce. Un accent particulier fut mis pour souligner ces avantages culturels et politiques. De petite taille, les possessions françaises étaient importantes pour lâordre et la stabilité dans les autres colonies de lâEmpire. Parallèlement, elles représentaient des points dâappui pour lâexpansion de la culture française dans lâimmense sous-continent indien.

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Pour toute demande de reproduction de contenu se trouvant dans cette publication, communiquer avec lâAssociation des diplômés de lâUdeM.